Vélocipèdes Rijwielen d m m t MR MME M. MEIER Emile Van üarae, EM.DELEU ETC FABRIQUE FABRIEK des dents de™es ,out État-Civil d Ypres, A la Ghambre. Theatre d'Ypres. IJ T H A I. R IL) as D IS MOUICROM, 'i. f ^'S£:sHco"5U"'r,roisfo'spar'— 'e L«"""'0lcHdl ctSamcm," chez l!rae veuve VAN KEMMEL, Grand'Plaee 5 VPRFS rp. es, LUNÜ1, JEÜÜ1SAMED1, ,fe' 9 3. Colins (connaissent-ils co nom s'ils sont positivistes ils protesteront vi- vement, quoiqu'ils se réclament et avec raison de la libre-pensée. On se fait une idéé de ce que peut être une théorie positiviste exposée par un individu qui confond positiviste avec libre-penseur, qui amalgame les deux avec matérialiste, et pour qui en outre chacun de ces mots représente l'abomination de la désolation. Que le scribe du Bien Public com mence par se débarbouiiler le cerveau des préjugés qui le farcissent, qu'il étudie avec impartialité s'il le peut le positivisme, le matérialisme peut-ètre alors parviendra-t-il a en parler sans les confondre. Peut-être alors aura-t-il compris que la libre-pensée et le positivisme ne sont pas des systèmes, mais des méthodes. La libre-pensée consiste a rechercher la vérité philosophique sans ajouter a priori une foi aveugle a des dogmes prétendument révélés, a des systèmes tout faits enseignés ex cathedra par des pontifes faillibles ou infaillibles. Quel- les que fussent les opinions personnelles des libres-penseurs, l'Eglise les a tou- jours persécutés, brulés quand elle l'a pu, excommuniés et mis a l'index quand le malheur des temps n'a pas permis d'allumer les buchers. Quant aux positivistes, leur méthode consiste a rechercher la vérité scienti- fique dans le domaine des sciences naturelles comme dans celui des scien ces socialeB en s'appuyant exclusi- vement sur les faits observés, sur les expériences, en n'émettant une théorie que lorsqu'ils peuvent l'appuyer sur des faits, la vérifier par des expérien ces, et ne l'admettant qu'aussi long- temps qu'aucun fait ne vient la contre- dire. Galilée appliquait la méthode positiviste quaud il affirmait la rota tion de la terre autour du soleil on sait ce qui lui en a couté. En dehors de ce que nous venons de définir, il existe les opinions personnel les des libres-penseurs et des positivis tes, opinions qu'ils se forment en ta- chant d'expliquer les faits par les théo- ries, c'est-a-dire en abandonnant du 19 au 26 Novembre 1897. Naissances: Sexe mascuhn, 1, id. féminin, 2. Mariages. Decorte, Adolphe, journalier, et Coutteure, Albertme, sans profession Staelens, Gustave, ouvrier agricole, et Dewulf, Irma, journalière. Mon- kerhey, Henri, jardinier, et Roosebe- ke, Léonie, jardmière. Soete, Hu- bert, joaillier, et Boucquey, Emma, sans profession. Comyn, Désiré, cultivateur, et Yerhooye, Marie, culti- vatrice. Dècès Yancappel, Julie, 41 ans, sans pro- fession, épouse de Sambaere, Honoré, rue de Menin. Verhack, Barbe, 76 ans, cabaretière, veuve de Merliez, Gentil, rue des Pauvres Filles. Del- becque, Julie, 70 ans, sans profession, veuve de Durot, Jean, rue de la Boute. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe mascuhn, 1; id. féminin, 1. OMrargiea-Bentiste Diplêmé, Dentiste de I'Institution Royale de Messines, Rue du Lombard, 19, Ypres, A consulter tous les jours, de 9 a 5 heures. le Dimanche excepté. Pose de Dents et Dentiers artificiels, Extrac tions, Plombages, et Redressements d'après les meilleurs systèmes. Fournitures Générales pour la fabrica tion de Vélocipèdesaccèssoires, pièces brutes, garnitures toutes mécanisées, tu bes, etc., etc., machines achevées. 32, rue des Bogards, 32, BRUXELLES. Agents généraux pour la Belgique et la Hollande des garnitures avec nouveau frein automatique invisible de la célèbre maison EADIE de Reddisch (Angleterre). Tandems divers modèles. Dépot de véritables garnitures trois fusils de la B. S. A. de Birmingham. La maison ne traite qu'avec le com merce. dans le domaine des faits dont la scien ce n'a pas formulé d'explication défi- nitive la méthode de la libre-pensée et du positivisme. Dans ce domaine les raisons de sentiment l'emportent, sur les raisons scientifiques t'op Ru bles encore pour servir de base a une conviction. De la la variété des systè mes on rencontre des libres-penseurs qui croient en Dieu et en une ame, d'autres qui rejettent l'existence de Dieu ou de l'ame, d'autres encore qui n'admettent l'un ni l'autre. II en est qui admettent la théorie darwinienne de la descendance des espèces anima les, d'autres qui la repoussent ou la trouvent msufïisamment appuyée sur les faits. Chaque école cherche évi- demment a démontrer qu'eile est en possession de l'opmion la plus vraisem- blable, mais et ici elles se séparent des fanatiques de toutes les religions elles ne cherchent pas a l'imposer comme révélée par une raison supé rieure ni a empêcher personae de la discuter. Ce ne sont ni les libres-pen seurs, ni les positivistes qui émet- traient