NO I RE CONGO
Dieu - Roi - Patrie
MIETTES
Chronique Intérieure
Tour d'horizon
Après Paris-Roubaix
Lucien Vlaemynck
nous dit
HEBDOMADAIRE DE L'ARRONDISSEMENT
D'YPRES
Ire ANNEE N" II.
PRIX 2 FRANCS.
13 AVRIL 1947.
H5S
Rédaction Comines. 60. rue de Wervicq.
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de Aug. BEAGUE COMINES
Pour être insérées aussitôt, les correspondances
doivent parvenir le MARDI au plus tard.
RTE
On a projeté au Palais des Beaux-
Arts, Bruxelles, une série de films
sur le Congo belge. Il semble inté
ressant d'en parler ici la colonisa
tion de notre territoire d'Afrique,
La maladie du sommeil fait, parmi
ces races, des ravages effrayants que
la thérapeutique moderne a pu en
rayer et fera disparaître. Aussi, l'ar
rivée périodique (trois fois par an)
cette manifestation grandiose du gé-idu médecin blanc est-elle un joyeux
nie belge, mérite qu'on s'y arrête ufi événement. De tous les îlots, les fa-
instant. milles convergent vers le territoire du
Pendant deux heures trop courtes jchef qui a invité celui qui doit pa
cte spectacle, six films quatre réa- raître un magicien bienfaisant, afin
lisés par Mr. G. De Boe, deux par
Mr. R. Heyman nous révèlent
des aspects variés du travail magni
fique opéré dans ces étendues si hos
tiles aux pionniers qui tracèrent la
voie pour les générations suivantes.
Pendant deux heures, on se laisse
emporter, malgré soi, par un senti
ment profond de fierté en constatant
ce qu'ont pu réaliser en un demi-siè
cle nos compatriotes qui sont allés
porter sur la terre africaine nos
techniques, notre culture et notre
foi.
Il est difficile de résumer ces films
dans le cadre d'un article essayons
toutefois de dire brièvement quel
ques mots de chacun d'eux.
Le premier Léopoldville nous
montre quelques clichés intéressants
de la vie dans la capitale du Congo
de ses rues larges et lumineuses, de
ses constructions blanches, harmo
nieuses parmi les arbres sombres,
sous le ciel toujours nuageux. Le
blanc a trouvé là des conditions
d'existence aussi bonnes si pas
meilleures qu'en Europe et il a
apporté en même temps le bien-être
aux indigènes devenus ses collabora
teurs dévoués. 1.1 faut voir par exem
ple, comment les enfants noirs ap
précient le bassin de natation que
sans nous, ils ne connaîtraient pas.
Un deuxième film nous donne un
aperçu de la culture du quinquina,
commencée depuis peine vinigt ans
Des soins minutieux et attentifs sont
nécessaires au développement de
cette plante qui fournit tous les ha
bitants des pays chauds la précieuse
quinine. L'acclimatation du quin
quina au Congo fut un apport pré
cieux durant la dernière guerre, car
les Indes Néerlandaises, qui étaient
les plus gros producteurs, subissaient icause commune, des ouvriers spécia-
l'occupation nipponne et ne pouvaient lisés, des techniciens, des ingénieurs
plus fournir les doses nécessaires. Le des missionnaires ont renouvelé l'as-
Congo belge assura la relève... en- pect de la terre africaine. Il: y ont
die se faire examiner et soigner. Bien
tôt, les noirs vivront comblés dans
la région enchanteresse qu'est la
Ngiri.
Deux autres films passent encore,
le premier consacré l'art indigène,
le second un élevage de bétail sur
l'île Matéba. Soupçonniez-vous qu'il
y eut un million deux cent mille têtes
de gros bétail au Congo
Puis, c'est le documentaire le plus
long KIVU.
