Les grands Rumbeke. Tennis Hôtel Excelsior A utomobilistes, magasins M. COHYN REGOM PNEUS LE SUD. 22 mai 1938. obtenir le Uoroétrege de toi poen, on den Peereboom, YPRES. Têt 103. 4 Le commerce intéressé la concur- xence des Grands Magasins rayons multiples est celui qui vend des articles de nécessité. Les G. M. rayons mul tiples ne vendent pas d'articles de luxe. S'ils en exposent c'est pour attirer la clientèle, mais la vente de ces produits est nulle. Pour les articles de consommation courante, ces G. M. sont-ils une con currence pour le petit commerce J'es time que non condition que ce petit commerce soit exercé de façon logique et compétente. Le G. M. est fait pour la masse. La masse distingue mal l'objet de choix. Aussi le G. M. ne recherche-t-il pas les objets délicats mais ceux de goût criard, qui sont standardisés, et plaisent le plus au grand nombre. La masse ne connaît pas la valeur de tel ou tel objet. Elle ne reconnaît pas la qualité. Elle achète d'après l'apparence. "Le G. M. se fournit de qualités spé ciales faites pour lui, de belle apparence, mais moins chères "et partant moins bons que les articles normaux. La masse est changeante et anonyme. Le G. M. aussi est anonyme. Que quelques clients se plaignent et ne reviennent pas, le G. M. s'en moque. Un client de perdu sera remplacé par 10 clients de passage. Enfin la masse est timide. Elle n'ose pas entrer sans acheter dans le maga sin tenu par son propriétaire, lui faire déballer 10 articles pour rien. Tandis La quatrième Foire Provinciale pour la Flandre Occidentale, se tiendra au Parc de Rumbeke du 10 au 21 juillet 1938. L'Etablissement du Parc de Rum beke, disposant de locaux nombreux et spacieux, situé au centre de la Province, dans un cadre de verdure et de fleurs, se prête admirablement l'organisation d'expositions et -de foires. Toutes firmes commerciales du pays sont invitées prendre part la foire de 1938. Les conditions de participa tion sont particulièrement favorables le prix de location des stands est en tièrement ristourné aux exposants au moyen de cartes d'acheteurs et de ré clame gratuite dans le journal de propa gande de la foire. Les industriels ou commerçants qui s'intéressent cette foire et qui n'ont pas encore reçu la circulaire prospectus, sont priés de s'adresser au comité orga nisateur des Foires au Parc de Rum beke, Rue haute, 3, Rumbeke. mmtfW Etude du notaire G. DEVOS, Wervicq VENTE PUBLIQUE d'une belle VILLA-COTTAGE, avec remise et jardin, le tout situé Wer vicq, rue de la Barrière, contenance totale 2 a. 52 ca. Occupée par le pro priétaire M. Hollebecque. Libre de jouissante 2 mois après l'adjudication. Mise nrix la somme de 45.500 fr. Adjudication Mercredi 1 juin 1938 4 h. de relevée chez M. Lecompte A. Place St Martin Wervicq, café Hôtel de Ville j Plans et renseignements en 1 etude du notaire Devos. que dans le G. M. elle n'a faire qu un personnel payé pour la servir et qui doit être poli, même avec les clients qui ne le sont pas, ou qui n'achètent pas. Si l'on ajoute que le G. M. a des frais généraux proportionnellement bien plus grands que le détaillant, il en ré sulte que le G. M. ne peut vendre qu'en comprimant les prix des fournisseurs en exigeant des délais de paiement considérables en payant parcimonieu sement la majorité de son personnel en vendant grand renfort de coûteu ses réclames, des marchandises de se cond ordre. CHRONIQUE SPORTIVE QUELQUES NOUVELLES SPORTIVES. DIVISION IU DAMES En pratique, de nombreux cas peu vent le prouver, le G. M. vend plus cher que le détaillant probe et connais sant son métier. Que doit faire ce dernier pour lutter Sa clientèle n'est pas la masse et n'est pas le passant, c'est le client satisfait qui revient -et amène ses amis. Le détaillant doit avoir ou goût, étu dier ce qui plait et se former par la con versation avec les représentants de fa briques (Il y en a de très compétents) et par l'étude du goût de-sa clientèle de choix. Le détaillant doit connaître son mé tier fond pour savoir acheter et pour apprendre, ses clients distinguer l'article sérieux de la camelote. Un client qui sait acheter va toujours chez un spécialiste et jamais dans un bazar. Celui qui vend honnêtement a tout in térêt le faire constater par ses clients. Le détaillant ne doit négliger, aucun client, même le plus petit, il doit être tout aussi prévenant pour celui qui n'achète pas, parce qu'il n'a pas trouvé ce qu'il voulait ou au prix qu'il voulait. Il doit mettre son client l'aise, ne ja mais lui forcer la main et avoir tou jours en tête cette idée que ce client achète ou non, qu'il achète plus ou moins cela n'a pas d'importance, une seule chose compte, qu'il sorte satisfait et qu'il revienne. Enfin, le détaillant doit être probe, c'est dire, vendre avec un bénéfice régulier et convenable, ne pas faire de prix d'après la tête du client. Comment établir un prix de vente normal D'après celui de la concur rence D'après le maximum que l'on peut obtenir Non Un commerçant digne de ce nom, calcule son prix coûtant, y ajoute un pourcentage