T i mbres-Pos te étrangers pr Collections. Livres en lecture, rue de Dimde, §9, Ypres. EMPRUNT de MIL Al\ du Crédit Autrichien 1 de 100,000 francs. 1 5,000 3 ,000 3,000 4 400 1,600 6 200 1,200 10 100 1,000 45 60 2,700 46 47,480 EMPRONT 1 50,000 2 12.000 24,000 2 6,000 12,000 2 3.750 7,500 4 2,500 10.000 37 1.000 37,000 d 1400 400 580,000 bonheur ont trouvé dans la seconde tentative ce que la première ne leur avait pas douné. Conservation de la viande. Un nouveau procédé pour la conservation de la viande fraiche est en pleine experimentation a Londres depuis plus d'un an, et sa réussite est, parait-il, compléte. Voici quelles sont les operations Avant l'abattage de l'animal, on lui fait respirer de l'oxide de carbone; on le saigne ensuite, el après l'accomplissement des autres opérations de dépecage, on place la viande dans des récipients oü l'air est remplacé par de l'oxyde de carbone additionné d'un peu de gaz acide suifureux. Au bout d'un temps variable, de vingt-quatre a quarante-huit heures, on retire la viande et on la suspend a l'air sec. Eile peut alors être conservée pendant plusieurs mois sans altération dans le goüt ni dans ses opparences. Plusieurs fois depuis mars 1868 on a envoyé de Londres a New-York, de la viande de boeuf et de mou- ton, et les bouchers de cette dernière cité, consultés, ont cru voir de la viande d'animaux tués de l'avant- veille. Nous trouvons dans un journal anglais la naïve an nonce qui suit Aux Confiseurs. A vendre a bon marché plusieurs quintaux de pelures d'oranges. Le vendeur possedant la concession du balayage des théêtres et autres lieux d'amusement de Ia mètropole, est en mesure de trai ler aux conditions les plus avantageuses. b 4 - Nous avons un miracle tout frais pondu dans la Dordogne, etle Journal de Bergerac lui fait les hon neurs de ses colonnes. Sans vouloir ranimer une querelle bruyante, je de- mande a tous les gens de bonne foi s'il est permis au dix-neuxième siècle de raconler gravement ceci Un paysan, esprit fort, fait venir son curé pour un malade qui a dit-il besoin de son ministère. Le paysan le conduit a l'étable, lui montre son pore qu'on allait aballre c'étail le ma'ade. La pluisanterie est bien d'un ruslre, mais vous al- lez voir si la punition n'est pas etrangé Quetques instants après, la familie de Jacques se réunissait pour prendre le repas du soir, mais Jacques n'y était pas. Oa le cliercha vainement autour de sa demeure, dans tout le reste de sa commune et dans les environs. II avait disparu. La nuit se passa dans les angoisses... Le lende- main, le boucher arriva pour abattre l'animal. On n'y pensaitdeja plus. Un domestiqueouvrit l'étable mais 6 surprise incroyable au lieu d'un porc, il s'en trou- vait deux, de grosseur pareille, de méme couleur, en un mot, entièrement semblables. Devine si tu peux et choisis si tu l'oses. L'un c'était le porc... l'autre c'élait son maltre. Le- quel des deux frapper. On les a provisoirement gar dés tous les deux et ils sont traités avec les plus grands égards,dit le Journalde Bergerac. M. Meilhac voudrait faire la belle Hélène&a catholi- cisme qu'il ne trouverait pas mieux que cette bouf- fonnerie. Le paysan restera-t il porc Prononcera-t-on son interdiction Sera-t-il considéré comme mort civile- ment Autant de questions légales qui ne peuvent manquer de surgir et au courant desquelles le Jour nalde Bergerac nous tiendra certainement. Docteur, disait un père a son médecin, ma lille s'est trouvée mal dans la matinée, et elle est restée prés d'une demi-heure sans connaissance. Que cela ne vous inquiète point, répondit en riant le docteur.,. il y en a qui restent ainsi toute leur vie. Mme X.. est une dame entre deux éges,qui parait trés jeune encore... lorsqu'elle sort de son cabinet de toilette. Depuis hier, elle s'est décidée a mettre son fils en pension. Vous allez voir qu'il y a de quoi. Un de ses fidèles se plaignait d'avoir eu toute la nuit des douleurs de dents intolerables. Eh bien monsieur, dit l'enfant, pourquoi ne faites-vous pas ceque fait mainan chaquesoir a Et que fait-elle, ta maman 1 i Elle óte ses dents avant de se coucher. Un président d'assises interroge le complice d'un vo* leur, qui se defend mordicus d'avoir pris la moindre part au pillage d'une maison de campagne Je n'ai touché a rien, monsieur le président, e'est Tiquard qui, seul, a dévalisé la baraque. Pourtant vous convenez que vous l'avez aidé emporter des cahiers de musique. Impossible de faire autrement, raon président c'étaient