Le Kivu était une région peu ex
plorée avant l'autre guerre. Elle est
lointaine et montagneuse. La cam
pagne contre les possessions alle
mandes, en 1914-1918, en révéla et
la beauté et les possibilités. Après la
guerre, les colons s'y établirent et
le Kivu est devenu un des champs
d'action les plus riches du Congo
belge. Blancs et Noirs, en étroite
coopération, en ont tiré le maximum.
Le café, le quinquina, le pyrèthre
en sont les cultures principales. De
jour en jour, des perfectionnements
sont apportés grâce l'I.N.E.A.C,
(Institut National d'Etudes Agrono
miques du Congo) et aux diverses
stations expérimentales existantes.
Le matériel, qui fait encore défaut
quelquefois, donnera cette contrée
un essor considérable.
On sort d'une telle séance, heu
reux et confiant en l'avenir d'un
pays qui a suscité de tels efforts.
Il est dommage qu'on ne puisse
en parler plus longtemps, pour re
créer peut-être en nous cet esprit
d'idéal que les événements et les
intrigues de ces dernières années ont
un peu diminué.
Dans un même dévouement la
plètement libre les prix fixés pour
les articles standardisés resteront en
-ii vigueur comme précédemment. Mais
Les Anversois du quart.er de la Qn propose de provoquer une di.
gare centrale se sont paye une pinta minution des prix, en revenant au
de bon sang vendredt dem.er. On rég[me de ,a concurrenCe et on es-
pouvait voir en effet, a 25 métrés pèr établir l'équilibre entre les
de hauteur, au miheu de la façade 9a]a reg et ,es prix L'approvisionne-
core une fois.
Il n'y a pas dans notre colonie que
des plantations modèles ou que des
villes bâties suivant les dernières con
ceptions de l'urbanisme.
La NGIRI, située entre l'Ubangi
et le fleuve Congo est constituée par
des îles artificielles que les nègres
apporté le confort, la joie de vivre
la civilisation chrétienne. Les noirs
les aiment et les vénèrent. On sait
que des éléments troubles y ont en
tamé parfois un mouvement de ré
volte le Kitawala. établi sur des
bases mystiques. Mais le vrai senti
ment congolais ne se révèle pas dans
construisent avec des moyens rudi- Ices troubles,
mentaires. Ces îles affleurent peine j Préférons le témoignage de Mme
la surface des marais formés, pa Paul ROBESON, la femme du
les rivières s'écoulant paresseuse- j grand chanteur américain de couleur,
ment, sans creuser de ht, dans cette j qui nos Congolais ont déclaré
plaine chaude. Là, vivent des peu- seuls parmi les peuples sous tutelle du
plad'es diverses très primitives, les continent noir souhaiter voir en-
unes profondément terriennes, les core longtemps les blancs les aider
autres toujours en pirogue, et aussi là s'affranchir de leurs conditions pri
quelques pygmées. imitives de vie.
QUELQUES TEMOIGNAGES
EN FAVEUR
DES ECOLES CHRETIENNES.
d'Henri FAUGUIER (dans
le Matin
On s'est imaginé qu en forçant les
enfants cfu peuple aller s asseoir
aur les bancs depuis 1 âge de 7 ans
jusqu'à celui de 14, on inculquerait
dans leur esprit une loi morale assez
forte pour suppléer 1 éducation de
la famille et la Contrainte de la
foi religieuse.
Il me paraît que l'expérience est
faite et que l'école a fait faillite.
PORTALIS appréciait ainsi
l'expérience de l'école sans Dieu
Que les théories se taisent de
vant les faits: Pomt d'instruction
sans éducation, point d'éducation
sans morale et sans religion.
Les professeurs ont enseigné dans
le désert, parce qu'on a proclamé
imprudemment qu'il ne fallait pas
parler de religion dans les écoles.
Et GU1ZOT
Si le prêtre doit se méfier ou
s isoler de l'instituteur, si l'institu
teur se regarde comme le rival indé
pendant et non l'auxiliaire du prêtre,
la valeur de l'école est près de de
venir un danger.
principale de la gare centrale, un
grand portrait de notre Roi Léo-
pold III.
