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P E R M O
P E R M O
Bières
BRASSERIE DU LAC
GALERIE BRUGEOISE
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service pharmaceutique
service d'eau
export en bouteilles
les amis du beguinage
2. 1) Impromptu. L. Vierne
2) Allegretto (Divertissement.
4. Pastorale et Finale de la deuxième
Symphonie. C. M. Widor
notre regiment
la hongrie
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assurera le service de toute la journée.
Dimanche 23 courant, fontainier de ser
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Nous attirons la bienveillante a tention
de nos lecteurs sur le Concert d'Orgues,
organisé par Les Amis du Béguinage
de Bruges le mardi 16 janvier, 18 h.,
dans la Salle d orgue, place de la Mon
naie.
Des cartes sont en circulation, ou peu
vent être retirées dans les principales li
brairies locales. Prix 10 frs.
Le bénéfice de ce te matinée sera con
sacré aux travaux de restauration du Bé
guinage de Bruges.
_Le concert sera donné par M. Jacques
Cornelis, professeur au Conservatoire.
Programme
Première Partie.
1. Toccata et Fugue en Mi. J. S. Bach
2. 1) Deux Gavottes. D. Raick
2) Choral Maintenant, réjouissez-
vous Chrétiens, bien-aimés.
J. S. Bach
Pièce symphonique Ces. Franck
3. Noël. Cl. Daquin
4. Intermezzo et Finale de la Grande
Deuxième Partie.
1. Thème, Variations et Fugue.
Jos. Ryelandt
P. J. M. Plum
3. Cortège et Litarie. M. Dtipré
A 10 heures, mardi matin, quelques dra
peaux étaient hissés aux hampes. Des bru-
geois avaient été informés de l'arrivée du
4 Ils avaient arboré les couleurs natio
nales pour marquer leur joie de revoir le
régiment de Bruges, e cet exemple fut ra
pidement suivi. A 11 heures tout le centre
de la ville était pavoisé.
Par bataillons le régiment passe dans les
fjres de la ville vers midi, et au début de
1 après-midi. Il est inutile de dire qu'il
y eut beaucoup de monde aux abords des
cantonnements, et, qu'avant de rejoindre
leur lieu de séjour momentané au littoral,
les soldats du 4 furent copieusement fê és.
L initiative du Touring-Club a élé bien
accueillie par de nombreux amateurs de
films instructifs, et c'est devant une belle
arlle, que l'organisme de propagande tou-
"sfique en faveur de la Hongrie déroula
de beaux films.
Nous voudrions cependart faire remar-
1uer l'organisme hongrois, qu'il a tort
de projeter un film de la qualité de celui
qui ouvrait la séance. Les fades histoires
d amourettes n ont rien voir avec les
beautés de la Hongrie, et ces spectacles
instructifs devraient être mieux surveillés,
quant la tenue morale des films.
Les films touristiques et sportifs étaient
très beaux, et ont vivement in.éressé un pu
blic, donc la sympathie va volontiers la
nation chevaleresque et traditionalis e, qui
est placée en avant-garde de notre civili
sation chrétienne, et aura, peut-ê re, la
protéger encore contre les invasions bar
bares.
Rappelons que le Théâtre Royal de Gard
donnera au Théare de Bruges La Mas-
cotte le mardi 16 janvier 19.30 h. Cette
opérette, la belle mise en scène, est tou
jours très goûtée, et la musique agréable
d'Edmond Audran plait au public. La lo
cation des places est ouverte au Théâtre.
Prix de 4 20 francs.
Outre les certes d abonnements qui a-
vaient été prises lors de la première soirée,
nous apprenons que de nombreuses per
sonnes ayant appris l'excellence de ce spec
tacle. retiennent leurs places pour la re
présentation du 28 janvier, 20 heures.
Qui, d'ailleurs, hésiterait assister un
programme admirablement éxécuté qui
comprend deux chefs d'oeuvre Les Plai-
deurs et« Gringoire et dont le prix ne
s'élève qu'à 3 et 6 francs
LES GRANDES BRASSERIES
S. A.
DEPOTS DANS TOUT LE PAYS
Le Commandant de 13 D. I. a institué
au sein de cette unité un comi'é d'aide aux
familles nombreuses nécessiteuses des mi
litaires mobilisés de la division.
Le but de cette oeuvre est de fournir
pendant les mois d'hiver une certaine quan
tité de charbon chacune des familles.
Cette oeuvre patriotique, de soutien ma
tériel et moral, fait appel la générosité
de toute la popula'ion.
Elle espère recevoir de nombreux verse
ment en espèce pour que les foyers de ces
militaires soient pourvus de combustible
pendant 1 hiver 1939-1940.
Le Commandant de la 13 D. I. remercie
dès présent tous ceux qui contribueront
assurer la viabilité de cette oeuvre.
