Clapier. Le Cercle Catholique Le Bizet Bizet=Ploegsteert Horaire COMINES-MENIN et retour. 10.00 10.10 10.15 10.20 10.30 11.00 11.10 11.15 1 1.20 1 1.30 I Secrétariat Alfred LECOURT Chemin de Mélune. -oo ci- Un demi-fou blesse sérieusement d'un coup de fusil un paisible jardinier, Le Bizet (Belgique). M. Paul Leclercq, épicier au hameau du Bizet, commune de Warneton (B.) se trouvait dimanche, vers 10 h. 3') dans son jardin quand, tout coup, une détonation retentit. M. Leclercq, atteint par une charge de plombs, rentra chez lui et fit venir un docteur qui, après l'avoir soigné, le fit conduire l'hôpital d'Ypres. Peu après, la gendarmerie commen ça son enquête. Elle apprit qu'un voi sin de M. Leclercq, un nommé Car ton, âgé de 40 ans, avait été vu la lucarne de son grenier, épaulant un fusil de chasse. Une perquisition eut lieu chez Car ton et, en effet, on trouva un flisll de chasse qui venait d'avoir servi. Car ton ne fit d'ailleurs pas de difficultés pour reconnaître les faits, mais il lui fut impossible d'en indiquer le motif. Carton a déjà été interné pour dé bilité mentale et on suppose que, re pris momentanément par sa maladie, il accomplit ce geste que rien n'excuse. Carton a été mis la disposition du procureur du Roi, Ypres. CONTINUONS Les lecteurs socialistes de journaux hebdomadaires français de cette ré gion, se plaignent du peu de rensei gnements que leur fournit le journal au sujet de la Banque Belge du Tra vail. A leur intention reproduisons ci- dessous quelques notes parues dans la grande presse quotidienne. Commençons par donner l'apprécia tion du citoyen Spaak. Député socia liste, et Directeur du journal Action Socialiste dans lequel il publie un article, plein de vérité Ce qui vient de se passer, écrit-il, constitue une ca tastrophe, il est inutile et mauvais de le nier. (Ce que font les autres). 11 continue Je n'en veux pas ceux qui durant ces derniers jours, ont été chargés de trouver une solution. Ils ne pouvaient pas faire autre chose que ce qu'ils ont fait. J'en accuse terriblement, au contraire, ceux dont la folle et orgueilleuse politique a créé la situa tion lamentable dans laquelle nous nous débattons. Certes, on peut mettre des noms sur les coupables et il faudra qu'ils s'expliquent. Nous les y contraindrons, s'ils n'ont pas le courage de le faire. Mais il me plait de dénoncer tout de suite, la grande, la vraie coupable, qui n'a pas de corps, qui n'a pas d'âme et qui pourtant, nous empoisonne depuis tant d années La politique réformiste du P. O. B. C est cruel déclarer, mais ce n'est pas injuste, la triste aventure d'au jourd'hui est l'aboutissement logique,, fatal, de vingt-cinq années d'erreurs. J'ai constaté depuis quelques jours, qu'ils sont plutôt rares dans nos rangs, ceux qui osent encore avoir leurs re lations directes ou indirectes avec la Banque Belge du Travail. On peut ce pendant les compter sur les doigts, les camarades qui depuis dix ans, ont osé dans le parti, se dresser contre la puissance financière contre le réa lisme contre l'audace de ceux qui ont été les promoteurs, les défen seurs et les bénéficaires des sociétés anonymes socialistes. Pourtant les er reurs de leurs conceptions étaient évi dentes Après M. Vandevelde, voilà le ci toyen député Spaak qui son tour n'hésite pas pour qualifier l'état de la Banque socialiste employer le terme catastrophe. Peut-on encore nier que 1 établisse ment socialiste B. B. T. a subi la perte appréciable de 300 mill.ons sur 330 millions. Que nos amis qui con naissent les affaires de leur parti di sent la