Substitution aux taxes communa
les EXISTANTES d'üN IMPÓT UNIQUE
BASÉE SUB, LE BEVENU.
Colaert
en de Schoolwet.
Réformes communales.
Eigendom Ais politiek man hoort hij
bij de behouders a la Woeste en tutti
quanti. Hij weet niet waarom, maar
dat is niets.
Het peerd, het edelste der dieren
wezende, en de betaamde schepen be
gaafd wezende met een tot heden toe
onbekenden sportgeest, zoo dacht het
vox populi ofte de volksstemme den na
gel op den kop te slaan met hem de
titel te geven van vliegende peerd
Onafscheidbaar van zijn onmetelij-
ken paraplu, bevallig van uiterlijke
met den gang van een kurkentrekker
op dienst, zoo verwekt hij de grootste
bewondering van sympathie op zijn
voorbijgang.
Die mensch meent dat hij schepen
van openbare werken is.
Die mensch is onmetelijk mis.
Want onmiskenbaar is 't (en M. Sur-
mont zal dit niet kunnen ontkennen)
dat de schepen van openbare werken
wel zeker de man is welke zich 't
minst met openbare werken bezig
houdt.
Dat de laatste der geinregimenteer-
den van 't Volkshuis vrage aan den
geleerdsten der Henritjes, den sober-
sten der ïtenés, den min opgeblazen
der Cyrilles, den best gesmeeden der
windhanen, den sluwsten der barons,
den goedzaksten der fanatieke Eugènes,
den meest onbewusten der Louitjes en
den meest breinloozen der misklingen-
de carillons of onze vreemde pseudo-
schepen, vreemd aan de openbare wer
ken, wel ooit 'n tekst of n plan of 'n
lastencohier of 'n gedachte geleverd
heeft voor één enkel openbaar werk
En 't volgende dilemma had moeten
gesteld worden.
Ofwel die schepen voelt zich onbe
kwaam en dan had hij zich moeten
terugtrekken sedert lang.
Ofwel hij voelt zich niet onbekwaam
en dan had men hem moeten wan
delen zenden sedert lang.
Men heeft de onhandigheid en de
stoutmoedigheid gehad een schepen te
behouden welke de openbare diensten
in wanorde brengt met die diensten
onder het bevel te stellen van den eer
sten den besten klerikalen lummel,
welke maar iets te bevelen had.
En daar M. Surmont aan zijn colle-
gas alle vraagstukken welke dien
spookachtigen schepen aangaan voor
stelt en uitlegt in tegenwoordigheid
van dien immer spraakloozen schepen
waarom heeft M. Surmont niet
vlakaf de openbare werken onder zijn
beheer genomen? Hij verricht de daad
waarom neemt hij den naam niet
Sedert lang had de klerikale meer
derheid die parademan moeten laten
voelen dat zijn plaats niet is in een
schepenzaal, maar op het bureel van :t
Nieuwsblad bij voorbeeld.
V. P.
vse
L'Association catholique communale
et cantonale de Bruxelles s'est réunie
il y a quinze jours pour arrêter le pro-
gramme électoral qui servira de plat
form aux prochaines élections com
munales.
Nous allons en citer les dispositions
principales, que le Journal d'Fpres sera
peut-être fort étonné de trouver dans
un programme émanant d'une associa
tion catholique conservatrice. En re
vanche, cela lui fera plaisir de penser,
lorsqu'il combattra encore les réformes
préconisóes par les congres progressis
tes, qu'il les combat contre ses propres
amis de Bruxelles, et qu'il sera bientöt
seul a lever l'étendard des idéés réac-
tionn aires.
Et s'il n'en reste qu'un, il sera
celui-la
Ceci dit, citons Ie programme des
catholiques bruxellois
-Reduction des gros traitements et spécia-
lement de celui des bourgmestres et échevins.
Com me chez les progressiates et les
socialistes. Seulement, les cléricaux
n'ajoutent pas relèvement des petits
traitements. Ils réservent l'argent pour
les écoles cléricales, comme on le verra
plus loin.
Intervention des communes UmilropTi.es
dans les dépenses qui intéressent Vagglomè-
ration bruxelloise tout entière.
Ce sont encore les progressistes qui,
pour remédier a l'anomalie qui consiste
a faire participer les faubourgs aux
avantages de Ia capitale sans leur en
faire supporter les char-ges, ont les
premiers préconisé, soit la fédération
de Bruxelles et des faubourgs pour
leurs intéréts communs,soit leur fusion
en une seule commune. Seulement, ces
mesures, tont comme celie que préco
nisé lo programme catholique, ne peu-
vent être réalisées que par une loi, qui
viendra tot ou tard.
