MAlRAINimORTlER, -M ri èfeioni' *i AWffllbihS* hoqflsisi atioa Struye, Louis, 61 ans, prêtre, rue au Beurre. Steyaert, Pierre, 58 ans, journalier, epo'ux de Barbe Back, rue de Menin.Yandcwynckcle, Pierre, 59 ans, jardinier, célibataire, rue de Menin. pos>Fasi.vr;iiF. PENSIONNAT. Annexe au Collége Communal et a VEcole moyenne de l'Ètat. DÉPÖT d'iIUITRES, Marclié-aux-Poissons. a Ypres. LIVRES EN LECTURE chez Félix Lambin, imprimeur, rue de Dixmudej n° 55, a Ypres. SF Des instructions dètaillèes entourent chaque Boite et Pot. sssszassa Je l'invasion étrangère constitue un avertissement a notre adresse et doit nous faire réfléchir a notre propre situation. La cause des peuples libres, en effet, est la ntêrae partout; ou plutót, tous ensemble n'en ont qu'une. Le coup qui fait succomber l'un d'eux est ressenti par tous ses frères en liberté et en indépendancc une partie de leur propre existence se trouve compromise. C'est done notre cause qui a été jouée au Schleswig. C'est notre cause qui est en jeu au Mexique non pas du cóté des impérialistes, mais du cóté des dissidents. Dans l'indépendance du Mexique que l'on cherche a abattre, c'est done en partie la nótre que l'on atteint du même coup. Et par la main de qui cela se fait-il? Par la main des Beiges, nos compatriotes Que d'autres admirent les hauts faits de nos con- citoyens au MexiqueNous, a la vue de ces exploits, nous éprouvons un sentiment bien différent. Nous nous demandons si la liberté a quelque chose a gagner au sang que les Beiges prodiguent si genéreusement au Mexique.Nous nous demandons si, en faisant la guerre, en commettant ce crime de lèse-humanité, ils combattent pour la cause de Tindépendaace, qui seule peut l'auto- viser et la justifier. Et a cette question, nous sommes forcés de répondre Non ou bien encore la valeur de nos guerriers se rouillait dans l'inactionil a fallu chercher un aliment pour leur bravoure on l'a troiivé qu'ils tuent done des hommeson ne devient héros qu'a ce prixII y vraiment trop de liberté sur cette terre qu'ils la noient dans le sang Ce n'est pas un monument de gloire qu'il s'agirait d'élever a la mémoire de nos compatriotes? c'est un monument de deuil destiné a perpétuer le souvenir de leur égarement FAITS IJ IVF IlS. Voici la composition du conseil de discipline de la garde civique d'Ypres, pour le quatrième trimestre de l'annce 1865, dont le tirage au sort a eu lieu le Dr oc tobre. Membres effectifs H. Podevin, lieutenantL. Car dinal, sergent; J. Ilahor, caporalT. Vanpraet, garde. Membres suppleants T. Eerryn lieutenant; J. Al- laert, sfergent; H. Meraini, caporal; A. Merghelinek, garde. Dimanclie dernier a ou lieu, pour le corps des sapeurs- pompiers de notre ville, un tir a la cible dont les prix étaient offerts par M. A. Brunfaut, lieutenant. La fête s'cst terminée parun bal offert dans la salie de spectacle. Contrairement a, l'avis que l'administration nous avait prié d'insérer et que nous avons inséré dans notre nu méro du Ier octobre, l'ouverture des cours de l'Acadé- mie des Beaux-Arts, n'a pu avoir lieu lundi dernier,' ainsi qu'elle était annoncée. II paralt que les travaux matériels sont loin d'être achevés et ne pourront même être terminés avant la fin du mois. On s'étonne, non sans raison, de toutes ces lenteurs. Puisse ce retard être enfin le dernier et St-Luc venir en aide a la commission directrice La Société des Choeurs de notre ville a ouvert, jeudi dernier, la série des soirees musicales hebdomadaires qu'elle donnera pendant eet hiver au local de la société, et qui ont obtenu tant de succes l'annce dernière. Au concours dramatique flamand qui a eu lieu der- nièrement a Thielt, la Société de Vlaamsche Ster a ob tenu sept médailles en vermeil. Un pareil succes parle assez haut parlui-même pour se passer d'éloges. A la distribution des prix aux élèves .de l'Académie royale des Beaux-Arts, de Bruges, M. A. Deroux, ma- réchal-des-logis au 3e lanciers, a obtenu le premier prix de la classe de tête antique, et c'est au milieu des plus chaleureuses acclamations que le jeune sous-officier est allé recevoir son prix. Le soir, le régiment, en l'absence de la familie, a fêté brillammeiU ce succes. Nous apprenons que le projet du chemin de fer de Nieuport est dans les meilleures conditions de réussite. Les études definitives des voies projetées de Bruges par Nieuport a Eurnes avee embranchement vers la ville d'Ostende, sont a peu prés terminées, et toutes les piè- ces y relatives parviendront a M. le Ministre des travaux publics, pour la fin de ce mois. Le gouvernement pourra done, dès la prochaine session legislative, réclamer l'au- torisation nécessaire et accorder aux demandeurs la con cession qu'ils ont sollicitée il y aura bien tót un an. Une fois la ligne établie, une compagnie anglaise se pro pose de créer un service de navigation a vapeur entre la ville de Nieuport et la cats anglaise, de