Aux lecteurs du SUD
rciEBBEHE
I
HC UTHEM
Aux généreux vins de France.
Arsène MEERSDOM*LECOURT
Wervico
Le BIZET
Bagues de Fiançailles
Julien Cremer Fils
YPRES 41, rue au beurre, 41
YPRFS
Rue du Touquet, 66, LE BIZET
SUITE CHRONIQUE COMINOISE
des matériaux, des formes des profils,
ces constructions suivent toujours
travers les siècles le même axe de
cette chapelle absidale et du fond
rectangulaire de l'abside. Seule l'église
actuelle ne suit plus cet axe qui est
reporté vers le sud de quelques mè
tres et oblique par rapport cet axe.
Les curieuses colonnes, antérieures
certainement l'époque romaine, sui
vaient. elles aussi, le même axe et se
trouvaient dans l'axe de la nef laté
rale du côté de la Lys. L'une d'elle
pourrait encore être vérifiée et se
trouve en dehors du transept lm20
en dessous de l'ancien niveau de l'é
glise. Sa base est plus basse encore,
soit, probablement d'un mètre envi
ron. De sorte qu'actuellement, pour
la retrouver, il faudrait fouiller jusque
la base des fondations récentes, soit
environ 3 m. de profondeur. Ce sont
là de très précieux renseignements pour
l'histoire de notre église et de notre
église et de notre ville.
Soyons dignes de nos ancêtres et
célébrons religieusement et joyeuse
ment ces fêtes l'église et en famille.
Invariablement, chaque année, le
jour de la Ducasse notre vénéra
ble curé Delporte nous rappelait, avec
à-propos, l'origine chrétienne de ces
fêtes. Il nous expliquait les fêtes de
la Consécration de l'église St Pierre
par St Chrysole et comment cette fête
de St Pierre règle toujours la date de
la Ducasse. Il nous exhortait ensuite
sanctirier ces jours de réjouissance en
célébrant d'abord la fête chrétienne
ment l'église et en famille. II nous
montrait que le vrai plaisir est dans
la paix des cœurs, la joie d'une bonne
conscience, l'union et la paix dans la
famille. Retenons ces excellentes ex
hortations et pratiquons-les toujours.
Lein Ad.
Secrétariat 34, Rue Neuve.
L'AGENCE BRUNSWICK pour
WERVICQ est libre. Radio-Flandre
■demande agent immédiat pour l'exclu
sivité.
BULLETIN PAROISSIAL
8 JUILLET 1934 7e dimanche après la
Pentecôte.
7 h. 30 m. sol. anniv. pour Camille Til-
lie-Ferret et son ép. décédée.
8 h. 30 m. sol. anniv. pour Emile Brug-
geman-Rosé et son ép. décédée.
2 h. 30 Vêpres, Salut et petite Congré
gation des fillettes.
DIMANCHE PROCHAIN 17 7 h. 30
m. sol. anniv. ép. Achille Geeraert-For-
rez.
8 h. 30 m. sol. anniv. pour Hector Van-
damme-Bruggeman, son ép. et ses enfants
Jérôme et Bertha, ép. Jérôme Depuydt-
Vandamme.
Vicaire de Semaine
R. M. LEFERE, rue Madeleine, 14.
ETAT-CIVIL
Naissances
Nolf Irène, Avenue Gosseries, 2. Naye
François, Rue de la Lys, 7. Overbergh
Nicole, Rue de Cruyseecke, 56.
Décès
Vandyck Léonie, 20 ans, Rue Léopold,
33. Provoost Irma, 45 ans, ép. J. De-
maret. Rue Dr Dumont, 9- Coupleux
Gustave, 33 ans Rue de la Madeleine, 3.
Billiau Pierre, 69 ans, Rue de l'Ave-
tur, 38. Dermez Sophie, 76 ans, Rue des
Epingles, 2.
Mariages
Dewulf Paul, entrepr. zingueur Wer-
▼ica-Sud (France) et Hemeryck Léona, fil.
Wervicq. Vermaux Etienne, tiss.
Wervicq et Pectoor Maria, bobineuse
Wervkq. Deceuninck Orner, cuit,
Wervicq et Mahieu Marie, cuit, Wervicq.
EXPLIQUONS.
Quand ferons-nous comme en
France Telle est la question posée
par le chef de file des édiles socialis
tes lors de la dernière réunion du Con
seil Communal, alors qu'il s'agissait
pour ce dernier de prendre décision
concernant le compte et le budget de
la Fabrique d'église. Phrase banale, di-
ra-t-on, mais pleine de conséquences
propos plutôt ridicules en la circon
stance et quoiqu il en pense le Torque-
mada ploegsteertois pourra se mor
fondre longtemps encore. Le bon peu
ple belge est encore loin d'épouser ses
conceptions. Cette phrase pour nous
veut dire Quand ferons-nous comme
en France, au temps du Combisme,
voler les biens des églises et des mo
nastères, les indemnités dues au clergé
et chasser les Religieux et les Religieu
ses, sous le couvert de la dénomina
tion Séparation de l'Eglise et de l'E
tat. L'histoire du Concordat est quel
que peu ancienne déjà. Rappelons
En 1 793, lors de la Révolution on
vola les biens du clergé et des mo
nastères, la persécution sévissait terri
blement. Plus tard, en 1807, Napo
léon voulut renouer les relations avec
le Saint Siège, sous le règne du Pape
Pie VII et pour indemniser le clergé.
C'est alors que fut signé le concordat.
