UITVERKOOP Regenschermen VENTE PARAPLUIES PASTILLES WILL Occasion unique. BICYCLETTES MIMÉOGRAPHE YPRIANA, DOOR UITSCHEID! Rabau-Delfosse, Par CESSATION labati-Belfosse, MWm lil VÉRble COVENTRY GUSTAVE DOOLIEGHE, Gratis et franco. A VENDUE GUSTAVE MAILLIARD, MR MME M. MEIER Bukkerstraat, TPEEEH. Rue des Boudeurs, TPRES. HOUTEKIER, CYR. HOUTEKIER. CYR. GRAND ABRI VAGE de luxe 14 S&ilos u'strantis SUPERBE OCCASION. CIVIL ET MILITAIRE HUE MOUSCftONf, COUR TB AI. ii an SO °lo beneden den prijs van factuur. la'^RTI Clag a SO °/o en dessous du prix de fact u re. Un Million en poche Marque Anglaise Porie de Menin, Ypres, aaïérieain d'Edisoo. Vêtements imperméables II E II T 12 au bureau de cette leuille: chez Mnie veuve VAN KEMMEL, Grand'Place, 5, YPRES, VAN DE VAN rs~t vw Qt DE DE tin PK9GftÈI§ SC'IENTIFIQIJE a Vactif des découvertes du XIX8 siècle rwa Composées, étudiées et dosées avec soins, ces pastilles lenferment une plus giande quantité de remèdes actifs que n'importe quel autre produit et constituent Ie seul et unique moyen de guérir les Rhumes, Bronchites, Asttim es et toutes les affections des voies respiratoires. Désormais tout Ie monde en aura 1 -25 la botte. - En vente dans toutes les pharmacies du pays. DÉPOT A YPRES, Pharmaci e 3R. ^ocquet, 35, GRAlND'PLACE, Le soussigné HOUTEKIER Cyrille, cabaretier, rue de Dixmude, Ypres, a ihonneur de se recommander au public en quahté d:Ak_fli<3lieuLr et deOi*ieviï* publics patentós. Les soms et ia promptitude avec lesquels il exécutera tous les ordres regus, lui font espérer une bonne clientèle. Aux Amis Rèunis rue de Dixmude. De ondergeteekende HOUTEKIER Cyriel, herbergier, Dixmudestraat, leperen, heeft de eer zich het publiek aan te bevelen in boedanigheid van gepatenteerde openbare Aan plakker en Roeper. De zorgen en den spoed met dewel ke hij de ontvangene orders zal uit voeren, doen hem een goede cliënt schap verhopen. In de Vereenigde Vrienden Dixmudestraat. Monsieur Martial Marhem, l'hom- rne de science, fut la cheville ouvrière des dittérentes administrations qui se succèdèrent, et, Messieurs, le couron- nement de son oeuvre tut l'érection de l'asile qui abrite nos vieillards, de ce bel hospice, dont nous pouvons être fiers car l'étranger nous Pen vie. ;j Sa Majesté le Roi des Beiges recon- naissant en Monsieur Marhem l'admi- nistrateur intègre et expérimenté l'appela en 1872 aux fonctions d'éc.he- vin qu'il remplit dignement pendant 10 ans. Enfin, Messieurs, les fatigues sans nombre et les privations avaient ruiné sa robuste constitution. Et en 1884, Monsieur Marhem résigna ses fonctions laissant a son bis le soin de les conti- nuer. yi Louons aussi dans l'administrateur l'homme juste et bienveillant. Ti Pour être juste, il sut résister a toutes les influences, même a celles de l'amitié il pesait les droits, appré- ciait les titres, donnait la voix au plus méritant. II aida de son mieux le pre mier magistrat dont il fut toujours le bras droit et le conseiller. 77 Sa sollicitude éclairée embrassait les moindres détails de ce qui pouvait faire le bonheur de ses semblables II avait au plus haut degré la moralité administrative, qualité qui fait l'hon- nête bomme. j, Hélas Messieurs, Dieu a rappelé a lui cette nature d'élite. Monsieur Marhem, du fond de vo- tre dernière demeure, recevez l'expres- Bion de notre reconnaissance et de no- tre gratitudetoute la population Warnêtonnoise consorvera de votre digne personne un souvenir afïectueux. Yotre nom restera en vénération au sein de nos families, et en passant devant votre tombe nous dirons Ci-git un bienfaiteur de l'bumanité. Adieu, Monsieur Marhem! Adieu Discours de 31. le notaire H. Sibille. Messieurs, 77 En ma qualité de Président de la Commission administrative des Hospi ces civils de cette ville, je viens rendre un dernier hommage a celui qui pen dant 27 ans, fut un de ses membres les plus dévoués a celui qui fut le méde- cin de eet établissement depuissa créa- tion, et celui de tous les pauvres de la ville. 