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LE CONCILE OECIIENIQIJE DE 1869
GELD YERLOOSUNG
'250.000
LIKEUREN en GENEVER
LIQUEURS et GENIÈVRE
APPEL AUX_CATH0LIQUES
\ur 2 ThJr. Pr. Crt.
A. GOLBFABB,
12 Francs, sans Primes
ILLFSTRÉ
Berigt aen de Boopmans
Axis aux Marchands
1 Le Mariage de la Yierge 2° Ia Desceitle de Croix
La loi qui punil les associations de voleurs est-e!le
une limite au droit d'association lui-même? Evidem-
nient non. Ce que la loi interdit, ce n'est pas l'asso-
ciation, c'est le vol. II en est absolument de même
pour les inhumations.
Mais quand on parle de surveiller les monastères,
c'est-a-dire de soumettre des citoyens réunis en vertu
de la liberie d'association a des mesures de police ex-
traordinaires, il est évident que c'est a cette liberté
même que 1'on porte atteinte.
Du reste, toule cette polémique sur la surveillance
des couvents me parait bien oiseuse et i'Echo du Par
lement est convaincu cornme moi que le ministère ne
se soucie nullement de prendre ['initiative d'une pa-
reille mesure.
On commence s'entretenir, dans le public, de nos
prochaines élections communales. La réélection de
M. Walteeu, a en juger par les dispositions qui se
manifestent, parait fort compromise, même au sein
de 1'Association libérale, a laquelle il doil d'avoir
triomphé, il y a trois ans, des répugnanoes que sa
candidature soulevait dans ['opinion publique quand
il s'est présenté pour la Chambre. Les chances de
M. Watteeu dépendront, au surplus, de la candidature
qui lui sera opposée et je ne sache pas qu'aucune se
soit produite jusqu'a présent. Mais vops savez co mme
moi que ce ne sont jamais les candidatures qui raan-
quent quand la place est bonne a prendre.
La grande revue militaire annoncée pour les fêles
de septembre a beaucoup fait parler d'elle ces derniers
jours. Nous nous voyions déja envahis par une solda-
tesque effrénée qu'il nous aurait fallu nourrir et loger
pendant deux ou trois jours, et Dieu sait si cette per
spective allêchail nospaisibles bourgeois. Nous voici
rassurés enfin les troupes qui ne pourront pas ren-
OR1GIN AL-STA ATS-PR A MIEN-LOOSE
zu sammllichen von den verschiedenen Staaten
angekundigten Verloosungen sind von mir stets
vortheilhaft direct zu beziehen und überall ge-
selzlicb zu spielen erlaubt.
kostet ein ganzes Original-Stnatsloos (keine An-
ZahluDg, noch weder mit den verboienen Pro
messen zu vergleichen, sondern jeder Theilneh-
mer bekommt von mir die wirkiichen, mit staat
swappen verschenen Original - Loose selbst in
Handen), der von hoher Staats-Regierung ge-
nehmiglen und garantirten «rossen
deren Gewinnziehung sch >n am 20 und 21 Sep
tember d. J. beginnt, wo jedes gezogeue Loos un-
bedingt gewinnen muss, und folgende Haupl-
treffer als ev.
200.000, -190,000, 175,000, 170,000, 165,000,
162,000, 160,000, 158,000, 156,000, 153 000,
152,000, 150,000, 100,000, 50,000, 40,000,
25.000, 2 a 20,005, 3 a 15,000, 3 ,i 12,000,
11,000, 3 a 10,000, 4 a 8.000, 5 a 6,000. 11 a
5,000, 4,000, 29 a 3,000, 131 a 2,000, 1,500,
1,200 und fiber 25,000 Gewinne a 1,000, 500,
S00, 200, 100, etc., etc., zur Emscheidung kom
men, und biotet überhaupt keine andere Staats-
Verloosung solche Grossartige Vortneile, als hier
dem Theilnehmer geboten werden.
Frankirte Auftrage, werden gegen Einsen-
dung des Betrages, selbst nach den eutferntesten
Gegeuden, prompt und Verschwiegen ausge-
ffihr, und sende nach vollende ter Ziehung die
Amtliche Liste nebst Gewinngelder prompt zu.
