aComposition des troupes L'ar- mée hollandaise du prince Frédéric, renforcée de la division Cort-Heyligers et de celle du due de Saxe-Weimar, comprend 25,000 hommes avec 5 régi- ments de cavalerie et une nombreuse artillerie. L'armée beige comprend les 2000 volontaires de Niellon et une au tre colonne de volontaires sous Mel- linet. File ne possède pas de cavale rie. L'artillerie (2 pieces de campagne et un obusier) est commandée par Kessels. Laatste Nieuws. VRIJZINNIGE VOLKSBOND Wwe DESMARETZ-JOOS, A.J OOS-BREYNE. UN MONSIEUR Résumé du cours public Révolutiou Beige. »OP£&llIGH£. Rapid Club Yprois. De ondergeteekende, WvvDesmaretz-Joos, beschuitbakster, Dix- mudestraat, n* 77, te Ieperen, en A. Joos- Breyne, beschuitbak ker, Boterstraat, nr3, te Ieperen, maken het publiek kenbaar dat zij alleen, als eenige opvol gers van den overledenen Gérard Joos, het recht hebben den handel der Iepersche beschuiten onder de firma Gérard Joos, uit te oefenen. Wie gebruik zoude maken van deze firma zou zich bloot stellen tot rechterlijke ver volgingen. État-Civil d'Ypres, Fin 18/1, il etait de ces republicains ardents qui, après avoir travaillé a l'écrou- lement de I Empire, s associerent, paramour de la République qu'ils croyaient compro mise, au mouvement de révolte contre le Gouvernement provisoire. II était, avec son bataillon, devant l'Hötel de Ville au 31 Octobre, a Montmar- tre Ie 18 Mars. II prit part a toutes les sor ties, se mêla a la fièvre des clubs et d s rues. En même temps qu'il raconte ce qu'il a vu, ce qu il pensait, sous quel aspect lui apparaissaient les évènements, il décrit l'at- mosphère des rues, l'état d'esprit de la loule, des spectacles de la bataille. Tout cela est simpK sans pretention. Son livre a la sa- veur d'un livre de vérité. Et l'on voit com- bion, avec un peu plus d'énergie et d'habileté politique, il eüt été aisé d'en finir plus pres- tement et plus humaineinent avec la révolte. Thiers mit a réunir des troupes inutile- ment nombreuses deux longs mois, pendant lesquels la commune devint féroce, sous l'influence des violents. II multipliait les precautions com me s'il avait eu a réduire un eunemi extraordinairement redoutable. Et Sutter-Laumann, d'accord en cela avec Maxime Du Camp, nous révèle qu'a chaque rassemblement de bataille, plus de la moitié de l'effectif des bataillons de la Commune manquait aux appels. On eüt pu rétablir l'or- dre avec promptitude et l'on eüt évité ainsi bien des cruautés. It sufBsait d'une volonté énergique. En face de cette incroyable len- teur dont tout le monde s'étonne, on ne peut s'empêcher de penser que peut-être la pro longation de l'émeute était favorable aux idéés de Thiers (4). ou fout au moiris qu'il n'était pas hostile a une répression théatrale, a une mise en scène d epouvante Dans tous les cas, les généraux a son service furent des tacticiens médiocres et sans audace. Les gens impartiaux, qu'ils soient du parti de l'ordre ou d'un autre, ne s'expliqueront ja mais qu'on ne se soit pas haté davantage, alors qu'il était si urgent d'en finir. r II est vrai que, si l'on continue l'examen des fautes de Thiers, on ne comprendra ja mais d'abord qu'il soit parti, emmenant avec lui toutes las forces gouvernementales, au lieu de tenir tête a l'émeute, dans Paris même ensuite que, sous des prétextes d'a- mour-propre autoritaire, il ait sans cesse repoussé les moyens de conciliation cfü'on lui ofFrait, comme si son devoir strict de Francais