College de [Union. r UITGIFTE VAN 595,000 OBLIGATIEN Philippe de Comines. Fl. bartier, État-Civil d'Ypres, s t d e E N T vnii lOO franken 2 °/0 Le championnat de 50 kilomètres. Octobre prochain. Ces lo- Boterstraat, 19, Ieperen. La fabrique de Parapïuies Em mery Polley, 22, rue au Beurre, a Ypres, est la seule maison garantissant ses produits. Faire at tention au numéro üir en Mme Maurice HOEK der Moskrocn- der Moskroenstraat, nu Prijs der inschrijving in klinkende munt 91 Fr. Recht van inwisseling voor de oude Obligatiën van 1868, 1880, 1883. communal par M.le bourgmestre Buls, au nom de la commission chargée de faire enquête sur les eftets de la clause du minimum de salaire dans les adju dications publiques. Ce rapport contient les réponses reQues des 9 administrations provincia tes, de 86 administrations communa- les, de 11 syndicats patronaux, de 22 syndicats ouvriers et de 32 patrons ad- mis aux adjudications de la ville. Les administrations provinciales et communales ont répondu a la ques tion qui leur était posée, sur le point de savoir si elles ont adopté le principe du minimum de salaire dans leurs ad judications, et elles ont fourni, le cas échéant., quelques renseignements sur l'application du système. Les syndicats et les patrons consultés isolément ont répondu sur des questionnaires dis- tincts, dressés par la Commission d'en- quête et relatifs a la fois a l'influence éventuellement constatée des adjudi cations publiques sur les salaires, aux objections que soulève la clause du mi nimum et aux difficultés de sa réalisa- tion pratique. Six administrations provinciales stipulent dans leurs cahiers des charges quels sont les salaires minima que les entrepreneurs de travaux publics au- ront a. payer a leurs ouvriers. Deux au- tres (Flandre occidentale et Anvers) font indiquer dans leurs soumissions les salaires minima que les entrepre neurs s'engagent a payer, sans qu il y ait un minimum réglementaire. Une seule province (Limbourg) n'a rien dé- cidé jusqu'ici dans eet ordre d'idées. Mais la question y est a l'étude. Des provinces ou le régime est en vigueur, aucune n'a regu de plaintes a son sujet, ni de la part des patrons ni de celle des ouvriers. Dans aucune non plus, la ré- forme n'a eu des résultats anormaux au point de vue des finances, excepté dans le Brabant (dont la réponse, tout en constatant certaines majorations, déclare cependant que la clause du minimum de salaire n'a guère eu d'in- fluence sur le cout des travaux et dans la Flandre occidentale, qui décla re que la clause a eu pour effet de porter les salaires a un taux équitable sans imposer de bien lourds sacrifices la Province. ji Quant aux 86 communes consul- tées (l'enquête n'a porté que sur les communes comptant plus de 8,000 ha bitants), n'ont arrêté jusqu'ici aucune disposition relative au minimum de salaire ni aux heures de travail, mais 5 d'entre elles, parmi lesquelles Liège et Mons, annoncent que des disposi tions de l'espèce seront probablement adoptées a bref délai par leurs Conseils communaux. Les 47 autres communes, comptant ensemble 1,427,515 habi tants, insèrent dans leurs cahiers des charges des clauses relatives au mini mum de salaire, aux heures de travail, etc. Deux communes seulement ont regu des réclamations quant au fonc- tionnement du système. Une seule si- gnale une augmentation de prix sur certaines adjudications. Parmi les syndicats patronaux, sept se montrent hostiles au principe du minimum de salaire, qui, consta- tent-ils unanimement, privera de tra vail les ouvriers médiocres (1) Trois syndicats s'y déclarent favorables (2) un constate que la question est trés controversée Enfin les syndicats ouvriers ou mixtes sont tous partisans du régime en question, a l'exception de la corpora tion des travailleurs du bois (3) et tous combattant généralement par les mêmes arguments les objections énoncées par le questionnaire. Consequences financières 11 semblerait que, étant donnés les résultats de la clause du minimum de salaire pour les administrations publi ques qui l'ont adoptée, la Commission de Bruxelles se soit prononcée pour l'mscription de cette clause aux cahiers des charges de la ville. Mais elle s'est préoccupée aussi des