de frais généraux, puis un bénéfice en rapport avec son travail et ses risques. Pas plus qu'on n'a le droit d'exploiter les vices d'autrui (ce qui est la définition de l'usure) le com merçant n'a le droit de tenir compte, pour établir sa marge bénéficiaire, de l'incompétence, de la naïveté ou de la timidité de l'acheteur. Cette règle ne touche évidemment pas les produits de luxe qui comme les objets d'art, ont une valeur tout fait exceptionnelle cause de leur rareté, de leur réputation ou de celle de leur au teur. Tout le monde est d'accord pour re connaître que le Parlementarisme doit être réformé, et les réformes consistent toutes remonter aux principes qui l'ont fondé l'origine. Mais lç commerce de détail doit aussi remonter aux temps anciens où les Grands Magasins n'existaient pas, où chaque concurrent, vendeur et acheteur connaissait son métier fond et concur rençait ses voisins, non par les prix, mais en tâchant de vendre meilleur. Au temps où les clients fournis et éduqués par ces commerçants, savaient acheter et ne se laissaient pas tromper. Au temps enfin où les principes mo raux étaient en honneur dans le com merce et faisaient sa gloire et sa fierté. Dans cea conditions le petit magasin ne doit pas craindre la concurrence des grands magasins pourvu que ceux-ci ne soient pas protégés par les lois fiscales. 1 Dimanche dernier, s'est disputé Milan, la rencontre de football Italie- Belgique. Nos compatriotes fournirent un très beau premier time, marquant même le but initial, mais n'existèrent plus durant la 2e partie et de ce fait, s'inclinèrent par le score élevé de 6-1. 2) Samedi passé, devant plus de 100 mille spectateurs, l'Angleterre a battu l'Allemagne par 6-3, après une partie tout l'avantage des Anglais. Les Al lemands n'avaient plus été battus de puis 13 rencontres consécutives. 3) En Angleterre, la coupe a été gagnée par North End Preston sur Huddersfield par 1-0. L'unique but de la partie fut marqué sur penalty. 4) Arsenal, champion d'Angleterre, après son dernier match de champion nat, s'est rendu en Hollande où il a perdu par 1-0, contre toute attente. 5) Il est plus que probable qu'à l'oc casion de la ducasse, Warneton orga niserait un match contre le R. C. S. Brugeois et l'Olympique Lillois. 6) A l'occasion de la kermesse, le S. K. de Vlamertinghe a rencontre en un match amical, le F. C. de Bergues. Les rouge et blanc, après .une partie peu intéressante, remportèrent la vic toire par 4-3. 7) Le fameux match opposant l'é quipe Veys au restant des équipiers de Vlamertinghe, aura lieu le lundi de la Pentecôte Vlamertinghe, soit le 6 juin 1938. 8) Le gagnant de la coupé d'An gleterre, matchant Paris le R. C. de Paris, a battu celui-ci par 4-2, alors qu'à la mi-temps les Français menaient par 2-0. 9) En France, le F. C. de Sochaux a remporté le championnat, tandis que Marseille, classé 2me a remporté la Coupe de France. 10) A Milan également, l'équipe B d'Italie a remporté la victoire par 4-1 contre le Luxembourg. Au St Georges T. C. de Courtrai, l'équipe locale recevait, le jeudi 12 mai l'équipe du L.T.H.C. de Bruges. Les visiteuses y remportèrent une belle vic toire fort inattendue, mais bien méritée. Le match Mme Roose-Mlle Proot fut fort disputé les deux joueuses, au jeu franc et spectaculaire, semblaient être bien en main, et fournirent une partie belle et agréable suivre. Mlle Proot remporta une belle vic toire sur Mlle S. Deroubaix. Son coup rapide gagnerait beaucoup être plus soigné, c'est-à-dire, plus adapté aux balles qui lui sont envoyées. Il est regrettable que la 3me joueuse de Courtrai, Mme Goethals ne put prendre part cette rencontre, car un match contre Mlle A. Kerkhofs n'au rait certainement pas manqué d'intérêt. Sa remplaçante, Mlle E. Hollande fut nettement dominée par son adversaire. Le match Mlle A. Algrain-Mlle Van Lerberghe fut plus long et moins inté ressant suivre, étant donné que de part et d'autre, les joueuses ne sem blaient pas être fort en main. Le premier double, qui opposait Mme Roose-Mlle S. Deroubaix Mlles C. et E. Proot fut fort disputé et fort joli; il se termina l'avantage des joueuses brugeoises. Le match Mme Van Branteghem-1 Mlle D. Van Lerberghe contre Mlle A. Kerkhofs-A. Algrain fut moins disputé. Après avoir été menées par 5 jeux 3, les brugeoises se resaisirent et mar quèrent 7 jeux d'affilée. Notons que Mlle A. Kerkhofs termina de nombreux points par de jolis croisés et par des balles longeant les lignes, tandis que Mme Van Branteghem joua très bien au filet. Voici les résultats Simples. Mlle Christiane Proot bat Mme Pierre Roose par 6-4, 6-4. Mlle Elisabeth Proot bat Mlle Su- UN RESTAURANT DE PREMIER ORDRE A L' Grand'Place YPRES. SA CUISINE EXQUISE SES VINS DE CHOIX. SPACIEUSE SALLE POUR NOCES ET BANQUETS DEMANDEZ NOS PROJETS DE MENUS. 388 4. CONSEILS GRATUITS TOUTES REPARATIONS. Voue y trouverez toute* le* marque* de pneu* neuf* garantis et aux conditions le* meilleure*. "Vî Léon de Savignac. SERVICE DE GONFLAGE GRATUIT

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