Coipagnie Belge d'issiras des Classes Hsgeaass Marché Léon Grillet Baron Noël de VINCK Zonnebeke Daniel LELEU PETITES ANNONCES .SIEUW saa LE SUD, dimanche 28 août 193g Poor les petites annonces, et la eur- s'y mppotte, noe lec- it priés de s'adresser chez BOUDRY-TEMPERMAN, Imprimeur, Rue de Menin, 25, Y près. TéL 247. Le tarif est de 1 franc la ligne avec de 5 francs par insertion. EN WESTFLANDRE LA Agent de change correspondant près de la Bourse de Bruxelles. 31, RUE DE MENIN, Y P R E S Téléph. 144 BOURSE TITRES COUPONS CHANGE Bureau ouvert le dimanche pendant la saison. A COMINES, Monsieur bonne instruc tion Français-Flamand ayant loi sirs cherche occupation représentation ou agence sait conduire auto. <§f— Ecrire rédaction journal. BELLE MAISON située Comines, n° 195, route de Comines Wervicq, avec environ 400 m. de terrain, pou vant servir pour tout commerce. Renseignements chez le Notaire DE- VOS Wervicq. 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(Suite de la Ire page) Inspecteur pour le Sud de la WESTFLANDRE: L. TOUSSEIN. 475, Ch. de Ghis telles. St-ANDRE-BRUGES ÏPRES et «Bvnom L'illustre communiste français Rap- poport est dégoûté, mais là totalement dégoûté du bolchevisme. Que ces messieurs de la gauche lisent attentivement cette description, faite par un communiste notoire du paradis Sta linien. Le pays est condamné, comme l'époque du bas-empire romain, au ré- gime du silence, du mouchardage, de la trahison. Aucune sécurité pour per sonne. Non seulement on fusille les ré volutionnaires, le plus souvent sans ju gement. mais s'ils réussissent arriver jusqu'au tribunal public, on leur fait avouer, par toutes sortes de procédés, les crimes les plus abominables en con. tradiction avec tout leur passé et leur caractère. Staline a démontré qu'un pays sans liberté est condamné aux pires excès et rend le bien-être impossible ou illu soire. La Commission royale des Monu ments et des Sites a adressé aux gou verneurs des provinces la lettre suivan te La Commission royale constate que nombre de communes rurales ont fait disparaître ou projettent la suppression des cimetières autour des églises pa roissiales. L'ambiance de calme et de recueille ment que ces champs de repos créent autour des églises aide aussi mettre celles-ci en valeur. Il est remarquer que dans les villes aussi modernes que New-York et où le terrain a une valeur énorme, on conserve soigneusement les cimetières autour des églises anciennes. La question d'hygiène peut certes être invoquée, mais nous pensons, d'après l'avis d'hygiénistes autorisés, qu'on en exagère l'importance, et au surplus on peut créer un nouveau cimetière hors l'agglomération pour les inhumations nouvelles, sans supprimer le cimetière ancien. Nous vous saurions gré, M. le Gou verneur, de vouloir bien insister après des administrations communales pour qu'elles veillent, l'avenir, la conser vation des cimetières anciens, en tenant compte des suggestions ci-après 1. Maintenir autant que possible, Ie> cimetières dans le voisinage, des églises rurales. N'en décider la désaffectations qu'en cas d'absolue nécessité 2. Conserver les cimetières désaffec tés avec leurs tombes et dalles funérai res 3. Clôturer ces champs de repos a l'aide d'un muret de peu de hauteur et non par une grille en fer 4. Clôturer les parties de cimetière non limitées par une rue ou une place publique, mais touchant des champs ou jardins, par une bonne haie vive 5. Etablir des plantations d'arbres ou de broussailles là ou c'est possible. En agissant ainsi les communes con serveraient leur caractère de faubourg de ville que certaines édilités rêvent de donner leur commune. rHFRCHEZ-VOUS êtTe bien servi pour vos légumes, primeurs, fruits, fleurs, bouquets. o-erSe» et garnitures de table Adressez-vous alors en toute con fiance La Butte WARNETON Dans un débit, un homme visible ment éméché, va de table en table, de mander la charité, invoquant une cécité presque complète. Il se fait renvoyer partout, lorsque avisant une