Courtrai CHRISTIAEN Automobilistes, Coipapie Belge ûssracis dis filasses kopdk Telefunken Philips La Voix de son Maître Novak - Scarabée S. B. R. - Point-Bleu - etc. La Maison M. COMYN REGOM PNEUS Baron Noël de VINCK Zonnebeke Daniel LELEU L'Assistait ce Publique et la San'é Publique. 28, Rue au Beurre, YPRES 'LE SUD, dimanche 26 décembre 1937. C'est avec une grande satisfaction que Le Sud a appris la visite de M. le Ministre Marck Courtrai. A plusieurs reprises nous avions souligné les graves préjudices causés par les passages niveau. M. Marck a voulu fV» rendre compte personnellement, et voici ia relation de cette utile visite Mercredi matin, M. Marck, ministre des Transports, accompagné de MM. Rigaux, son chef de cabinet et Gorickx, directeur gé néral des Travaux publics est venu examiner Courtrai le problème de la suppression •des passages niveaux. On sait que ceux-ci sont au nombre de huit et encerclent com plètement la ville. Déjà avant-guerre, un projet tendant au relèvement des voies ferrées avait été éxa- miné en haut-lieu. A la gare, le Ministre fut reçu par M. A. Mayeur, bourgmestre, qui lui souhaita la bienvenue. Les notabilités se rendirent en voiture l'hôtel de ville ou M. Mayeur les présenta aux différentes personnalités présentes. Par mi celles-ci, MM. Dejaegere et Coussens, députés Bossuyt, sénateur Gillon, éche- vin Doutreluigne, secrétaire communal, etc. M. Demeyere, commissaire royal pour la région frontalière, qui examina longuement la question et en fit un rapport très char penté était également présent. M. Mayeur, souhaita nouveau la bienve nue M. Marck. Il fit rappel d'une récente visite Courtrai de la Commission Sénatoria le des Travaux Publics et souligna l'urgence du problème, M. Marck après avoir remer cié l'orateur, affirma avoir procédé un examen approfondi du problème qui est très délicat résoudre. Le Ministre reconnut que la situation ac tuelle paralysait l'activité industrielle de Courtrai et faisait perdre aux usagers, indus triels et commerçants, de fortes sommes cha que année. Il en acquit d'ailleurs la certitude en visi tant les passages niveau encerclant le cen tre Une foule extrêmement nombreuse a assis té hier aux funérailles de M. Robert Ver- maut, ancien bâtonnier du barreau de Cour trai, chevalier de l'ordre de la Couronne. A la levée du corps toute la magistrature et le barreau de Courtrai ont rendu un ulti me hommage au regretté défunt. A l'issue de l'office religieux célèbre, 11 h., en l'église décanale Saint-Martin, le cortège funèbre, prit le chemin du cimetière Saint-Jean, où eut lieu l'inhumation. Le deuil était conduit par M. le chanoine Vermaut, curé-doven d'Ypres. et frère du défunt. Les coins du poêle étaient tenus par MM. La- grange, président du tribunal de première instance, Callewaert, président du tribunal de Commerce. Moerman, juge de paix, Ruys- sen, président de la Chambre des avoués, Mostaert. procureur du Roi et Van Tyghem, bâtonnier actuel du barreau de Courtrai. Assistance nombreuse l'office religieux car le défunt ne comptait que des amis. Marché aux volailles, gibier, etcLa pins, 7 fr. le kg. poulets 13 fr. poules 12-13 fr. pièce. pigeons 3 fr. pièce. canards 12 fr. oies 20 fr. lièvres 20 fr. pièce. Légumes et fruits. Carottes, 0,75 le kg. chicorée de Bruxelles, 2,50 le kg. choux 0,75 pièce. navets 0,50 le kg. tomates, 3 frs choux-fleurs 3 fr. pièce céleris 1.25 fr. la botte. poireaux 1,50. portimes 2 fr. lé kg. poires, 3 fr. rai sins 14 fr. le kg. FRANÇAIS EN BELGIQUE. L'Agence consulaire de Courtrai nous com munique une note avec prière d'insérer tej; jeunes Français. Oui auront 20 ans en-5 tre'ïe 1er janvier 1938 et le 31 décembre 1938. les ajournés, les omis des classes pré cédentes ou ayant bénéficié de la convention (suite de la première paee mêmes, accomplir chacune, grâce sa pro pre expérience, tous les progrès que l'on est en droit d'exiger de la technique et de l'or ganisation. Le Ministère de la Santé publique doit guider, aider, stimuler, mais ne peut ni se substituer l'activité des assistances publi ques ni exercer sur leur patrimoine une in fluence déterminante, qui détournerait celui- ci de la fin assignée par les donataires. Il suffit déjà, que l'Etat, perpétuel, faux- monnayeur, ait spolié le capital des pauvres et, depuis la guerre, l'ait exproprié des 9/10 de sa valeur, pour qu'il ne vienne pas ré partir le dernier dizième. De Ministère de la Santé