LE CABINET DE M. ABLER
M. ABLER, dentiste,
CHIRURGIEN-DENTISTE
Des instructions détaillées entonrent chaque Boite et Pot.
défaut. Ici se place une question qui a déja beaucoup
occupé les naturalistes c'est de savoir si les hiron-
delles, dont la migration par masses en hiver est du
reste parfaitement constatée, émigrent réellement
toutes et s'il p'en reste pas quelques-unes dans
nos contrées pendant cette saison.
Une personne très-digne de foi affirme avoir vu,
aux environs de Dieppe, depuis unedizaine d'années,
des hirondelles se montrer dans tous les mois de
l'année, lorsque la température s'est sensiblement
élevée. D'un autre eótè, des ouvriers carriers, des
magons prétendent avoir souvent trouvé des hiron
delles engourdies a la facon des chauve-souris. Des
observations suivies permettront sans doute d'èclalr-
cir un jour ce point resté obscur de l'hivernage d'un
certain nombre de ces intéressants oiseaux.
On vend publiquement a Berlin des cartes de l'AI-
lemagne future avec l'incorporation de l'Alsace et de
la Lorraine.
La Tribune, de Topeka (Kansas), dit que plusieurs
dames de l'Etat s'occupent de fonder un journal ou
d'acheter desjournaux établis, pour en faire l'organe
des droits poiitiques de leur sexe.
Un mot attribué a M. Alex. Dumas.
Une abonnee du Mousquetaire se présente chez Ie
romancier
Maitre, j'ai pris la liberté de vous dédier quel-
ques vers. Vous plairait-il de les entendre
L.isez, mademoiselle. Je vous écouteavec beau
coup de plaisir.
La jeune personne commence
O vous dont le nom brille...
Pardon, interrompt Dumas, vous ne pouvez
guère parler de ce que vous ne connaissez pas.
Lc triouaphc du mérite et de Pintelligence.
II y a environ trente ans, le genre humain était
obligé de se contenter d'un trailement dur, incertain
et souvent illusoire, pour se guérir, ou têcher de jouir
d'une robusie santémais il était impossible d'at-
teindre l'un ou l'autre.
Dans certaines contrées, telles, par exemple, que
les cötes d'Afrique, les Indes Orientales et Oeciden-
tales, les parlies marécageuses de l'Amérique et les
régions glaciales du Canada, la science médicale ne
savait alors cjuel remède il fallait administrer, pour
fortifier la conslitulion, dans quelque circonstance
que ce fót,.ou suivant la maladie dont elle était at-
teinte. Ce fut alors que se prèsenta le Professeur
Holloway, avec ses simples, mais admirables re-
mèdes, dont les succès complets et uniformes furent
immédiatement appréciés par les Anglais de toutes les
classes et conditions de la socièté; les expériences qui
en furent failes a l'étranger confir'mèrent rapidement
le verdict du public anglais.
En tout temps, de tels résultats ont dó attirer l'en-
vie de la profession; principalement paree que le
Professeur Holloway s'appliqua tout d'abord a sup-
primer la plupart des maladies auxquelles le corps
humain est sujet.
11 fut combattu en raison même de ses succès.
Pendant qu'il recevait les bénédictions de ceux
qu'il avait sauvés et qui étaient tout disposés a at-
tester la bonne composition et l'efficacité de ses re-
mèdes, il était denoncé par les autres comme un
ennemi eommun, digne d'être lapide a plaisir. Per
sonne, du reste, n'était capable de supporter ces at
taques, aussi bien que le Professeur Holloway, sou-
tenu comme il l'avait toujours eté, par la bonne
opinion de la majorité du public pour ses remèdes,
avec lesquels il avait triomphé de toutes sortes de
maladies, dans tous les pays du mondé.
Vainement, la jalousie de profession et la solte
prévention ont voulu critiquer sa méthode et ses
succès la voix universelle et la gratitude du genre
humain sont plus puissants que l'intérêt personnel
et cette voix est en parfait accord sur le mérite de
ces bien estimes remèdes. Nulle part, cependant, la
reputation du Professeur Holloway n'est mieux éla-
biie, que dans les Indes Orientales et Occidentales.
Aliez oü vous voudrez, dans nos possessions étran-
gères et dans toutes les families, vous entendrez les
louanges sur l'éfficaeilé des Pdules et Onguent Iloilo-
way.
Les fièvres intermittentes ou bilieuses, les affec
tions glanduleuses ou cutanées, en un mot, toutes les
maladies parliculières a ces pays, sont précisément
celles pour lesquelles les Médicaments Holloway sont
si salutaires, alors que tous les autres sont sans ré-
sullat.
Aucun remède n'est plus merveilleux que les Méde-
cines Holloway qui sont devenues le vaste entrepót
du marchè médical dans le monde entier, et aussi iti-
dispensables que la nourriture dans chaque familie.
A quoi pourrait-on attribuer une telle popularité, si
ce n'était a l'elïicacité de ces infailllbles remèdes et a
leur supérioritè reconnue sur les divers autres qui
ont étè employés jusque-la, pour guérir les souffrances
humaines.
Ferricx, rue du Quai. Froidure, Sylvie, 65 ans, rentière,
veuve d'Edouard Clément, rue de l'Etoile.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin 3. Sexe féminin 2.
Onguent et S*ilules Holloway.
