MAISON A L'OSAGE DE CABARET, MAEIGARS VERPACHTINGEN. ADJUDICATION ET D'INSTRUfflENTS ARATOIRES. HET SCHOON KASTEEL- L'OPINION, Journal d* Ypres. Mais, depuis lors, les chevaux se sont prodigieusement mul tiplies au milieu des immenses pampas de la Plata, des ilanos du Paraquay et de l'Orérioque, au Mexique, et jusque dans les tmianes de l'Amérique du N'ord. On les rencontre errant par troupes dont le nombre est quelquefois de plus de 10,000. Le naturaliste Azara raconte que, pendant une grande sécheresse qui régna dans l'Amérique du Sud, on trouva sur les bords du Parana, b une seule place, plus de 1,000 cadavres de chevaux qui, atlirés lb par la soif, étaient tombés, b l'aspect de l'eau, dans une espèce de rage; ils avaient entamé les uns contre les autres une lutte frénétique, qui avait iini par la destruction d'une grande partie de la troupe. Au commencement de notre siècle, la race des chevaux sau- vages s'était tellement accrue en Amérique, que les Espagnols en tiraient des remontes pour leur cavalerie; chaque animal lui revenait, en moyenne, b 18 dollars. M. Dureau de.la Malle raconte, d'après Azara, que ces che vaux sauvages, si nombreux dans les vastes plaines du Para guay, et qui se composaient, dans le principe, de chevaux do- mestiques de races diverses de toutes eouleurs, abandonnós par les conquérants espagnols dans les immenses ilanos de eette contrées avaient presque tous changé de forme et de cou leur, et que dans un groupe de 10,000 chevaux, on enfemar- quait b peine un sur cent gris, alezan, noirou pie; tout le reste. était d'un poil brun a crins noirs, ce qui a fait conclure b Azara que telle l'ut la couleur primitive du cheval sauvage. La forme et la structure étaient redevenues celles du cheval sauvage du steppe de Kirghis grave dans Pallas. Lorsqu'on est parvenu b dominer le cheval sauvage d'Amé- riqué, on peut lui faire accomplir sans fatigue les plus longues courses seulement, il faut bien se garder de l'arrêter avant d'être au bout. La nuit, on l'abandonne dans la forêt; un peu avant l'aube, on le reprend et on lui donne de l'eau et du maïs; on le lait ensuite marcher tout le jour, sans manger ni boire, jusqu'b ce que l'on ait atteint le campement oü l'on passera la nuit; b ce moment, on lui donne de reehef de l'eau et du maïs. Les chevaux se trouvent bien de ce traitement, et même on regarde comme une chose nuisible de les faire manger dans la journée; lorsqu'on passe un fleuve, on a soin de leur tenir la tête au-dessus de l'eau pour les empécher de boire. Le défaut de fatigue éprouvée par le cheval sauvage tient-il i la marche particuiièrequel'Américain lui impose? Cedernier regarde comme absurde de faire trotter un cheval, etle mot de trotteur est pour lui une injure. Le mode de marcher qu'il fait prendre a son cheval est une espèce d'amble particulier appelé sobrepaso, dans lequel le cheval léve les jambes de devant tan dis que celles de derrièrent rasent presque le sol, ce qui pro duit un mouvement a peine sensible pour le cavalier, et qui empêche l'animal d'etre blessé par la selle. Les courriers d'ambassade font de cette