Qn se demande encore, comment
ce portrait a pu être placé cette
hauteur Il a fallu certainement
l'aide d'une organisation qui dispose
d'une grande échelle...
Le ministre HUYSMANS, pré
venu, a fait enlever dans la matinée,
paT les soins de la police, l'objet
séditieux. Comme quoi, la police
n'est pas seulement au service de
l'ordre et de la justice.
DOMMAGES DE GUERRE
L Institut National de Crédit l'Agri
culture est autorisé accorder des
avarices sur dommages de guerre aux
entreprises agricoles et celles y
assimilées.
Le taux de l'intérêt sera de 2
pour les emprunteurs dont l'exploi
tation ne dépasse pas 1 5 hectares et
de 2.75 pour ceux dont l'exploi--
tation est plus importante.
Les horticulteurs et les maraîchers
peuvent jouir des mêmes avantages;
pour cette catégorie de sinistrés, le
taux de 2 sera appliqué ceux
dont l'exploitation ne dépasse pas
les 2 hectares.
PLUS DE LIBERTÉ DANS LE
COMMERCE. Mr. DUVIEU-
SART, ministre des Affaires Eco
nomiques et des Classes Moyennes,
au cours d'une conférence de presse,
a annoncé son intention de rendre
plus de liberté au commerce.
Il n'est pas question, bien enten
du, de rendre le commerce com
ment du marché, provenant d'une
production plus grande, permet d es
pérer un heureux résultat.
LES GITES D ETAPES. Cette
œuvre, organisée par l'A.C.J.B.,
quoique subsidiée p>ar les ministères
de l'Instruction Publique et de la
Santé Publique, est une organisation
privée et non pas une institution de
l'Etat. Elle s'inspire du spiritualisme
chrét _n. Elle procure aux jeunes
gens de moins de 25 ans, en excur
sion, des abris sains et confortables.
Les gîtes oont ouverts aux jeunes
gens et aux jeunes filles, mais f>as
aux deux ensemble.
Un des buts poursuivis par les
organisateurs est de créer entre les
jeunes gens un esprit d'entr'aïde et
d'amitié, inspiré par l'amour de la
Patrie et de l'hmanité.
Qn peut s'adresser pour tous ren
seignements 141, Boulevard Lam-
bermont Bruxelles.
Dimanche, se sont déroulées
Athènes les funérailles du roi Geor
ges de Grèce. Le monarque est dé
cédé subitement l'âge de 5 7 ans
après avoir mené une vie des plus I h'ment, la plupart d'entre eux furent forcés
mouvementées.
Nous avons trouvé le sympathique Lu
cien occupé, comme l'habitude, chez ses
parents adoptifs. Aucune trace ae fatigue
n'apparaît sur son visage.
Dés qu'il nous aperçoit, il nous dit cepen
dant Eh bien je vous assure, ce fut
une dure, une très dure course que ce
ParisRoubaix. Tous les anciens coureurs
sont d'accord avec moi pour dire qu'ils
n'ont jamais connu un ParisRoubaix
aussi pénible, aussi fatigant que celui de
cette année
Mais, nlavez-vous pas! tenté votre
chance trop tôt, en vous échappant dès le
départ et n'est-ce pas là qu'il [aut cher
cher la cause de votre défaillance en fin
de course?
Pas du tout. Ceux qui me reprochent
cela n'y connaissent pas grand'chose. Il est
vrai que j'ai subi une sérieuse défaillance
en fin de parcours, mais elle fut due unique
ment et simplement au froid atroce et in
supportable que nous dûmes endurer tout
au long de la course. Ce furent des averses
continuelles de pluie et même de grêle.
J'avais tellement froid que mes mains étaient
littéralement engourdies et qu'il m'était im
possible de prendre quelque chose dans ma
musette pour me ravitailler. Ah si j'avais
pu manger pendant les 50 derniers kilo
mètres Je crois bien que j aurais pu ar
river seul, en vainqueur, au vélodrome de
Roubaix.