n'était pas de faire cesser une lutte effroyable de quelque manière que ce fut, même au prix d'une concession du gouver nement. Enfin, a quelque opinion qu'on ap- partienne, on doit lui pardonner malaisé- ment, a lui et a ses généraux, d'avoir mis tant de jours a reconquérir Paris, grace a une stratégie timorée, exagérément précau- tionneuse, alors que, avec plus d'audace, on était sür de sauver bien des existences hu- maines. Tous les historiens, même Maxime Du Camp, tous les militaires interrogés sont d'accord pour reconnaïtre qu'il eüt été facile de parvenir au coeur de Paris trois jours plus tót. C'est pourquoi il serait temps d'en finir avec le légendaire génie de ce triste ministre, qui ne fut qu'un bourgeois peureux et plein de vanité stupide. van Ieperen. ZONDAG 22n MAART 1896, om 8 uren 's avondsAlgemeene Vergadering. dagorde 1° Belangrijke mededeeling. 2° Aanstaande kiezing. 13. JACOBS. (suite.) CHAPJTRE IV. Gouvernement provisoire. Campagne de 1830. I. GOUVERNEMENT PROVISOI RE. A la nouvelle de larésistance du peu- ple, tous les chefs du mouvement qui s'étaient sauvés croyant la résistance impossible, reviennent a Bruxelles Rogier quitte la forêt de Soignes pendant la nuit du 23 Septembre Gendebien et Vandeweyer reviennent a Bruxelles dans la soirée du 25 De (4) En 1873, le journal le Figaro accusa 'autement Thiers d'avoir voulu et d'avoir fait 'a Commune cette imputation fut plusieurs leis répétée depuis, (Dictionnaire Trousset.j Potter, Rodenbach et Vleminckx, le 28. En même temps arrivent de nom- breux détachements de volontaires, surtout des communes wallonnes, mê me de Roubaix et de Paris. Le 24 Septembre, constitution d'un premier gouvernement provisoire,sous le nom de commission administrative. II est composé de Rogier, d'Hoogrorst et Jolig. Le même jour, la commission admi nistrative nomme le réfugié espagnol Don Juan Van Halen commandant en chef des forces actives de la Belgiqne. Le 5 Octobre il est mis en non-activité avec un traitement annuel de 10,000 fr. Après sa mort, survenue a Cadix en 1864, sa veuve reqoit une pension an- nuelle de 5,000 fr. Le 26 Septembre, constitution d'un nouveau gouvernement provisoire, avec Emmanuel d' Hoog vorst, Félix de Mérode, Gendebien, De Potter (qui n'y fut adjoint que le 28). Rogier, Vandeweyer, JollyVander linden, Cop- pin, Nicolaï. II. CAMPAGNE DE 1830. Niellon, ancien sous-officier fran- gais, est créé lieu tenant-colonel le 8 Octobre, général-major le 28 du même mois. Mellinet, ancien officier fran cais, en dernier lieu directeur d'un théatre de marionnettes a Bruxelles, est nommé général-major le 3 No- vembre mis en non-activité au mois d'Aout 1831, il est condamné a mort en 1848, pour complicité dans l'aflaire de Risquons-Tout. Kessels, ancien capi- taine d'artillene dans la guerre de Colombie, est nommé major d'artille- rie le lr Novembre 1830. L'armée hollandaise se retire sous les murs d'Anvers. Après avoir été re poussé a Waelhem, a Berchem et a Borgerhout, le prince Frédéric passé la frontière et établit son quartier-gé- néral a Breda. c) Bombardement d'Anvers. Le 26 Octobre les troupes beiges se présentent devant Anvers et le combat 8'engage a toutes les portes. Le 27, le lieutenant-général Chassé, cédant a une députation de notables et voulant éviter l'effusion du sang, s'engage a évacuer la villea retirer ses troupes dans la citadelleet a occuper provisoi- rement VarSenal. Les clefs de la ville sont remis a un délégué