Waar Sayette Wijveken Vous y trouverez les ceintures médicales pour toutes les maladies COLOMBOPHILIE. IN HET 19, Grand' Place, Y PRE/ LA COLOMBOPHILIE MODERNE. Le côté pratique est toujours le plus courru les trieurs poussent comme des champignons et chaque colombophile y va de ses petites prétentions. SITUATION DES CULTURES MARAICHERES ET FRUITIERES AU DEBUT DE DECEMBRE 1935. Cultures maraîchères Cultures fruitières AVIS TRES IMPORTANT Tout sur mesure sans supplément. M. Ei es; Duray, notre champion natio nal, universellement connu, a traité le sujet La Colombophilie Moderne M. Duray débuta en prêchant l'union de tous les colombophiles, car on constate que l'élevage du pigeon en Belgique est en dé ficience et que la F. C. B. a vendu 600.000 bagues de moins cette année. Il y aurait donc abandon de la part de certains co lombophiles mais ce qui est plus exact, c'est que les amateurs sont plus sévères dans la sélection et qu'ils élèvent moins de becs inutiles. L'orateur examine ensuite d'une façon objective, savoir la colombophilie est- elle un sport scientifique ou un sport pra tique Il est plutôt enclin considérer que c'est un sport pratique et c'est bien cette thèse-là qu'il développera. A ce jour la science ne s'est pas ou presque pas occupée du problème toujours troublant de l'orientation du pigeon voya geur, ainsi que de sa facilité de retour. Quelques rares amateurs ont abordé cette question mais, le plus souvent, leur théo rie n était basée que sur des remarques. Seul M. Maurice Boel, inspecteur techni que l'Aéronautique de Belgique, qui fut chargé par le service compétent de faire des recherches sur le vol des oiseaux, a publié un ouvrage très intéressant, mais peu la portée des pratiquants du sport colombo phile. Il a tellement bien compris qu'il était trop scientifique qu'il a préfacé son ouvrage en disant que le lecteur qui ne pourrait pas le suivre dans sa documen tation bourrée de formules, n'a qu'à lire ses conclusions. Il en a tiré cette remarque que les oiseaux aux ailes longues et étroites fournissaient les meilleures vitesses et les plus longues randonnées. En conclusion, il conseille de rechercher les pigeons aux arrière-ailes moins larges et aux ailes plus longues. L'avenir nous démontrera peut- être un jour qu'il avait raison. Toujours au point de vue scientifique, nous assistons une faible poussée de ba- guettisants, mais les résultats ne sont pas encore assez précis pour que nous puis ions en tirer des arguments. Néanmoins on évolue et la colombophilie est radicalemen- changée depuis 25 ans. Elle a tellement changé et évolué que, si nous comparons le palmarès des grandes vedettes du sport .depuis six ans, nous croyons que leurs succès sont plutôt en ré gression. De là dire que leur colonie n'est plus ce qu'elle était auparavant est inexact la plupart de nos bons et an ciens colombiers sont au contraire mieux outillés qu'auparavant mais si leurs suc cès, qui sont encore très brillants, ne sont plus aussi transcendants, c'est uniquement parce que les autres amateurs ont évolué et qu'il faut actuellement compter avec eux. M. Duray examine ensuite l'installation d'un colombier qui doit répondre aux exi- fcences d'hygiène et de confort. Au lieu, dit-il, de s'installer dans le coin le plus sale de l'habitation il faut, au con traire, choisir l'endroit le plus sec et le plus salubre et ne pas s'arrêter aux demi- inesures. Jouer aux pigeons, dit-il, c'est jouer avec son porte-monnaie et, dans ce cas il faut ouvrir l'œil. Il analyse ensuite toutes les façons de faire voyager les pigeons. Il abandonne de suite le système périmé d'engager les pi geons mâles au naturel. Ceux-ci ne sau taient pas tenir un point de comparaison Javec leurs congénères joués au veuvage. Il préconise de faire voyager les femelles, Imais seulement les bonnes car la prépara tion de celles-ci est extrêmement