conséquences fi nancières, ce quil'a conduite aux résul tats suivants CU II ne paraït pas que cette eonséquence se foit présentée jusqu'h présent. (N. D. L. RU (V La Chambre syndicale des peintres pa bons de Bruxelles s'est prononcée pour le mi nimum de salaire et pour la journée de dix neures. (N. D. L. R.) (3) 11 s'agit sans doute ici de la corporation catholique des travailleurs du bois, compre- nant ouvriers et patrons, ces derniers l'empor- tant par leur influence. (N. D. L. RJ "Ala suite des réponses fournies aux questionnaires, ajoute la Revue du Tra vailla Commission d'enquête publie un rapport spécial établissant les salai res actuellement payés par la ville de Bruxelles aux ouvriers employés par elle, et les conséquences financières qui résulteraient de l'adoption du taux de quatre francs par journée de Jiuit heures, ce qui est le taux inscrit dans la proposition qui a donné lieu a l'en quête. Cette réforme entrainerait, pour la ville, une dépense supplémentaire de fr. 1,085,136,72 par an. Actuelle ment, sur 1576 ouvriers (1) employés directement par l'administration com munale, 1306 regoivent 2 francs de sa laire et au-dessus, 430 regoivent 4 fr. de salaire et au-dessus. Si l'augmentation s'appliquait a tous les ouvriers, elle proeurerait a chacun, en moyenne, un supplément de salaire annuel de 625 fr. si elle ne s'appli quait qu'a ceux gagnant moins de 4 fr. par jour, elle rapporterait a chacun une augmentation moyenne de salaire annuel de 830 fr. En admettant l'exac- titude des chifl'res du collége, ces aug mentations considérables ne peuvent s'expliquer que d'une manière la lon gueur démesurée de la journée de tra vail actuellement fournie par les ou vriers de la ville de Bruxelles. Cette longueur ne peut être obtenue qu'au détriment de la santé des ouvriers et de la bonne exécution du travail a eux confié. Ces choses ne se traduisent pas en chiiïres, peut-être mais il y a lieu néanmoins d'en tenir compte. Si d'ailleurs l'inscription du mini mum de salaire oblige la ville de Bru xelles a des sacrifices financiers, nous est avis qu'ils seront compensés car le minimum de salaire pour les travaux publics aura pour eonséquence le relè- vement graduel des salaires dans l'in- dustrie privée et par suite, la diminu tion des dépenses de la bienfaisance publique. Cette heureuse eonséquence n'est pas purement hypothétique. Elle ne tarde pas a se faire sentir ou le minimum de salaire est appliqué. Le correspondant gantois de la Revue du Travail lui trans- met les réponses des présidents des sec tions du Conseil de l'lndustrie et du travail aux questions a eux posées con- cernant l'Etat du marché du travail. La réponse du président de la 6e sec tion (petite construction mécanique) contient cette phrase Le vote du minimum de salaire par les conseils provinciaux et communaux pourrait amener prochainement des modifica tions dans le taux des salaires, mais il n'a pas eu eet effet jusqu'ici. Le pré sident de la 8® section (accessoires du batiment) est plus affirmatif Le mi nimum de salaire voté par les pouvoirs publics commence a faire sentir heu- reusement ses effets. En tout état de cause, si les chiffres proposés par le groupe socialiste du conseil communal astreignent la ville a un surcroit de dépenses trop considé rables, e'est une raison pour les discu- ter et pour les modifier; ce n'en est pas une pour proposer, comme le fait le rapport de M. Buis, le rejet radical de la clause du minimum de salaire. Nous apprenons que le championnat de 50 kilomètres sur route se courra le 20 Septembre 1896, a Ypres, sous le pa tronage de la L. Y. B. II est organisé par M. Eug. Creton, consul delaLigue Vélocipédique Bei ge, a Ypres. Le Rapid Club Yprois se chargera des controles. Nous rappelons k nos lecteurs que les cours du College de l'U- nion, transformé en Collége Mo derne, reprendront le «Icillll Ir caux sont situésrue d'Elverdinghe, n° 28. (1) Ge nombre, que nous copions textueiie- menl, n'est pas d'accord avec Ia sonirae des nombres suivants. II résulte sans doute d'une laute d'impression. (N. D. L. R.) Cotnme on le sait cléjè, le Col lege cornprendra, outre les cinq classes déja existantes et suivant le programme ofliciel, une septiè- me