Conférence n VARIA. Examens. 't Weekblad. I) I M A N O E a MEIJVE-EGLISE, Rechtbank van Ieperen. Greater Belgium POPEBI1IGHE. Tabak» Hier soir, une dépêche recue aux bureaux de l'Etat indépendant du C ngo annoncait ]a mort de Victor Frermet, sans donner aucun détail. II est probable que le maihou- reux officier sera tombé dans un nouveau combatpeil de temps après celui oü il avait conquis ses epaulettes. On juge du désespoir de la familie, qui perd deux de ses eufants, a quelques mois d'intervalle, dans des cir- constances particulièrement douloureuses. Combien de jours y a-t-il qu'on nous disait Les Arabes Dhanis les a exter- xninés. Les Mahdistes - C'est M. Georges Lorand qui les a inventés, on ne les connait pas au Congo. Les nègres Us acceptent la chi- cotte et la pendaison a dong terme avec des témoignages d'une ineffable joie. Ces Arabes exterminés, ces Mahdis tes fabuleux, ces nègres résignés, sans compter le climat, sont cependant en train de dévorer le meilleur de notre armée. Wanneer de kleinen vragen be schermd te worden door de stad tegen de exploitatie der aannemers met het inschrijven van een minimum, dan wordt dit geweigerd door ons schepen college. Wanneer de grooten vragen be schermd te worden door de stad in hun ondernemingen der waterwerken (zon der minimum van dagloon) dan worden hun de pompen van de gemeente gratis toegestaan door het schepencollege. Te Zantvoorde heeft de pastoor in de kerk aangekondigd dat de tabakbelas ting afgeschaft zou worden. De minister zegtge moet niettegen staande mijne verklaring den tabak te ontlasten, uwe planten aangeven. De tabakplanters geven ze niet aan. Minister De Smet gaat de tabak en cigarenhandelaars belasten. We vinden dit geen geschikt middel om onzen handel te doen bloeien. Deux anciens élèves du Collége communal supprimé viennent encore de se distinguer IML Joseph Bossaert a passé AVEC SUCCES, devanl la Faculte de Liège, son second examen de candidature en médecine. >1. Charles Justice a passé, AVEC DISTINCTION, devant la Faculté de Gand, son dernier exa men de docteur en philoiogie classi- que. Nos felicitations les plus chaleureu- ses et nos medleurs voeux. Onze liberale confrater, Het Week bladheeft een drietal maal over ons gesproken. Wij hadden dit onopge merkt laten voorbijgaan, ware dit de 3« maal niet en wisten we van waar die bespreking komt. 1° Het Weekblad vindt dat in plaats van de voordracht van Vandervelde in 't breed samen te vatten,we beter werk te verrichten hadden. Zeggen we eerst dat oneindig veel werklieden ons een vertaling van die voordracht ge vraagd hebben en dat we ze niet kun nen geven, uit plaatsgebrek. We moeten onzen confrater nog doen opmerken dat we onze artikels schrij ven lijk het ons belieft, dat we gerust onzen weg bewandelen, en dat, wat de waarde van ons werk aangaat, we de vergelijking met andere bladen, met of zonder schaar, niet vreezen. 2° Het Weekblad schrijft dat we ons meer moeten bezighouden amet de wet der 4 eerloosheden, b) met de wet der uithongeraars, c) met de Congo- leesche miljoenen, d) met de school wet. Hier staan we stom. a) Over de kieswet schreven we van af ons le nummer, (1 kolom), in ons nummer (6 kolommen), enz., enz. b) O ver de uith ongeraarsmet_ schrev en we een reeks wetenschappelijke artikels opgedragen aan de inwoners van Bece- lare en omstreken, ik weet met hoe veel kolommen, bij de bespreking in de Kamer. c) Over de Oongoleesche miljoenen schreven we bijna in alle nummers, kolommen vol, van af 19^ Januari. We hebben nooit Congoleesch gezinde ar tikels laten verschijnen.... als het Weekblad. d) Over het schoolvraagstuk schreven we van af den 22n December,... onze verzamelde artikels maken een vlug schrift uit van meer dan 75 bladzij den. Doch dit alles is den opsteller van 't Weekblad ontsnapt, waarschijn lijk omdat hij toen bezig was met de eene of andere correspondentie in de bus. 3° Over het feit-Angillis zegt het Weekblad dat we ons bedrogen hebben. We meenen dat de bedrogene enkel... Het Weekblad is. We hebben een feit aangehaald. Is dat waar, ja of neen t Weekblad er kent het zelf. M. Angillis werd goedgekeurd door 't Schepencollege. We wisten dit, want we schreven 't. Dan is er uiets aan veranderd dan... dat er 2 plichti- gen zijn. Het is de plicht van plaatselijke bla den gemeente en gemeentebestuur te helpen of te hekelen. De personen kun nen ons heel weinig schelen. Ware M. X of F of Z onze beste vriend, ware hij onze bloedverwant, ware hij onze medehandelaar we zouden nog altijd gerust onzen weg van vrank zeg gen en waarheidszin bewandelen. Zoo we soms eenige speldenprikjes verdragen, dat is, omdat we tijd ge noeg hebben met de knodde te slaan zoo 't moet. We moeten nog opmerken dat De