manière a éta- blir un service régulier entre l'Angleterre et la Bel- gique. ('tii'oiiiqiic judicJaire inilititirc. On lit dans /'Impartial de Bruges du 11 octobre Depuis deux jours un conseil d'enquête s'occupait d'une affaire qui préoccupait assez vi vemen t le public. Ce conseil avait a juger des faits mis a, charge de M. Yan Alter, sous-lleutenant de cavalérid, appartenant au 3me régiment de lanciers et avant été.attachó antérieu rement, a l'école d'equitation d'Ypres. Bes faits repro- chés a eet officier, étaient, d'après raccusatlon, incom- patibles avec la dignité et l'honneur d'un officier. Les débats ont eu lieu a huis-clos. Après trois audiences, et après avoir entendu do nom- breux témoins, M. De Latte, auditeur militaire gt M. Bara défenseur du prévenu, le conseil a pris une reso lution dans son audience d'hier après-midi et a jugé que les faits mis a charge de M. Van Aelter" n' étaient pas prouvés et l'a, eri conséquence, remove des fins de la plainte. Cette decision a été prise, nous assure-t-on, a l'una- nimité des membres du conseil. ONGUENT HOLLOWLY Guérison douljeurs. --Les pla es, les blessures, les ulcerations, et atitres mal «dies de la peau, peuvent disparaitre au moyèn d«* ce bienfaisant et cura- tif Onguent. 11 est estimé au plus haut degré par les personnes qui sonffraient, depuis des années, dn nuux de jambes, abces, et ulcère9 chron»ques, apiès que tout espoir de guérlsou avait rté abandonné. II n'v a que ceux qui out expénme.nté les effets salutaires de eet Onguent qui peuvent se faire une idee du bien-êt'c qu'il procure, en restreignant Tinflammation et «llé- geant la souffrance. Chaque fois qu'il a été employé, il a fait sa propre répufation, et a été ensuite ardemment recherché, comme le remède le plus faeile et le plus sain, powr toutes les maladies ulcéreuses. Dans les névralgies, les rhumatismes et la goutte, la même application, convenabb ment employée donne le plus mer>eillcux soulagemeut. ET AT indiquant les quantite's ct le prix moyen des grains, fourrages et autres produits ayricoles vendus le li octob. 1805 sur le marché de la ville d' Ypres NATURE QUANTITÉS PRIX MOYEN POIDS des marchandis. vendues. par moyen de VENDUES. Kilogrammes. cent kilogram. l'hcctol. Eroment 11,200 24-62 K 80-00 Seigle 13,700 15-12 73-00 2200 18-00 45-00 1,000 20-00 80-00 600 21-00 80-00 POPERINGIIE. Prix moyen du marché du 13 octobre 1805. Froment, l'hectolitre18 76 Seigle 12 00 Avoine Pommes de terre, les 100 kilog Beurre, le kilog 8 00 8 00 2 90 «'RUS. Etat-civil du 0 au 13 octobre 1865. -es id i'up sIKmcl mon je il Sexe masculin 6. Sexeféminin 9.Total 15. MAPI AGES. Maelfait, Heuri, colporteur et Yanbecelaere, Marie, dentellière. Enfants au dessous de 7 ans. Sêxe masculin 7.-Sexeféminin 7. Total li. Etat-civil du 6 au 13 octobre 1865. Mwieo gémöiqib Sexe masculin 6. Sexe féminin, 3. MAPI AGES. Van Woumen, Bobert, 33 ans, propriétaire, ccliba- taire, avec Van Renynghe, Sidonie,23 ans, propriétaire, célibataire. Blanckaert, Henri, 26 ans, ouvrier, avec Baeteman, Rosalie, 22 ans, dentellière. DÉCÈS. Oreel, Erancoise, 70 ans, cultivatrice, veuvede Pierre Bosseel, Oosthoek. Lazoore, Barbe, 66 ans, parti- culière, célibataire, Eekhoek.Quaghébeur, Catherine- Thérèse, .59 ans, cultivatrice, Lyssenthoek. Enfants au dessous de 7 ans. Sexe masculin 4. Sexe féminin 2. AfiFB.E D'IPBES. Une bonne education une instruction solideune nourriture substantielle et variée etc., recommandent sous tous les rapports cette institution a la bienveillance des parents. Le prix de la pension est de 500 francs. S'adresser pour plus amples détails au chef de cette institution M. le professeur Eigy - Degels. usq siijévsi Joon iaolPokhMU't o! la'nonotYMi hip Houblon, les 50 kilog100 a 105 00 Ce remède est universellc- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'iinpureté du sang, lequel est la source de la vie. Cette impureté est promp- i. tement rectifiée par 1'usage des Pilules Hollowayqui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétés balsamiques purifient le sang, don- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médeeine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la faqon la plus saine et la plus efficace sur le Eóie et les Peins f ellé regula rise les sécrétions, fortifiele sys tème nerveux et réconforte le corps entier.Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivant les instructions imprimécs qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, l#s rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. 'C venrfetit cbr* les Pharmaelena t fr. SO e., 9 fr. »5 c. et O fe. le Pot ou Is Katte. Ponr Ia Veste eiiRros,s'adresserchti Ie propriétaire,IcPsofknskcb HOI.IOU AT,244,Strand, ALondres. (K° 1.) DÉ POSÉS. Imp. de la Publicité Commerciale, rue Fossé-aux-Lonps, 9.

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L’Opinion (1863-1873) | 1865 | | pagina 4