du gouverne ment provisoire et un armistice est signè. Pour faire respecter l'armistice, Chassé fait hisser le drapeau blanc sur la citadelle. Niellon et Kessels, au nom du général-commandant Mellinet, se présentent en parlementaires. Ils re- fusent de reconnaïtre l'armistice signé le matin et veulent faire signer a Chassé une capitulation honteuse. Sur le refus de Chassé, ils attaquent l'ar- senal et les navires en rade. Le drapeau blanc, hissé de nouveau, n'a aucun eiiet sur les volontaires. Alors Chassé, voyant que les troupes beiges s'obstinent a violer Varmistice, ordonne de bombar der la ville. La responsabüitèdu bombardement d'An vers doit done retomber non sur Chassé, mais sur Mellinet, Niellon et Kessels. [La fin au prochain numéro). Par suite de l'abondance des matières nous devons, a regret, remettre a un prochain numéro, la publication du programme du dernier Congrès pro- gressiste, programme que nous croyons utile de reproduire, un nouveau Con grès de la Fédération progressiste s'or- ganisant pour le mois d'Avril prochain. XTit eerste en goede 1>»*oii vernemen wijclat de kiezing1 van Oosten de g-oedg-ekeiird is. Leve OostendeLeve de Liberalen Leesten van Half-Tasten. In de Pliilharmouie volgen de feesten bekoorlijk de eene de andere op. Ter gelegenheid van Half-Vasten, komt zich bij de zoo schitterende voorstel lingen van karnaval, een concert voe gen dat veel bijval genoten heeft. Bieden wij eerst hulde aan het zoo volmaakten zoo fijn talent van Mej. Destrebecq. Het is eene kunstenares in den vollen zin des woords. Volkomene muzikante, heeft zij hare toohoorders letterlijk betooverd, door hare zoo zuivere en zoo uitgebreide stem, door hare volmaakte voordracht en door het keurig gevoelen met hetwelk zij de onderscheidene stukken die zij ons heeft laten hooren, vertolkt heeft. Zoo het toegelaten is hare kunstmatige loopbaan te voorspellen naar den uit slag welken zij bekomen heeft, valt het niet te betwijfelen of Mej. Destre becq staat eene schitterende muzikale toekomst te wachten. Na de groote Aria der Koningin van Sabaheeft het publiek de uitmuntende en sympathetische kunstenares eene ovatie gedaan en wij verhopen wel haar in de Philharmonie nog te mogen hooren en toejuichen. Verscheidene malen reeds hebben wij de gelegenheid gehad den lof van M. Folie te verkondigen eD enkel kun nen wij bestatigen dat hij, bij het zin gen zijner onderscheidene stukken, veel vermaak verschaft heeft. Sedert twintig jaar dat M. Dekem- per aan de halfvastenfeesten zijne medehulp verleent, heeft hij geen zoo volledigen bijval genoten dan diegenen welke hem Zondag laatst is te b urt gevallen. Als Nicette in de Pré aux Clercs zullen wij eindigen met hem gratie te vragen om, ten gevolge van geweldig lachen, met ziek te worden. Oolc welke terugroepingen en ovatiën heeft men niet gedaan voor hem, wel ken iedereen hier onzen vriend Dekem- per noemt. De piano werd door M. Strauwen gehouden dit is zeggen dat de bege leiding volmaakt was, en dat de kun stenaren bewonderenswaardig zijn bij gestaan geweest. AIM. Flamey en Blanckaert, uitvoe rende leden der Maatschappij, hebben, in eenen Duo concertant voor trom bone en bugle, de beloften verrecht- vaardige welke voorafgaande uitvoe ringen dezer twee artisten-lielhebbers van hun talent hadden doen opvatten. Zij hebben hun stuk met veel samen hang, juistheid en uitdrukking ge speeld. Het baart ons genoegen hun geluk te kunnen wenschen over de vorderingen die