Mais cela n'explique pas pourquoi
vous vous êtes échappé si tôt après le dé
part.
Il y a cela deux raisons. D'abord,
le nombre de coureurs et surtout de suiveurs
était tel que, pour ne pas être enfermé
l'arrière, il fallait filer aussitôt et passer
en tête du peloton. Imaginez quelles acro
baties j'ai du me livrer pour y parvenir,
puisque j avais île n° 111. La preuve que
j'ai eu raison, c'est que presque tous les
coureurs qui sont restés l'arrière ont été
ou bien victimes de chutes ou bien 1 invrai
semblable cohue des autos et des motos leur
a bouché littéralement la route et les a
empêchés de rejoindre les premiers fina-
Des centaines de coureurs cyclistes ont
profité du soleil printanier de Pâques
(très réussi, d'ailleurs, ce soleil!) pour
se mettre Paris-Roubaix dans les jambes.
Personnellement, je l'avoue sans honte,
j'aurais fait le voyage par train ou en
auto. C'est tellement plus facile, telle
ment moins fatigant... et puis, pas de
côté de Doullens grimper
Tous les goûts sont dans la nature,
même celui de compliquer les voyages...
et des goûts et des couleurs, il ne faut
jamais discuter.
J'étais justement occupé, dimanche
après-midime triturer les méninges
pour dénicher les quarante-quatre récla
mes du fameux concours qui passionne
toute la Belgique... Voilà que je m'aper-
i fois tout-à-coup qu'il y a un droit de
participation payer. Je fouille mon
portefeuille pour établir mon compte-
gutt et comme je ne gagne quand-
même rien aux concours ou aux loteries,
eh bien, j'ai renoncé aux réclames, aux
prix gagner, tout et tout... Avec un
brin de regret pour les bouteilles d"Ad-
vokaat du premier gagnant.
C'est alors qu'en tournant les boutons
de mon poste, j'ai attrapé l'arrivée
de Paris-Roubaix. Vlaemyrtck était en
tête avec deux Italiens...
Quand j'ai appris que Bizzi avait
lâché notre brave Lucien, ça m'a fichu
un sale coup. Je me disais déjà .- Ça
y est, voilà un Italien qui pourra mettre
beaucoup de lires dans sa... tirelire...
On ne pouvait pas, erl effet, le payer
en francs, puisqu'il ne disposait pas
d'un tire-francs
Tout-à-coup, on annonce trois hom
mes en tête pour le sprint. Et en dépit
des efforts du speaker pour faire gagner
Thiétard, notre compatriote Georges
CLAES vous lance un de ces déboulés
qui le jette premier sur la ligne d arrivée.
Bravo, bravo Vive Claes Et vivent
nous autres
Il avait déjà été vainqueur l'an der
nier, parait-il... C'est donc un vulgaire
récidivistece CLA-ES comme on dit
en France). Vous verrez qu'il finira par
gâter le métier, ce petit mouchant
Si on hii disait d'être plus gentil et
l'en laisser un peu pour les autres
SEMO.
Au cours de la guerre mondiale
de 1914-1918, des difficultés sur
girent entre le chef du gouverne
ment grec, M. Venizelos, et le roi
Constantin, père du défunt. Les sym
pathies du premier allèrent aux al
liés, tandis que le dernier ne cachait
pas son penchant pour les puissances
centrales. Le roi Constantin fut ame
né quitter son pays et les alliés
intervinrent pour régler sa suc
cession ils désignèrent son second
fils, le prince Alexandre, qui mou
rut accidentellement en 1923. Un
plébiscite se prononça en faveur du
roi Constantin qui remonta sur le
trône et succéda ainsi son fils.
d'abandonner.
En second lieu, au moment où je tue
trouvais presque en tête, je me suis aperçu
que 7 coureurs filaient ensemble de l'avant.
J ai estimé, ce moment, que pour sauve
garder toutes mes chances de victoire, je
devais me joindre eux.