Taxe progressive sur les grands maga-
sins et les cooperatives vendant d d'autres
qu'a leurs membres.
La taxe sur les cooperatives trahit le
clérical M. le pharmacien et repré
sentant Gilliaux doit y être pour quel-
que chose. Elie veut atteindre les coo-
pératives socialistes mais elle attein-
dra plutót les cooperatives capitalistes
que les cléricaux ont érigées pour
essayer de ruiner les coopératives
ouvrières (exempie le Volksbelang a
Gand). On se demande pourquoi les
cléricaux n'étendent pas leur taxe
progressive aux sociétés anonymes,
qu'elles vendent a d'autres que leurs
réactionnaires dans des proportions
bien plus grandes que les coopératives.
Serait-ce paree que beaucoup de ces
messieurs de l'Association catholique
sont administrateurs de sociétés ano
nymes et craindraient de voir dimi-
nuer leurs dividendes
Comme chez les progressistes et les
socialistes encore. Voila enfin des clé
ricaux qui admettent ce principe d'é-
vidente justice l'impöt doit atteindre
les citoyens en raison de leurs revenus.
L'Association catholique ne dit pas si
l'impöt sur le revenu qu'elle veut
établir sera progressif ou simplement
proportionnel, s'il frappera le néces
saire du pauvre dans la même propor
tion que le superflu du riche mais
elle fait un premier pas dans Ia voie de
la justice espérons qu'elle fera aussi
le second. Elle ne fait d'ailleurs que
suivre l'exemple de gens qui n'ont
jamais pensé, même en rêve, a secouer
les bases de l'ordre socialle conseil
communal de Liège, pour n'en citer
qu'un non suspect de radicalisme ni de
collectivisme. Mais que va dire le Jour
nal d'Ypres Vol spoliation expro
priation deguisée a moi Louis Key-
baud et ses hypotheses absurdes Le
Journal de Bruxelles se chargera de lui
répondre.
Egalité absolue de toutes les écoles rèu-
nissant les conditions fixèes par la loi en vue
de Vadoptiondans la repartition des dé
penses et subsides scolaires.
Voila un point, nettement clérical,
que l'Association catholique n'a pris a
personne, et que personne ne lui pren-
dra. Pareil système pourrait se conce-
voir, si i'enseignement libre n'était en
fait, en Belgique, un enseignement de
parti et, encore, aux conditions sui-
vantes 1°) instruction obligatoire 2°)
obligation pour chaque commune d'en-
tretenir un nombre convenable d'é-
coles publiques neutres et gratuites.
Quand ces conditions seront réalisées,
nous examinerons le système clérical.
Extension des écoles industrielies, com
mercialese professionnelles et ménagères
subsides et encouragements aux ceuvres et
associations créées en vue de favoriser
Vépargncla soupe, le vètement et
les colonies scolaibes sans distinction
des établissements frêquentès.
Un pas vers le programme progres-
siste et socialiste, en ce qui concerne la
soupe scolaire et les oeuvres sjmilaires.
Quand la commune reconnait la néces-
sité de subsidier ces ceuvres elle est
bien prés de les organiser elle-même
quand" l'initiative privée est insuffi-
sante. Remarquons (comme le rap-
pelait dermèrement M. Smets dans une
lettre a la Ghronique que nous repro-
duisions dans notre n° du 13 Juiilet)
que depuis 1879, a l'initiative de M.
Buis, la ville de Bruxelles subsidie les
sociétés fondées pour donner la soupe
aux enfants pauvres des écoles que
les communes de l'agglomération ac-
cordent aussi des subsides aux sociétés
qui s'occupent de 1'alimentation et du
vètement des écoliers pauvres, des
colonies scolaires, etc.que la ville de
Liège distribue elle-même la soupe aux
enfants de ses écoles gardiennes. Si a Bru
xelles les subsides profitent aux en
fants des écoles communales seule
ment, e'est que les sociétés qui les
reqoivent sont des sociétés libérales,
fondées en faveur des élèves des écoles
communales.
Le programme de l'Association ca
tholique n'innove en rien quant au
point en question.
