LE LIBRE EXAMEN AVIS. Viile d'Ypres. VILLE D'YPRES. 6 Francs par An. ■->>■■«1^ Des instructions détaillées eutoureut chaque Boite et Pot. d'épaisseur a la dune. L'escalier qui se trouve devant la plage est entièremenl séparé de la digue enuore un coup de vent et il disparaitra. Une partie de la pro menade en briques est emportée, et il ne reste pres- que rien des travaux de nivellement que Ie gouverne ment a fait faire, l'etë dernier, eri face du pavilion de Holder. La mer a tout devasté. Ses ravages se sont étendus sur toute la cóte, mais nulle part el Ie n'a fait autant de dégats qu'a Heyst. Pour en donner une idee, il suffira de quelques chifïres. L'hótel du Phare a été construit en 1859 II ètait alors a une distance de 54 mètres du bord de la dune; Ie 20 février 1861, il n'v avail plus que 40 mètres, et Ie Ier avril 1S66, 30 mèlres seulement Ladernière tempêlea encorepris 5 mètres. C'est done 29 mètres de perdus en sept ans. L'hótel n'est plus aujourd'hui qu'a 25 mètres seulement et se trouve très-expose. Le quatrain suivant circule a Paris. Nous en avons lu de plus mauvais I.e Mexique est un vampire Dont l'appétit est eoüteux Nous lui dotinons un empire, II en dèvorera deux. Vaisseaux Skllndés. Aeluellement, chaqtie nation aspire a so procurer ces puissants instruments de guerre; mais si oe siècle de charbon et de fer se glorifie. en raison de ses res- sources et de son pouvoir.nous ne tievons pas oublier la necessiledechercher les moyens de fortifier le corps du marin, comme celui de son vaisseau, en reconf >r- tant sa constitution. Cette remarque a été suggérée dans de nombrenses circonstances bien constatées, dans lesquelles les Mèdicaments Holloway out res- tauré des constitutions complélement brisees Soula ger momentanément la douleur, c'est un bien pour l'huraanité souffrante; mais. ce qui est infiniment préférable, c'est de déracirter Ie mal et de rgstaurer le système a sa vigueur primitive. Les mèdicaments Holloway extirpent la maladie et développent, par J'activité qu'ils donnent, le fluide vital, le germe de la santé. Ceux qui, une seule fois, ont essayé ces remèdes, s'y attachent invariablement, non-seulement parce qu'ils n'ont jamais manqué de guerir, mais encore parce qu'ils sont une sauvegarde on un antidote con- tre les maladies de toute sorte. En eti'et, ils forlifient la constitution et maintiennent la vigueur de tous les organes du corps et la pureté du sang, de sorte que le système entier devient invulnerable aux attaques de la maladie Si l'on peut dire que le corps est une harpe a mille cordes, les remèdes Holloway sont les movens par lesquels on la tient toujoursdans le ton, en la restaurant a son accord primilif, quand elle est dérangée. Mais ce qui nous étonne, ee sont les mer- veilleuses organisations et direction de l'établisse- ment central de Londres le foyer dont les rayons sanitaires se répandent dans les parties les plus re- culées dé la terre. La ces médecines sont continuelle- ment sous la main et a la portee de toutes les classes du monde entier! Ces souverains remèdes, dont les matières premières proviennent de purs végélaux, sont prepares de telle sorte qu'ils sont aclifs ou pas- sifs, suivant les cas les Pilules contierinent des pro- priétes toniques, aussi bien que detergentes, et deve- loppent même l'une ou l'autre, selon les symptómes; l'ongnent, élant tout a la fois expulsif et absorbant, agit de la même inanière, de sorte que, combinés en semble, ils aident la nature a chasser 1'enuemi com- mun la maladie. Nous disons qu'ils assistent la nature, car il ne faut jamais oublier que le plus sage, le plus sür et le plus infaillible mode de traitement medical, doit êire base sur le principe qui consiste a assister et a faciiiler la nature a tri mpher de la ma ladie eta fortifier la constitution pour le retablisse- menl de la santé; telles sont les deux grandes vertus accomplies par les Pilules el I'Ongueul Holloway. Onguent et Pilules Eiolloway. Conviction conscienscieuse. Aucune mise de fonds ne peut èlre plus profitable que celle qui assure une bonne santé II est au-dessus de toute contestation que les Pilules Holloway qui ne coülent qu'une bagatelle, triompheront de (oute maladie Dans lont. s les nombreuses riyspepsies ou in digestions,ces purifiaiites et aperitives Pilules, sccondées par une noarrilure simple et modérée, réussiront complétement. Une longue indisposition, résultant d'un inauvais appétit ou d'une assimilation imparfaite, disparaitra, grêce h ce traite ment, et les nausées, ainsi que les goüts désagréables la bouche, les migraines et les ennuyeuses eonsé(|uences du flegme qui le matin, frappent les personnes atteinles de dys pepsie, serunt détruites par ces balsamiques et fortifiantes Pilules. YPREJi. Etal civil du 23 au 30 Novembre 1866. NAISSANCES. Sexe masculin 3. Sexe féminin 4. MARIAGES. Robaeys, charpentier. et Strobbe, Clémenee, dentellière. Deseure, Émile, sans profession, et Jolyt, Eulalie, mo diste. Detiege, Louis, magon, et Duflon, Julie, dentellière. Vanhaele, Pierre, journalier, et Bondry, Ursule, domes- tique. DÉCÊS. Verballè, Pierre, rentier, 08 ans, époux de Barbe Samyn, St-Jacques lez-Ypres. Cardinael, Isahelle. 