difficile. Le meilleur système actuel est le veuvage et il donne tous les détails en long et en large. Il çite les principes fondamentaux pour arriver au meilleur résultat. Il affirme, preuves l'appui, que tous les gros succès remportés dans les grandes compétitions nationales et aux longues dis tances le sont chaque fois par des mâles veufs. Mais si le veuvage a de grands avantages, il a aussi de sérieux inconvénients daps l'absence totale ou partielle d'élevage qui conduit inévitablement le colombier la déchéance. Il met également les amateurs en garde contre le trop de confiance qu'ils ont dans le système du veuvage, tel qu'on le joue actuellement, c'est-à-dire la conduite des mâles en collectivité. Il énumère les ravages du vice qui se produiront inévitablement dans ces colom biers, si le maître n'est pas perspicace et ne prête pas un œil vigilant. Il parle aussi de la. sérieuse difficulté qu'éprouvent les grands veuvagistes quant la désignation de leur premier marqué. Il préconise comme remède ces dangers de conduire les veufs individuellement. Il montre cet effet, un colombier minuscule approprié et conçu de telle façon que la conduite des mâles veufs, ainsi que des fe melles n'est plus qu'un jeu d'enfant, avec un maximum de rendement, de sécurité, Comme on n'a pas encore atteint ce jour. M. Duray termine sa belle causerie en exhortant les amateurs être extrêmement sévères dans leur sélection d'hiver, car, dit- il, du train dont marche le sport colombo phile, l'avenir et le succès appartiendront aux petites colonies, bien sélectionées et bien conduites. La situation des cultures d'arrière saison peut être considérée comme satisfaisante pour le mois de novembre dernier. Les fai bles gelées nocturnes, qui se produisirent durant ce mois, n'ont guère causé de dé gâts, et le développement des légumes d'hi ver a pu se continuer normalement. Les cultures de mâches, de choux de Bru xelles et de poireaux se présentent dans de bonnes conditions. La récolte des choux, des endives, des céléris et laitues d'automne a encore pu se poursuivre. Les cultures d'épinards sont en général bien venues. Dans quelques endroits tou tefois, on signait des dégâts causés par la maladie du blanc. Les chaux rouges ont également donné un résultat moins bon. Les tomates tardives sous verre ont été vendues bas prix. L'hivernage des légumes de provision a pu être effectué dans de bonnes condi tions. La vente des légumes s'effectue norma lement. Les prix de la chicorée witloof après avoir fléchi légèrement, se sont sensible ment relevés dans la suite. La température modérée qui régna du rait le mois de novembre a été très favo rable pour la plantation des arbres frui tiers. Celle-ci s'est effectuée sur une échelle assez importante dans la plupart des ré gions fruitières du pays elle comprend notamment des pommiers et des pruniers. Les travaux d'élagage et d'entretien des vergers ont été entrepris dans de bonnes conditions. On signale également que la plupart des pommiers et des poiriers sont couverts de boutons fruits. La vente des fruits se fait des prix avantageux. Toutefois leur conservation semble laisser désirer. (Comm. du Ministère de l'Agriculture.) TYPE B. Affections Utérines Suites de Couches Descente ou déviation de Matrice TYPE D. Ptôse de l'estomac TYPE E. Affections Abdominales TYPE G. Ceintures de Maternité. TYPE H. TYPE K. Spéciale pour conducteurs d'autos ou Motos. Mauvais Maintien. Nous acceptons aussi les ordonnances de Messieurs les Docteurs, qui pourront stipuler un point faible renforcer, et leurs prescriptions seront scrupuleusement suivies. Réduction de 5 tous les lecteurs du journal LE SUD sur présentation de cette annonce. TYPE A. Ptôse Abdominale Abaissement de l'estomac Hernie Ombilicale TYPE C Rein Flottant

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Le Sud (1934-1939) | 1936 | | pagina 11