L'OPINION", Journal d'Ypres. Actcs öfficieis. S?ai(s divers. constitutionnel; que c'est un honnête homme, un homme de coeiiraüx prises avec les difficnltós d'une situation effroyable. One l'Autriehe, qui a des archiducs h placer, se réjouisse de sa chute, nous racfmettons; que le roi dc Prusse et la reine d'Espagne adrossentleurs compliments a Napoléon 111, riendo mieux; mais que le roi des Delges, que le souverain d'unpays neutre prenne parti pour un belligerent, que le souverain d'un pays libre se prononce contre la cause du droit et de la liberie et mile aux Tuileries applaudir k la chute de 1'héroïque Puebla... La période est très-briilanle, etle voila qui n'estpas vrai» qui la termine fait littérairement un effet superbe. Mais je me permettrai de faire remarquer a nos confrères que le roi des Beiges a aussi bienle droit d'adresser a n'importe qui les com pliments qu'il lui plait, que de prendre le deuil a l'occasion do la morl do l'archidue Maximilien d'Aulriche. Qu'est-ce que cela nous fait, a nous autres Beiges, et qu'avons-nous k voir dans la correspondence partieulière du Roi Si l'on nous pariait d'une note inscrée a la partie omcielle du Moniteur beige, je m'expliquerais l'émotion el la susceptibilité de nos confrères, mais comme aucun ministro n'aeéepterait la responsabilité d'adresser les compliments de la Belgique k l'Empereur a l'oc casion do la prise de Puebla, r.otro Moniteur ii nous, qui est celui du gouvernement, non de la Cour, se gardera bien d'an- noucer offmiellement le fait incriminé auquel il est complète- ment élranger. Ce sont lit des rapports de cour, dos compli ments d'étiquette qui entretiennont les bonnes réjatiöns entre les souverains et qui n'engagent nullement les peuples libres. Du reste, je in'explique parfaitëment qu'on félicite Napo léon 111 de la pri'se de Puebla, car personne ne s'imaginait qu'il en reviendrait. Des compliments, en parcil cas, cela revient k dire quelle chance 11 faut bien considérer, d'ailleurs, comme me le faisait un jour observer un des membres du cabinet actuel, que notre Roi 'a bien droit aussi a jouir de quelque liberie. C'est bien le moins, dans un pays oli tous les eitpyens sont libres et égaux devant laloi. Le Roi est le premier citoyen dontnous devions respecter la liberie. Vous vous souvenez qu'il y a quelques années le roi Leopold est allé k Biaritz faire une visite a Napoléon III. Cettc visite, en ce tenips-lk, produisit comme les compliments d'aujourd'hui une certóine émotion dans lo public, mais on garda plus de mé- nagements cette émotion ne se manifests point dans la presse. C'est a cette époque que j'eus i'honncur de me trouver en rapport avee un des membres du cabinet, et je me permis do lui laire observer qu'on trouvkit très-siiigulier que le ministro des ai- faires étrangères n'accompagnat point S. M. Moi-même, alors, je partageais lo sentiment actuel de YEscaut et de 1 Echo de Liéije. i'èn fus bientöt revenu, il sufflt pour cela d'un mot rai- nabte Qu'est-ce que cela nous rait? En vertu de Partiele 68 de la Constitution, le Roi, il est vrai, fait les traités de paix, d'al- liance et de commerce, mais les traités qui pourraient grever l'Etat ou lier individueliement des Beiges n'ont d'effet qu'a- près avoir repu l'assentiment des Cliambros, Et puis", dans aucun cas, les articles secrets d'un traité ne peuvent etre destructifs des articles- patents. Cc sont la, en effet, des textes eonstitutionnels qui devraient détruire toute délianco, si méme il était permis d'on avoir dans Ie Roi dontla