78 ans, dentel lière, veuve de Joseph Delarnwiere, rue de la Boule. Van- nestè, Louis, 67 ans, sans profession, runde Menin. Wael- kens, Rosalie, 77 ans, sans profession, veuve de Jean Harteel, rue de Lille. Devos, Philippe, 78 ans, charron, veuf de Catherine Pyck, jue de Menin.Verongstraete, Coleite, 35 ans, religieuse, Place du Palais-de Justice. Buseyne, Eu- gène, 70 ans, serrurier, époux de Marie Debruyne, rue de l'Éloile. Buseyne, Virginie, 62 ans, sans profession, épouse de Jean Didier, Place St-Pierre. Obyo, Amélie, 86 ans, dentellière, veuve de Jean Dezwaene, t oe de l'IIöpital Saint- Jean. Ver Eecke, Anne, 78 ans, sans profession, veuve d'Ignace Vanbecelaere, rue de la Boule.Verhack, Charles, 28 ans, jarainier, céiibataire, St-Jacques lez-Ypres. Hop. man, Gurilaume, 87 ans, rentier, é|ioux de Cécile Ferriex, rue des Chieus. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin I. Sexe féminin 1. Poperingiie. Prix moyen dumarché du 23 Novembre 1866. Froment, I'hectolitre 26 25 Seigle14 25 Avoine9 00 Pommesde terre, les 100 kilog8 00 Beurre, le kilog2 90 Houblon, les 50 kilog. 210 00 E T AT indiquanl les quanlitès et le prix moyen des grainsfourrages et autres produits agricoles vendus le 1" Décembrc 1866, sur le marché de la ville d' Ypres. NATURE DES ARCHAN DISES YEN DUES Froment. Seigle Avoine Pois Fêves. QUANTITES VENDUES. Kilogrammes. 25 300 7.200 1,100 2 000 500 PRIX MOYEN EAR 100 kilogram 56-50 22 50 22-50 25-00 26-00 POIDS MOYEN DE] I'bectol. 80-00 75-00 44-00 80-00 80-00 L'Administration communale a 1'honueur de prévenir les intéressés que la commission men- tionnée a I'article 7 de la loi du 8 Mars 1810, pour recevoir les demandes et les plaintes des propriétaires qui soutiendraient que les emprises a faire sur le territoire de cette ville, pour la con struction du chemin de fer direct d'Ypres vers Houlers, n'entraine pas la cession de leurs pro- priétés, se réunira le Mardi 11 Décembre 1866, a midi, en la salie bleue de l'Hótel de-Ville. Fait a Ypres, le 28 novembre 1866. Les Bourgmestre et Echevins, P. bekE. Par ordonnance Le Secrétaire, J. DE CODT. Le Collége des Bourgmestre et Echevins pré— vient les intéressés que les'róles de rindemnité a payer par ies propriétaires pour l'etablissement des trottoirs des rues au Beurre et de l'Anguille, ont été arrêtés provisoiremerit par le Conseil, en séance du 17 courant, et qu'ils seront déposés pendant 15 jours a l'inspection des personnes im- posées de ce chef. Fait en séance, le 20 Novembre 1866. Les Bourgmestre et Echevins, P. BEKE. Par ordonnance Le Secrétaire, J. DE CODT. Journal philosophique, politique et littéraire, Paraissant les l"r, 10 et 20 de chaque mois. Abonnements, payables d'avance Le Libre ëxamkn est envoyé, a titre d'essai, GRATIS, pendant un mois, a toute personne qui en fait la demunde- S'adresser, par letlre affranchie, 8, rue de la Sa- blouuière, a BUUXlii.LËS. remède est universelle- reconnu comme le plus Ce ment efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'impureté dug sang, lequel est la source de la vie. Cette impureté est promp- tement rectifiée par l'usage des Pilules Holloway qui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétés balsamiques purifient le sang don nent du toa et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la faqon la plus saine et la plus efficace sur le Foie et les Keinselle regula rise les sécrétions, fortifiele sys- if tème nerveux et réconforte le corps entier. Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivant les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médieale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma- tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. «e vendentches les Phunoacicns 1 fr. fl»0 c., 3 fr. 9 5 c. et 0 fr. le Pot ou la Boite. Pour laVente en gros,s'adresser cliez le proprlétalre,le Pkofbssbcr HOLLOWAY,2&4,Strand, A Londres (NO 1.) DÉPOSÉS. Biuxei.iks. ljKFimuniE df. V. Vertinuu. 85, ree de Locyain.

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L’Opinion (1863-1873) | 1866 | | pagina 4