fapon, une fois par mois, le trajet de Mexico b la Vera Cruz, aller et retour, en 36 heures la dis tance de l'une b l'autre ville estde 39 lieues. Une singuliere caisse a pores. II y a quelques jours, la musique d'un régiment de l'lllinois, commandé par le colonel Oglesby, était ailée sur la lisière d'un bois pour la répétition d'un morceau d'opéra. La répétition finie, le fifre et la grosse caisse remarquèrent qu'un magnique pore, attire sans doute par l'harmonie, s'était tranquillement installé b l'ombre d'un rocher et s'y était endormi. Les deux musiciens laissèrent filer leurs camarades, puis, quand ils se virent seuls, firent une charge b fond sur la bete et réussirent b l'assommer. La difficulté n'était pas lail fal- lait tirer parti de l'aubaine et entrer le butin dans le camp. On réfléchit, on délibère bref, le filre eut une idéé Si on em- portait l'animal dans la caisseBien trouvérépondit l'autre, et voila les deux amis qui dépècent l'animal, détachent l'un des cercles de l'instrument, enlèvent la peau et rétablis- sent le tout dans son état normal après y avoir enfermé le gibier. Tout allait au mieux; les maraudeurs firent une entree triom- phale, portant chacun d'un cöté le précieux fardeau. Mais par une terrible fatalité, le régiment était sur pied; le colonel avait eu la malheureuse idee d'ordonner une parade, et il fallutqu'i l'instant même les retardataires prissent place dans les rangs. II y eut un moment d'affreuse perplexité. Ce fut bien pis encore le colonel, qui avait fait prendre les armes pour entendre la musique nouvelle, donna le signal pour l'exécution du morceau. Une explication devint inévitable. Le litre, qui avait eu l'idée, eut le courage d'une démarche épi- neuse. 11 s'approcha l'oreille basse, tira 1'ofiicier b l'écart et lui dit tout d'un traitFaites excuse, rnon colonel, mais les vi- vres sont rares, etla grosse caisse et moi nous avons eu l'ia- teution de vous faire une surprise. Voila la grosse caisse est changée, pour le moment, en garde-manger, et si un quartiér de pore pouvait vous être agréable... Pas un mot de plus répondit le colonel. Sortez des rangs, droles, et ne revenezque quand vous serez enêtatde reprendre votre service. En atten dant bataillon, garde b vous! Portez armes Front! fixe! L'exercice dura un quart-d'heure, puis la musique exécuta le morceau d'opéra, et, le soir, il y avait de la viande fralche a la table du colonel. Tribunaux. POPERINGHE. Prix moyen du marehé du 3 juillet 1863. des travaux de tcrrassemeiil et de parage. L'adrainistration communale fait savoir que le vendredi, 10 juillet 1863, a 11 heures du matin, elle procédera b l'hótel. delarégence b Poperinghe, assistédeM.lecommissaire-voyer de l'arrondissement d'Ypres et sous réserve d'approbation ul- térieure, b i'adjudication publique des travaux de prolongement de la route pavée de Poperinghe b Crombeko jusqu'b la route de l'état qui traverse la ville de Poperinghe. La partie de cette route a paver en grés neufs b une lon gueur de 222 met. SO cent. et Ie dc-vis des travaux s'élève b francs 6800. L'adjudication aura lieu par soumission et aux