FES LE CABINET BE 1. ABLER A VENDUE une très-bonne Bruxelles. Lmprijierik de V. Vertenkuil, 93, bub dk Louvain. ETUDE DE M' DECLERCQ, CHIRURG I EN- DENTISTE Des instructions détaillées entourent chaque Boite et Pot. Messines. Echevin, Ie sieur Delobel. Oostvleleren. Bourg., le sieur Poupart, échevin,le sieur De Groos. St-Jean. Bourg., le sieur Markay, éch., le sieur De Bruyne. Viameriinghe. Echevin, le sieur Six. Voormezeele. Bourg., le sieur De Gheus. Warnelon. Echevin, le sieur Volbrecht. Watou. Bourg., le sieur Capelle, echevin, le sieur De Greus. Wulverghern. Bourg., le sieur Delbecque. Wyischaete. Bcurgmestre, le sieur Coppin. Necrologie. M. Ie pasteur Vent, président du consistoire de l'eglise protestante ii Bruxelles, est mort le 4 courant, a buit heures du soir. FAIT* DIVERS. Le 4 de ce mois un pénible malheur est arrivé le long du chemin pavé de Glercken a Houthulst. Un domestique de M. Vandenbusschebrasseur dans cette dernière commune, venant de Houthulst avec cheval et chariot, était assis sur son véhicule quand soudainement le cheval effrayé par une quantité de neigedont les enfants avaient fait un mannequin, fit un saut de cóté et pril le mors aux dents; Ie conduc teur fut jeté a terre et les roues lui passerenl sur les jambes. Le inalheureux a étè transporté a l'hópita! de Dix- mude. II y a a peine buit mois qu'un autre domestique de M. Vandenbussche a trouvé la mort sur la même route. La fonte des neiges et les pluies de Ia semaine der nière ont occasionné des inondations qui profileront aux prairies. La Lys a déborde sur tout son parcours et l'Yser a recu des quantités d'eau considérables. La Sentinelle beige, journal militaire, cesse de pa- raitre. Depuis la retraite de M. Chazal et de M. Brial- mont, elle considère sa mission comme provisoire- ment terminée. On écrit de Theux la Iettre suivante a propos du tremblement de terre qui a eu lieu de Theux a Spa Le 3 janvier, vers 1 heure de relevée, une vio lente secousse de tremblement de terre s'est fait sen- tir et a durè deux a trois secondes. L'intensité du bruit et de ia secousse a étè en diminuant depuis l'origine. II y a eu 2 périodes bieu distinctes. D'abord une forte détonation, puis une succession de motive- rnents ondulatoires accompagnés d'un bruit qu'on peut comparer au grincement d'une charrette lour- dement chargée roulant sur un macadam durci. Les vitres tremblaient et les personnes qui se trouvaient sous toit ne savaient de prime-abord a quoi attribuer cette trepidation insolite du sol. L'axe du mouve ment parait être en ligne se dirigeant de Theux a Spa et se prolongeant vers le sud, puisque dans les envt- rous de Slavelot la secousse a éte égaiement obser- vée. On écrit de Polleur, Ie 4, au Nouvelliste de Ver ifiers Hierjeudi.a une heure de relevée, les habitants de Polleur eutendirent un bruit sourd semblable i) celui que fait le roulement d'une grosse voiture char gée. Ge bruit, qui ne dura que quelques secondes, fut immédiatement suivi d'un tremblement de terre la secousse fut assez forte pour produire dans les ha bitations un cliquetis des meubles et vaisselle. On assure même qu'une personne assise a été renversée de son siége par le choc qu'elle ressentit. Fatales épidémie*. A certaines saisons, la maladie devient épidémique et parcourt en triomphe sa course destructive, jus- qu'a ce que quelque purifiant remède, tel que les medecines Holloway, soit employé pour calmer sa violence et detruire son principe. La nature abonde en médecines pour toutes les maladies qui altaquent le genre humain; mais heu- reux est l'homme qui, comme le Protesseur Holloway, tombe sur Ie vrai remède pouvant parvenir jusqu'a Ja source cachée de la maladie; faute de quoi, on ten tera vainement d'obtenir la guèrison. L'origine de cette maladie a longtemps embarrassé les médecins qui sont souvent déroutés par des symptömes con- traires, provenant évidemment de diffèrentes causes. De Ia, ils se moquent a l'idée d'une médecine univer- selle, comme ceile du Professeur Holloway, simple- ment paree qu'ils n'ont pas été capables de découvrir la cause première de toute maladie et les moyens d'en triompher. Qu'une telle découverte ait été faite par le bien célèbre Professeur Holloway, c'est évident d'a- près les nombreuses et diffèrentes maladies qui ont été si promptemeut guéries par ces simples Pilules et Ouguenl. Ainsi, quoi de plus différent dans leur na ture et leurs symptómes, que les fièvres intermit- tenles et les rhumatismes? Et, encore, ces grands fléaux cedent égaiement aux Pilules et a l'Onguent Holloway. Nous pourrions ciIer plusieurs autres ma ladies de diverse origine, pour lesquelles ces remèdes ont été égaiement efficaces, assurant invariablement le rétablissement de la santé, et toujours sans la