Meine Interessenten habeallein inDeutschland
die allergrossten Iiaupttreffer, erst am 14 v. M.
das grosse Loos und schon wiederum in letzter
Ziehung den allergrossten Uauptreffer von
100,000 in dieser Gegend personlich Ausbe-
zahll und ist es überall bekanni, dass die meis-
ten Haupgewtnne stets in meinem Debit fallen.
Man wende sich baldigst direct an
Staatseffecten-llandlung in HAMBURG.
l'o|ieringhe.
Prix moyen du marché du 3 septembre 1869.
Froraent, I'heclolitre22 4a
Seigle 15 00
Avoine10 25
Pommes de terre, les 100 kilos1 00
Beurre, le kilos2 90
Houblon, tes 50 kilos65 00
trer dans ieurs garnisons le jour même trouveront
asile au Champ-des-Manceuvres et dans les casernes
de la ville. Mais c'est égal, l'idée de la revue n'est pas
popu'aire ici et Pon trouve généralement que les
soixante mille francs qu'elle va coüter au trésorau-
raient pu être employés plus utilement qu'a imposer
a nosjeunes miliciens une corvée stérile et fatiguante.
La réouverturo du thèêtre du Pare a eu lieu, mer-
credi dernier, par Julie, le nouveau dramede M. Oc
tave Feuillet et par la Poudre auxyeux, uue ancienne,
mais toujours amusante comédie de MM. Labiche et
Martin. I.ethéatre du Parc.jadis si frequenlè, reverra-
t-il ses beaux jours d'aulrefois sous l'administration
de M. Michaux? Peut-être bien, quoique l'enlreprise
soit chanceuse. M. Michaux a réuni quelques bons
elements et se montre très-désireux de bien faire. Le
dangereux, c'est que le public a oublié le chemin de
son théêtre et qu'il est toujours malaisé de relever une
scène qui ne lui rappelle plus que des revers.
Au théêtre de la Monnaie, qui se rouvre dimanche,
les débuls ne laisseront pas, parait-il, qued'être assez
difficiles. Ce n'est pas la bonne volonté ni l'activité
qui auronl manquè a M. Vachot pour composer une
troupe dignede ia capitale. Malheureusement, la con
cession lui a été accordée bien tard, a un moment de
l'année oü la plupart des artistes d'un mérite sérieux
avaient déja contracté Ieurs engagements et l'on craint
que M. Yachot n'ait été oblige de se conlenter des
autres. Nous verrons bien.
YPRES
Etat-civil du 27 aoüt au 3 septembre 1869.
NAÏSSANCES,
Sexe masculin 4 Sexe féminin 8.
MAR1AGES.
Verdoolaeghe, Jean, vacher et Philips, Sophie, domestique.
- Vermeersch, Ignace, cultivateur, et Blornme, Colette, eul-
tivalriee. Docby, Aloïse, cultivateur et Terlinck, Amélie,
sans profession.
DÉCÊS.
Samain, Eugèue, 39 ans, journalier, célihataire, rue longue
de Thourotit. Vlaemyuck, Sylvestre, 68 ans. journalier,
veufde Franjoise Pauwels, rue des Boudeurs. Pnppe,
Jean, 72 ans, major de cavalerie pensionné, époux de Renelde
Beke, rue de la Bouche. Merghelynck, Ernest, 56 ans,
propriétaire, époux de Laure Carton, Petite-Place. Carton,
Laure, 51 ans, propriétaire, veuve d'Ernest Merghelynck,
Petite-Place. Gobert, Jean ,22 ans, cordonnier, célihataire,
ruedeMenin.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculin 2 Sexe féminin 4.
POPEltiSttHU.
Etat-eivil du 27 aoüt au 3 septembre 1869,
NAÏSSANCES.
Sexe masculin 2 Sexe féminin 4
'MARIAGES.
Huyghe, Edouard, 40 ans, employé au chemin defer, céli-
1/alaire, avec Vandewalle, Sophie, 4t ans, veuve Misilom,
repasseuse. Gouwy,Louis Amand, 36 ans,gargon-meumer,
célihataire, avec Godderis, Anne-Thérèse, 45 ans, ouvrière,
célihataire.