Sauvegarde de la Société. Quelle que puisse
être la maladie, et en quelque parlie qu'elle puisse se
porter; qu'elle soit interne ou externe,'ses victimes
pourront avoir recours au traitement du Professeur
Holloway, en toute confiance et toute certitude que,
chaque jour, quelqu'amelioration se fera sentir. Pour
la guérison des ulcères, blessures, plaies, abrasions,
éruptions, abcès, gonflements glanduleux et généra-
lement toutes les affections de la gorge et de la poi-
trine, il sufïit de faire usage de cel Onguent, confor-
mément aux instructions, pour assurer a la maladie
un résultat avantageux et un heureux retour a la
santé et a la vieueur. Dans tous les derangements de
longue duree, il faudra prendre des Pilules Holloway
elles stimulent puissamment la circulation, donnent
aux nerfs l'energie nécessaire et restaurent complé-
tement.
L'Administration Communale de la Ville
d'Ypres donne avis qu'une place d'Instituteur
dédoublant pour la lre annóe d'études a l'Ecole
communale gratuite pour gargonsse trouve
vacante.
,Le traitement y attaché s'élève 1,000 fr.
Les demandes doivent être adressées le plus
tót possible a la dite Administration.
Etal civil du
1PUES.
6 Avril au 8 Mai 1867.
NAISSANCES.
Sexe masculin 4 Sexe féminin
MARIAGES.
1.
Lamote, Louis, vacher, et Declercq, Virginie, sans profes
sion. Drolé, Pierre, peintre, et Dehollander, Marie, den-
tellière. Didier, Jean, charpenlier, et Scholaert, Reine,
boutiquière. Vanelslander, Pierre, inarchand, et Mieroo,
Catherine, sans profession. Poot, Isidore, domestique, et
Dehouck, Sophie, domestique.
DÉCÊS.
Sambaere, Pierre, 40 ans, remouleur, épnux de Rosalie De-
vos, rue de Menin. Halder. Colelte, 76 ans, boutiquière,
célibataire, rue de Lille. Rulcaen, Rosalie, 70 ans, coutu-
rière, célibataire, rue Grimminck. Mortier, Julie, 62 ans,
sans profession, épouse de Pierre Clément, rue de Thourout.
lluyghebaert, Louis 66 ans, journalier, épnux de Virginie
POPEItllttHX).
Etat-civil du 26 Avril au 3 Mai 1867.
NAISSANCES.
Sexe masculin 4. Sexe féminin 0.
MARIAGES.
Vanhove, Henri, 24 ans, ouvrier, célibataire, avec Bouve,
Rosalie, 22 ans, dentellière, célibataire. Deleu, Joseph, 59
ans. ouvrier agricole, veuf avec Dauchy, Sophie, 50 ans, tail-
leuse, célibataire. Six, Léon, 29 ans, garjon boulanger,
célibataire, avec Cailliau, Pharaïlde, 27 ans, sans profession,
célibataire.
DÉCÈS.
Quintein, Amélia, 49 ans, ouvrière, épouse de Pierre Ver-
biese, Crombeekstraet.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin 1. Sexe féminin 2.
I'operinghe.
Prix moyen du marché du 3 Mai 1867.
Froment, I'bectolitre00 00
Seigle 14 00
Avoine9 75
Poinmes de terre, leslOOkilog11 00
Beurre, le kilog2 70
Houblon, les 50 kilog. 105 5 110
E T AT indiquanl les quanlités et le prix moyen
des grains, fourrages et autres produits agricoles
vendus le 4 Mai 1867, sur le mUrché de la
ville d'Ypres.
NATÜRE
DES ARCHAND1SES
VENDEES.
QtlANTITES
VENDUES.
Kilogrammes.
Froment.
Seigle
Avoine
Pois
Fêves.
26 loo
7.800
1,100
1 200
1.400
PRIX MOYEN
CAR
100 kilogram
35-00
22-50
25 50
24 00
25-00
POIDS
MOYEN DE
t'hectol.
80-00
75-00
44-00
80-00
80-00
a Bruxelles,
descendra d THótel la TÊTE d'OR, rue de Lille,
a Ypres, le Mardi 7 Mai 1867; on pourra
le consulter dès 11 heures du matin jusqu'd
4 heures de l'après-dinée.
est transféré Place de Louvain, 3, a Bruxelles.
M. ADLER est le seul dentiste ayaDt obtenu une
mention honorable de la Facultè de Medecine pour
ses dentiers arlificiels. On peut le consulter tous
les lundis chez M11" Jaspin, libraire, Grande Place,
a COURTRAl.
Ce remède est universelle-
ment reconnu comme le plus
efficace du monde. Toutes les
maladies n'ont qu'une cause
commune, savoir l'impureté dui
sang, lequel est la source de la
vie. Cette impureté est promp-
tement rectifiée par l'usage des_
Pilules Holloway qui agis-
sent sur l'estomac et les intestins comme le dé-
puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs
propriétés balsamiques purifient le sang don
nent du ton et de l'energie aux nerfs ainsi qu'aüx
muscles et fortifient le système
entier. Cette médecine, mieux
que toute autre, rétablit la diges
tion. Elle opère de la faqon la
plus saine et la plus efficace sur
le Poie etles Reins; elle regula
ir rise les sécrétions, forlifie le sys-
ïtème nerveux et réconforte le
'corps entier.Même les personnes
d'une constitution la plus délicate peuvent essayer
sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants
de ce remède, en régularisant les doses suivant les
instructions imprimées qui entourent chaque boite.
La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ee merveilleux Onguent,
qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes
les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif
infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma-
tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie.
Se vendent chez leu PharraacXens 1 fr. &0 c., S fr. 9 5 c. et <1 fr. le Pot on la Botte. Pour la Vente
en gro0,s7adre«ser chez le proprlétalre,leProfessecr HOLLOWAY,24^ëtrand, a Londre#,
(no 1.) DÉPOSÉS.
Bruxelles. Imprimerie de V. Verteneuil, 93, rue de Louvain.