sagesse et le libéralisme éclairé sont et doivent resler au-dessus de tout souppon. Puisqüë jo vous parle dn Roi, je puis vous donner sur sa maladie et l'état de sa santé des renseignevnents forts intéres- sants. Ce n'est plus un mystère pour personne,aujourd'hui,que S. M. souffre d'une affection de la vessie. Le docteur Civiale lai a fait, l'a'n passé, plusieurs operations,et il croyait avoir ex- trait jusqu'aux derniers calculs. Mais il en était resté au moins un qui a pris, en peu de temps, des proportions assez conside rables, et il s'agissait de Ie réduire comme les autres car l'au- guste patient souffrait beaucoup. On en était, au palais, k se demander ii quel illustre opérateur on pourrait rocourir, lors- qu'arriva ici le docteur Tompson, envoy 6 paria renie Aictoria. C'est un grand (liable d'Anglais, sec au possible, et sec k tous les points de vue, qui se présent» au Roi et lui déclara, sans hésiter, qu'il devait le sonder.Le Roi, qui est fatigué dc se faire sender,' et qui du reste ne donne pas sa eonfiance au premier verrii, voulut prendre ie temps do réflecbir et détudier un peu son hómme. Le docteur retournaau chateau le lendemain,ctle Roi continua ses études sur sa personne en lui parlant de tout autre chose que de sa maladie.Ce fut, pendant plusieurs jours, la même comédie. Le docteur avail fini par ne plus repondre, de sorte qu il n y avail plus guère de conversation possible. C'est ce moment qu'attendait 1c docteur, et il en vlnt k dire, du ton d'un méde- cin qui s'adressc k son cliënt11 taut que je \ous soncic. A ce mot qu'il n'ontend jamais sans frémir un peu, le Roi prit de l'humeur, et, pour dóconcerter son impassible inlerloeuteur, il lui demancla, plus ou moins diplomatiqueinènt,s iln oubliaitpas qui ii a va it affaire. Je ne sais qu line cliosc, repliqua le tloc- teur, c'est que vous avez un caleui dans la vessie et que jc dois le broycr. Le Roi compril dès lors qu'il n'y avail pas a parlementer avec un savant aussi butor, et ii se résigna, iri assure-t-on, a subir une nouvelle ópéralion dès le londemain... L'opérateuravait commencé son travail lorsquo lc Roi lui ditQuand vousren- contrerez le caleul, veuillez me prévenir... R n'v en a plus, Sire, répondit lo docteur, il est réfloit cn poudre et vous ótes guéri. En cffet, huil jours après, lcRoi bien porlant et, nj opto-t-on, cette ibis complèteinent rétabü, sc rendait en \oiture decou- verte au palais.de Bruxelles,ot assistait avec la reine dc Prusse a un grand diner gala, pour la première fois depuis le mois de septembrc dé l'année dernière. Aujourd'hui, enün, on n'a plus d'inquietudes, etlones- nère qu'avec un peu de managements S. M. se ressentira a peine de la terrible affection qui l'a fait tant souft'nr depuis si longtemps. - l'nmol encore des elections donl on persistc a soceuper beaucoup a Bruxelles, bien que la France, de Pans, apprenne a ses lecic'urs que la nouvelle de Ia prise de Puebla nous a mis la toie reuvers quo nousne parions plus quo des hauts fails cl armes cel a'va sans dire,de Sa vailtanee deTarmóe franpaise qui est en' train d'implanter le,régime du sabre sur une terrelibre. Le ministère, comme je vous le démontrais la semaine der nière ne voit aucune raison pour abandonner le pouvoir, au contraire, cl vous pouvez être certain, quoiqu'on en dise, qu il marchera plus résolument que jamais dans la voie des ré- formes, alin de nc plus donner h nos ex-avancés de pré- toxte pour lui tourner casaque, comme on dit vulgairemcnt. Nous sommes rallies, c'est vrai, disent déjk les anciens