la prétention de baiilonner moins encore de brüler ceux qui ne pensent pas comme eux:ce sontdespro- cédés dont l'Eglise catholique a, le monopole, l'index et la muselière ayant remplacé (oh trés imparfaitement les buchers de l'Inquisition. Les libres-penseurs et les positivis tes ne veulent convaincre, dans le do maine des faits non encore expliqués par la science, que par le raisonne- ment et la discussion. En un mot, ils sont tolérants, et voila ce que ne com- prendra jamais le fanatisme du Bien Public et du Journal d1 Ypres. Ayant signaló la grossière et fonda- mentale erreur de l'ignorant scribe du Bien Public, nous pourrions négliger la suite de sa diatribe. Nous y relèverons encore un passage qui est un mensonge: Chrétiens, nous respectons les restes humains. Nous les respectons paree que la dépouille humaine n'est pas seulement, a nos yeux, un résidu qui va disparaitre dans le continuel travail de Ja nature, mais la mortelle enveloppe oü. l'ame a siégé, lutté et souffert, et qui est destinée a la résur- rection. Et notre respect n'est pas li- mité aux restes de ceux-la seuls qui sont morts dans 1a foi catholique. II s'étend aux restes de tous les hommes, même de ceux qui sont morts en dehors de ia foi. ühé De Guchtenaere courageux insolteur d un cadavre d'enfant ohé! les cléricaux ypreis qui ont fait preuve de leur bonne éducation et de leurs bonssentiments en crachant ostensible- ment ou en restant couverts au passage du corbillard dans des enterrements civils ohé les deux prêtres dont parle le Peuple du 23 Novembre, qui sont passés, tête couverte et en rica- nant, devant le cercueil d'un ouvrier enterré sans leur concours arrivez tous pour témoigner du mensonge du Bien Public, que le Journal I Ypres a fait sien amenez avec vous vos imita- teurs et vos émules, qui sont légion on verra alors comment les cléricaux respectent les restes humains. II faut que le Bien Public reconnaisse et c'est la condamnation du De Guchtenaere par un de ses défenseurs - combien inconvenante est la con duite de beaucoup de cléricaux a i'é- gard des morts enterrés sans payer tri- but a l'Eglise, pour qu'il ose ainsi tra- vestir la vérité et avancer un mensonge aussi patent. Ignorant et de mauvaise foi, voila celui qui a cru pulvériser les Fils de la Béte. Ph. de C. du zèle de nos législateurs ce n'était guère la peme de faire trainer le pro jet pendant dix ans pour rester bouche bée a la moindre objection. Oonstatons que le gouvernement a renoncé a exiger la publication des listes des membres des syndicats. Nous rendons hommage au zèle avec lequel les députés d' Ypres remplissent lenr mandatMardi, MM. Colaert, Iweins et Yan Merris out diné chez le Roi. Ph. de C. La discussion des articles de la loi sur les syndicats continue avec une sage lenteur. Plusieurs articles ont été réservés pour un second vote, a la demande du rapporteur M. De Sadeleer, qui se sen- tait sans doute incapable de résoudre les difïicultés que font surgir les arti cles réservés. Gela nous promet pour le second vote une avalanche d'amen- dements. Cesera une preuve de plus Lundi, 29 Novembre prochain, a 8 1/2 heures précises, une representation intéressante sera donnéesur notre scène avec le concours de M. MARTAPOU- RA, le baryton de l'Üpéra de Paris, de M. Alphonse WEIN GAERTNER, le brillant violoniste, ex-directeur du Con servatoire de Nantes, et de plusieurs artistes des principaux théatres de Pa ris. Le programme habilement composé, s'adresse non seulement aux amateurs de bonne musique, mais encore aux amis du rire car la partie gaie est fort importante. Bien entendu cette gaité est de bon aloi et ne peut blesser aucune suscep- tibilité. Le but de cette tournée est d'ofi'rir aux families une récréation amusante, honnête et instructive. On connait MARTAPOURA, le bary ton qui a créé a Paris, a l'Opéra Pa- trie, Ascanio, Le Magequi a joué avec grand succès sur notre première scène lyrique La Favorite, Faust, Sigurd. On sait également quel incompa rable virtuose est le violoniste Ad- phonse WEINGAERTNER. Les comédies qui figurent au pro gramme ont été choisies dans le" ré pertoire de la Comédie-Franqaise et de l'Odéon. Elles seront excellemment interprêtées. YPRES (Bdgiqnc) Imprimerie LA MB IN-MA THÉE rue de Dixmude, Si, Ypres. Atelier de reparation de Vélocipèdes DE TOUTES MARQUES. Emaillage. - - Nickelage. Cycles S xV.17i EIGr.'I I.Nottingham première marque Anglaise. Cycles E r a n o i s richement finis depuis SO O francs. Réparation a forfait de toute pièce mécanique. PRIX TRÉS MODÉRÉS ET TRAVAIL GAR ANTI M.A Verandering en Herstelling VAN ALLE MARKEN EN STELSELS. Emailleering. Nickeleering. «jRALEICrH» Rijwielen Nottingham' bijzonder Engelsch mark. «Franpois» Rijwielen rijkelijk opgedaan te beginnen van SÏOO fr. 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De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1897 | | pagina 2