VEms. ING L'ILLUSTRATION EUROPÉENNE VINS. - AGENTS SÉRI EUX. VILLE D'YPRES. COMPAGNIE GENERALE divers. M. GRAND MAISON n'a jamais songé ft quitter la ville d'Ypres. II est vrai qu'il a établi une succursale Comines (France)mais la maison principale est toujours a Ypres, 9, rue de l'Êtoile. YI'RES. popssssi.'MJEaai;. nfxÊs. délai dans lequel ce canal doit être établi et livré a la navigation sur tout son développement est prorogé jusqu'au 31 décembre 1872. Retour au logis.Un jeune couple nouvelle- ment marié et retour de voyage de noces vient d'éprouver une facheuse déception en débarquant. L'époux qui est officier de cavalerie avait fait gar- nir le mieux du monde un petit hötel charmant de la ville de Bruges oü il est en garnison. II se faisait une fête d'y mener sa femme fille d'un des principaux industriels du canton de Hal et tout dans la maison était aménagé de fatjon qu'a leur retour de voyage ces heureux époux n'avaient qu'a en prendre possession. L'officier avait un planton d'ordonnance il lui confia la garde du logis... Ilélas il devait amèrement s'en repentir il y a quelques jours, les époux arrivaient a Bruges et ne f'aisaient qu'un bond de la gare a la chaumière dorée qui les attendait. On sonne... rienOn re- sonne... rien encore! Le mari impatienté court chercher un serrurier pendant que sa femme at tend dans la voiture qu'il avait prise a la gare. Le serrurier ouvre la porte en un tour de main... les époux sont chez euxMais quel chez eux Toutes les portes des appartements sont ou- vertes; les meubles bousculés... Dans l'écurie,les chevaux avaient dévoré leur litière et maintenant ils rongeaient leur longe. Au chenil, les chiens de superbes bêtes de chasse étaient morts de faim L'hótel était dévalisé de fond en comble, et l'or- donnance avait demandé son congé définitif pour cause... de vol avec effraction Iriomphe «In nii-riln el <!e l'inlclligciice. II v a environ trpnte ans. 'Ie genre 'humain élait obligé de se eonienter d'nn traitement dur, incertain et souvent illosoire, pour se guérir, on tftcher de jonir d'une rohusip santé mais il était impossible d'atteindre l'nn on l'antre. Dans certaines conlrées, telles, par expuiple, qne Ips cótes d'Afrique, les Indes Orientales el Ooeidentales, les parties marécageuses de l'A mériqtie et les regions glaciales dn Canada, la science médieale no savait alors quel remède il fallait. administrer. pour fortifier la conslitntion, dans quel- que cireonstance rpie ce fü', on suivant la maladie dont elle était alteinte. Ce fut alors que se présenta le Professeur Ilolloway. avec ses simp'es, mais admi ralties remè Ipsdont les snccès compléts et uniformes furent immédiaiement appréciés par les Anglais de tontes les classes et conditions de la s iciélé; les expe riences qui en furent f.iitesa l'èlranger confirmèrenl rapidement le verdict du public anglais. Un lout temos, de tels résultats ont dü atlirer l'envie de la profession: principalement paree que le Profes eur Ilolloway s'appliqna tout d'abord a supprimer la plu part des maladies auxquelles Ie corps humain est sujet. II fut' combattu en raison même de ses succes. Pendant qu'il recevai-' les benedictions de ceux qu'il avait sauves el qui étaient tout disposés a attester la bonne composition et l'efficacite de s.:s remedies, il etait dénoncé par les autres comme nu enneini com- mun, digne d'etre lapiué a plaisir. Personue, du reste, n'était capable de supporter c<-s attaques, aussi bien que Ie Professeur Ilolloway, soutenu comme il l'avait loujaurs été, par la bonne opinion de la nnjonle du public pour ses rémëdes, avec lesquels il avail triomphe de toutes sortes de maladies, dans to is les pays du monde. Vainement, la j ilousie de profess on et la sotte prevention ont voulu oriliquer sa methode et ses succes la voix universelle et la gratitude du genre humain sunt plus puissants que l'iuterêt per sonnel et cetle voix est en parfait accord sur le merite de ces bien estlmts remèdts. Nulle part, cependaul, la