Compagnie Belge ûsseraecis des Blesses Mogeooes Léon Grillet Baron Noël de VINCK Zonnebeke Daniel LELEU PETITES ANNONCES —a LE SUD, dimanche 24 jinllet 193g Pour le* petite* annonce*, et la cor respondance qui t'y rapporte, no* lec teur* «ont prié* de «'adresser chez BOUDRY-TEMPERMAN, Imprimeur, Rue de Menin, 25, Ypres. TéL 247. Le tarif est de 1 franc la ligne avec minimum de 5 francs par insertion. Agent de change correspondant près de la Bourse de Bruxelles. 31, RUE DE MENIN, YPRES Téléph. 144 BOURSE TITRES COUPONS CHANGE Bureau ouvert le dimanche pendant la saison. A VENDRE D'OCCASION Superbe Appareil photographique plaques 9X12, objectif double anas- tigmat, avec 1 2 châssis et châssis film- pack, ainsi que filtre contrastes, vendre moitié prix. Demander renseignements Maurice Dumez, Rue Neuve, 34, Wervicq. Etude du Notaire THEVELIN Messines EN WESTFLANDRE LA VOUS ASSURE VOUS SOUTIENT VOUS DÉFEND. SA CARACTÉRISTIQUE LA RAPIDITÉ DANS LE RÈGLEMENT DES SINISTRES. Siège social GAND. Inspecteur pour le Sud de la WESTFLANDRE: L. TOUSSEIN, 475. Ch. de Ghis telles, St-ANDRE-BRUGES AGENTS DANS LE SUD YPRES et environs COMINES 1 270 Etude du Notaire P. SIMPELAERE LA PANNE VENTE PUBLIQUE de I. Une belle maison bourgeoise, avec jardin, contenant 3 a. 10 ca. située Neuve-Eglise, dans la Rue du Seau, Inoccupée. La maison comprend 4 places et dépendances au rez-de-chaussée 4 chambres l'étage, grenier, cave, eau, gaz, électricité. Pour visiter s'adresser chez Jules Dutrie Neuve-Eglise. II. Plusieurs parcelles de très bon nes terres labour et pâtures, très bien situées Neuve-Eglise, cadas trées section A Nos 5 21 /a, 521 /f 518, 517, 475. 434 et 527 conte nant ensemble 5 h. 29 a. 50 ca. Divisées en 6 lots. Occupées jusqu'au Ir octobre 1946 par Mr. Victor Delbée-Hosdez, moyen nant 5.000 frs. l'an outre les contri butions, revisible tous les 3 ans. Droit d'accumulation. Voir affiches avec plan. Propriétés des époux Cyrille De- puy d t-Va nde nbe rghe SEANCE MARDI 26 JUILLET 1938 2 heures de relevée au prétoire de la Justice de Paix Messines, sous la présidence de Monsieur le Juge de Paix du canton de Messines. Etude du Notaire André VAN DER MEERSCH YPRES, 86, rue de Lille. LUNDI 25 JUILLET 1938, 3 heures au Châlet des Bains chez Mr. De- ramoudt Coxyde-Bains. Mise-à-prix de' blocs de beaux terrains bâtir Oostduinkerke 62 a. 80 ca. l'Ave nue Albert 52 a. 03 ca. l'Avenue Astrid 44 a. 35 ca. la rue des Sports 31 a. 83 ca. l'Avenue de Versailles. Divisé en lots. Un terrain Coxyde 19 a. 09 ca. l'Avenue Cen trale. 1/2 prime de mise-à-prix. (Pour détails voir affiche). LES DROITES EN DEBANDADE (Suite de la Ire page) MARDI 26 JUILLET 1938, 3 3heures de relevée au Café Old Tom Grand'Place Albert I, Ypres VENTE PUBLIQUE d'une BELLE MAISON D'HABITATION nouvellement construite YPRES, rue de la Bascule, No 1 3, avec 203 m* de fonds et de jardin. Libre d'occupation. Munie de gaz, électricité et de l'eau de la Ville. A visiter, tous les jours de 2 4 h. La clef repose chez les Frères De Plancke, Chaussée de Zonnebeke Ypres. ïï^^^^ûmê^ruwântTWervîc^" lations avec les Droites une attitude de grande discrétion. Respectueux de la mission de chacun, le parti n'a pas con fondu l'opinion catholique et les man dataires de la Nation. Interprète auto risé de la volonté des catholiques dans la vie publique, il s'est défendu cepen dant d'opérer sur les élus qui se qua lifient catholiques, une pression trop tâtillonne. Deux mesures seulement ont été pri ses cet égard et l'on s'y est tenu jus qu'ici. D'une part, les statuts du Bloc portent que les Droites de la Cham bre et du Sénat s'inspireront des direc tives tracées par le Directoire, de l'avis du Conseil ou de la décision du Con grès le premier Congrès du Bloc, en octobre dernier, a précisé, d'autre part, que toutes les organisations re levant du Bloc, y compris les Droites parlementaires, sont liées par les déci sions du Congrès et il a suggéré en même temps aux Droites l'adoption d'un projet de règlement dont le Con grès présentait la formule. En gardant cette prudente réseive, le Bloc a laissé intacte la liberté d'ac tion nécessaire ceux qui agissent sur le terrain parlementaire. Dans les ques tions politiques d'actualité, le Bloc se borne de la sorte indiquer d'une fa çon générale la voie suivre. Voyant les choses de haut, il se doit, en effet, d'exprimer avant tout un programme et de se tenir avec soin dans la défense des principes. Quant la réalisation immédiate de ses idées, d'autres en connaissent les conditions concrètes ces conditions changent de jour en jour elles exigent une vigilance incessante et une faculté d'initiative immédiate. C'est aux dépu tés et aux sénateurs, en somme, qu'il revient de fixer, aux Chambres, un plan de tactique quotidienne. Le Bloc savait cela et c'est pourquoi il a respecté cette règle élémentaire de partage dans la compétence et de divi sion dans le travail. Mais le Bloc sup posait en même temps que les Droites parlementaires entreraient comme lui dans les voies d'une réorganisation pro fonde. Il avait la conviction