peut GUIDER, il ne doit pas GERER. Mais, me direz-vous, que faut-il pratique ment faire Il nous parait que le devoir des Commissions dé l'Assistance publique est de se mettre, dès maintenant, juridique ment couvert, contre les détournements éventuels du Ministère de la Santé. Les éléments sont suffisamment -nombreux pour que les Commissions de l'Assistance pu blique puissent se déclarer inquiètes. Elles ont le droit d'adresser, dès maintenant, une lettre officielle au Ministère de la Santé, par laquelle, elles font part de cette inquié tude, elles affirment leur volonté d'être seules responsables de la gestion de leur pa trimoine séculaire, et elles demandent au Ministère de leur confirmer que le départe ment de la Santé publique n'a en rien l'in tention de les obliger, d'une manière direc te ou indirecte, utiliser leur patrimoine une quelconque destination imposée par le Ministère compétent. Elles, et elles seules res tent maîtresses absolues de cette gestion. El les y sont d'ailleurs moralement obligées, et n'auraient en rien le droit de s'incliner de vant toute autre décision du Ministère. Ainsi les Commissions dé l'Assistance pu blique recevraient une réponse du Minis tère, qui devrait être bien précieusement clas sée dans leurs archives. Ce serait la recon naissance absolue du caractère sacré de leur patrimoine, et pour prendre l'exemple par lequel nous commencions ces articles, les Commissions d'Ypres, de Bruges et de Courtrai seraient assurées, que jamais leurs biens ne seront étatisés, ou leurs institu tions neutralisées Et si le Ministère voulait poursuivre dans la voie de la création de Centres de Santé, rien ne ferait obstacle ce qu'il suggère, très gentiment et très poliment, en bon ser viteur de l'intérêt général, la Commission de l'Assistance Publique de telle ou telle ville, de créer dans ses murs ce Centre, condition que celui-ci ne fasse pas double emploi avec des cliniques dues l'initative privée Car ce serait provoquer de nouvelles broussailles ce que M. Vandervelde dé testait. En d'autres mots, ayant lu fort attentive ment de nombreux articles sur ce débat fa meux de la médecine préventive et de la médecine curative, nous demandons aux Présidents et aux Membres d<es Commis sions de l'Assistance publique, de suivre le Ministère de la Santé publique dans la voie de... la médecine préventive Une fois n'est pas coutume. Avant que le mal de l'étatisation, cet hor- n-m.vw" rrrrm franco-belge, ainsi que les indigènes algé riens non nationalisés résidant dans l'arron dissement judiciaire de Courtrai, sont invités se présenter avant le 31 janvier 1938 l'agence consulaire de France, rue de Coucke- laere, tous les jours de 10 12 h., sauf les dimanches et les jours de fêtes. En vue de leur inscription sur les tableaux de recensement, ils devront être munis d'une carte d'identité, de leur bulletin de naissan ce du livret de famille de leurs parents ou du leur, s'ils sont mariés. rible mal cancéreux, d'une guérison si dou loureuse, ne soit entré dans la gestion de l'Assistance publique, que ces Messieurs pra tiquent une cure rapide et salutaire. Qu'ils se hâtent de constituer un petit dossier. Il ne faut qu'un échange de lettres bien pré cises. Ainsi chaque chose sera remise sa place, et le ministère de la santé publique aura le bonheur de ne plus être soupçonné de poursuivre de noirs desseins. Nous communiquons les dates des tournois fondations ne seront pas utilisées pour con struire, grâce elles, les citadelles politiques et philosophiques, dont il faudrait, peut-être, hélas par la force, chasser un jour lys féo daux matérialistes. Espérons que la cause est entendue. D'ici, quelques semaines nous ferons une enquête pour connaître le résultat de ces échanges de lettres. C. v. R. POSSEDE LE PLUS GRAND CHOIX D'APPAREILS DE T. S. F. 395 ■BK de toi pneu, i on 4, Place vu den Pcoreboom, YPRES. TéL 103. CONSEILS GRATUITS TOUTES REPARATIONS. Vous y trouverez toutes les marques de pneus neufs garantis et aux conditions les meilleures. SERVICE DE GONFLAGE GRATUIT. EN WESTFLANDRE LA VOUS ASSURE VOUS SOUTIENT VOUS DÉFEND. SA CARACTÉRISTIQUE LA RAPIDITÉ DANS LE RÈGLEMENT DES SINISTRES. Siège social GAND. Inspecteur pour le Sud de la WESTFLANDRE: L. TOUSSEIN, 475, Ch. de Ghistelles, St-ANDRE-BRUGES AGENTS DANS LE SUD YPRES et environs COMJLNES 27 0

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Le Sud (1934-1939) | 1937 | | pagina 4