reputation du Professeur Ilolloway n'est mieux établie, que dans les Indes Orientales et Occidentals. Allez oü vous voudrez, dans nos possessions etran- géres et dans toutes les families, vous entendrez des louanges sur l'efficacite des Piiules et Onguenl Ilol loway. Les fiévres iutermittenles ou bilieuses, les affections glanduleuses ou cutanees, en un mot, toutes les maladies parliculières a ces pays, sont pre- cisément celles pour lesquelles les Medicaments Ilol loway sont si salutaires, alors que tous les aulres sont sans rèsultat. Aucun remède n'est plus merveilleux que les Mèdecines Ilolloway qui sont deveuues le vaste enlrepót du marche medical dans Ie monde eulier, et aussi indispensables que la uourriture dans chaque familie. A quoi pounait-on alliibuer une lelie populai'iie, si ce n'elail a l'effijaoite de ces infailhb'es remèdes el a leur supèriurile reconnue sur les divers autres qui ont ete employes j isque-la pour guènr les souffrauces humaiues. L'Administration Communale prévient les personnes intéressées que le róle supplétif pour le recouvrement de Ia taxe provinciale de 1871, sur les chevaux de luxe et les chevaux raixtes, établie par règlemeut du 28 novembre 1867, sera déposé pendant 8 jours a l'inspection du public,compter du 13 décembre,au Secrétariat de cette ville. Les contribuables qui croiraient avoir se plaindre de la cotisation réglée a leur charge, jiourront adresser leurs réclamations pir écrit et sur papier libre, a l'Administration Communale, endéans les 60 jours qui suivront le premier jour du dépót du róle. Fait l'Hótel-de-Ville.le 12 Décembre 1871 Les Bourgtnestre et Echevins, Par Ordonnance P. BEKE. Le Secrétaire, J. DE CODT. L'Illustration Européenne qui a paru, il v a un an. a Bruxelles, commence la deuxième année de son existence. Nous avons applau li ii cetle création nationale, paree qu'elle est venue comble'-, dans Ia presse beige, une lacune deplorable, celle d'une publication illus- trée indigène. L'Administration de cette publication a parfaite- ment compris ce qu'il fallait pour réussir Dunner en texte moral et toujours intéressant, publier des gravures dont le merite artistique est incontestable, el inetlre son prix a la portée de toutes les bourses. Nous ne sanrions trop vivement reeommander VIllustration Européenne qui est vraiment, dans toyie l'acception du mot, un recueil destine a la familie et nons la recommandons également a nos braves ouvriers qui pourronl, chez tous les corres- pondants de province, se procurer le numero de la semaine. Accueillie par un immense succès dés sa 'naissance, nous sommes convaincus que ce succès ira toujours en grandissant. Nous le souhaitons de tout cutstir a notie confrère de Bruxelles. Le vrai Lait des Steppes nes'oblienl veritable qu'au dépót géneral de l'instilut Kumys, a Berlin, Gneisenau- slrasse, 7 De tous les moyens médicaux employés jusqu'a ce jour dans les maladies de la poitrine et des poumons, un seul a su acquérir un grand renom comme anti- phlysique, Eestte Lait des Steppes (Kumys,) boisson préparee par les peuplades des Steppes russ'-s et asialiques avec du la11 de juinent, employe depuis tous les lempsdans les ma adies d'epuisement et dont la merveilleuse vertu curative attira l'attention des médecins. Les essais (erités pour appliquer ce remède dans d'autres contreesèchouèrent en grande partie a cause ,de l.i difficulte du transport, jusqu'a ce qu'enfin une des lumières de la science, Liebig, réussit a produire la preparation sous forme d'extrait, de telle facon que le transport peut s'en opérer desortnais sans grands frais dans tous les pays du monde. d'importation, d'exportation, des produits bruts et manufacturés. Siége social rue du Tempte, 176, a Paris. Directeur M. REBOUL. La Compagnie a pour but de venir en aide au commerce, a l'itnluslrie et a l'agriculture en facilitant l'ècoulement de leurs produits. Elle se charge a la commission du placement au cornptant, sur la place de Paris, de toutes espèces de