Vélocipèdes f Bijwielen EM. 0ELEU ETC Smile Tan Herd©, FABRIQUE FABRIEK MR MME M. MEIER X30P SALLE DES ANCIENS POMPIERS. I at t It A I. Examens universitaires. A la Chambre. Eoterré comme un chieïi. Collége Moderne. Société des Anciens Pompiers Société les Sofatigables État-Civil d'Ypres, 1MB—i vmvmmcTKun, yprkk (Bcigiqnc). It U E li M II O IJ C M OM, C v chez Mme veuve VAN REMMEL, Grand'Plaee vi.it i,c seul, plus de 3.000 fr.? Des détails sé- rieux ont paru inutiles aux conseillers communaux. maïs le public voudrait en savoir plus long. Le Journal cTYpres, qui regoit les confidences de nos maitres, voudrait-il donner des explications netieset nous faire savoir pourquoi sur les 115,000 fr. d'excédent de 1896, on ne peut af- fecter 2,000 fr. a FAcadémie Le seul résultat apparent de la dé- cision duConseil communal est de faire passer l'enseignement des Beaux-Arts sous la surveillance du ministère de l'Industrie. II nous semble que les Beaux-Arts ne peuvent qu'y perdre, sans profit pour l'Industrie. A la fin de la séance, M. Surmont a pri8 a partie un rapport de M. Arthur Merghelynck sur l'état des monuments de la ville d'Ypres. II a longuement et vivement critiqué ce document. Les pieces seront imprimées et distribuées. Nous espérons que la presse ne sera pas oubliée dans la distribution. La ques tion est trop importante pour que le public n'en soit pas mis au courant. Ph. de C. M. Georges VAN DAKLE, ancien élève du Collége communal supprimé, a subi, avec stjccès, devant le jury de Gand, l'épreuve du 2e doctorat en mé- decme, chirurgie et accouchements. En outre, il vient d'être attaché a l'Université de Gand comme aide de clinique du professeur Boddaert. M. Joseph BOSSAERT, d'Ypres, an cien élève du Collége communal sup primé, vient de passer avec distinc tion devant le Jury de Liège, son 2e examen de docteur en médecine, chi rurgie et accouchements. Nous leur adressons nos bien sin- cères félicitations. La Chambre est entrée Mardi dans sa session ordinaire de 1897-98. M. Begerem étant atteint d'une ma- ladie qui fait a merveille les affaires du gouvernement en ajournant des ques tions embarrassantes, la loi sur les unions professionnelles a été remise a huit jours. La Chambre a abordé Interpella tion de M. Berloz. Les faits sur les- quels elle porte sont connus de nos lecteurs deux institutrices de Gand ont été suspendues pour un mois, paree qu'elles ont accompagné leurs élèves a 1'enterrement d'une condisciple il faut aj outer que 1'enterrement était civil et qu'un drapeau rouge y figurait, ce qui explique pourquoi M. Schoi- laert a éprouvé le besoin de sauver la religion, la familie et la propriété au détriment de deux femmes de coeur. Les deux institutrices avaient été re- connues innocentes de toute faute, par un ordre du jour du Conseil communal de Gand, au voteduquel s'étaient asso ciés des conseillers catholiques. Faute d'arguments, M. Schollaert est venu, avec des tremolo dans la voix, affirmer que la présence des deux institutrices a un enterrement civil avait profoadément ému 1'opinion pu lque dans notre pays chretien M. öchollaert prend l'agitation de com mando de quelques grenouilles de sa cristie dans leur mare, pour la répul- sion du pays entier Comme si le pays n avait rien de mieux a faire que de prendre fait et cause pour des rats d eglise, qui crient comme des échau- des paree qu'un cadavre va au cime- tière sans leur payer tribut M. Anseele,avec une modération qui