3.193 CésarMottrie GRÈS BEI ,GE de Warneton Marchés WÊk 1.168.570 acheteurs ont donc fait pour vous l'expérience «le Chevrolet Léon Grille! PETITES ANNONCES A BATTU TOUS SES RECORDS M1WT le LE SUD, dimanche 15 août 1937. Pour les petites annonces, et la cor respondance qui s'y rapporte, nos lec teurs sont priés de s'adresser chez BOUDRY-TEMPERMAN, Imprimeur, Rue de Menin, 25, Ypres. Tel. 247. Le tarif est de 1 franc la ligne avec minimum de 5 francs par insertion. Pour un placement sûr Ne cherchez pas ailleurs con.'ier vos. capitaux qu'à LA CAISSE HYPO THÉCAIRE ANVERSOLSE piesdr soixante années d'existence). Adressez-vous ADOLPHE SIX, place Houthem (Ypres l -ui vous h.,., nera tous les renseignements et sans engagements. BONNE SERVANTE sachant cuisine est demandée. 47, Rue de Dixmude YPRES. me Agent de change correspondant près de la Bourse de Bruxelles. 31, RUE DE MENIN, YPRES Téléph. 144 BOURSE TITRES COUPONS CHANGE Bureau ouvert le dimanche pendant la saison. 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Un grand nombre de temples, parmi lesquels de véritables joyaux d'art, ont été totalement rasés ce travail inique on a obligé de pauvres prêtres prendre part. De célèbres ima ges, objets d'une vénération séculaire, ont disparu pour toujours, détruites ou brûlées. En bien des localités. 1 au torité a obligé les citoyens remettre tous les objets religieux au'ils possé daient pour les détruire publiquement. Le mouvement nationaliste a rétabli l'ordre là où il est le maître. D'abord, en raison de l'esprit de ce mouvement car la nation espagnole, dans son immense majorité, n avait rien de commun avec son Gouverne ment qui ne put incarner ses néces sités et ses aspirations profondes et ce mouvement fut accepté comme une espérance par la nation entière dans les régions non libérées, elle attend avec impatience de pouvoir rompre la cuirasse des forces communistes qui l'oppriment. 11 est aussi national en raison de son objectif, en tant qu ils essaye de sauver et maintenir l'ave nir l'essence d'un peuple, organisé en un Etat oui sache continuer dignement son histoire. Nous exprimons une réa lité et une aspiration générale des ci toyens espagnols nous n indiquons pas les moyens de la réaliser. Au sein du mouvement national s'est produit le merveilleux phénomène du martyre véritable martyre, cofnme dit le Pape de milliers d'Espagnols, prêtres, religieux et civils et ce témoi image du sang devra conditionner l'avenir, sous neine d'une immense res ponsabilité oolitiaue, l'attitude de ceux qui anrès la guerre auront construi re le nouvel Etat dans le calme de la paix. Le mouvement national a assuré or dre sur le territoire don» il est maî tre. Comparons la situat'o" dans les rêvions où il a orévalu celle des pro vinces où les communistes sont enco re les maîtres, sans prêtres, sans égli ses, sans culte, sans iustice sans au torité elles sont la proie d'une anaT- ch:e terrible de la famine et de la misère. Par contre, au milieu des efforts et des douleurs terribles de la guerre, les entres régions vivent dans la tran- onili'lé de l'ordre ;nt£rie,.e SOUS l'égî- de d'une aijln-S- nrineioe de l'ust-:-- de la n»:x et du oro- «s nui seuls assurent la fécondité de t- «ociale Tand-s c'en fan?anp r——-ia on «rit sans D*eu, dans les régions indemnes ou reconquises on cé lèbre partout le culte divin et de nou velles manifestations de vie chrétienne se multiplient et fleurissent. CONDAMNATION DE L'ATTITUDE DES CHEFS BASQUES. Nous tenons exprimer ici toute no tre admiration pour les vertus civiques et religieuses de nos frères basques. Notre charité s'est vivement émue du grand malheur qui les afflige, et que nous considérons comme nôtre, parce que c'est celui de la patrie. Nous avons été profondément peines de l'aveugle ment de ses chefs une heure grave de son histoire. Mais nous les réprou vons sévèrement de n'avoir pas écouté la voix de l'Eglise, et d'avoir laissé se réaliser (chez eux ce contre quoi le Pape met en garde dans son encycli que sur le communisme Les agents de destruction, qui ne sont pas telle ment nombreux, profitent de ces dis cordes (entre catholiques), les rendent plus aïgues et finissent par lancer les catholiques les uns contre les autre pour se combattre mutuellement eCux qui travaillent augmenter les dissensions entre catholiques, assument une terrible responsabilité .devant Dieu et devant l'Eglise Le commu nisme e=t intrinsèouement pervers, et on ne peut admettre que ceu* eu' veu