et une sixième modernistes l'enseignement sera gratuitenfin un pensionnat sera annexe a l'éta- blissement. Pour assurer le bon fonctionne- ment de l'établissement, les pa rents sont invités k faire inscrire leurs fils avant le 21 Septembre, chez M. BLYAÜ, rue de Dixmu- de, 58. Les anciens élèves sont priés de se faire inscrire k nouveau dans le rnême délai. iVoor uwe artikels van Pho tographic, Toestelsels, Voorwerpgla- zen, Papier en alle Bijhoorigheden, zich te begeven bij Werkplaats ter beschikking der kalanten. Toestelsels van alle merk en van alle prijzen. In het zelfde huis vindt men ook eene groote soortering Brillen, Warmtemeters voor de boter, Fan tasie, Kramerwaren, fijne Quincail- lerie. Hl S E 31, bijzondere chirur gijns-tandmeesters, lioeR der IfEoskroenstraat, n" 29 Ie KOrtrijK? hebben d'eer het publiek te berichten dat een nieuwen tandmeester die van buis tot huis loopt voor het kuisschen der tanden en het herstellen van kunsttanden, zich komt te vesti gen niet ver van hunne woonst. Niettegenstaande de gelijkheid van den naam en van het beroep hebben zij hoegenaamd geene handelsbetrekkingen met dezen persoon. Zij hebben zelfs noch zoon, doch broeder, noch bloedverwant nie hun huis vertegenwoordigd. Zooals voorgaandelijk zijn MP en Mme Maurice MEIER, dagelijks te raadplegen ten hunnen huize Slraal, BB0 2, huis met koets poort (bij hel gevang). Zij verzoeken dus de personen die hegeeren hun te raadplegen van te vragen of zij wel bij Mr en Mmo Maurice MEIER zijn, llOCk 2f en van wel te letten op de antwoorden die hun gedaan zijn. M. Meier is te raadplegen drie dagen per week, den Maandag, Donderdag en Zaterdag, van 9 tot 4 I j'2 ure 's namiddags, bij de Weduwe Van Kemmel, Groote Markt, nr 5, te 1 ficrcil. du 4 au 11 Septembre 1896. Naissances: Sexe masculin, 9, id. féminin, 6. M'ariages Deolein, Frangois, ferblantier et De- swarte, Emma, tailleuse. Vanloot, Emile, voyageur de commerce et Maa- sclio, Marie, ménagère. Dècès Liu, Charles, 68 ans, journalier, époux de Bouckeljoen, Julie, St. Jean extra muros. Lauwyck, Marie, 95 ans, sans profession, célibataire, Mar ché au Bétail. Vallaeys, Cathérine, 80 ans, sans professson, veuve de Ver- haeghe, Charles, rue de Dixmude. Collard, Fernand, 42 ans, militaire pensionné, célibataire, rue du Verger. Derho, Emérance, 62 ans, sans pro- fession, célibataire, rue de Lille. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculin, 0 id. féminin, 1. terugbetaalbaar binnen 90 jaar aan pari of met premiën Gedurende 16 jaren van 150,000, 50,000 en 25,000 fr. en gedurende 74 jaren van 100,000, 10,000 fr., enz. GENOT VAN INTEREST TE REKENEN VAN 1" JANUARI 1897. waarvan 21 fr. bij het inschrijven, 35 fr. den 24 December 1896, 35 fr. den 25 Mei 1897. De titel waarop 21 franken zijn betaald is deelachtig in de trekkingen van 15 October, 20 October, met premiën van 150,000 fr., 25,000 fr., 10,000 fr., enz. Voor tien oude ontvangt men elf nieuwe obligatiën. De ingewisselde titels zullen gelijktijdig deelnemen aan de premietrekkingen der nieuwe loten en aan al de vervroegde premietrekkingen der oude loten, tusschen de 13 October en 15 December 1896. Het recht van inwisseling kan worden uitgeoefend van 17 SEPTEMBER tot 10 OC TOBER. De inschrijvingen tegen klinkende munt worden ontvangen op 5, 6, 7, 8 October. TE GENT, Banque de Fland) e en Banque de Gand. TE BRUSSEL, Algemeene Maatschappij tot bevordering der nationale nijverheid Banque de Paris et des Pays-Bas Banque de Bruxelles; bij M F.-M. Philippson MM. Balser en C" en MM. Cassel en C'. TE ANTWERPEN, Banque d'Anvers en bij MM J, Baschwilz en C". TE BRUGGE, Westvlaamsche Bank TE CHARLEROI, Banque cent1' de la Sambre. Gedetailleerde prospectussen worden bij bovengemelde kantoren of bankiers afgegeven. TE KORTRIJK, Banque de Courtrai. TE HASSELT, Banque centrale du Limbourg. TE LUIK, Banque Générale de Liége. TE LEUVEN, Banque Centrale de la Byle. TE MECHELEN, Banque Centrale de la Dyle. TE BERGEN, Banque du Hainaut. TE NAMEN, Banque Centrale de Namw. TE DOORNIK, Banque Centrale Tournai- sienne. TE VERVIERS, Banque de Verviers. TE YPER, Banque de Courtrai. «=>-OC23^D o-c=~

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1896 | | pagina 3