CHAR BON; WAhnEton et messines a loüines. rousbrugge a popeiungiie. TENUE DES LIVRES MANUFACTURE A VENDUE CU MOS DE EE IV DE LA FlANIÏRE OCCIDENTALE. Chimicke Voortbrengsels Gvill.uj.iie MEHTENS, G .MEKTEN S j/„!" FHOSFORIKEN Quels sont les elfels de deux conduites si dissem- blables? Pour l'un, c'est une aisance relative, pour l'autre c'est la misère. De leis exemples placés sous les yeux de l'ouvrier doivent lui prouver qu'il esl Ie principal artisan de l'amélioration de son sort et lui commander la plus grande prudence dans Ie choix de sa ménagère. Qu'il la prenne pauvre, mais honnête, courageuse, économe et avec Tintelligence nécessaire pour raisonner ses véritables intéréts c'est la clef de v.,file de ces choses précieuses qn'on appelle Ie conlenternent et Ie bien- être, qui peuvent se rencbntrer dans les plus ino- desles conditions. C'est de la bonne ou mauvaise di rection des ressources, que depend avant tout la condition materielle des classes laborieuses. On a pu affirrner avec raison que Ie choix d'une compagne, si important pour lout Ie monde, l'esl sur- tout pour l'ouvrier, et c'est vèritablemenl de lui qu'on peut dire que Ie jour ou il contracte une union heureuse, est Ie plus beau jour de sa vie. Journal de l'Ouvrier Si la pièce des Bendez-vous bourgeois n'exislait pas, on pourrait bien la faire d'après la scène qui vient de se passer devant M. Yardley, juge du tribu nal de police de Marylebone. Trois gaillards de gar- 50ns brasseurs, au teint fleuri, a la mine rèjouie, et qui paraissent fort peu redouter les consequences de ('infraction qu'ils ont cornmise lant elle est legére, comparaissent devant ce magistral sur la plainte de M. Henri Forsler, qui s'exprime de la manière sui- vante Cette nuit, vers quatre heures du matin, je suis sorti de ma chambre a coucher pour aller chercher et amener prés de ma femme, qui se trouvait in- disposee, une de mes domestiques. J'ai élé ètonnó de renconlrer cette fille dans l'escalier et compléte- ment habillèe. Je l'ai questionnée la-dessus, et elle m'a répondu que, s'etant sentie malade, elle s'était levée et habillèe. Je lui dis alors d'appeler une de ses camarades, et je fus plus surpris encore de voir apparaltre une deuxieme domestique aussi complelement vêtue que l'uutre. Elle prétendit que sa compagne de ser vice ayant élé malade, elle s'était levée et habilllée póur lui donner les soins que nécessitait son état. Je me dirigeait vers la chambre de ma troisième ser- vante, et jugez de ma stupéfaclion en la trouvant non moins levée et non moins habillèe que les deux aulres a quatre heures du matin I J'etais a chercher en moi-même quelle pouvait être Ia cause de cette complication d'èvènements, quand je pus la deviner en entendaut un leger bruit dans une autre partie de la maison. J'allai vers ce bruit, el je trouvai le premier garcon qui est ici, caché derrière un rideau; le deuxièma etait blott'i sous une table dans ma bibliothèque, et le troi sième s'était réfugié et caché dans une chambre du haul de la maison. J'appelai un policeman et je les fis arrêter tous les trois. Les prèvenus ont écouté ce récit avec un petit air narquois qui parait indiquer qu'ils sont plus fiers que hunteux de cette amoureuss équipée, et ils ne font pas difficullé d'avouer qu'ils avaient élé appelés chez M. Forster par les trois