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La population yproise est, certes, profondément émue du beau geste du Touquet-Paris-Plage. Et elle s'associe de tout cœur la lettre de remerciement que la Ville adressera officiellement. C. v. R. ART RELIGIEUX A St MARTIN. L'ameublement de notre cathédrale, comme tous ses travaux d achèvement, continue toujours retenir l'attention du public éclairé de notre ville, et le platement de la chaire prêcher ne manque pas de donner lieu de nom breuses controverses. Nos bonnes dévotes, en particulier, y sont allées de leurs petits papotages coutumiers. A propos des confessionnaux déjà, elles - avaient honni la pierre, matière froide, dis posant mal aux épanchements du cœur et même une parfaite contrition. Le bois, au contraire, semblait réunir tous leurs suffrages, et qui sait même si certaines d'en- tr'elles n'auraient pas préféré des cloisons capitonnées, étouffant l'aveu des péchés plus ou moins mignons. Ce serait assuré ment très confortable mais s'agit-il, en cet endroit, de confort ou bien de pénitence Cette fois encore, on jette la pierre c'est le cas de le dire, la chaire de vérité, parce que. de nouveaula pierre a été préférée au bois. Plutôt que d'ergo ter perte de vue en resassant les opinions les plus diverses, nous avons préféré nous enquérir auprès de l'éminent architecte de notre cathédrale au sujet de ses préférences pour la pierre. Avec la meilleure grâce, M. Coomans a bien voulu nous énoncer les raisons qui militent en faveur de l'emploi de la pierre plutôt que ce de celui du bois. Dans un monument aussi important que la cathédrale de St Martin, nous dit M. Coomans, le mobilier tout entier, doit con courir accuser ce caractère monumental de l'édifice. Il est hors de conteste qu'une chaire ou un confessionnal en pierre sem blent faire corps avec le monument tout entier, tandis que le bois donne plutôt l'apparence d'un meuble, plus ou moins transportable. Pour perpétuer le souvenir d'un siège épiscopal. en notre ville, de l'existence d'une cathédrale, une chaire en pierre était mieux indiquée qu'une chaire en bois et de plus, il fallait une chaire avec escalier double révolution, signe dis- tinctif d'une cathédrale. A une objection que nous fîmes en fa veur des chaires en bois de chêne, où les artistes de la Renaissance avaient su dé ployer toutes les somptuosités de leur époque, notre distingué interlocuteur nous révéla que, dans le pays entier, il n'existait plus d'artistes capables d'exécuter des œu vres scupturales d'une telle envergure. Ce détail nous fut confirmé, peu après, par un artiste que nous considérons comme l'un des plus compétents en matière d'art reli gieux. Caractère monumental, affirmation de l'existence d'une cathédrale, médiocrité de talent des sculpteurs du bois, ce sont là, nous semble-t-il, autant de raisons qui nous font admettre qu'il fallait toute autre chose que le mobilier de jadis, dont nous avons toujours gardé le souvenir. A LA CHAPELLE DE L'HOPITAL. L'art de la Renaissance, exclu de St Mar tin. d'où il résulte une harmonie qu'on ne saurait trop louer, est allé chercher un re fuge dans des chapelles, notamment en celle de l'hôpital qui vient de ouvrir au public. Déjà la façade avait reçu dans ses niches, les statues de St Laurent et de St Vincent, dues au ciseau de notre habile sculpteur Maurice Deraedt. statues que le public ybroir est unanime Préférer la statue de la Vieree. d'un sculpteur étranger. A-t-on cherché remédier l'indigence de l'architecture, même de cette chapelle en essayant de donner un certain caractère de richesse l'intérieur Effort louable assurément, mais simple effort. Idée excellente d'avoir utilisé, comme rêfable. le grand triptyque de Karel van Yper. iadis accroché une hauteur vertigi neuse la chapelle de la Crand'Place. et que