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OCCASION!
LE CABINET BE M. ABLER
ESSAI SUR LE CHOLERA
VILLE D YPI1ES.
AVIS.
Cabinet de lecture, me de Dixmude, 89, Ypres.
CHIRURG IEN - DENTISTE
Par le Docteur AR MA ND,
Des instructions détaillées entourent chaque Boite et Pot.
I.n publicité considérée comme un devoir
moral.
Nouvelle mcinière d'envisager ce sujet.
II y a quelques anoées, un médecin américain de-
manda que les membres de la Facultè fussent obligés
de publier dans les journaux leurs remèdes et inodes
de traitement. C'était une idéé nuble et hardie. Elle fut
cependant généralement repoussée par cetle profes
sion comme ètanl degradante.
Mais y a t-il la moindre degradation dans la publi-
eitè N'est-elle pas plutót Ie criterium qui passe a son
creuset toutes les pretentions et universalise les avan-
tages pratiques de toutes les précieuses decouverles
et inventions? Une profession qui vise au soulage-
ment des malades et a la preservation de I'existence,
ne d it-elle pas faire connaitre les moyens d'atleindre
ce but par le canal d'informations le plus accessible a
toutes les classes et conditions de la societé les co
lonnes de la presse publique? Si elle refuse de le faire,
la conclusion naiurelle est que ce désir de garder le
silence provient soit d'un esprit sordide, monopobsa-
teur et egoïste, soit du manque de foi dans ses pro-
pres prescriptions.
F.n envisageant le sujet sous ce point de vue, nous
sommes heureux de dire que le professeur Holloway,
il v a quelque vingt-cinq ans. a franchi les barrières
que la Facultè avail érigees entre lui el le public et
s'est élance hardiment dans l'arène de la publicité.
!l avait découvert, ou plutót iuventé, aprcs des an-
nees de recherches et d'expêrience, deux préparalions
qu'il considerait comme des specifiques pour presque
toutes hs maladies du genre humain et, comuie
marque de la confiance qu'il avait dans leurs qualités,
et comme preuve de sou désir philantropique que si
ses medicaments etaient reel lenient précieux, i Is fus
sent accessibles au monde entier, il fit de la publicité
partout 0(1 ce monde existait. C'etait l'épreuve la plus
rigoureuse a laquelle il put les soumettre experi
mental crucis. Aussitöl il lesexposa tels qu'ils elaient
aux maladesde tous les pays. II relata leurs proprió-
tes, proclama leurs vertus et la-dessus, il risqua sa
reputation el sa fortune.
be résuliat a élé tout ce que lui et le monde pou-
vaient desirer. Le riehe et le pauvre, le savant et
i'iguorant, les medecins, les hommes d'Elat, les mo-
narques enfin tous les hommes éclaires ont sain-
tionne, empioyé et próne ses remèdes. lis sont de-
sormais des fails dans l'histoire medicale.
N'est-ce pas mieux que de cacher la lumière sous
Je boisseau NVst-ce pas mieux que d'ecrire des pres
criptions en langue morle, et d'inscrire des poids et
quanlitesen hiéroglyphes 1
Si unechuseest digne d'être connue, elle est digne
d'ètre universelleinent connue. C'esl avec cetle con
viction que le Professeur Holloway prociaine, par la
Presse, la vertu de ses médecinesla fortune, la oelé-
brite et la gratitude de millions de personnes out eté
sa recompense.
Onguent et IMlules Holloway.
Ges deux merveilieuses préparations constituent
par elles-mèmes un veritable remède, paree qu'il n'y
a point de maladies internes ou externes dont l'une
ou l'autre ne vienne completement a bout; les
éruptions. lumeurs, scrofules, ecroueiles, cancers,
aslhmes, rhnmatisiiies, goutte, et l'hydropisie, gué-
rissent et dispafaisoent completement sous leuractiou
couibmee. Daas les cas d'iodigestion, de migraines,
d'affections du foie et de la bile, de débilites et autres
derangements des organes internes, les Poules pro-
duirunt les plus etonnauts resultats. Gelui qui etudie
la naiure sait coiubien sa marche est simple si une
preparation peut chasser les impuretes du sang, la
maiadie est couquise et Part est triomphant, paree
que telle est la simplicite de la nature.
VPii£S.
Etat civil du 27 Septembre au 4 Oclobre 1867.
NAISSANCES.
Sexe mascutin 7 Sexe féminin 1.
MARIAGES
Dubois, Simon, tailleur, et Domarle, Florence, dentellière.
Severs, Aloïse, domeslique, et Trrnole, Adèle, domeslique.
Ducorney, Charles, tonnelier, et Verbert, Julie, modiste.
Pyck Bruno, jardinier, et Brutin, Eugénie, jardinière.
Ridey, Frédéric, domeslique, et Demoen, Marie, domestique.
DfXÊS.
Degroole, Joseph, 67 ans, domestiqne célibalaire, rue de
Menin. Vancappel, l.ouis, 71 ans, sans profession, veuf de
Jeanne Complaer. rue de Dixmude. Vanoverscbelde, Valen
tine. 70 ans. dentellière, veuve de Bruno Rouzè. rue de Lilie.
Gallens, Marie, 64 ans, couturière, époitse d'Erlouard Del-
becque, rue du Corbeau.
Enfants au dessous de 7 ans
Sexe inasculin 8 Sexe féminin 7.
B»Oi»EÏSB^4iaiSi.
Etat-civil du 27 Septembre au 4 Oclobre 1867.
NAISSANCES.
Sexe masculin 7. Sexe féminin 2.
MARIAGES.