tirail leurs de l'extrême gauche, mais au drapeau, et c'est pour mar cher au combat si on nous Iaissail i'arme au bras eten place repos, nous sortirionsdes rangs pour conlinuer la guerre de partisans. Ce mot, qu'on attribue ii un officier supérieur de la garde eiviquo, un major avancé me parait êlre une pein- ture assez exacle dc la situation. Le ministère a promis de marcher résolument en avanl si le résultat des élections don- nait la majorité ii l'opinion libérale, cela est hors de clonic, et c'est autant pour marcher k l'ennemi que pour assurer leur réélection que les tirailleurs de la deputation de Bruxelles sont rentrós dans les rangs.Mais anjourd'hui qu'ils out dans la poche un nouveau mandat de quatre ans, ces messieurs sont fori a l'aise. En effet, leur defection donneraitla majorité ii l'armée enne- mie,et l'oncomprend qu'al'avenir le ministère devra compter plus que jamais avec eux. Or, le parti clerical n'a qu'h se bien tenir, car il aura la kilte sur le terraia oh il a voulu la placer. 11 a inscrit sur son drapeauAutorité religieuse c'est l'autorité civile qui lui répondra, et tous les lious affectés au tcmporel des cuïles seront sécularisés. 11 est ii peu prés temps, du reste, que les principes de -1789 déposés clans notre Constitution triomphent des resistances de J'aneienne société. Gare done aux cimetièresgare aux fabriques cl'égliseEn ce qui concerne les cimetières, l'opinion du gouvernement est bien connue l'enterrement est, comme lc baptème, comme le ma- riage, un acte purement civil, ct l'autorité n'a pas h se préoc- cuperdes cérémonies religieuses. Quant aux fabriques d'égli- ses, elles auront uil compte sévère it rendre au gouvernement, et elles n'altendront plus longtemps pour connaitre le sort qui leur est réservé on s'occupe d'ellés avec beaucoup de sollici- tude. L'n arrêté royal du -13 juin 4863 porte la suppression du corps des sa- peurs-pompiers do Menin, comme corps de garde civique. On nous écrit de Mcssines Les élections ont produit ehez nous la plus vive animation Dès que la nouvelle nous est parvcnue que nous avions conservé MM. Vandenpeerebooin et de rlorisone, la joio éclata en trans ports enthousiastes, la musique est venue au devant des élee- teurs, et arrivée a l'arbre de la liberie, elle joua h plusieurs reprises la Brabanconne aux applaudissements dfe la foulc. Tous les habitants avaient arboré le drapeau nationall'arbre de la liberté était orné de plus de deux cents oriffammes, dra- peaux et banderolles, la fète s'est lerminë'e bien avant dans la huil. Notre suecès n'avait malhcureusemenl pas été complet, car M. Vanden Bogaerde venait de succombcr en remportant une belle victoire. 11 est péniblc pour Mcssines de devoir avouer qu'on a travaillé ici contre un candidal qui réimissail tant de sympathies. Les élections sont souvent un grand enseignement, elles nous apprennerit connaitre Teshommes. Messines a toujours été dévouée h la cause libérale, c'est-a-diro a nos libres insti tutions. Aujourd'hui on fait des efforts pour nous désunir, les fails sont constants et avoués. Nous espérons que d'autres prendront h cceur de déjoüer de perfides intrigues. nnr rmpgry-rigrmni Voici le relevé des distinctions obtenues par des exposants de notre arrondissement, au concours international de Lille Race bovine. hacks delges pur es. Mdles. ire section.Taureauxnés du 1"mai -1861 an -1"' mai 1862. •lei' prix médaille d'or ct une prime de 300 fr.a M. De Randt, de Vlamerlinghe. Mention honorable M. Dujardin, de Watou. Femelles. ■lre section.Génisses ne'es du -1"' mai 186-1 au 9?' mai -1862. 