vérité et renseignent leurs concitoyens ce sujet. Pourquoi d ail leurs répondre perpétuellement côté des questions. Où donc est la fran chise faut-il donc en conclure qu'elle est si pénible et si douloureuse Cer taines personnes de la commune, vic times de la déconfiture de banques établies dans la contrée, se poser, question suivante Notre avoir de petits épargnants n'aurait-il pas dû être sauvegardé tout aussi bien que les économies des épargnants socialistes qui ont été confiés la B. B. 1 11 parraît aussi que messieurs les so cialistes dirigeants de la Banque, n ont pas refusé la part très appréciable de bénéfice. Où donc est la devise d égalité et quel empêchement y a-t-il partager fraternellement la fortune des capita listes du parti ouvrier parmi lesquels Mrs Vandevelde et Anseele n'occu pent pas les moindres places. Ce der nier est dit-on très perfectionné dans l'ençaissement des dividendes. Sera'.t-:1 également fondé qu'on envisage dans le parti socialiste, de porter 50.000 francs le plafond de tout traitement alloué leurs membres. Il se dit d ail leurs qu'on envisage pour le cas d'in succès auprès du Gouvernement une compression rigoureuse et généralisée des dépenses on supprimerait paraît- il bon nombre de propagandistes ré gionaux Quelle tristesse, pour ces in fortunées victimes d'être contraintes de se présenter au pointage, et de vi vre aux dépens de l'Etat Et a supposer même que grâce l'intervention peut-être trop bienveil lante, mais pas encore certainement ac quise, du Gouvernement, le B. B. T. réussisse se redresser quelque peu ne sera-ce pas comme s'exprime le ci toyen-député socialiste Spaak au prix de grandes humiliations subies par les socialistes En terminant, faisons un appel pres sant auprès des socialistes convaincus car il est grand temps qu'ils aillent con fier aux guichets de la B. B. T. les pe tites économies ooo ETAT-CIVIL Naissances. Jacqueline Schijns, fille de Wynand et de Valentine Verslype. Rosette Vana- belle, fille de Léon et de Marguerite Six. Albert Vanderhaeghe, fils de Charles et de Lucienne Peeren. L'élevage du lapin peut se fa rc en garenne, c'est-à-dire dans une pro priété close l'aide d'un mur ou d un treillis. Mais le lapin creuse des ter riers et des galeries souterraines et par vient s'échapper de l'enclos, moins que le treillis ne descende en terre une profondeur minimale de 1.5 m Parfois on fait l'élevage du lapin en boîte grillagées transportables ou en caisse dont le fond se compose d'un treillis mailles relativement lar" on dépose ces boîtes sur un parterre gazonné et on la change de place quand l'herbe qui se trouve en des sous d'elle est consommée. L'élevage intensif et l'engraisse ment industriel s'opèrent dans des lo ges appelées clapiers. Ces loges sont souvent disposées en séries, elles-mê mes étagées elles sont appuyées con tre la façade sud d'un bâtiment, le en forme de paroi postérieure le pa vement d'une loge constitue le plan cher de celle qui se trouve en des sous les parois latérales sont faites d'un treillis, d'un grillage ou de plan ches la paroi antérieure qui forme porte est claire voie pour la moitié au moins. Ces loges ont au maximum 1 m. de profondeur, leur hauteur ne dépasse pas 60 centimètres, leur lar geur est variable geur est variable d après le nombre d'animaux qu'elle doivent héberger un mètre de pro fondeur et 0 m. 5 de largeur suffisent pour un lapin avec ses jeunes. La plu part des constructions pourraient être beaucoup améliorées si on enlevait les planches qui garnissent le bas des lo ges pour les remplacer