le dévoué secrétaire des hospices ci vils, feu M. Léon Van Aerde, mieux ins piré en celà que l'administration commu nale, eut la présence d'esprit de faire éva cuer avec tant d'autres œuvres d'art. Nous aurions voulu voir rétablir cette œuvre im portante du maître yprois, en sa destina tion primitive de rétableou du moins en une destination qu'on pouvait actuellement lui affecter, en l'entourant d'une décora tion des plus sobres, de façon ne pas dé tourner l'attention de cette œuvre devenue rarissime. Malheureusement, il n'en a pas été ainsi, et nous devons faire les réserves les plus grandes au sujet des sculptures peintes et surtout des portes en simili- marbre. Des portes en marbre, nous ne voyons pas très bien celà... REUSJE. (Voir suite page 4) Florac - Mende - Lunch - Châteauneuf - Le Puy Dînre et Loger. 1 lrae JOUR. Le Puy - Départ 6,30 heures - Broude - Issoire - Clermont - Ferrand - Riom - Mont- luçon Lunch Bourges - Vierzon - Orléans Dîner et Loger. 12me JOUR. Orléans - Départ 8 heures. Paris Lunch Amiens - Arras - YPRES. Un acompte de 200 Frs. doit être versé chaque inscription. Chaque départ est assuré partir de 8 personnes. Faites-vous inscrire temps. GRENOBLE Grenoble était sous le nom de Cualre un village alebroge que l'empereur Grs- tien, vers 380, éleva au rang de cité en lui donnant le nom de Gratianopolis. En 879 elle fait partie de la Bourgogne, en suite du Comté de Grésivaudan en 1155 les comtes prirent le ritre de Dauphin et Grenoble fût la capitale du Dauphiné. En 1349, Philippe de Valois rattacha la France le Dauphiné qui devint l'apanage du fils aîné du Roi, désormais appelé dau phin de France. Louis XI, afors dauphin, séjourna longtemps dans cette province, où la féodalité était peu puissante, et il y étu dia la vie communale plus développée que dans le reste du royaume. Pendant les guerres de religion, le Dauphiné fût en sanglanté par le baron des Adrets. Le con nétable, duc de Les Diguières, pansa ses blessures par une sage administration. Le 7 juin 1788, le peuple se souleva pour dé fendre son parlement ce fût la journée des Tuiles, première journée de la Révolution française. La ville reçût avec enthousiasme Napoléon son retour de l'île d'Elbe (7 mars 1815). Vous visiterez Grenoble en partici pant au voyage KOSMOS dont nous donnons le programme. o VOYAGE DE 12 JOURS NICE (Fêtes Carnavalesques.) le 19 et 26 février PRIX 1.575 Frs. Transport, Hô tel et boisson compris. 1er JOUR. DEPART Blankenberghe 6,15 h. Ostende 6,00 h. Furnes 6,15 h. Poperinghe 7,00 h. Iseghem 6,45 h. Menin 7,15 h. Mouscron 6,30 h. Bruges 6.30 h. La Panne 6,00 h. Ypres 7,30 h. Roulers 7,00 h. Courtrai 7,00 h. Gand 6,00 h. Tourcoing 6,15 h. Lille - Douai - Cambrai - y4 heure d'ar rêt - St Quentin Lunch La Fère - Laon - Reims Dîner et Loger. 2me JOUR. REIMS - Départ 8 heures. Châlons s/M - Troyes Lunch Chi- tillon s/S - Baigneux - St. Seine - Dijon - Dîner et Loger. 3me JOUR. DIJON - Départ 7,30 heures. Châlons s/S - Tournus - Bourg E/B. Lunch Morestel - Les Abrets - Grenoble Dîner et Loger. 4me JOUR. GRENOBLE - Départ 7,30 heures. Monestier - Col de la Croix Haute - Aspres - Serr« - Sisteron Lunch Volonne - Digne Dîner et Loger. 5me JOUR. DIGNE - Départ 7,30 heures. Barrême - St André - Puget-Théniers - NICE. Lunch Dîner et Loger. 6me 7me et 8me JOUR. Séjour NICE, pour assister aux fêtes carnavalesques et sur demande des excur sions au choix vers Menton - Monte-Carlo - Peira-Cava - Sospel etc. Pension complète. 9me JOUR. NICE - Déparc 7 heures. Antilles - Cannes - par la splendide Côte d'Azur vers St Raphaël - Fréjus - Brignoles - Aix-en-Provence Lunch Larnbec - St Remy - Tarascon - Nimes - Dîner et Loger. 1 Orne JOUR. Nimes - Départ 7,30 heures - Alès -

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Le Sud (1934-1939) | 1934 | | pagina 3