que, 1 exemple des catholiques du pays, re groupés neuf, les mandataires feraient un effort exceptionnel pour former en tre eux le front unique. Il comptait, en somme, voir l'esprit du Bloc gagner les Droites et les entraîner l'union. Force nous est bien de constater, au terme d'une session parlementaire, que 1 épreuve s'achève en sens contraire. Nous ne négligeons-certes pas les votes massifs émis par les Droites en maintes occasions. Elles se sont ainsi confor mées aux décisions des Congrès du Bloc sur les points de programme que celui- ci avait nettement précisés .Mais lors que, dans l'intention que j'ai notée plus haut, les Congrès ont laissé aux Droi tes toute latiude pour élaborer la ma noeuvre, celles-ci se sont empressées d'en profiter pour se disloquer. Ainsi, lorsqu'il s'est agi de prendre position vis-à-vis du Gouvernement Janson ainsi encore quand il fallut apprécier les réductions apportées au budget extra ordinaire je passe 'es expériences se condaires. Nous savons fort bien ce qu'on nous répond les élus du suffrage universel, dit-on, doivent voter suivant leur con science ils sont comptables avant tout devant leurs électeurs nul ne peut exi ger d'eux une obéissance moutonnière. La conscience est en effet chose sa crée, mais on nous permettra d'ajouter que seule la conscience bien informée est un guide sûr. Or, lorsque sur les 63 députés catholiques que compte la Chambre, il se sera formé 63 variétés particulières de conscience politique, agissant chacune dans la rectitude et la loyauté d'une conviction personnelle, on cherchera en vain comment cette poussière de volontés arriverait encore remplir ce qui reste quand même, je suppose, la mission d'un député exer cer une influence sur l'Etat. Voilà l'élément capital qui paraît échapper l'examen de ces conscien ces si jalouses et si scrupuleuses elles ne voient pas que force de suivre cha- r"ie leur pettt étoile, l'ensemble n avance plus. Elles n'aperçoivent pas, autour d elles. le discrédit qui monte et la méfiance qui ravage les esprits. Cha cun reste dans son petit monde soi et s c" trouve bien le parlementaire Sffi- ge son arrondissement, son groupe, a son clan ou son club, comme si ces petits mondes épars pouvaient, eux seuls, former l'Etat. Et quand, après ce jeu d'entraves réciproques, on s'aper çoit que tout est bloqué, chacun de se plaindre... de ses voisins, sous prétexte qu'ils n'ont pas dégagé la route. Ii est temps de le dire tout net sans un redressement immédiat, un pareil système aboutira très prochainement la ruine die nos libertés et l'impuig. sance définitive des catholiques dans la vie publique. Comment un Gouvernement tien drait-il compte de nous, s'il a devant lui cet amas de sable qu'un souffle de vent désagrège Comment un minis tère pourrait-il s'appuyer sur cette réa lité toujours glissante Comment un groupe parlementaire qui ne se trace pas lui-même une ligne ferme de col laboration avec le pouvoir, peut-i] af firmer encore qu'il participe la ges tion du pays Les explications alambiquées des messagers de la confusion n'arriveront pas nous donner le change. Nous en tendons dire la tribune que l'on aime bien un ministre, mais qu'on votera contre son budget, ou encore que l'on s'abstiendra en masse, mais que cela ne réduit en rien la confiance acquise au Gouvernement. L'opinion catholique accueille ces mots, car ce ne sont que des mots, par ce qu'il méritent coup sûr un vaste éclat de rite. Mais ces aveux d'impuissance ont de plus graves conséquences Un peu la fois, l'opinion se répand qu'avec des mandataires publics qui n'en font qu'à leur tête, aucune des grandes me sures impatiemment attendues n'arri vera s'accomplir. Où en est la réfor me de l'Etat Où en est l'organisation professionnelle Où en est la réadap tation économique 7 Voilà les questions qui intéressent le oays, car le pays veut vivre. Une pareille attente, qu'on le sache bien, ne peut se prolonger indéfi niment un jour v^ert où l'instrument faussé et reconnu irréparable est jeté aux vieux fers et l'on en saisit un autre. L'instrument pa-lementaÎTe ne peut fonctionner que par un ieu de libertés spontanément ajustées dans le même sens. Lorsque ces libertés courent la fois dans tous les sens, rien ne s'opère plus par elles, sinon le chaos et le gâ chis. Et l'exigence supérieure de la vie, avec ses implacables revanches, impose alors que l'on aille l'encontre des li bertés. Il e3t temps ouc la conscience de cha que parlementaire se demande si elle est d'accord, sur ce point, avec la con science du pays. Se réformer ou s ef fondrer. il n'y a plus, pour le Parle ment d'autre alternative. G. H. CHERCHEZ-VOUS... être bien servi pour vos légume*» primeurs, fruits, fleurs, bouqoeb» ëTrbe» et garniture* de table Adressez-vous alors en toute con fiance Jacques VEYS, La Butte WARNETON A LOUER au Bizet-Ploegsteert (frontière) BELLE MAISON DE COMMERCE avec jardin. Conviendrait pour marie ou droguerie... (Environs e pourvus de commerces de ce genre/- Adresse au bureau du journal-

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