zij niet ophouden te doen. De harmonie had, dit maal, onder de stukken die zij uitgevoerd heeft, een muziekstuk gekozen van eenen hoogen muziekalen drachtde ouver ture van Tannhauser van Wagner. Het ware laag zich op te houden bij de moeilijkheden welke dit meesterstuk bevat. Bestatigen wij dat deze moei lijkheden overwonnen geweest zijn en datu Tannhauser meesterlij k is terug gegeven geweest. Ten einde het slot der ouverture meer luister bij te zet ten, had onze verkleefde Voorzitter, M. Van Merris, den aankoop van Thebaansche trompetten gedaan en derwijze versterkt, heeft de harmonie eene oprecht treffende klank en wellui dendheid gehad. De uitvoering strekt onzen wijzen orchestmeester M. Van Elslande ter eer, wien de moeilijkheden van het stuk niet afgeschrikt hebben, even als onze uitmuntende uitvoerders, die voor het werk niet beschroomd waren dat een zoo moeilijk stuk vergt. JffEene fantasia op Lahmé van Des- libes, walse van Gung'i en eene fanta sia op de Dragons de Villars allen zeer wel uitgevoerde stukken, voltooi den het programma. Eene Duetto voor klarinetten uitge voerd door MM. H. Lambrecht en E. Salomé, uitvoerende leden der Maat schappij en door de heele harmonie begeleid, heeft eenen grooten bijval genoten. Het talent van M. Lambrecht, klari- nette-solo der Sociëteit en eenen OQzer ieverigste leden, is van allen zeer gewaardeerd. M. Lambrecht bezit de hoedanigheden van eenen goeden kla rinettist. Hij leest de zinsneden met smaak en speelt met veel gevoelen. M. Salomé, jonger instrumentspeler, belooft veel. Reeds verdient hij al onzen lof voor de schitterende wijze waarop hij zijne partij gehouden heeft en dit zooveel te meer, dat het door hem bespeeld instrument heel moeilijk en zeer onaangenaam is. Het Bal dat het concert volgde is zeer levendig geweest en heeft aange- naamlijk een feest geëindigd, dat voor allen te vroeg gedaan was. Samedi, 28 Mars 1896, a 8 heures du soir, Concert suivi de Bal, a la Grande Salie de la Bourse, rue Carton. offre gratuito- ment de faire connaitre a, tous ceux qui sont atteints d'une maladie de peau, dartres, ec- zomas, boutons, démangeaisons, bron- chites chroniques, maladies de la poi- trine et de l'estomac, de rhumatismes et de hernies, un moyen infaillible de se guérir promptement ainsi qu'il l'a été radicalement lui-même après avoir souffert et essayé en vain tous les re- mèdes préconisés. Cette offre, dont on appréciera le but humanitaire, est la conséquence d'un voeu. Ecrire par lettre ou carte postale a M. Vincent, 8, place Victor Hugo, a Grenoble, qui répondra gratis et fran co par courrier, et enverra les indica tions demandées. du 13 au 20 Mars 1896. Naissances: Sexe masculin, 6, id. féminin, 6. Dècès Odaer, Marie, 75 ans, sans profession, veuve de Ganne, Arsène, rue de Menin. Dael, Edouard, 43 ans, forgeron, époux de Moinié, Eveline, rue de Me nin. Deconinck, Auguste, 18 ans, ouvrier de fabnque, céiibataire, Bne- len, extra rauros. Enfants au-dessous de, 7 ans Sexe masculin, 3; id. féminin, 0. SUB, LA V) POURSUITE DE L'ARMÉE HOLLANDAI SE L'armée hollandaise avait porté sa ligne de défense le long du Rupel, de la Nêthe et de la Dyle. Niellon, feignant de marcher sur Malines, at taque Lierre le 16 Octobre. Le comte de Lens, commandant la place, capi- tule le même jour. Un retour ofiensif de l'ennemi est repoussé les 18 et 19. ^/V'VOTJVVVVWW^. =«-==>S4$Mc==«=—

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1896 | | pagina 3