LLION
BORSTP.
PHOTOGRAPH!]
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PIANO
YPRIANA
Chirurgien-Dentiste Specialiste,
a l'honneur d'informer l'honorable public
qu'a Ia demand© de sa nombreuse clientèle,
il sera a consulter trois jours de la semai-
ne, les LUNDI, JEUDI et SAMEDI, de 9
a 41)2 beures de relevée, chez Mme Veuve
VAN KEMMEL, Grand'Place, Ypres, n° 5.
GUSTAVE (MILLIARD,
COURTUAI, Rüe de Mouscron, COURTRAI,
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LOUVALY 1888. DIPLOME DHOAAEUR.
UN BON ET BEAU
ÜM fEITE
au bureau de cette feuille:
M. MèauxsoonePas du tout. Grace
a la régularité dans les écritures, grace
au Livre-Journal, le seul livre officiel
qui constitue la comptabilité, le seul
faisant foi en justice, grace a cette
régularité on a pu retrouver toutes
les sommes payées par le Receveur, et
qui ótablissent sa parfaite honorabilité.
S'il y a eu erreur commise par lui c'est
paree qu'il y a eu négiigence a faire
les mandats et alors, arrivé a la con
fection du compte, ces sommes étaient
oubliées et ne figuraient pas en dépense
car le compte est dressé umquement
sur le vu des mandats.
Le Receveur a done pu avec le Livre-
Journal établir article par article, qu'il
n'avait rien détourné des 36,000 fr. On
vient lui contester mamtenant, une
somme de fr. 9S6-94, qu'on sait fort
bien avoir óté payée par lui. Le contre-
rapport a été remis trop tard au comp-
table de la défense pour que celui-ci
ait pu rechercher les sommes faisant
double emploi avec celles figurant sur
les états trimestriels et que l'on vou-
drait faire payer par le Receveur. Or,
voici ce qui s'est passé.
M. Desimpel ayant fait l'intérim au
Bureau de bienfaisance ïl est la pour
dire si je suis dans le vrai a remis
au Receveur une liste des secours a
payer aux indigents. Ceux-ci viennent
avec leurs bons au bureau mais ceux
qui sont portés pour des secours sup-
lémentaires se présentent chez le
eceveur. Celui-ci paie en échange des
bons et inscrivait a son Journal les
sommes remises. Les bons étaient en-
suite remis au Secrétaire mais celui-ci
croyant que c'étaient des bons trimes
triels ne les portait pas aux livres. M.
Van Windekens ne pouvait done payer
deux fois aux mêmes indigents, les
bons remis en dehors de la liste trimes-
tnelle ne lui étaient pas remis. En 1880
le Secrétaire avait oublié de mandater
pour 771 fr. de secours payés cepen-
dant par le Receveur, II n'est pas éton-
nant que le Secrétaire ait oublié d'au-
tres sommes. Le Secrétaire est done
bien cornme vous le voyez inconsciem-
ment le premier coupable. Quant au
Receveur, le seul tort qu'on puisse lui
reprocher c'est d'avoir payé sans man
dat, mais ce ne sont pas la des détour-
nements et ce n'est pas non plus un
motif pour lui faire payer certaines
sommes de ses deniers. Comme M.
Van Windekens a pu retrouver les
36,000 fr. on devait croire a la sincérité
des écritures de son Journal. Le rap
port est clair,simple et porte toutes les
sommes prévues au Journal. II déduit
de ces sommes celles mandatées et por-
tées aux comptes pendant le même
nombre d'annóes. II y a une difference
de fr. 986-94, somme qui devait encore
être mandatée et portée en compte a la
fin de l'année. II est done de nofre
devoir, tout en défendant les intéréts
du Bureau de bienfaisance, de ne pas
faire payer pat un honnête homme des
sommes qu'il n'a pas détournées. II
ne doit pas être dupe de sa trop grande
honnête té c'est déja assez dür pour
lui d' avoir été soupQonné et accusé.