table occupée par trois nè gres en grande conversation, il renou velle son boniment. L'un des consommateurs a prêté une certaine attention au bonhomme, mais tout coup, brûle-pourpoint, il lui demande l'heure qu'il est. Alors, l'homme qui espère avoir réussi émouvoir son auditoire, tour nant les yeux vers l'horloge Huit heures moins dix, mon sieur Esclaffement général au nez et la barbe du quidam, qui s'esquive sans demander son reste. Tandis que le noir avisé reçoit, com me on dit la Chambre, les félicitations de ses amis. Le maître d'école. Eh bien To- to, j'espère que ton père t'a sévère ment corrigé pour ta mauvaise con duite l'école Oh non répond Toto, il dit que •r me corriger fa:t plus de mal lui qu'à moi Ton père un cœur '.rop ten dre mon garçon. Non. monsieur, mais il a la gout te dans le bras droit. Cette cérémonie se déroula vers 13 h. 30, en présence des notabilités lo cales et régionales et de l avant-garde de l'Amicale de la 2e brigade de cava lerie légère. La plaque commémorative voilée de noir est placée sur un mur de la place, devant le monument aux Morts. A cô té une estrade décorée de genêts pro venant des bois du Mont-Rouge, avait été érigée. Elle étant ornée de drapeaux belges et français. De nombreuses ha bitations avaient pavoisé. Devant le mémorial se groupèrent les enfants des écoles et de l'Institut de Locre, porteurs de petits drapeaux bel ges, les délégations d'Anciens Combat tants de Locre, de Dranoutre, de Wes- toutre, de Reninghelst avec leurs dra peaux, les délégations des Anciens Combattants, de Mutilés de guerre de Médaillés militaires et de sous-officiers de réserve de Bailleul, avec leurs dra peaux. Le lieutenant-colonel' de Guillebon exposa le but de cette cérémonie du Souvenir. Puis M. le bourgmestre de Locre, ceint de son écharpe, prononça en fran çais et en flamand une allocution. La musique joua une marche funè bre, les drapeaux s'inclinèrent et les enfants agitèrent leurs petits drapeaux. Une réception la Maison Commu ne suivit la cérémonie. M. le bourgmes tre offrit le verre d'amitié. M. Plichon, en sa qualité de repré sentant de la régon voisine et amie, salua les notabilités, exalta l'héroïsme de la génération du feu et forma des vœux pour la prospérité de la Bel gique. unie autour de son Roi et de la France unie si^our de son drapeau. Les pèlerins dînèrent Locre même. Ils avaient convié leur table M. le Bourgmestre, son échevin et le secré taire communal. Une visite l'ancien front, agrémen tée de causeries des généraux Prax, Ri- vain et Arrault termina cette journée bien remplie. Le père Ghislain raconte l'ami Boes, son inséparable. ...Un garnir, étonnant, te dis-je et qui ira loin Figure-toi que l'autre jour, il sui vait avec attention les ébats de deux mouches voletant de concert. Que regardes-tu là, luî demande son père Des mouches, papa Cela t'intéresse Mais oui Il y a un mâle et une femelle. Allons donc I Comment peux-tu reconnaître cela 7 Comment Regarde .11 y en a une qui se repose sur la glace. C'est la femelle. Et l'autre sur le bord de ta demi-gueuze, c'est le mâle Le papa sidéré par la finesse de son rejeton l'a contemplé avec admiration. Quant l'ami Boes il s'est décroché la mâchoire de rire en entendant l'his toire. Mais aux dernières nouvelles tout était rentré dans l'ordre... Mercuriale du samedi 20 août 1938. Froment: 125-128; Seiqle 98-100: Avoine 110-114; orge des brasseurs 118-120: orge fourragère: 113-115; Pois 130-135 fèves: 124-126: pom. de terre: 30-35: beurre: 21,50-22; œufs 0.60 Porcelets 250-290 1> tête, 10,50 le kg. Paille de from. 18' 19; id. de seig. 17-18; id. d'avoine: 20-21 id. d'orge 22-25 foin de prai rie 30-32 id. de trèfle 34-36 id. de lucerne 33-35 lin brut 83-88 grai nes de trèfle ord. 24-26; id. noires: 27-30 id. bâtarde 32-34 id.. rouge incarnat 35-37 id. blanc incarnat 37- 38 betteraves fourragères 82-85. Expert comptable «UE 0tlAClGOC*fc WEPVICQ

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Le Sud (1934-1939) | 1938 | | pagina 12