7i Après les paroles si élogieuses que nous venons d'entendre, ma tache Bem- ble difficile, inutile même, mais pour parler d'un bomme de bien, d'un hom- me de coeur, d'un bomme tout entier de dévouement et qui a passé sa vie a répandre autour de lui les bienfaits, ne trouve-t-on pas toujours quelque chose a dire a C'est pourquoi, au bord de cette tombe, je voudrais retracer la vie toute de dévouement, d'abnégation du médecin et vous montrer l'ami du pauvre, du malheureux et de tous les deshérités de la vie. a Parcourons cette existence labo- rieuse, si bien rempüe et qui n'eut ja mais qu'un butsoulager la souffrance. M. Martial Marhem arriva a Warnêton en 1830 pour y exercer ses pénibles fonctions. n A cette époque l'aspect de notre lo- calité était tout différent de celui d'au- jourd'buipoint de routes empierrées, ni de voies ferrées, des chemins bour- beux et des sentiers difficiles presqu'im- praticables. n C'est dans ces tristes conditions matérielles que M. Marhem dut entre- prendre la lutte pour l'existence et ce furent ces routes pénibles qu'il dut parcourir journellement, par lestemps les plus durs, pour porter secours a tous les malades indistinctement. De quel désintéressement et de quel amour pour ses semblables son coeur ne devait-il pas être rempli pour ac- complir com me il l'a fait, sans plaintes et sans murmures, sa délicate et diffi cile mission a Mais ce fut surtout a l'égard des pauvres, des faibles, des vieillards qu'il manifesta son immense besoin de dévouement. Nos vieillards de l'hos- pice trouverent en lui un ami toujours prêt a adoucir leur misérable vieillesse. En 1866, M. Marhem devait dormer la mesure de son dévouement et de l'oubli de sa personne c'est alors que le terrible fléau le choléra, s'abattit sur notre commune, y jetant l'angoisse et la terreur. Aidé de son confrère, non moins dévoué, M. Boedt, il se prodigma pour voler aux cheveisdes moribonds, afie depouvoir adoucir leurs souffrances et les disputer au fléau. a Ce sont la de nobles exemples que le défunt ne cessa de fourmr pendant toute sa carrière. Aussi cette vie tant remplie de dé vouement envers les pauvres mérita-t- elle sa récompense et c'est ainsi que l'autorité supérieure, en 1876, lui dé- cerna la croix civique de le classe. Mais la plus belle récompense ne fut-elle pas de se voir entouré de l'es- time, de la sympathie et de la recon naissance de toute une population Et ne voyons-nous pas aujourd'hui cette population reporter sur le fils eet amour et ce respect, comme une dette contractée envers le père n Que ce tribut d'hommages rendu a son père soit done pour lui et les siens une douce consolation, car lis sont bien légitimes et bien sincères les re grets de tous ceux qui sont ici réunis autour de cette tombe. a Aussi nous avons l'espoir que Dieu lui accordera la récompense décernée au juste et au bienfaiteur. Adieu done Monsieur Marhem Adieu DE 210 f*. Si vous êlcs 3 ^g©9 fi'i\ net ACCESSOIRES COMPRJS. Écrire a Moyen infaillible de faire poudre les poules. Jeunes poules d'Italie en ponte 2-25 fr. PULIJNCKX a Wachte- beke. UN (A UTOGOPISTE) S'adresser au Bureau du Journal. M "TAILLEUR RUE DR DIXMUDE, 33, YPRES. GRAND CHOIX DE sur mesure, pour Hommes, Dames et Enfants. Capotes d'officiers réglementaires, Capotes de cocbers Pélermea de cbasse, Jambières et Guêtres. A des conditions particulièrement avan- taqeuses. NoticesEtudes, Notes et Documents sur Ypres, par Alp. VANDENPEEREBOOM. La collection 3© francs. Imprimerie de LAMBIN-MATHËE, rue au Beurre, 20 Ypres, Chirurgiens-Dentistes Spécialistes, DIPLOMÉS PAR LA COMMISSION MÉD1CALE BELGE, BBEVETES PAR ARKÈÏE ROVAL, HONORÉS DU CLERGÉ ET DES MAISONS RELIÜIEUSES, Mr M. MEIER est a coasulter trois fois par semaine, le Llllldi, Jteildi Ct !§asiSC«li9 de 9 h du matin iusqu'a 4 heures de relevee, 7 1 J pour tout ce qui concerne l'art dentaire. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douloureuses. Email]age et aurification des vtólfes^ènts nne^racines S deV'&S t0Ut ^ge' Le placement des dents artificielles se fait sans douleur et sans extraire les Les denta artiflciell9s de M*M. MEIER permettent de broyer les aliments les plus dürs, remission de la voix est plus sonore et plus llïm^ni paH™£Cr!6S plaques'sans crochets ressorts 5 on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles, ni par pouTle/lueffid aUSSl rdparations des pièces dentaires non réussies et les remet a neuf d'après son système nouveau Bellis ai'lilicielles dejtnis 5 fr. Denlicrs comiilels depnis 10» fr. et au-ilessus, jaralis nour toute In vic. madame W 5, i c 9 les LUiNDl, JElül et SAMEDI, de 9 h. du matin jusqu'd 4 h. derelevée. KSSSHSaSSfeSSESSi^SSr

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1895 | | pagina 4