lent seuveT la civilisation chnétenne collaborent a-rec eux. sur aucun ter rain Plus les régions où le com- muri«Tue narrent pénétrer, se dis- t'nguent par l'antiqu'té et la gTandeur de leur civilisation chrétienne plus la haine des sans-Dieu s'y montrera dévastatrice. Appel pathétique la charité de tous les chrétiens. Nous vous demandons. Vénérables Frères ,de déplorer avec nous la gran de catastrophe nationale de l'Espa gne... L'oubli de la vérité et de la ver tu, dans l'ordre politique, économique et social nous a valu cette épreuve. Nous avons été mal gouvernés, car, comme dit saint Thomas. Dieu fait régner l'homme hypocrite cause des péchés du peuple. A votre pitié, ajoutez la charité de vos prières et de celles de vos fidèles, afin que notre patrie puisse bien vite se reconstruire, afin qu'on puisse endi guer cette inondation du communisme oui terri faire disparaître l'Esprit de Dieu et l'esprit de l'homme, seuls pô les qui ont soutenu les civilisations pas- YPRES, Mercuriale du samedi 7 août 1937. Froment. 146-150. Seigle. 136-140,Avoine, 122-125. Orge de brasseurs. 120-122.Id. four- raaère. 110-114.— Pois. 124-126.— Féveroles, 120-125,Pommes de terre, 40-50 60-65. Beurre, 22,50- 23,œufs. 0.50 Porcelets. 120-160 la tête 5-5,50 le kilo Lin brut. 85- 90,Graine de trèfle (ord.), 22-26; Id. blanc. 26-28,Id. batard, 24-26 M. rouge incarnat, 27-29. Id. blanc incarnat, 23-30. Betteraves four ragères. 80. Le duc et la duchesse pardonnèrent en 1385 ceux de Gand toutes offen ses et méffais condition qu'ils soient bons, loyaux, et vrais subgès de nostre dit seigneur le roy comme leur seigneur souverain et de nous duc, leur seigneur naturel, cause de Mar guerite notre compaigne Ils promi rent aux châtellenies et villes de Cour- trai, Audenarde, Grammont, Ninove, Termonde, Ruppelmonde Alost Dein- ze et aux quatre métiers du pays de Waes la confirmation de leurs lois et coutumes. Le pardon s'étendait aux bannis de ces localités. Ceux de Gand devaient renoncer toute alliance avec l'Angleterre, al liance contraire aux intérêts ducaux de ce chef il leur était consenti que la marchandise ait cours fiancement et litement par toute la Flandre. Ces actes étaient garantis par les sceaux du duc et de la duchesse de Bour gogne,. de Jeanne, duchesse de Luxem bourg .d'Albert de Bavière, comte de Hainaut, de Guillaume de Namur, d'Hugues d'Antoing, de Jean de Ghis- telles, d'Henri de Beveren, de Jean de la Gruuthuse d'Arnould de Gavre. de Jean d'Axel, de Loys, bâtard de Flan dre de Gérard de Rasseghem, de Wau- tier d'Halewyn, de Philippe de Mas- mines, de Jean d'Oultre de Louis de Roulers et des villes de Malines et d'Anvers. Le 25 janvier 1 386, le duc et la du chesse fondèrent un anniversaire per pétuité en l'église de l'hôpital St Jean Bruges pour le repos de l'âme du roi et de la reine de France, du Comte Louis de Maele et de Marguerite de Brabant. L'approche de la formidable armée de Charles VI en Flandre pour préparer la descente en Angleterre, provoqua des mesures spéciales en vue d'éviter des troubles. Le 1 1 août 1 386 le duc expédia de Paris au magistrat de Bruges des let tres lui enseignant de n'admettre dans la ville que des gens d'état tels que chevaliers, écuyers et officiers son service ou celui de ses oncles et autres de son sanc Le 20 août le duo enjoignit la loi de Courtrai d'empêcher l'entree dans la ville aucures gens d'armes n'est en tel nombre que les bones gens de la ville soient toujours les plus forts L'entrée Bruges de Charles VI s« fit avec une magnificence sans pareille- La suite royale fut comblée de Pûr sents chevaux de race caparaçonnes d'or et de soie, étalons, juments, joyaux, orfèvreries, perles, vin, etc. On donna au roi une coupe d or en-| richie de oerles ainsi qu'une aiguie'el entourée de pierres et de oerles quel Pierre Adornes fut chargé d aller rir Paris. Le duc de Berry een rood tellende paerd c'est air un palefroi bai avec selle et hanarc ment de velours le duc de eut en cadeau des lots de vin de Kn»| de Beaune, de la cire et du drap J Lucques. Au duc de Bourbon échut i magnifiqe étalon sellé et harnac e au Comte de Nevers deux courS^rL achetés Anvers, un gobelet t meil. une aiguière émaillee d «c ainsi oue trois draDs de dam»8 e soie venant de Venise. Le projet de descente en échoua et le dénar* rie» franc."" sionna une révolte ries F—igeo'8 lit périr le duc de Berry.

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Le Sud (1934-1939) | 1937 | | pagina 16