Application de la clause du minimum de
salaire et limitation de lajournée de travail
dans les cahiers des charges des entreprises
de la ville ou des régies el services concedes
qui en dépendentsubsidiairemenipi e-
fèrence accordée aux entrepreneurs et sou-
missionnaires qui se conforment d cette
clause.
Encore (au subsidiairement prés) un
empruut aux programmes progressiste
et socialiste. Qu'en pensent MM. les
cléricaux du conseil communal d Y-
pres, qui n'ins.crivent le minimum de
salaire qu'aux cahiers des charges des
travaux que la province subsidie,
paree que la province fait de cette
clause une condition sine qua non de ses
subsides? L'mscription du minimum
de salaire aux cahiers des charges
communaux a étéréalisée d'abord dans
une commune libérale St-Josse-ten-
Noode. D'autres, nombreuses, ont suivi.
Les communes cléricales elles-mêmes
commencent a y passer. Bientöt MM.
Colaert, R. Begerem et Cie resteront
seuls dans leur opposition... avec le
Journal d'Ypres.
Representation ouvrière au sein du con
seil des hospices et secuurs et dans les
comités de charitè.
Chose réalisée par les progressistes,
depuis plusieurs années, dans mainte
commune de l'agglomération bruxel
loise (St Gilles, Molenbeek, St Josse).
Restons-en la, et tirons quelques
conclusions
1°) MM. les cléricaux, après avoir
regardé a priori les programmes pro
gressiste et socialiste comme l'abomi-
nation de la désolation, se sont enfin
décidés a les lire. D'oii il est résulté,
tant les idéés justes ont de force pour
s'imposer, même aux plus réfractaires,
qü'ils leur ont emprunté les points
essentiels du programme avec iequel
ils se présenteront aux électeurs eu
Novembre prochain.
2°) Subsidiairement, si nous doutions
de la sincérité de l'Association catho
lique de Bruxelles (au fait, nous ne
sommes pas payés pour y croire), nous
pourrions dire que MM. les cléricaux
sentent, comme tout le monde, que le
vent est a la démocratie. Après avoir
essayé de canaliser les flots populaires
(comme disait M. Janssens de St Nico
las), ils en ont reconnu l'impossibilité,
et se décident, a leur corps défendant,
a se laisser emporter par eux, ce qui
les lavera peut-être de leurs impuretés.
Ils espèrent ainsi prendre a la glu
démocratique d'un programme volé a
d'autres les électeurs qui auraient ou
blié et la loi communale, et les droits
d'entrée, et la loi scolaire, et les autres
méfaits de la majonté que M. Woeste
fait danser a sa guise Nous verrons si
les électeurs se laisseront éblouir, et
préfèreront la démocratie suspecte
d'hier a ia démocratie éprouvée de 25
ans.
En voila bien d'une autre
Comme on s'en doutait, les cléricaux
sont décidés a lutter dans toutes les
communes de l'agglomération bruxel
loise.
Un journal conservateur racontait,
il y a quelques jours, que les délégués
de toutes les associations catholiques
de Bruxelles et des faubourgs se sont
réunis, et qu'a cette réunion a été dis-
cutée la question de savoir si le pabti
CONSEBVATEUB EEBAIT ALLIANCE AVEC
les socialistes II parait, que la néga-
tive n'a prévalu qu'a raison de l'hosti-
lité irréductible des socialistes a la loi
Schollaert.
Comment la trouveg-vous, celje-la
sont ils amusants, les petits cris de
pudeur eflarouchée que poussent les
journaux cléricaux au moindre mot
d'entente entre les libéraux et les
socialistes Ne sont-ce pas plutót des
cris de peur, paree que cette entente
serait la fin de leur domination, usur-
pée grace au système majoritaire
Ces bons cléricaux, qui ne veulent
pas que les libéraux se déshonórent en
s'alliant au parti socialiste, ont en bons
chrétiens moins de souci de leur hon-
neur propre, car ils méditent, de
1 aveu d'un de leurs organes, un pacte
d'alliance avec l'hydre collectiviste
et n'y renoncent que paree que l'hy
dre collectiviste n'en voudrait pas.
Religion familie proprieté
Pu. de Comines.
Degenen welke ons blad lezen weten
uat we niet teeder zijn voor de wind-
hanerijen van M. Colaert.