DÉCÊS.
Denys, Ittrrie-Thérese. 84 ans, célihataire, religieuse hos-
pitalière, rue de l'höpital. Moerecaut, Rosalie, 51 ans.
ménagêre, veuve de Charles Se.rgier, llagehaerthoek St-Jean.
Enfants au dessous de 7 ans
Sexe masculin 3. Sexe féminin 2.
E TA T indiquanl tes quantités et le prix moyen des
grains, fourrages et autres produits agricoles vendus
le 4 septembre 1869, sur le. manche de la villedYpres.
NATURE
l)ES MARCHANDISES
VENDEES.
ÜUANT1TËS
VENDUES.
Kilogrammes.
1'HIX MO-fcp
PAR
100 kilogram
POTDS
MOVEN DE
I'liectol.
Froment.
25 000
27 75
80-00
Seigle
1,400
19-50
73-00
Avoine
2.400
21 25
44-00
5,000
23 00
80-00
Fèves.
000
00-00
80-00
Grande Publication d'actualité religieuse
OEuvre de luxe en 50 livraisons périodiques: papier
et impression de choix, format in-4°, 8 pages de
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dide volume de 400 pages.
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tant
de Itnphaël de Kubens
Deux chefs-d'oeuvre ayant une valeur de 50 Fr.
MONUMENT LITTÉRAIRE, commémoralif des grandes assises religieuses qui doivent s'ouvrirh Rome
le 8 décembro. Ouvrage dódié a Mgr d'Hébron, évêque de Genève honoré de la souscription de
NN. SS. l'Archevéque d'Aix, l'Evêque de Limoges et des plus éminents Prelals de l'Eglise. Quatre
livraisons ont deja paru, magnifiquement illustrees. Les lettres les plus üatteuses out été recues, émanant
lant des grands norus de Paristoeratie de France que du haut clerge francais, beige, itaiien, suisse. La
redaction est confiée aux plumes ies plus compétentes des correspondances direcles sont établies avec
Rome.
Pour recevoir franco les livraisons parues et a paraitre, adresser, en mandat de poste international, la
som me de 12 FRANCS (sans les primes)22 FRANCS si l'on desire les primes magnifiques jointes a
l'ceuvre, et qui ont, uue valeur eomnferciale de 50 FRANCS. (Expedition immediate).
A M. I'Administrateur du CONCILE ILLUSTRÉ, rue d'Algérie, 13, LYON [Rhóne).
in
Eene fabricant uit den handel scheidende wilt aen
eenen nyveraer de geheimen over laten van zvne
goede recepten voor het maken van Likeuren, zooals
goeden Franschen Brandewyn, Cognac, Rhums,
Punehs. Curacao, Anvs, Citronelle, enz., alsook de
fvne Likeuren, eaux sazeuscs, verkoelende likeuren,
Cassis. Sirop van framboises, van albesiën. en voor-
namelyk de wyzeom goede genever te maken, met
150 p. h. winst voor den koopman.
De persoon welk de zaek verlangt over te nemen
zal mits eene kleine vergelding de geheimen van die
voortreffelyke recepten bekomen, die hem volkomen
in staet zullen stellen tol dien handel. Alen kan daerby
nog lessen ontvangen.
Eene goede gelegenheid, daer men nog kan over
nemen, op zeer voordeelige conditiën, eene groole
kwantiteit en versehillige waren voor verscheidene
duizende likeuren te fabrikeren.
Geheim om de wynen te verbeteren en goed le
maken.
Geheim en manier om de spaensche, rhvn en likeur-
wynen te maken.
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Un fabricant se retirant du commerce veut confier
ii un industriel le secret de ses recettes pour la fabri
cation de Liqueurs telles que Eaux-de-vie de France,
Cognac, Rhum, Punch, Curacao, Anisette, Citro
nelle, etc.; de Liqueurs fines, eaux gazeusesde
Liqueurs rafralchissantes, Cassis. Sirop de fram
boises, de groseilles; et surtout la recette pour la
fabrication de bon genièvre, avec 150 p. c. de béne-
fice pour le marchand.
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moyennant une petite retribution, le secret de ces
excellenles recettes qui la metira entièrement a même
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