Strijcl geen nestje is waarin alle hen netjes hun eitjes mogen leggen. De Strijd. - 21 JU1LLET PRQCHAIN, a 4 1/2 heures, CONTRADICTOIRE la 7* laOI SeoLAIRE donnée par l'avocat Ernest sous les auspices de la Jeune Garde progressiste. Zeuren Icoimt te peuren. De leden der verschillende vrijzin nige maatschappijen welke willen deel maken van de betooging te Brussel den 28n dezer ingericht tegen de nieuwe Schoolwet, kunnen zich laten inschrij ven bij den Secretaris der Vrijzinnige Maatschappijen of in het Secretariaat der Liberale Associatie. (Suite) VI. Je regretfe d'avoir a modifier la bonne opinion que je rn'étais faite au sujet de la liberté de votre tribune. Comme je vous le disais, dans ma pre mière corrëspondance, je me refusal's a ct'oire avec d'aucuns de mes ami»- politiques qu'en m'engageant seul dans !a place enne- mie je courrais risque de m'y faire égorger. Or, a peine la palabre est-eile ouverte que vous me mettez le couteau sur la gorge Le procédé est vraiment par trop congolais, Monsieur Ie Rédacteur, et ne me convient pas plus que ne vous convient, a vous en tendre, la polémique dont vous prenez pré- texte pour prendre cette attitude mena- cante. Vous trouvez que j'abuse de votre liospi- (alité. Et pourquoi done Paree que je dis leur fait, avec une égale franchise, a vos amis les socialistes aussi bien qu'a mes amis politiques II faut bien cependant que je dénonce les véritables mobiles de l'hosti- lité des adversaires de l'oeuvre congolaise. C'est essentiel. C'est a tel point que si je parvenab a déniontrer que ehez la totalité des antian- nexionnistes l'opposit.ou s'inspire avant tout de considerations étrangères a l'intérêt moral ou écoüoniique, je pourrais aussitot renoncer a plaider plus longtemps ma cause elle serait gagnée du coup. Voila pourquoi j'entendais donner a la discussion entamee sur ce point tout le développement qu'elle comporto. Or, c'est a peine si elle est terminée en ce qui concerne ses catholiques et les socialistes seulement Devant vos menaces, je me vois forcé de descendre d'une tribune oü la liberie de parole est illusoire. b'autant que, non content de me couper ie sifflet, paree que je dis aux socialistes de dures vérités, vous recourvz, contrairement a vos declarations premières, a des procédés de discussion irnités de ceux des Anseele et autres virtuoses de la bruialité. Tout ce qui tient plus du coup de trique que du coup d'encensoir est traité par vous d' attaques calomnieuses les informa tions les plus süres des organes ies plus sérieux et les plus autorisés Journal des DèbatsGazette de Cologneetc.) sont trai- tées d' mepties calomnieuses de petites feuiÜes conservatrices tandis que les affirmations les plus gratmtes, les dénéga- tions les plus effrontées d'un Vandervelde quelconque ou autre hypocrite patente sont accueillies par vous comme paroles d'Ëvan- güe Je le répète, dans ces conditions la il ne me reste qu'a vous satisfaire et a ne plus vous envoyer ce que vous appelez des inepties calomnieuses. Car ce n'est cer- tes pas sans une vive répugnance et seule ment a raisou du haut intérêt reiigieux et social de la reprise du Congo par la Belgi- que que je u'étais décidé a défendre celle-ci dans les coionnes d'un organe aussi anti- religieux et aussi faussement démocratique que le voire. Du moment oü vous ne me permettez pas de le faire en haute liberté, j'y renonce. Un autre se laissera peut-être prendre a votre glu pseudo-indépendante pour défen dre dans la Lutle ses idees protectionnistes. Je erains bien cependant, en pirisence des aménités dont vous avez gratifié par antici pation Ie cultivateur auquel vous êtes pressé d'offrir la colonne dont je dispose aujour- d'hui pour la dernière fois, je crains que mon successeur désigné ne soit peu prompt a se décider. Quoi qu'il en soit, quand je considère quelles ruines morales et éconorniques se prépare mon pays, faute d'idéal et faute d'expansion, un messager du Dieu deVérité, pourrait venir me dire le Congo n'existe pas vos Africains n'ont foulé qu'un ol imaginaire les richesses qu'ils ont cru voir n'étaient qu'un vain mirage ils ont peine, iIs ont soufferf, ils som morts pour une chimères que je n'en crierais pas rnrins a nos compatriotes Cramponnons- nous sans retard et coule que coiUe a cette féconde chimère du Congo. Ed. Froidure. Quoique la dernière communication de M. Froidure ne présente qu'un inté rêt tout relatif, nous voulons bien l'in- sérer en y laissant subsister toutes les gracieusetés qui nous sont adressées. Mais nous en retranchons un passage relatif a M. Vandervelde, passage on M. Froidure, en termes qu'il ne nous convient pas de reproduire, maintient les affirmations que M. Vandervelde a démenties. Résumons les