Tot nog heden toe, in ons kort 1
staan, hebben we nog nooit de gelet*
lieid gehad onzen tegenstrever t
loven. 16
Heden hebben we die gelegenhei
gevonden. l(t
M. Colaert heeft het ongelijk e
achtermtkruipende klerikaal en di
naar der geestelijkheid te zijn. Oot
heeft hij al den klerikalen dwang Van
de wet gestemd. Op 2 punten heeft hj
zich van zijn vrienden nochtans al'J
scheiden. 8
Met Vander velde, Anseele en Des
trée heeft hij een amendement getee"
kend, houdende dat de uitgave voort"
spruitende uit de plaatsvervanging Vaj
den zieken onderwijzer tot bedrag d6«
drie vijfden door den Staat en der twee
vijfden door de gemeente zou worde^
gedragen
M. Woeste en anderen beweerden
dat dikwerf karotten worden ge.
trokken. M. Colaert antwoordde
heel juist dat een ziek onderwijzer
zijn gansche jaarwedde noodig heeft
dat hij, sedert hij schepen van open.'
baar onderwijs is, nooit heeft vastge-
steld dat er misbruik werd gemaakt
van ziekverlof. Pin M. Vandervelde
voegde er bij
't Is vooral wanneer de onderwij.
zer ziek is dat men hem tot geen groo-
ter uitgaven moet verplichten
Doch, het ministerie en de rechter
zijde was geenszins te vreden dat M.
Colaert zich aangesloten had bij de
socialisten. M. Colaert antwoordde
met een volzin, wiens gedachte (vol
gens ons) hij niet altijd volgde, doch
dien de linkerzijde en wij met haar
volmondig goedkeuren
Eens en vooral verklaar ik dat
wanneer een voorstel mij rechtvaardig
schijnt, ik het verdedigen zal, van wel
ke zijde dezer Kamer het ook kome.
En, wij voegen er bij dat we juist
altijd in ons blad 't zelfde doen, eu we
M. Colaert loven (als heden) wanneer
hij lof verdient.
Op te merken is dat M. I weina
(d'Eeckhoutte), tegen het amendement
van zijn medelid heeft gestemd.
Slechts drie klerikalen hebben M.
Colaert gevolgd de heeren Mousset,
Theodor en Cambier.
M. Colaert verdient nog lof.
Hij heeft de afschaffing van de prijs
kampen gevraagd.
Hij zei o. a. 't volgende en we stem
men volkomen met die woorden in
M. Colaert. Ik heb twee jaar geleden
krachtdadig de prijskampen bestreden, en
ik zou den heer Woeste kunnen bewijzen
dat de overgroote meerderheid der onder
wijzers en schoolopzieners, zoowel vrije
als offieieele, de afschaffing der prijskampen
vragen. Deze prijskampen, in stede van
eenen heilzamen wedijver onder de scholen
en de leerlingen te verwekken, zijn over 't
algemeen eene bron van nijd en slechte ge
voelens.
De verstandigste kinderen worden tot
den prijskamp bereid en men verwaarloost
de anderen.
De achtbare heer Woeste stelt vertrou
wen in de toekomst ik denk wel dat die
toekomst ons gelijk zal geven. Overigens de
oplossing voor de toekomst werd, volgens
mij, reeds door den heer Spillebout aange
duid een overgangsexamen van de eene1
klas tot de andere.
M. Demblon. Inderdaad.
M. Colaert. 't Doet mij genoegen een
oud-onderwijzer dat denkbeeld te zien on.
dersteunen. Verre van nut op te leveren
voor het onderwijs, werken de prijskampen
nadeelig. De heer Woeste kan niet looche
nen dat men met het oog op de prijskamp0"
eenige leerlingen als 't ware in eene broei
kast opjaagt, ten nadeele van de andere.
{Zeer mei op verscheidene banken). Memg"
maal werden op de prijskampen vragen g'®'
steld die ik de onderwijzers zeiven uitdaa»
op te lossen.
We kunnen er nog bijvoegen dat w®
persoonlijk van die laureaten ul
de gemeentescholen ondervraagd beP
ben en dat we verstomd stonden J
hun onwetendheid. De leeraars van
Nijverheidscholen moeten wat daa
van weten. Voegen we er nog hij 1
er kolossaal gezeurd wordt ove.1' j,
door de onderwijzers-opzieners,
het ontleenen van vreemde leerlinge
enz. Feiten hebben we aangehaald.
vorige nummers. Zeggen we ein
dat wedstrijden voor lagere sen
inf
niets bewijzen noch voor
ling, noch voor den leeraar.
nen b. v. onderwijzers welke
We k0"'
het lai1"*
■■wMaatacggatg—