36 prix médaille de bronze el une prime dc 100 fr.; a M. De- lanoto, de Rousbrugge-Haringhe. 2° section. - Génisses et vachcs ne'es avanl le 1" mai 186-1. ■I01' prix médaille d'or et une prime do 200 fr., it M. Coppin, Romain, do Ploegsteert. 2" prix médaille d'argent et une prime dc 150 fr.it M. Van- dermersch, de Bas-Warnêton. BACB8 croisées. Males. ■lre section.Tanreaux nes du ler mai -1861 au ler mai 1862. I01' prix médaille d'or ct une prime de 250 fr., h M. Vanden- broele, de Boesinghe. Femelles. •t" prix médaille d'or et une prime do 150 fr,, ii M. Dela- note, deRoiisbrugge-lIafinghc. ttace 'chewaïine.cubvaux étraxgsks. lre division.Chevaux de trait. Chevaux entiers de quatre ans el au-dessus. 2e prix médaille d'argent et une prime de 400 fr., a M. Van- nestc, de Weryicq. Procluits agricoles. cokcours enïre les pro- duits ÉTP.AXGERS ET LES PRO DUITS FRAKCAIS. Médaille d'or. M. Monncv, dc Mcssines, pour ses tabacs. Médailles d'argent. [-'Association agricole de l'arrrondis- sement d'Ypres, pour sesplantes textiles, houblons, tabacs, etc.; M. Vandromme, de AVcsl-Outre, pour ses houblons; M. Van- ieene, de.Dickebusch, pour ses liris. Médaille de bronze, M. Valcke-Vercamer, de Poperinghe, pour ses houblons;-M. Yandcrmersch, dc Bas-AYarnêton, pour ses tabacs. Mention honorable. M. Vandenboogaerde et Cie, h Pope ringhe, pour lours houblons. SsEstniments aratoires.charrues. Mention honorable M. Cungne, Lrbnin, do Langemarcq. harnais.— Prix unique, médaille de bronze M. Scheme, de Langemarcq. Beaux-Arts. Lo -15 mai dernier a eu lieu h Anvers' le concours prépara toire pour legrand prix de peinture(prix de Rome). Yingt-deux concurrents se sont présentés. Le 30 mai,lc jury instituó parle gouvernement a nomirié les six jeunes artistes admis au grand concours déiinitif. L'on cómple parmi eux cinq élèves de l'éeole instituée par M. Portaels a Bruxellès. Le Ajuin, les six concurrents sont entrés en loge. Ce sont MM. Vanden Bussche, de Gand, Goppïeters, de Bruges,Vanden Kerckhove, de Bruxelles, Hennebicq, dc Tournai, Verdyéil, de Liége, Agneessens, de Bruxelles. Le sujet a trailer est Le Christ présente' aux juifs par Pi- late. Dimanche, 14 juin, a 11 heures, tous les membres du con- seil communal dc Bruges, M. le bourgmeslre et MM. leséche- vins en töte, se sont rendus en corps chezM. Paul Devauxpour lui remctlre uneadresse votéela veille, par acclamation, dans laquclle Fadministration communale exprime au grand citoyen les regrets qu'elle éprouve de ce que la ville de Bruges ait cru pouvoir se passer de ses services. ossssassffisa-i M. le ministre des travaux publics vient de signer avec MM. Marshal et lierla, la convention qui, satif ratification par la legislature, leur accorde la concession du chernin de fêr d'Ostende a Armentières parThourout, Ypres et Warneton. - M. le notaire de Brouckere, président de la Chambre .de commerce de Roulers, est parti ces jours derniers pour Paris, chargé d'une mission du gouvernement beige prés du gouver nement francais. 