moindre prostration, ce qui arrive si généralement durant uri traitement prolongé avec les médecines ordinaires, qu'il a été souvent bien prouvé que la constitution du malade avait été plus altaquée par les médecines que par la maladie elle-même. Tel, cepen- dant n'est pas le cas avec les médecines et le traite- ment du Professeur Holloway qui parviennent direc- tement a la véritable source de la maladie et la gué- rissent complétement. Toutes les expériences ont justifié les succès de la pratique et, conséquemment, nous devons conclure qu'il a découvert le vrai prin cipe, relativement tant a la cause qu'il l'origine de la maladie. Les praticiens ont été pbligés de s'incliner devant les invariables succès de ces remèdes qui ont atteint ce que n'a jamais pu obtenir la Faculté, mal- gré tout son talent et son habilité, a savoir la pro pagation universelle. Que l'on calcule, si c'est possible, la différence entre le nombre de ceux qui ont recours I'assislance médicinale, dans un dispensaire public et l'innombrable multitude, qui, tous les jours, em- ploie les remèdes Holloway! Chaque année qui se succède augmente l'impossibilité de calculer les heu- reux partisans du Professeur Holloway et les pauvres malheureux qui vont encore errer dans les temples du non-infaillible Esculape. Onguent et Pilules Efolloway. Plus de Maladies secrètes! ll y a plusieurs ma ladies qu'on aime mieux supporter en silence, que de les divulguer, même a ses amis les plus chers. Aucun remède ne peut être compare au rafraichis- sant et curatif Onguent Holloway, pour la guèrison des hémorroïdes, fislules et toutes affections de ce genre. Un des martyrs de la Faculté écrit je souf- frais, depuis plus de six mois, de serieuses attaques d'hémorroïdes. Pendant ce temps, j'ai payé plus de Dix livres aux docteurs, sans obtenir ie moindre sou- lagement, quand je me déterminail a prendre les re mèdes Holloway. Ge traitement a sufii pour me gué- rir completement, en pen de temps. E TA T indiquanl les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 12 Janvier 1867, sur le marché de la ville d'Ypres. NATURE DCS ARCUAND1SES VEIS DUES QUANTITÉS VENDEES. Kilogrammes Froment. Seigle Avoine Pois Fêves. 56 700 8.300 ,200 2400 1300 PRIX MOYEN PAR 100 kilogram POIDS MOVEN DE l'hectol. 36-S0 22-87 22-75 24-80 2S 00 80-00 73-00 44-00 80-0o 80-0o Nolaire d Bailleul. D1CKEBUSGH ET VLAV1ERT1NGHE en une seule séance, en masse ou parties, le Mardi 5 Février 1867, a 2 heures de relevée, en l'ótude de Me DECLERCQ. a Bailleul, d'origine patrimoniale. Gontenant 112 hectares 15 ares, divisée en 12 articles, Tenant a Mesdames Capron et Cardinael a MM. Carton, DevrièreMalott et Struye, et aux deux chemins de Yiamertinghe, Et occupée par Charles Dehaene jusqu'au 1"' oc- tobre 1868, au fermage annuel de 850 francs, outre les contributions et l'entretien de bêtiments, fermage susceptible d'une CONSIDERABLE AUGMENTATION. Arbres a reprendre pour 2,450 francs. L'établissement d'un pavé, au chemin de Vla- mertinghe, est a l'état de projet. Pour tous autres renseigoements, s'adresser au Notaire DECLERCQ. est transfers Place de Lcuvain, 3, a Bruxelles. M. ADLER est le seul dentiste ayant obtenu une mention honorable de la Faculté de Médecine pour ses dentiers artificiels. On peut le consulter tuus les lundis chez M"e Jaspin, libraire, Grande Place, a COURTRA1. Ce remède est universelle- ment reconnu comme le plus efficace du monde. Toutes les maladies n'ont qu'une cause commune, savoir l'impureté sang, leqnel est la source de la vie. Cette impureté est promp- ïf jtjl tement reetifiée par l'usage des Pilules Holloway qui agis- sent sur l'estomac et les intestins comme le dé- puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs propriétés balsamiques purifient le sang don- nent du ton et de l'énergie aux nerfs ainsi qu'aux muscles et fortifient le système entier. Cette médecine, mieux que toute autre, rétablit la diges tion. Elle opère de la fa?on la plus saine et la plus efficace sur le Foie et les Reinselle regula rise les sécrétions, fortifiele sys tème nerveux et réconforte le "corps entier. Même les personnes d'une constitution la plus délicate peuvent essayer sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants de ce remède, en régularisant les doses suivant les instructions imprimées qui entourent chaque boite. La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent, qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie. «evendentchez les Pharmaclens 1 fr. SO c., 3 fr. 15 c. et O fr. le Pot ou la Boite. Pour la Vente en gros,s'adresser chez le proprlétalre,le Profkssecr HOLLOWAY,2&4,üitrand, E^ondres. (N° 1.) DÉ POSÉS.

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L’Opinion (1863-1873) | 1867 | | pagina 4