enchères. Les soumissions, rédigées sur papier timbré, signées par deux cautions solvables et solidaires, seront remises sous en veloppe» cachetées et portant pour inscription Soumission pour l'entreprise des travaux de la route de Poperinghe a Crom- beke. Chaque soumission doit être accompagnée d'une somme de einq cents fr. en numéraire, bons du trésor ou obligations des emprunts nationaux. Poperinghe, le 23 juin 1863. Les bourgmestre et éehevins, Par ordonnanceC. VAN RENINGHE. Le secrétaire, BONTE. Etude du Notaire Lannoy, a Comiues. A. MERCREDI IS JUILLET 1863, b 2 heures de relevée b Ia Maison et sur les Terres de M. Goemaere-Verstraete, a Bas- Warneton, VENTE PUBLIQUE de LI B. LE MÊME JOUR, a S heures de relevée a la Maison com munale de Bas-Warneton, MISE A PRIX d'une enseignée \e Fond de l'Eau, avec -10, ares 60 cêntiares en Fonds de Bbtiments et Jardin, a Bas-Warneton (France). MAENDAG 6 JULY 4863, ten 2 ure, te Merckem dorpulaets ter herberg Sidronius Hosschius, van 60 HECTAREN, beboe rende M"ie Lagrange, M. Vanpraet, de heeren Syoen,'juffrou wen Druant, vrouw weduwe Ghyselen en M. de Roe. DYNSDAG 7 JULY 1863, ten 2 ure, te Wounien, ter herberg de Broekdreve langst de kassyde, van 60 HÊCTAREN, behoo- rende M. Verté, de Crombrugge, M. den baron deConinck en Mme Bogaert. Betaelbaer by Placide Syoen, te Merckem. Kantoor vau den notaris Lauren! Prooi, TE WOUWEN. Is DYNSDAG JULIUS 1863, ten 2 uer namiddag le Keyern zuid naby het dorp voor d'heer llenricus Proot aldaer van Beestialen, Landshalaein, Brandhout en h. 1-76-94 cent Vlas 2" WOENSDAG 8 DITO, ton 12 4/2 uer te Clercken, gehuchté Clercken-Smisse ten stefhuize der weduwe Joannes-Raptiste Beauprez, van Menagie Goederen, Landshalaem, Berjstialen 8 hectaren Vruchten te velde, Brandhout, enz. 3° DONDERDAG 9 DITO, ten 5 uer namiddag te, Wourocri dorp, by d'heer Henderiekx-Wibou, van alle de Maeigrazen des Bureel van weldadigheid en Kerkfabriek YY'oumen. Kantoor van den notaris Y'AN EECKE, te Yper. Uyt er hand te koopen met de Lust en andere Hovingen en afhangelykhe den van den Heer Graef Du Pare, te Yper, by de statie van d® Yzeren-weg (1IE.YIIXS DE FED de la Flandre Occidentale. SER/VICE DES TRAINS. l« juillet 1863. DÉPARTS DE BRUGES A POPERINGHE. Beveren. CORRESPONDANCES des cliemius de fer el menageries. rousbrlgge a poperinghe. Cottr d'naalseH de I» Fl«ndre eccldentaie. Dans la seance publique du 30 juin, M. le président du tribunal de pre mière instance de Bruges a tire au sort les jurés appelés a siéger pendant lati'oisième session de la Cour d'assises, qui s'ouvrira Ie20juilletprochain sous la présidence de M. le conseiller de Villegas. Juris titulairesH.-M. Catteaux, fabricant a Courtrai; J.