Mi not, Franjois-Aloïse, '28 ans, cordonnier, célibalaire, et
Berat, Clémenee-Rosalie, 57 ans, couturière, célibalaire.
Gesquiere, Pierre, 44 ans, veuf, cultivataur, et Dewiekere,
Léonie, 22 ans, célibalaire, cultivalrice.
DÉCÈS.
Boone, Amand. 44 ans, journalier, époux de Resalie Gaus-
sey. Edewaerthoek. Capele, Amélie, 66 ans, dentellière, cé
libalaire, rue de Dunkerque llebeir. Colette, 64 ans, ou-
vrière, épouse de Benoit Baddeleem, höpitai. Meese.Jeanne,
79 ans, célibalaire, sans profession, rue Ste-Anne. Bollaert,
Marie, 74 aus, ouvrière, veuve de Pierre-Jeari Techel. höpi
tai. Verbrugge, Albert, 84 ans, sans profession, rue de
Boeschepe.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin 2. Sexe féminin 1.'
£*operinglt e.
Prix moyen du marché du 4 Octobre 1867.
Frument, ('hectolitre00 00
Seigle00 oo
Avoine10 5)
Pommesde terre, les 100 kilog10 00
Beurrè, le kilog2 00
Houhlon, les 50 kilog120 00
E TA T indiquant les quantitês et le prix moyen
des gramsfourrages et autres produits agricoles
vendus le 5 Octobre 1867, sur le mwché de la
ville d'Ypres.
NATURE
DES ARCHAND1SES
VENDUES.
QUANTITÊS
VENDUES.
Kilogram mes.
PRIX MOYEN
PAK
100 kilogram
POIDS
MOYEN DE
l'bectol.
Froment.
55.700
42 75
80-00
Seigle
8.-00
22-50
73-00
Avoine
16 >0
25 75
44-00
600
26 00
80-00
400
27-75
00-00
On présente 50 p. c. en dessous du prix
CINQ CENTS VOLUMES parfaitement conser-
vés, traitant les Arts et Métiers, Agriculture,
Littérature, etc.. propres a la formation de biblio-
thèques publiques.
Chez P. LOPPENS, a Ypres.
Le Collége des Bourgmeslre et Echevins pré—
vient les intéressés que le róle de l'iridemnité S
payer par les propriétaires pour l'établissement
des trottoirs d'une partie de la rue de Li lie, a
été arrêté provisoirement par le Conseil en séance
du 21 courant et qu'il sera déposé pendant quinze
jours a Tinspection des personnes imposées de ce
chef.
Fait a Ypres, le 23 septembre 1867.
Les Sourgmestre et Echevins,
L. VANHEULE.
Par ordorinance
Le Secrétaire,
J. DE CODT.
est transféré Place de Louvain, 3, a Bruxelles.
M. ADLER est le seul dentiste ayant obtenu une
mention honorable de la Facultè de Médecine pour
ses dentiers artificiels. On peut le consulter tous
les lundis chuz M11* Jaspin, libraire, Grande Place,
a COURTRAl.
PLUS DE CHOLERA
Vient de paraitre
Ancien médecin inspector des eaux minérales de
Condillac (France).
Brochure indispensable (de 24 pages), a la portée
de tous, traitant du cholera, de ses symplómes, de sa
marche, de sa guerison, et des moyens de s'en préserver.
PRIX 1 FBANG.
Expedition a toute personne en faisant la demande
franco, accompagnèe du moutant en timbres-puste, a
M. NUMA-ABMAND, directeur de l'Office financier,
rue du Commerce, 9, a Genève (Suisse).
remède est universelle-
reconnu comme Ie plus
Ce
ment
efi'icace du monde. Toutes les
maladies n'ont qu'une cause
commune, sa voir l'impureté dug
sang, lequel est la source de la
vie. Cette impureté est promp-
tement reetifiée par l'usage des __V(
Pilules Holloway qui agis-
sent sur l'estomac et les intestins comme le dé-
puratif par excellence, et qui, au moyen de leurs
propriétès balsamiques purifient le sang don-
nent du ton et de I'énergie aux nerfs ainsi qu'aux
muscles et fortifient le système
entier. Cette médecine, mieux
que toute autre, rétablit la diges
tion. Elle opère de ïa fa<;on la
plus saine et la piu3 efficace sur
le Foie et les Eeinselle regula
rise les sécrétions, fortifie Ie sys
tème nerveux et réconforte le
corps entier.Mème les personnes
d'une constitution la plus délicate peuvent essayer
sans crainte aucune les pouvoirs curatifs et puissants
de ce remède, en régularisant les doses suivant les
instructions imprimées qui entourent chaque boite.
La science médicale n'a encore produit aucun remède qu'on puisse comparer a ce merveilleux Onguent,
qui s'assimile si bien avec le sang qu'il en devient réellement une partie intime il cicatrise toutes
les parties malades et guérit toute espèce de plaies et d'ulcères. Ce célèbre Onguent est un curatif
infaillible pour les scrofules, les tumeurs, les maux de jambes, les articulations contractées, les rhuma-
tismes, la goutte, la névralgie, le tic-douloureux et la paralysie.
Re TsnJcnt ehrs Im Pbarniacfsa» f fr. SO e., 3 fr. ÏSc. etotr. Ie PoC on la Belle. Mor I» Tenle
en Ki os,»'adreïiiercheiIeproprlëtalre,lePnnFiiSSKiR SSOI.I,«WAY,244,s>trand,i» I.onilrrn.
(No 1.) DÉ POS ÉS.
Bruxelles. Imprimerie de V. Verteneuil93, rue de Louvain.