six communications de M. Froidure et l'impression qui s'en dégage. M. Froidure a prótendu démontrer que tous les opposants au Congo sont guidés par des motifs politiques. II a eu toute liberté de le faire aussi long temps qu'il n'a pas fait de personnalités désagréables quoique, a notre avis, la thèse de M. Froidure füt-elle vraie, elle ne prouverait pas que le Congo soit une bonne affaire au point de vue ma- tériel comme au point de vue moral, et que ce fut perdre son temps de ne pas aborder de front le problème co lonial au point de vue du Congo. M. Froidure s'est laissé aller a des imputations malveillantes et inexactes au sujet de diverses personnes, apro pos de faits qui ne touchaient en rien a la question du Congo, au sujet même de M. Ed. Picard, relativement sympa- thique au Congo. II est d'ailleurs plus facile de faire des personnalités que de produire en faveur du Congo des arguments sé rieux. Quoiqu'il fut de notre devoir de l'ar- rêter dans cette voie, M. Froidure se rebiffeet cesse toute communication. Tant pis pour nos documents congo lais, qui devront attendre une autre occasion propice pour voir le jour. Pas mal de nos lecteurs nous avaient dit que M. Froidure, en acceptant notre invitation, n'avait d'autre but que de faire dévier le débat vers le terrain brülant oü il commengait a être porté. Nous constatons aregret quela décision de M. Froidure, de cesser des aujour- d'hui toute communication, semble leur donner raison. Pour ce qui concerne les accusations de fausse démocratie, de pseudo-indé- pendance, de brutalité, etc., qui ne s'adressent qu'a nous, nous laissons a nos lecteurs le soin de les juger. Nous rappellerons seulement que lorsqu'on voudra discuter nos opinions sur une question de principe de quelque importance, sans faire descendre le dé bat jusqu'a une discussion de person nalités, on nous trouvera toujours prêts a accorder une place dans nos colonnes. Au surplus, nous croyons que M. Froidure n'aura pas de peine a publier ailleurs ses documents. Nous aurons alors le plaisir de le combattre. Ph. de Comines. Zondag aanstaande vertrekt het vermaard muziek onder het bestuur van M.E. Van Elslande naar Boulogne. Wij wenschen de Philharmonie goe de reis en veel bijval. Het Landbouw-Comice van Gee- raardsbergen heeft aan de Kamers een schrift gezonden dat den algemeenen toestand van de tabakteelt verklaart. Volgens dit schrift, ligt een last van 450 franken op elke hectaar van 30,000 planten. Wij hebben een heel bevoegd mensch van Ieperen over die zaak on dervraagd, en volgens hem weegt de last alhier veel zwaarder, want we planten alhier gewoonlijk 40,000 plan ten per hectaar. De tabak had, voor de wet van 1883 een waarde van 90 fr. de 100 kilos (soms alhier tot 110 Ir.) hij steeg in 1884 tot 140, 160 en 180 fr. (in West- Vlaandereu steeg hij niet zoo hoog, gewoonlijk 124 min of meer) doch langzamerhand verminderden weêr de prijzen en de middelmatige prijs van den tabak te Geeraardsbergen in 1893 bedroeg 120 fr. en de goede hoedanig heden van 1894 werden 90 fr. verkocht, de gewone 60 en 70 fr. Te Ieperen en omstreken is het zelfde gebeurd de prijzen gaven we aan over eenige we ken. En ondanks die prijsvermindering gaan de planters voort 450 fr. belasting te betalen. En de tabak heeft bijna geen waarde meer en hij wordt uitge kreten als een weeldeptant. Woorden, dit alles. We zeiden verleden week dat veel tabak niet verkocht was. Welnu, naar bijzondere inlichtingen mogen we ver klaren dat we plaatsen weten waar nog 4 tot 5000 kilos tabak... te koop ligt. Zekere klerikale koolblaadjes zeg gen Het ministerie Graux heeft die hatelijke geldafpersing (sic) ingevoerd om den schooloorlog te betalen. Je moet dat in het Nieuwsblad van 29 Juni lezen om al den geur van die gewilde stommiteiten te behouden. Zeggen we enkel 1° dat vele klerikale planters het behoud der accijnsen vragen (zie le Palriote van 3 Mei), 2° dat die tabak belastingen tot heden toe door de 1de- rikalen bewaard bleven, 3° en dat het dank aan de linkerzijde is (MM. CO LA ËRT EN IWEINS WETEN DIT WEL) dat de afschaffers een meerder heid in de Kamer gevonden hebben want het le wetsvoorstel van De Smet schafte de belasting niet af, 4° dat de progressisten welke in 1883 in de Ka mer waren tegen de tabakbelasting gestemd hebben. We hebben eenige oorzaken van de tabakcrisis in ons laatste artikel ver klaard. De planters van Geeraaadsber- gen verwijzen naar de mededinging van Holland en zij n colonies en de ont wikkeling van den Smokkelhandel. En daartegen vragen ze een beter bewaking van de grenzen het be houden van de accijnsen op den vreem den tabak. Lire la suite a la 4e page. SUE

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1895 | | pagina 3