-J. Buquoy, pen- sionnaire de l'Etat a Bruges; Cliarl. Van Elelande, secrétaire a Menin; P. Matte, cultivateur a Lichtervelde; bom. Yerbeke, marchand a Courtrai; L. Van Nieuivenhuyze, propriétaire a Bruges; Cb. De Molders-Vander Heyde, propriétaire a Alveringhem; Th. De Gbent, propriétaire a Ypres; ■H. Glorieux, huilier a Bruges; 11. Vander Plancke, marchand de lin a Courtrai; E. Janssens, fabricant de tabac a Ostende;,Serruys, négociant en vins a Bruges; A. Duclos, négociant a Ostende; Ed. Van Leynseele, fa bricant a Courtrai; R. De Groote-Outrique, greater de la justice de paix k Dixmude; I'. Border, propriétaire a Adinkerke; F. Callewaert, bourgmestre a Oostkerke; P.Moreaux-Declerck,bottier a Ostende; J.Dautricourt-Woets, tanneura Dixmude; J. Lenoir, savonnier a Roulers; Ad. Pollet, échevin a Dottignies; J. De Boninge, armateura Ostende; J. Van Canneyt, cultiva teur a Cits; J. Behaegel, brasseur a Furnes; Ch. Delaey, conseiller com munal a Hooglede; P. Gheysens, conseiller communal a Harlebeke; H.Van Severen, conseiller communal a Bruges; H. Van Caillie, marchand de vin a Bruges; J. De Clerck, échovin aCoxide; B.Ancot, propriétaire k Bruges. Juris supplementaire! A. Lauwers, avocat k Bruges; Ed. Daveluy, li- 'ograplie id.; Ad.D'hooge, docteur en médecine id.; Ed. Jacque, notaire id. Tribunal il'Yprcn. (Audience du 2 juillet 4863.) Ontété condamnés 1» Vermeulen Pierre, a 3 fr. d'amende et Dehaeze Alexis, k 7 jours d'em- prisonnement et3fr. d'amende, pour coupe de bois. 2» Castelein Léonard de Noorslede, a 46 fr. d'amende, pour coups vo lontaires. 3» Costenoble Pierre, cultivateur a Bailleul (France), a un mois d'em- prisonnement et 50 fr. d'amende, du chef de destruction de cloture, ot de plus a une amende de 1 fr. pour injures. 4» Basile Verfaille, de Noorslede, a 25 fr. d'amende du chef de coups volontaires. 5» Balois Amand-Joseph, de Wervicq, a deux mois tfemprisonnement da chef de rupture de ban. Dans la mème audience letribunal a acquitté le nommé Verraest Jacques de Menin, agé de 44 ans, poursuivi du chef de vol; mais il l'a eavoyé jus- qti'a l'Stge dc 48 ans dans une maison de correction. Etat indiquant les quantite's et le prix mogen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 4 juillet 1863, sur le marche de la ville d'Ypres. NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEN POIDS des VENDUES. PAR MOTEN DE MAKCHAXDIsKS YKNDUES. XILOGRtMMIS. CENT KILOGRAM. l'hectolit. '34,000 28-75 Kil. 78.00 5,700 19-25 73.60 4000 48-50 46 300 21-00 80 Fèves 000 22-00 80 Pommes d« terre 0,00 7-0» 000-00 Fromenl, l'hectolitr«81-88 Seigle.44-00 Avoine8-00 Fives45-00 Pois45-25 Pommes de terre, Us 100 kil5-00 Beurre, Ukil8-00 Hooblon, les SO kil. 000-00 YPRES. État-eivll du 27 juin au 3 juillet 4863. NAISSANCESsexe masculin 4. sexe féminia 8. MARIAGES. Claeys, Henri, tailleur, et Spykerelle, Amélie, dentellière. DÉCÈS. Mortier, Em^rence, 31 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. Priem, Modeste, 53 ans, journalier, célibataire, rue de Lille. Ailemon, Constantin, 78 ans, sans profession, veuf de Marie Loupe, rue de Menin. Breyne, Eugénie. 41 ans, journalière, veuve de Félix Bras, rue de Menin. F'oubert, Bazile, 57 ans, charpentier, veuf de Sophie Yuylsteke, rue de Menin. Looghe, Marie, 58 ans, dentellière,épouse de Joseph Bauckaert, rue de Menin. Allaer, Philippe, 68 ans, cordonnier, époux de Sophie Yernieuwe, rue au Beurre. Kestelyn, Charles, 43 ans, journalier, époux de Virginie Eeckhout, Plaine d'Amour. Hollevoet, Yirginic, 59 ans, mar- chande, épouse d'Albert Degraeve, Graud'Place. Enfants au-dessous de 7 ans. Sexe masculin, 2. Sexe féminin, 2. P0PER1NGHE. État—civil du 26 juin au 3 juillet 1863. NAISSANCES sexe masculin, 5.