servanles. M. Yardley.Eh bienI je dois vous dire que vous aviez choisi pour faire votre cour l'heure la moins convenable; vous ne devez pas faire ainsi irruption dans cette maison a pareille heure. Yotre conduite a élé inconvenanle et immorale. Je vous condamne a prendre l'engagement de vous mieux conduire a t'avenir et de ne pas recommencer. M. Forster dit qu'il a mis a la porie, dés ce ma- tin, les trois filles qui avaient attiré chez lui cette invasion de garcons brasseurs. Gazette des tribunaux.) Yi'KES. Etat-civil du 4 au H novembre. naissaJjces. Sexe masculin 5 Sexe féminin S. Total 8 MARIAGES. Boyaerl, Isidore, boncher, et Brutin. Sidonie, jarriinière. Swckels, I.éonsaus pofession, et Verfaillfe, Clémence, boutiquière. Delmolle, Charles, tailleur, et Devos, Rosa lie, coulurière. ÜÉCÈS. Vander Eecke. Marie, 64 ans, dentellière. veuve d'Alexis Terrier, rue de Benin. Poortman, Pierre, 06 ans, employé des douanes, célibataire, rtie de Menin. Ferrand, Jean- Baptiste, 62 ans, tonnelier, époux de Virjjinie Stekeloróm, Marche au-Bélail Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 1. Sexe féminin Total 4. I»01>EI£IIV4ÏI1E. Etat-civil du 4 au 41 novembre. NAISSANCES. Sexe masculin S. Sexe féminin 6. MARIAGES. Druanl, Benoit, Célibataire, 30 ans. ouvfier. avec Luysse, Amélie, célibatairé, 25 ans, dentellière. Bruneel, Pierre célibataire, 35 ans. cnllivateur, et Labarre, Oelavie-Rosalie, célibatair e, 23 ans, dentellière. Chatelet, Albert, céliba taire, 20 ans, gargon magon. et Caesleker. Philomène, 23 ans, dentellière. Flamay, Eraugois. célibataire, 26 ans. et Boulhé, Arnélié-Sopbie, 30 ans, boutiquière. Enfants au-dessous de 7 ansMasculin 1. Féminin 2 POPERINGHE. Prix moyen du marclié du 1 Novembre 1864. Frornent, Phectolitre. Seigle Avoine Fèves Pois Pommes de terre, les 100 kil. Beurre, le kil. Houhlon. les 50 kil 18 65 13 30 9 00 16 50 16 00 6 00 2 70 155 000 Elat indiquant les quanlités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 12 novembre 18(54 sur le marchéde la ville d' Ypres. NATURE des MARCHANDISES VENDUES QUANTITÉS vendues. KILOGRAMMES. PRIX MOYEN POIbS PAR MOYEN DE CEN* Kil OGRAM. l'hECTOL. Frornent Pommes de terre 4U.000 6,4(0 1.800 21,35 21,84 U 00 17 75 18 75 82 40 6 30 Kil. 80 (KI 73 60 45 00 Service des Train» ler Octobre 1864. STATIONS. Bruges. Départ. Zedelgbem. Thourout. Lichtervelde. Cor.prpurnes Gits. Kouiers. fsègirein. Ingidmunsler. CourLrai. Arriv Courtr ai. Dép'. Menin. Wervieq, Com i nes. Ypres. Popéiinghe. Arr. DÉPARTS 1)E BRUGES A POPERINGHE. 1 4 10 I 8 I, Jet tri. 1,2 et S cl I el 2 cl. 11a.el 3 „I et a cl. o 00 6 15 6 22 6 45 ,2et 3 el, 6 8 05 25 35 45 05 25 8 30 8 45 9 00 9 10 9 15 9 20 9 35 9 '0 lil 00 10 30 10 40 11 10 11 20 11 30 11 50 12 10 12 40 12 55 1 lo 1 20 2 10 1 30 1 4o 1 55 2 02 2 30 Mixt e -> 50 3 18 5 28 5 42 4 10 4 35 5 05 5 25 5 45 5 57 0 05 6 20 6 35 6 50 7 05 7 15 7 45 7 25 7 37 7 52 8 00 8 20 8 30 8 50 9 00 9 10 9 30 9 50 STATIONS. Poperinghe. Dép Ypres. C.nrnines. Wervieq. Menin. Counrai. Arriv Courtrai. Dép' Ingelmunsler. Isegbein. Kouiers. Gits. Cor.deFurnes. Ar Lichtervelde.Dép' thourout. Zedlghein. Bruges. Arriv DÉPARTS DE POPERINGHE A BRUGES. 