par des maté riaux imperméables on devrait don ner en tnême temps l'aire une incli naison antéro-postérieure suffisante de manière écouler les urines vers une rigole qui circulerait devant chaque série de loges. Les loges pourraient même être en tièrement en treillis assez fin en le* mettant sur des supports et en pla çant en dessous des bacs en tôle gal vanisée contenant une mince couche de tourbe, on y récolterait les urines et les excréments dont on débarrasserait journellement la litière. Entre deux lo ges on place un râtelier et on accro che un abreuvoir au treillis du devant les animaux nourris aux aliments secs (foins, etc.) et abreuvés l'eau claire restent en parfaite santé et la cocci- diose (maladie du gros ventre) reste complètement ignorée. Si les bacs récepteurs des urine» sont régulièrement nettoyés et le local bien aéré par une ventilation énergi que, le clapier ne produira aucune odeur désagréable. Les archives du Grand Orient de France transportées Bruxelles. Dans le Jour M. Léon Bailby écrit qu'il y a quinze jours, la Grande Loge de France, estimant que ses ar chives n'étaient plus en sûreté Pa ris, les a transportées Bruxelles. On se rappelle qu'une bombe a fait explosion devant un bâtiment de Can nes où la Franc-Maçonnerie possède son siège. Les escroqueries de Bayonne et les autres scandales financiers et politi ques ont attiré 1 attention sur la Franc- Maçonnerie qui est accusée d'être la principale coupable. Le député du département de la Gironde, M. Henriot, qui, en France, est considéré comme l'homme du jour, traverse tout le pays et tient des mee tings dans lesquels il lance, preuves 1 appui, une accusation contre la Franc- Maconnerie. rue de Lille, 33, YPRES EST LE LOCAL OU SE RENDENT LES COLLÈGES ET LES PEN SIONNATS, LES SOCIÉTÉS ET LES EXCURSIONS EN GROUPES. PRIX MODERES SERVICE DE PREMIER ORDRE S'ADRESSER AU TENANCIER C. VANBOST OU AU JOURNAL LE SUD SALLES POUR 100 OU 200 PERSONNES. Départs de COMINES HORAIRE Départs de MENIN Comines, Place 9.00 11.00 1.20 3.00 5.00 Wervicq, Damier 9.10 11.10 1.30 3.10 5.10 Sleerin 9.15 11.15 1.35 3.15 5.15 Gheluwe 9.20 11.20 1.40 3.20 5.20 Menin, Place 9.30 11.30 1.45 3.30 5.30 Menin, Place 10.00 12.00 Gheluwe 10.05 12.05 Sleerin 10.15 12.15 Wervicq, Damier 10.20 12.20 Comines, Place 10.30 12.30 2.00 2.05 2.15 2.20 2.30 4.00 4.05 4.15 4.20 4.30 6.00 6.05 6.15 6.20 6.30 Tous les jours et le Vendredi matin 7.40 jusque Wervicq, retour 8 h. 45 et le Samedi matin 6.35 jusque Menin, retour 8 h.20. Service du Dimanche de COMINES A partir de 10 heures du soir, le tarif est doublé Comines, Place Wervicq, Damier Sleerin Gheluwe Menin, Place Menin, Place Gheluwe Sleerin Wervicq, Damier Comines, Race 8.00 8.10 8.15 8.20 8.30 9.00 9.10 9.15 9.20 9.30 11.00 12.20 1.20 2.00 3.00 4.00 5.00 6.00 7.00 8.00 9.00 11.10 12.30 1.30 2.10 3.10 4.10 5.10 6.10 7.10 8.10 9.10 11.1 5 12.35 1.35 2.15 3.15 4.15 5.15 6.15 7.15 8.15 9.15 11.20 12.40 1.40 2.20 3.20 4.20 5.20 6.20 7.20 8.20 9.20 11.30 12.45 1.45 2.30 3.30 4.30 5.30 6.30 7.30 8.30 9.30 Départs de MENIN 9.00 9.10 9.15 9.20 9.30 10.00 10.10 10.15 10.20 10.30 11.00 1 1.10 11.15 11.20 11.30 12.00 12.10 12.15 12.20 12.30 1.00 1.10 1.15 1.20 1.30 2.00 2.10 2.15 2.20 2.30 3.00 3.10 3.15 3.20 4.00 4.10 4.15 4.20 5.00 6.00 7.00 8.00 9.00 5.10 6.10 7.10 8.10 9.10 7.15 5.15 6.15 5.20 6.20 3.30 4.30 5.30 6.30 8.15 9.15 7.20 8.20 9.20 7.30 8.30 9.30 10.00 10.10 10.15 10.20 10.30 10.00 10.10 10.15 10.20 10.30

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Le Sud (1934-1939) | 1934 | | pagina 4