— sexe féminin, 4 DÉCÈS. Decrock, Rosalie-Sopliie, 32 ans, cultivatrice, épouse Louis Vande- wynckel, Peselhoek. Yanhee, Cyrille-Corneille, 43 mois, Mont-au- Faucon. Dekindt, Philippine, célibataire, ouvrière, 68 ans, Hagebaert- hoek-Saint-Jean. SchmidtMarie-Jeanne, 3 ans, Graud'Place. Silos, Léontine-Cornélie, 3 ans, rue du Faucon. Delanghe, Rcné-Gor- neille, 14 mois, Lyssenthoek. Papegaey, Théodule-Corncille, 43 mois, rue de Cassel. Decoker, Léontine-Cornélie, 18 mois, Eekhoek. Tina- perman, Eugène-Corneille, 43 mois, rue des Prêtres. Scherpereel, Po- lidore-Corneille, 1 an, rue des Pots. Waeghemaker, Eusébie, 13 mois, Helhoek. Laurens, Irma, 2 mois et demi, Grand'Place. VILLE DE POPERINGHE. STATIONS. Bruges. Dépari. Tliourout. Lichtervelde. Roulers. Iseghem. Ingelmunster.» Courtrai. Arriv. Courtrai. Dép'. Menin. Wervicq. Comines. Ypres. Poperinghe. Ar. MATIN. 4 4,2et3cl. 40 4,2ct3cl. 1 et "2 cl. 45 4 et 2 cl. 8 l,2et3 cl. 5 00 8 30 12 45 5 05 6 35 5 25 9 00 4 45 7 05 5 35 9 10 1 25 7 15 5 55 9 35 1 45 5 45 7 30 6 40 9 50 2 00 5 55 7 45 6 20 10 00 2 40 6 05 7 55 6 50 n 40 30 2 35 6 20 8 20 b 8 05 40 40 S 40 8 30 8 30 44 00 3 05 8 50 8 50 41 40 3 45 9 00 9 05 41 20 3 25. 9 40 9 45 41 40 4 00 9 30 40 40 42 40 4 20 9 50 STATIONS. DÉPARTS DE POPERINGHE A BRUGES. Poperinghe. DL Ypres. Comihes. Werwicq. n Menin. Courtrai. Ait. Courtrai. Dép'. Ingelmunster.» iseghem. Roulers. Liphteryelde, jThouroït. .Briges. Arriv, MATIN. SOIR. 9 5 44 7 41 4 4,2et3cl. 4,2el3cl. 1 et 2 cl. 4,2 e 13 cl 4,2et3cl. 4 et 2 cl. 5 45 14 20 4 40 4 50 5 40 11 40 1 55 8 45 6 05 42 00 t 35 5 30 6 45 42 10 2 50 5 40 6 25 42 20 3 05 5 ft) 6 55 42 45 8 35 6 *45 5 f 0 7 30 40 35 4 00 6 25 5 30 8 00 lt 10 1 25 6 45 5 35 S 40 41 05 4 30 6 55 5 55 8 .10 41 23 4 45 7 40 6 45 8 50 41 45 2 00 7 35 6 25 9 00 14 55 2 40 7 40 6 55 9 3Q 12 25 2 40 8 46 trouver (iix minvtta «i'avance. J,es trains de marchandises dont la marche n'est pas^indiquée au présent tableau, n'admettront les voyageurs sous aucun prétexte. COURTRAI. Départ pour Cand, Bruxelles, Anvers eir Le matin, 6,50 - 10,10 42,30! Le soir, 4,45 (4« ct 2» cl.) 6,20— 7 30 Départs pour Mouscron, Tournai, Lille,'etc Le matin, 7,40 8,05 (-lw ct 2e cl.) 40 ;;o Le soir, 2,35 5,00 (SF' cl.) 6.35 8,25 COMINES A LILLE. Le matin a 6,45 40,00 42,45. Le soir a 4.1)0 6 00 LILLE A COMINES. La matin u 5,30 7,00 9,30. Le soir al 00ii ''it COMINES A YVARNETON ET MESSINES Le matin a 6,45 - 44,30, Le soir a 9 15. WARNETON ET MESSINES A COMINES Le matin a 5,30 - 10,30. Le soir ii 4 3o! Le ffiaiin a 9,00. Le soir a 2,45 3,00. POPERINGHE A RQUSRRUGGE Le matin k 6,00 40,10. Le soir k 12,00. menin (halllin) A TOLRCOING.' Le matin ii 7,45 41,05 Le soir k 3,30 6,40 TOLRCOING A MENIN (HALLLIN). ^e matin h 8,00 10,40 Le soir k 2,50 6,SB BruxsUes. - Imp. da T, FLSRACJfRR, r. ées Sabiës, li.

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L’Opinion (1863-1873) | 1863 | | pagina 4