5 9 7 -2 1 et 3 cl.j l, act. i 7 el3 cl. i,ïf3 cl. 5 50 8 40 10 50 4 45 5 50 9 05 11 10 5 05 6 10 9 27 11 32 5 30 6 18 9 37 11 42 5 40 6 50 9 47 11 55 5 50 6 55 10 07 12 20 6 15 XI MIXTE. i et -z cl. 7 30 10 55 12 40 6 25 8 4ó 8 00 11 00 1 10 6 47 9 12 8 10 11 07 1 20 6 57 9 22 8 50 11 27 1 40 7 13 9 55 Ar. 8 40 8 40 11 35 1 50 1 1 7 25 7 05 8 50 11 45 2 20 7 54 9 00 11 55 2 10 7 45 9 15 12 05 2 20 7 55 0 50 12 20 2 35 8 15 Les heures indiquées pour les stations iulermédiaires n'étaut qu'approximalives, les voyagetirs sont priés de s'y trouver dix minutes d'avance. Le train 4 ne s'anète pas A Keveren. Le Iraiti 9 ne s'arrête pas A Heule,Beveren et Lophem.—Le train 10 ne fait arrèt qu'A Thourout, lloulers, Iseghem et Ingelmunsler. Les trains qui seronl orgauisés pour le service des marchandises et dont la marche n'est pas indiquée, n'admeltront les voyageurs sous aucun prélexte. Bruxeües. lmprimerie de V. Verteneuil, So11*, rue de Louvam. Ón déclhorgc on cc moincni nu Quai, a Ypres, uil bateau de f,HARBON tout venanta 1 iV. 45 c. I'hec- tolilre ou 19 fr. les mille kilog. Au complant, pris hors du bateau, les 5,000 kilo^ - 88 francs S'adresserchezYANDEVYVER VIGTOOR.aaQuai, ri" 4 l'.-S. Ou peut se procur er aussi chez lui des J OM MES DE TERRE de Fumes. Ex Vente chez V. Yerlenenil. impr.,85. rue de LouvSin, A Bruxelles En partie double, en cinq legons, par Marie-Thérêse RENAU- DIERE. élève rle feu son père, l'un rle nos professeurs les plus babiles de l'enseigneinenl. I*rix 1 franc. van van te Overboulaere by Gheeraerdsberge (Pelgiê), bezitten van verscheide brevetten, onlangs bekroond voor zyne overtreffende Waren in de universelle ter- loenstelling van Londen. De Elrage van dit bovengemeld geslicht is algemeen gekend als een ware brhnudmiddel van bet leêr. Dit uil- munlende leêrsmeerse| war r- van Guiltaume IH er lens de eenfge uilvinder is, heeft alle hoedanigheden voor de bewa- 1 ring van alle Ieders in hrt al- Igemeen De iiilvinrlinger van allerkosteyksl.wanl lot op he den zyn er de onvirgelykbar ingehschappen nooit van ge kend geweest. Hel is voor die overtreffende hoedanigheden dat rle medaliè hem door Hare Majesteit de Koningin van Engeland toegewezen is. jn ,|e Wereld tentoonstelling van Lénden DeCirage van GviUavme Merlens wordt gebruikt in de grootst familien en zelfs in de koninglyke hoven. Otn alle namaeksels te voorkoinen geven wy hierboven de facsimile of naboorsing van hét opschrift op de doozen gedrukt der eerste kwaliteit. Men vind depóts in alle steden en dorpen zoo bin nen en buiten ons and. ECHTE Solferstekken. acEgetBCSBen gr de zelve depóts vindt men de echte P'Waerbogde Sol ferstekken (l'hosfuors), in de Z'dve chimicke manufacture Vervaér ligt, géteekenJ met het hiernevens staende merk van den uitvinder. 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CHtiMIN DE FER de LICHTERVELDE d FURNES. stations. Lichtervelde. Dép. Cortemarcq. Handzaeme. Zorren. Lessen. Dixmude. Oostkerkeke. Ave-Capelle. purne». Arriv. Licht a Fumes. STATIONS. matin. soir. 9 Ih 2 10 7 40 Furned. Dép. 9 50 2 25 7 55 Ave-Capelle. 9 55 2 50 8 00 Oostkerke. 9 45 2 40 8 |0 Dixmude. 9 55 2 50 8 20 Essen. 10 05 5 00 8 0 Zarrén. 10 12 5 07 8 57 Handzaeme. 10 20 5 15 4 55 Cortemarcq. Liffbtervolae. Arriv. i 0 50 5 25 8 55 Fumes a Licht. matin. soir. 7 51 (2 05 5 50 7 57 12 12 5 57 7 45 12 20 0 05 7 55 12 50 6 15 8 05 U 40 6 a5 8 15 0 55 8 25 (5 45 8 50 0 50 845 7 30

HISTORISCHE KRANTEN

L’Opinion (1863-1873) | 1864 | | pagina 4