des morceaux a quatre mains. Un monsieur doué d'une bouche énorme se présente chez un dentiste pour se faire enlever une dent. Comme le praticien s'approchait de lui armé Je ses instruments, notre hotnme commence écarter les mèchoires d'une manière formidable. Ne vous don- nez done pas la peine, monsieur, dit froidement le dentiste, je resterai a l'extérieur. Une diva sans préjugés, ayant chanté Lyon, au Casino, la Ronde des Sauci.ssonniers, les charcutiers, reconnaissants et fiers, lui ont offert une couronne as- sortie de eer velas, andouilles,saucisses et saucissons. O triomphe de... lard Ciarde civique d'Ypres. AVIS. Par modification a mon ordre du jour du 9 Avril 1868, N° 172, l'exercice pour les gardes de 21 35 ans, ordonné pour le 21 Juin 1868, est contremandé a cause des élections géné rales. Ypres, le 16 Juin 1868. Le chef de la garde, A. HYNDERICK. Onguent et Pilules Ilolloway. Remède pour les affections du foie et de la bile. Ceux qui souffrent de ces maladies devront essayer des effets de ce précieux remède. Quetques doses rendront au malade son élasticité et sa vigueur, chas- seront toutes les impuretés, douneront une saine ac tion au foie el fortifieront l'estomac. Si on laisse les attaques de bile se continuer sans employer ce pré- ventif, les accidents les plus graves peuvent en ré- sulter, et le malade peut s'exposer a rester alité. Les Pilules Ilolloway sont un remède extraordinaire, agissant iinmediatement, en chassant l'acidité de l'estomac, l'indigestion, la débilité, les nausées, pré- parant la nourriture pour ('assimilationrendant chaque organe tributaire parfait dans ses fonctions, et en stimulant les reins. YPRES. Etat-civil du 12 au 19 Juin 1868. NAISSANCES. Sext' masculin l. Sexe féminin 7. MARIAGES Engels, Pierre,commissionnaire et Dehoudt, Octavie,domes- tique. DÉCÊS. Kestelyn, Rosalie, 59 ans, cultivatrice, célibataire, S. Jac ques lex-Tpres.—Demeulenaere, Pauline, 58 ans, repasseuse, épouse d'Albert Crestiaen, rue du Plat.—Vandenbussche, Ma rie, 04 ans, denlellière, veuve de Jean Verroye, rue de Menin. Desilter, Colette, 75 ans, denlellière, veuve de Louis Van- denberghe, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 3. Sexe féminin 2. POPEStBiltillE. Etat-civil du 12 au 19 Juin 1868. NAISSANCES. Sexe masculin 3. Sexe féminin i. MARIAGES. Vanuxem. Henri-Honoré. 23 ans, tonnelier, célibataire,avec Papegaey, Julienne, 36 ans, célibataire, tailleuse. DÉCÊS. Baes.Florence, 21 ans, célibataire. bonnetière. rueCroixde S. Jean. Atinoot, Pierre-Louis, 49 ans, ouvrier, épouse de Barbe Suffys, Marché aux Chevaux. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 0. Sexe féminin 1. Poper!nghe. Prix moyen du marché du 19 Juin 1868. Froment, l'hectolitre26 90 Seigle i 19 50 Avoine12 50 Pommes de terre, les 100 kilog11 00 Beurre, le kilog. 2 80 Houblon, les 50 kilog 87 00 ET AT indiquanl les quantités et le prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles vendus le 20 Jnin 1868, sur le marché de la ville d' Ypres. NATURE DES ARCHANDISES VENDUES. Froment. Seigle Avoine Pois Fêves. OUANTITES VENDUES. Kilogrammes. 8 200 4,600 1,300 800 700 PRIX MOTEN TAR 100 kilogram 38-50 24 50 29-50 29-50 30 00 POIDS MOVEN DE t'bectol. 80-00 73-00 44-00 80-00 80 00 garant! par les biens communaux. Au tirage du 1" Juillet 1868, 450 primes seront gagnées, savoir 9 D 1 9 B D 9 H0 O 9 450 primes, donnant 131,980 francs. Une action valable pour ce tirage coftie seule- ment 5 francs. 2 actions coütent 9 3 13 4 n 17 5 20 garant! par plusieurs cliemlns de fer. Au tirage du 1 "Juillet 1868,1500 primes seront gagnées,savoir 1 de 625,000 francs. 1 d 100,000 1500 primes donnant 1,445.500 francs. Une action valable pour ce tirage cofite seule- ment 20 francs. 2 b 35 8 50 4 65 b yy» S'adresser M. NUMA ARMAND, directeuf de l'Office financierrue du Commerce, 9, a Genève (Suisse), par mandats, timbres-poste, billets de ban- que, traites, etc. Toutes les lettres renfermant des valeurs au porteur doivent étre chargées. N.-B. Envoi franco des listes a tous les sous- cripteurs après le tirage. L'affranchissement des let tres de la France pour la Suisse est de 30 cent. On se charge également de procurer DES ACTIONS et DES TITRES, chez l'imprimeur Félix LAM RIN, libraire, rue de Dixmude, 59, a Ypres. Ces deux opérations ne sont point des loleries, mais bien des emprunts autorisés,garantis et cotés a toutes les bourses.

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L’Opinion (1863-1873) | 1868 | | pagina 3