Les versements uniques ou échelonnés
sur le mois de Décembre, Janvier et Mars
peuvent être effec'ués au C. C. P. No
620.930 Oeuvre du charbon 13 D. I.
ou au C. C. P. No 4598.27 de Monsieur
l'Aumônier Achard, Aumônier du III Ba
taillon du 34e de ligne.
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Elle est trop dure, elle dépose trop de calcaire I
Voyez vos ustensiles ménagers Les conduites
de vos installations sanitaires sont entartrées
En utilisant cette eau calcaire vous abîmez vocre
linge, vous vous abimez la peau.
Vous consommez du savon en pure perte.
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lél. 31.915.
Oude Burg, 19 Bruges.
Programme du jeudi 18 janvier.
1. Actualités.
2. Folklore: PROCESSIONS ET
CARNAVALS. Un beau morceaux de ci
néma de notre cinéaste poétique Charles
Dekeukeleire.
3. Géologie PROMENADE AU
TOUR DE L'ETNA.
4. Exploration MALACCA.
De hardis explorateurs, au sein des fo
ré's vierges de la presqu île, sont aux pri
ses tour tour avec des tigres, des pythons,
des éléphants, des crocodiles...
5. Délassement Un bon comique.
Cartes 4 frs. Enfants 2 frs.
Mobilisés 1 fr.
MERCREDI 24 et JEUDI 25 JAN
VIER 2 b. de relevée Vente publique
importante d'un grand lot de porcelaines
et faiences anciennes. Chine, Japon, Delft,
Bruxelles, Sèvres cuivres, étains, cristaux,
argenteries, tableaux, gravures provenant
d'une collection brugeoise très réputée et
d'une partie de bons et beaux meubles, piano
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pis, feux continus et autres, etc. etc.
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Catalogues seront distribués partir du
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M. Burriek, Professeur l'Athénée roy
al de Bruges, donnera comme conférence
'1 e paard den Vesuvius op, le mardi, 1Q
Janvier, 18 h., dans la salle des f(tes
d'Hemelsdaele.
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Rappelons que le cercle Prisme a
eu l'excellente idée de demander au Théâ
tre du Parc d'ajouter ses deux représen
tations classiques, une soirée le 24 janvier.
Nous ne doutons pas que le public d é-
lite de Bruges fasse un succès cette trou
pe, qui interprêtera la délicieuse pièce de
Jean Sarment Les plus beaux yeux du
monde La presse bruxelloise unanime a
fait l'éloge de celte reprise qui se jouera
Bruges, espérons-le, bureaux fermés.
Comme nous croyons que bon nombre de
nos lecteurs se rendront cette soirée, nous
reproduisons le compte-rendu de la Libre-
Belgique... qui pourra leur servir de pro
gramme
Rien n'est aussi agréable que de revoir
ces trois actes si fins, si vivants, si pleins
d'émotion contenue de M. Jean Sarment.
Pour ceux qui l'auraient oublié, Lucie,
aimable enfant de dix-huit ans se trouve
soudain devoir choisir parmi deux cama
rades de vacances. L'un et l'autre sou
haitent lui consacrer leur vie. Le pre
mier, Napoléon, d'origine modeste, inca
pable de transiger avec la vie, laisse la
part trop belle son ami de toujours. Ce
lui-ci, Arthur, moins scrupuleux et plus
fortuné l'emporte. Lucie écoute ces pre
miers aveux et cède ingénuement.
Napoléon part, le cœur brisé, mais la
tête haute. Et dans la vie, désormais vi
de pour lui, il va, indifférent la maL
chance, ne regardant plus que ses regret»
comme il contemplait naguère ses espoirs.
1 reize ans passent. Lucie toujours ravis
sante a vu s'é eindre la flamme de ses yeux,
les plus beaux yeux du monde. Elle n'a
jamais vu son bambin de quatre ans.
Arthur, grisé par se ssuocès littéraires,
déserte la villa de la côte où sa femme
s était retirée. La vie factice de Paris comp
te seule pour lui. Et Lucie passe des se
maines entières côté d'un vieux père ma-
niaque qui, sans le vouloir, la heurte
tout instant. Napoléon passe un soir. Son
âme n a pas changé mais sa toilette trahit
sa misère matérielle. Il la cache la pau
vre aveugle qui ne peut, elle, lui celer sa
détresse. 1 remblant de colère l'idée que
son sacrifice fut vain et que sa petite
reine est malheureuse, il accepte de de
meurer trois jours la villa. Trois jours
de bonheur pour tous les deux. Et peut-
être Napoléon va-t-il rester plus longtemps,
non pour remplacer Arthur, mais pour le
continuer. Mais il revient 1 improviste.
Après une violente colère, il comprend et
rend justice son vieil ami. Celui-ci s'in-
clire du reste. Il a compris que Lucie n'a
pas cessé d'aimer son mari. Une fois encore
il part.
Il ne se passe presque rien. Mais pas
une scène n'apparaît une longueur. Sai
si dès le lever du rideau, le spectateur
quit e regret son fauteuil la fin du
troisième acte. Il est vrai qu'on imagine-
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