Par ce pacte le gouvernement, sous
Napoléon, reconnut de payer une re
devance au clergé séculier sous forme
d'une indemnité annuelle. Pacte bien
authentique que notre emphatique in-
terpellateur considère sans doute,
comme chiffon de papier. C'est pour
quoi l'Etat paye une indemnité an
nuelle au clergé séculier.
journellement le prôneur socialiste
déclare mielleusement nous respec
tons la liberté de conscience. Quelle
perfidie Quand on commenté ses pro
pos, tenus en une assemblée dirigean
te. Liberté de conscience quand il s'a
git pour lui et ses partenaires de vou
loir imposer leurs princpes matérialis
tes soi-disant humanitaires. En la cir
constance il affirme ses visées doctri
nales lutte acharnée contre l'Eglise
catholique, contre ses dogmes et sur
tout contre son œuvre qui, seule, est
efficacement humanitaire. Pour arriver
ses fins, par de perfides conciliabu
les, préconisant la défense des intérêts
matériels, répudiant toute destinée fu
ture, il se fait mielleux, l'air empressé,
s'affairant de toutes choses. De-ci, de
là, quelques phrases tendant des
propositions alléchantes, plus souvent
trompeuses, il se fait passer pour un
super-homme. Supprimons le traite
ment (comme il dit malicieusement)
des curés et des vicaires, ils en ga
gnent déjà assez. Quant au sien il se
réserve bien d en causer et d en dé
clarer la provenance. Pour Messieurs
les curés et les vicaires une indemnité
leur est due. Mais pour lui, autre cho
se, lui qui crie sur tous les toits que
les Patrons sont des usurpateurs du
produit du travail des ouvriers, lui
qui se fait payer grassement pour une
petite demi-journée de travail quoti
dien et cela uniquement sur le compte
des ouvriers, car vrai dire ce sont
les ouvriers de Ploegsteert-Bizet qui
le nourrissent et comme produit sor
tant de ses mains Néant.
Cette déclaration, dont il est causé
au début, faite en cette circonstance
attire l'attention et est sujette des
commentaires. En tout cas elle est un
avertissement et nous savons ce qui
nous attend au cas où il aurait son
petit mot dire. Il est parfois utile
et nécessaire de démasquer certains
procédés et d'étudier la valeur morale
des personnes qui cherchent s'im
poser.
Pour nous, chrétiens, la liberté de
conscience qu'il revendique si souvent,
serait, sous la férule, une dictature im
pitoyable, qui nous astreignerait aux
pires vexations.
UN FANTOCHE.
Quelle prétention ne présentent-el
les pas de la part de l'écrivassier rou
ge, les lignes suivantes Donc, ces
personnes se trouvaient devant un fait
accompli, etc...
En l'occurrence il s'agissait de la
formation d'un comité local pour col
lecter pour la souscripton nationale en
vue de l'érection de la bibliothèque
L'Albertine
L'administration communale avait
reçu de l'Administration provinciale
une invitation de participer aux dis
positions prises pour perpétuer la mé
moire du Roi Albert I.
Pour cet éminent monsieur il eût
fallu que le Conseil Communal donnât
son avis sur cette question et jugeât,
sans doute, de l'opportunité de se con
former cette invitation. L'autorité su-
oérieure peut décider mais notre petit
monsieur doit y être de son veto.
Croyez donc Il est quelqu'un de
puis qu'en qualité de propagandiste il
vit aux dépens des ouvriers, en atten
dant son espérance de vivre ceux
des contribuables. Monsieur doit don
ner son avis sur tout, même sur les
décisons de l'autorité supérieure.
Le Bourgmestre en la circonstance
avait convoqué diverses personnes
pour former ce comité et sans tenir
compte des idées philosophiques, reli
gieuses ou autres, des intéressés, dont
la preuve que certain conseiller socia
liste était également invité se dé
vouer pour une cause éminemment
grandiose. Mais pour ce monsieur en
core il eût fallu qu'on fît de cette
œuvre une question politique, c'est-à-
dire de parti-pris.
Profondément touché par le tragi
que accident qui causa la mort de son
Roi bien-aimé, le peuple belge una
nimement l'a pleuré, et unanimement
veut lui prouver sa reconnaissance,
veut perpétuer sa mémoire.
Peut-on concevoir une prétention
aussi peu correcte, sans la moindre no
tion d'éducation, de civilité pour in
sérer de telles récriminations. C'est être
prétentieux au plus haut degré, au
point de se rendre ridicule, grotesque.
Monsieur parle encore d orgueil
rappelons ces lignes de l'Evangile
Celui qui aperçoit une paille dans
l'œil de son voisin ne se rend pas
compte qu'il a une poutre dans lie
sien
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mi la foule et ce fut avec anxiété que
cette masse d'hommes attendait le
résultat dont voici le détail
1. DELACHAMBRE, Wameton.
2. DELOBEL, Wervicq.
3. WOUTS, Ypres.
4. BOUCHAERT, Houthem.
3. CALLENS, Cruyseecke.
6. VANSLIMBROECK, Wervicq.
7. VERCAMMEN, Comines.
8. ROOSE, Houthem.
9. JONNEVILLE, Ypres.
Le Comité des fêtes de notre loca
lité remercie et les coureurs et les cu
rieux.
c LE SUD «t la disposition des lecteurs pour insérer dans les
chroniques locales les faire-parts de naissances, mariages, décès, messes
anniversaires et les remerciements.
C'est en même temps l'occasion de faire de tous les lecteurs du
SUD une grande famille et de soutenir notre journal.
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