a contrasté avec la violence mélodra- matique du ministre,a vigoureusement demontré que l'acte ministériel est sans fondement. II faut croire que sa dé- monstratiou gênait la droite, car elle a eu recours a sa tactique habituelle soulever du boucan. Cette fois, les provocateurs habituels, qui tiennent a avoir Fair bien élevés, ont laissé au tristesireDeGuchtenaere' démocrate-chrétien domestiqué, la ta- che de lancer la goujaterie qui a dé- chainé le tumulte. M. Anseele venait de donner lecture d un passage de Het Volk, le journal du dit De Guchtenaere oü il était écrit que Fenfant dont 1'enterrement faisait l'objet du débat, avait été en- fouie comme un chien crevé.Le sieur De Guchtenaere a repris pour son compte l'expression de son journal. La gauche a protesté contre la grossièreté du De Guchtenaere, quaiifiant l'indivi- du comme il le méritait. M. Beernaert, impartialement, a rappelé a l'ordre... devinez qui? les membres de la gauche, en reconnais- sant d'ailleurs que le De Guchtenaere s'était servi d'une expression incorrecte (sic). Ceux qui protestent done contre une insulte venue de droite sont rappe lés a l'ordre lorsque M. Beernaert tróne au fauteuil les insulteurs cléri- caux ont toute latitude. La partialité de M. Beernaert n'a évidemment pas calmé le tumulte,et la séance a du être levée. La discussion a repris le lendemain, et s'est terminée par le rejet d'un ordre du jour de blame, aucun membre de la droite n'ayant eu ia franchise de pré senter un ordre du jour d'approba- tion. Ph. de C. A propos de la grossière incartade du nommé De Guchtenaere, député de Gand,apprenons a ceux de nos lecteurs qui l'ignorent, qu'il existe un canton du pays walion oü l'expression en- terró comme un chien de Madame de S... est appüquée aux enterrements religieux, depuis qu'une vieiile chate laine dévote, riche et maniaque, a fait enterrer ses chiens morts dans une chapelie bénie par le clergó et spécia- lement construite pour recevoir les ca- davres des favoris de la trés catholique douairière. Celle-ci aurait jeté des cris d'horreur en entendant parler d'enter- rement civil pour un de ses vassaux. Tous les habitants du canton li- bres-penseurs comme croyants ont trouvé ridicule et blamable la profa nation de la religion a laquelle ia riche chatelaine a su entrainer ie curé de son village. Nous n'aurions pas insisté sur le fait, si Finjure du nommé De Guch tenaere ne nous forgait a constater que le cadavre d'un chien de riche obtient de certains cléricaux au sens moral oblitéré par le fanatisme, plus de res pect que le cadavre d'une enfant en- terrée civilement. Tombola. Les lots de la tombola sont exposés a la vitrine au Café de la LuneGrand'- Place, oü l'on peut se procurer des bil lets. A l'occasion de la Sie Cécile, DIMANOBE 21 NOVEMBRE 1897, de miui a une heure, Concert Promenade. Entrée lit>**e. Une collecte sera faite au bénéfice du Denier des Ecoles laïques. 3« T1RAGE. ACTIONS REMBOURSABLES Nos 9 45 157 167 - 199. Programme de la Fête du 14 Novembre 1897. 1. Mouvements d'ensemble, mains li- bres, (pupilles). 2. Mouvements d'ensemble avec ba tons. Romance chantée par M. Mailliard. 4. Mouvements d'ensemble, mains li- bres. 5. Barres parallèles. 