11 s'agil, dit le Memorial de Courtrai, de fixer définitivemént des types des toiles ardoisées. Un aveu naïf.M. Visart recevait les compliment 'de con doléances de quelques amis qui le plaignaient du mal qu'il s'é- tait donné en vain pourobtenir un siége k la Chambre, otspé- cialemeht d'avoir du subir la vivaeile des polémiques éleclo- rales. Oh répondit le jeune avocat, ce n'est encore rien d'avoir été attaqué par la presse libérale, mais avoir été défendu par la Patrie, voila ce qu'il y a de plus pénible Allons! décidément etmalgré lesapparenc,es, M. Visart a plus d'esprit que nous le supposions. Impartial On nous écrit de Poperinghe, k la dato du 17 juin Dier en se levant de table M. Bever, recevcur des contribu tions en cette ville, s'affaissa sur lui-même et mourut presque subitement dans les bras de Ses amis. La santé de M. Bever était depuis plusieurs mois considérablement affaiblie. Un habitant de Poperinghe possédail un boeuf qu'il atte- lait depuis plus, de dix ans. Le travail était dur. La pitanee de l'animal était si légere, que la semaine dernière, il arriva, ce qui auraitpu arriver plus tót, que le pauvre boeuf, réduitk sa pius simple expression, tomba comme une masse inerte. Due fit notre Poperingois? D'abord le sacrifice d'un cordial, qui, au lieu do ranimerles forces de sa béte, la tua lout a fait. Comme notre avare voulait* en tirer le meilleur parti possible, il se dit ii part lui Maintenant que inon bccuf est mort, le moment ost venu de le tuer, ct il fit quérir un boucher. Cclui-ci n'en voulait a aucun prix. Mais,— fit observer le propriétaire, ctla peau vous ne la comptez pour ne rien? C'est un mauvais cuir, soupira le boucher, qui nc sc dou- tait pas dc son esprit. Enfin, il fut convenu que moyennant douze francs le boeuf passerait entre les mains du boucher; toutcfois l'ancien pro priétaire se réservait le coour de la béte, dès qu'elle serait dé- pécée. Le dimanche suivant, notre homme n'ayant garde d'oublier ce qu'il pouvait revendiquer, vintréclamer lc cicur cn queslion. Mais la fernrno du boucher, ignorant cette clause du traité, l'a- vait vendu. Que vais-je lui répondre? sc dit lo boucher qui, pas plus que l'avare, ne tenait ii délipr les cordons do sa bourse. Une inspiration soudaine lui vint. Savcz-vous, dit-il, que vous aviez lk un singulier boeuf, c'est s'ans exemple dans la boucfecrieV Comment ca done Vötre boeuf n'avait pas de eoeur Bahfit le cancre stupéfait: C'est pourtant ainsi. Olije ne dis pas non; jo m'cn suis au contraire toujours douté, le brigand ne voulait pas tirer! -L'orage quiaéclatéle samedi 13 juin,a faitde graves dégiits dans plusieurslocalitós du pays. A Roulers, la foudre est tonibée sur unmóul ink vent appartcnantauxenfants$oupienne;lemoulin n'a pas brülé, ila été complétemënt brisé par lc milieu-.le (luide a également atteint une petite chapellë nommée KoortsKappel, siso Ie long de la route de Roulers k Hooglede; lc nominé [eau Melsens, colporteur k Roulers, frappé paria foudre, a élé entiè- rement paralyse. Grace aux prompts secours qu'on a pu lui prodiguer, il est maintenant hors de (langer. Les dégSts causés au moulin sont évalués a 600 fr. II n'était pas assuré. Les dégftts k la ehapelle sontinsigöifiants. A Wetteren, la foudre csttombée, avec un fracas cpouvanta- ble, sur l'estaminet le Afiroir, silué rue des Marais. Après avoir enlevé un pan de-la fagade, elle s'est introduite paria cheminée dans la salie commune, en a fait le tour et est sortie par la fenótre. Get accident aurait pu avoir los plus graves con sequences, le malire de l'eslammet étant en mé-me temps sa- bolier, et ses magasins se IrouvaiU encombrés des produits de son industrie. Keureuscment quelques ilcgAts exccptés, on en a élé quitte pour la peur. Un recours on grftce a été fait a la clémcncc royale par les condamnés de Bruges (affaire diie de la bande rouge), dont le pourvoi en cassation a été rejelé Ie 8 courant.

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L’Opinion (1863-1873) | 1863 | | pagina 3