Mats n'avez-vous jamais eu de diffi
cultés de matériel ou des crevaisons
Non, heureusement Par contre, deux
de mes camarades de la même marque fu
rent retardés par des crevaisons d'autres
eurent des difficultés suivre le train sé
vère que nous menions. Et c'est ainsi que,
soudain, nous nous sommes trouvés trois
seulement en tête, deux italiens dont BIZZI,
le vainqueur moral de la course, et moi.
Quelles étaient vos intentions ce
moment
Mon plan était le suivant attendre
que l'on arrive aux pavés du Nord et alors
lâcher mes deux compagnons. C'était pour
moi la seule chance d'arriver tout seul
Son second règne ne fut cepen- Roubaix. Et c'est le temps glacial ET
dant que de courte durée car, dès i UNIQUEMENT CELA qui fit échouer
1923, il fut obligé d'abdiquer et de I pLan' car mes ,nains engourdies par le
céder sa place son fils Georges
Celui-ci n'eut guère le temps de se
familiariser avec son métier de roi,
car le parti de Mr. Venizelos rem
porta un succès électoral et l'invita
quitter la Grèce, en attendant que
le Parlement se soit prononcé sur
le régime institutionnel.
Au mois de mars 1924, la Répu
blique fut proclamée. Mais la vaste
campagne anti-républicaine, déclen
chée en 1933 paT M. Tsaldaris, chef
du Parti populiste, aboutit en 1935
la suppression de la Constitution
républicaine. A Iissue d'un plébis
cite, le roi Georges rentra en Grèce
où il resta jusqu'au moment où le
territoire grec fut complètement en
vahi par les armées ennemies.
Déjà sous 1 occupation allemande,
la question royale avait été sou
levée en Grèce et Londres le roi
fit savoir qu il était prêt se sou
mettre, une fois de plus, un plébis
cite qui déciderait de son sort. Le
principe de la monarchie étant sorti
intact de la campagpe électorale, le
roi Georges est remonté une troi
sième fois sur le trône, le 28 sep
tembre 1946.
Le prince Paul a prêté serment le
jour même de la mort de son père.
Mirador.
froid' m'empêchèrent de m'alimenter.
Et que devenaient vos compagnons de
fuite
C est justement un peu après que BIZZI
a fait une si malheureuse chute, probable
ment causés par la* fatigue. Les deux ita
liens ont d'ailleurs couru de façon splen-
uide, malgré le froid auquel ils sont peu
habitués. Et il n est pas certain que j aurais
réusi les lâcher en fin de course.
Mais que s'est-il passé dans cette fin
de course
J ai subi alors une sérieuse défail
lance causée, comme je l'ai dit, par un man
que de nourriture. Je ressentis aussi des
crampes douloureuses. C'est ce moment
que je fus dépassé par un peloton de quel
ques coureurs. J'ai eu alors la quasi cer
titude que CLAES allait gagner, car c'est
un coureur de grande classe, et cela, bien
que VERSCHUEREN, SCHOTTE et le
jeune IMPANIS roulaient magnifiquement.
Je répète encore qu'il est faux de prétendre
que jai gaspillé mes forces inutilement,
seul, le mauvais temps fit échouer ma tac
tique.
Mais vous avez quand-même terminé
10e de la course, ce qui est déjà très bien.
Et quelles seront vos prochaines courses
Ie cours dimanche Paris-Bruxelles.
J espère me classer aussi bien que dans
Paris—Roubaix et que dans Gand—Wevel-
ghem. Cependant, après 1 insuccès de mes
échappées dans ces deux courses, un grand
point d'interrogation se pose. Je puis dire
cependant que je me sens dans l'excellentes
conditions et qui sait
Nous remercions le sympathique Lucien
de ses Jongues confidences et lui disons
que tous les lecteurs de LIBERTE sui
vront avec grande attention sa course dans
Paris—Bruxelles. Au nom de tous, nous lui
avons souhaité bonne chance J