Nous voterons done la somme de fr.
986-94 afin de prouver au Receveur
qu'il possède toujours notre entière
confiance et en terminant,je tiens a
déclarer hautement et publiquement
que M. Van Windekens est resté hon
nête et qu'il a conservé toute notre
sympathie. Vifs applaudissemenis).
(La suite au prochain numéroj
Bij ons bestaat om zoo te zeggen
feen reinigheidsdienst, de drijwiel-
arren van Pee gaan wel is waar een
paar maal ter week de straten rond, en
nemen hier en daar de meeste vuilnis
sen mede, maar daarmee is 't ponctum.
Voor de rest moet de openbare gezond
heid maar haar plan trekken er zijn
immers drij dokters in stad, waaronder
twee raadsheer en, om voor ons te zor
gen en die gedurig hun werk hebben.
Wat wil men meer?? Indien den
typhus en andere slechte ziekten al
gelijk nog jaar in jaar uit in Poperin-
ghe warreëren, 't is dat het alzoo moet
zijn, want de vuilnissen die in de hoe
ken der straten blijven liggen en na-
mentlijk in de kerkhoeken, in het
Poortegat, enz. het verpestende slijk
dat in de duikers blijft rotten en soms
op de straat, de doode honden en kat
ten die men des zomers in den vaart
laat werpen alwaar ze weken lang te
weeken liggen zonder dat de politie er
zich mee bekommeredit alles levert
niet het minste gevaar voor de open
bare gezondheid en is de moeite niet
waard dat men er zich mee bezige
Ten minste zoo is de denkwijze van
ons stadsbestuur aangezien zij zoo een
gewigtige zaak als den reinigheids
dienst op zulke ongehoorde wijze ver
waarloosd.
Men voege daarbij dat de stad een
systeem heeft uitgevoerd om de waters
van het kerkhof in den vaart te leiden
waarvan de brouwers en anderen ge
bruiken, en men moet waarlijk beken
nen dat het te verwonderen is dat onze
bevolking niet meer wordt vergeven.
Terwijl wij over kwestie van reinig-
heid handelen, zij het ons toegelaten
aandacht te trekken op den ellendigen
toestand van het statie kwartier.
Den staat waarin gedurende den winter
de statiestraat zich bevindt is oprecht
walgelijk den grond is gemeenlijk op
vier en vijf dikten met zwart slijk be
dekt, waarlijk de reizigers die in
onze stad afstappen moeten zich te
midden der wildernis achten. Waar
om neemt het stadsbestuur daartoe
geen maatregelen het ware genoeg
gedurende den gansche winter dit ge
deelte een tiental heeren te doen afvra
gen om zulken afschuwelij ken toestand
te verbeteren. Twee mannen zijn
daartoe voldoende, en den onkost zou
voorzeker geen 100 franken 's jaars
beloopen.
Jammer dat aldaar geen pastoors of
professeurkens verblijven, men zou er
sedert lang een andere kasseiing en
misschien wel een lusthof gemaakt
hebben lijk men bij ons geestelijk kol-
legie gedaan heeft
Burgerstand der stad Poperinghe,
van den 17° tot den 24" dezer maand.
Geboorten Mannelijk, 2, vrouwelijk, 7.
Huwelijken.
René Minne, dienstknecht, en Marie De-
puydt, kantwerkster, beide te Poperinghe.
Charles Vitse, werkman, en Emma Hauspie,
werkster, beide te Poperinghe.
Sterfgevallen.
Sergier, Karei, 80 jaar, weduwe van Rosa
lie Couture, Boescheepstraat. Monté, Fran-
cisca, 84 jaar, weduwe van Jacobus Bequeker,
Boescheepstraat. llennin, Silvie, 46 jaar,
ongehuwd, Wijk E. Scherrier, Barbara, 74
jaar, echtgenoot van Fidel is Vanden Broucke,
Boomgaardstraat.
Kinders beneden de 7 jaar
Mannelijk, 2 vrouwelijk, 0.
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