marchandises, el de toutes provenances, francaises et etrangères. Elle se charge également de l'expèdition en pro vince et a l'èlranger des produils de la fabrication parisienne. La Compagnie fait aussi des avances sur toutes les marchandises qui lui sont adressées; pour connaitre les conditions et les tarifs, écrire franco a la direction. Elle desire avoir aussi des représentants dans toutes les villes de Erauce el de l'èlranger; appointe- ments el remises. M. GRAND MAISON a l'honneur d'informer sa clientèle qu't) la suite de bruits faux et malveil- lants tendanta faire croireè son prochaindépartde cette ville, il proteste bautement contre cette con duite d'individus qui trouvent peot-être leur bénéfice a faire circuler ces bruits. Etal-civil du 8 au 15 décembre 187L N AISSANCES. Sext' masculin 6 Sexe féminin 3. UÉCÈS. DesmiJt. Théodore, 81 ans, marchande de poisson, veuve de .loseph Vcrleure, rue de Lille. Messiaen, Reine, 62 ans, journalière, épnuse de Jacques Roose, rue de Menin. Men- nion, Maria, 77 ans, sans profession, célibataire, rue de l'Hópilal-Sainl-Jean. Milbiewicz, César, 35 ans, plioto- graplie, époux de Joséphine Cremetti, rue des Bouchers. Enfants au dessous de 7 ans Sexemasculin 2 Sexe féminin 3. Etat-civil du 8 au 15 décembre 1871. N AISSANCES, Sexe masculin S Sexe féminin 6 M ARIAGES. Vandesleene, I'ierrn-Jacques, 52 ans, veufhouliquier avec Rosseel, Amélie-Tiiéièse, 52 ans, célibataire, tul* tivalrice. Tlieeten, Rosalie- Amélie, 35 ans, ouvrière. épouse de Ilenri Goussey, rue des Pots. Debeir, Auguste. 21 ans, ja rdinier, célibataire. rue des Pots. Hovaere, Catherine, 64 ans, céli bataire, fileuse, rue de Boeschepe. Devos, Pierre-Jean, 72 ans. cultivateur, époux dTsabelle-Frangoise Vaneoste- noble. Lyssenlhoek. Vanloot. Léopold-Jose|ih, 67 ans, cabaretier, époux de Marie-Anne Maerten, rue ue Boeschepe.' Druant, Rosalie Cornélie, 4t) ans. ouvrière, épouse dê Benoit Cossey, Hipshoek. Dumelie, Eugène-Fratifois, 73 ans, nuvrier, époux de Jeanne-Tbérèse Sobier, höpital. Hauspie, Virginie-Amélie, 56 ans, repasseuse, épouse de Pierre-Jacques Willemyns, rue de la Tête-d'Or. Heursel, Auguslin-Seraphin, 49 ans, horloger, époux de Natliaiie-Julie Vaulede, rue du Nord. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin 2. Sexe féminin 4, E TA T in liquanl les qnantites et ie prix moyen des grains, fourrages et autres produits agricoles ven dus le 16 décembre 1871, sur le marche de la ville (lYpres. NATURE IIES MARCHANDISES VENDEES yUANTlTEs I PRIX MUÏEN VENDUES. PAR Kilogrammes 100 kilogram POllts MOVEN UK l'tleCtOl. Froment. Seigle Avoine Pois Fêve 60.20a 7,6i:0 H.tno 2,600 3,500 34 50 23-57 18 50 22-75 22 75 80-00 73-00 44-00 8 '-tO 80-00 Une Maison importante tic Bordeaux désire trou- ver un Agent pour la ville d'Ypres et ses environs. Elle n'emploiera qu'un hoinrne honorable ayant des relations dans la bourgeoisie. Appointements fixes et remises. S'adressera M. COFFIN. D' du journal le Touriste, 8, rue de In Sablonniere, Broxebes. DINSDAG, 26 DECEMBER 1871, 'S MIDDAGS, van Schoone Zware Eken, Abeelen, Iepen en Wilgen boomen, tot LANGEMARCK (Poelcapelle), op de hofstede en landen sieurs Coussement en Pil - laert, gelegen niet verre van de Galchiede naer Brugge en van den Strenakkermolek, door tie lus- schenkomst van den duerwaerder Verhaeghe, tot Yper. JOUBNAL HEBDOMADAIRE IlLUSTRE- Publication in-folio, contenant 8 pages de texte et 4 magnifiques gravures dans le numero de chaque Semaine. Geux qui s'abonnent, pour un an, a partir du 18 novembre 1871, recevront qratuilemenl dooze gravures maguifiques lirèes a part.Prix de Pabon, nemenl fr. 10 Bi uxelles fr. 10-50 pour la pro vince. Le P volume, renfermanl plus de 4)0 pages de lexte et plus de 200 gravures, se vend chez tous les libraires, broche fr. 10 50 et relie avec luxe 13 francs. C'est l'ouurage le mieux choisi qui puisse élre donné en cadeau d'eirennes t

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L’Opinion (1863-1873) | 1871 | | pagina 3