6. Mouvements d'ensemble a la petite canne, (pupilles). Chansonnette dite par M. Mailliard. Ballet des Pierrots et Clowns (pup.) du 8 au 12 Novembre 1897. Naissanc.es: Sexe ruasculin, 3, id. féminin, 1. Décès Ramont, Hortense, 76 ans, dentel- lière, veuve de Dewaeghenaere, Louis, rue Sl Jacques. Dnflou, Céline, 34 ans, dentellière, célibataire, rue de Menin. - Blouwblomme, Leo, 63 ans, cocher, époux de Vanneste, xMarie, rue Longue de Thourout. Debey, Blon dine, 73 ans, sans profession, veuve de Breemeersch, Eugène, rue Weninck. Glissoux, Marie, 66 ans, dentellière, épouse de Landerwyn, Joseph, rue Sl Jacques. Leroy, Jeanne, 90 ans, sans profession, veuve de Moreau, Lié- vin, rue Wemnck. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe inascuhn, 3; id. féminin, 0. Fournitures Générales pour la fabrica tion de Vélocipèdesaccessoires, pièces brutes, garnitures toutes mécanisées, tu bes, etc., etc., machines achevées. o2, rue des Bogards, 32, BRUXELLES. Agents généraux pour la Belgique et la Hollande des garnitures avec nouveau frein automatique invisible de la célèbre maison EADIE de Reddisch (Angleterre). Tandems divers modèles. Oépöt de véritables garnitures trois fusils de la B. S. A. de Birmingham. La maison ne traite qu'avec le com merce. Olnrurgien-Dentiste Diplömé, Dentiste de 1'Institution Royale de Messines, Rue du Lombard, 19, Ypres, A consulter tous les jours, de 9 k 5 heures le Dimanche excepté. Pose de Dents et Dentiers artificiels, Extrac tions, Plornbages, et Redressements d'après les meilleurs systèines. Ypres, impr. LA MBlN-MA THÉE, rue de Dixmude, 51 Atelier de reparation de Vélocipèdes m DK TOUTES MARQUES. j§§ Emaillage. - Nickelage. Cycles I I 4IX Nottingham première marque Anglaise. Cycles IV r a n g o i s richement finis depuis 200 francs. Réparation a forfait de toute pièce mécanique. P R 1 X TRÉS MODÉRÉS ET TRAVAIL GARANTI. 'Aijcfi. j Verandering en Herstelling VAN ALLE MARKEN EN STELSELS. Emailleer ingNickeleering «RALEIGH» R ij wielen Not ting Uf 11 bijzonder Engelsch mark. JE ranpoi s Rijwielen rijkelijk opgedaan te beginnen van £5 O O fr. Herstellingen van machienen die de grootste juistheid vereischen. gematigde P R ld z e N EN GEWAARBORGD WERK. Chirurgiens-Denlistes Spèciahstes, D1PL0MÉS PAR LA COMMISSION MEDICALE BELGE BREVETES PAR ARRÉTE ROYAL, tam. ett H0N0RES Dü CLERGÉ EI DES MAIS0NS RELIG1EUSES Mr M. MEIER est a consulter trois fois par semaine, le LUIlCtl, Jleillll ©t SaSBfiSAjii a*! heures de relevee, - J de h. du matin jusqu'a 4 pour tout ce qui concerno l'art dent,aire. Nettoyage des dents Guérison des dPnt« i« „i frah», dents cariees, redressement des dents deviées a tout age. Le placement des dents artfficTelU rT63' E,maillaSe et purification des vteilles dents ni les racines. F ues aents a' "ncie'les se fait sans douleur et sans extraire les vieilles dents ni les racines. Les dents artificielles de M'M. MEIER permettent de brover les aliment, le, ni,,0 n- claire. Les dents sont placées sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas" les dkr^10" d° 'a T°iX 6St plus sonore et P!us la forme, ni par la couleur. on ne saurait Pas lüS distinguer avec les dents naturelles, ni par Mr M. MEIER entreprend aussi les reparations des niece, dental™* pour lequel il a été brevêté. F deataires non reussies et les reraet a neuf d'après son système „uuv Dcnts tificicllcs depuis o fr. DcuLicrs roinnlpfv doihnic i nn r i Consultations trois fois par semaine chez Madame ■>LV a'eilrasiis, garanlis pour loulc la «ie. Wpres, les LUND1, JEUD1 el SABÉD."^^^^^ nouveau 9 REDOUTE. EN FACE DE LA RUE DE l'ËtOILE DE Tf - HigM Jl

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1897 | | pagina 2