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Francois HOFLACK, constructeur breveté
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A la Chambre.
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État-Civil d'Ypres,
VOORZIENIGHEID QerKLiMIH
Cuba que de la rendre libre. La guerre
devait sortir de cette situation.
Au dernier moment, le Pape qui
n'avait pas dit un mot pour empêcher
le massacre de quatre cent mille Cu-
bains et l'envoi a ia mort de cent mille
Espagnols, pas plus qu'il n'avait levé
ie doigt en faveur des Arméniens est
intervenu, saus succes, pour empêcher
la guerre 11 se rendait compte qu'un
échec de l'Espagne sera le renverse-
ment de son filleui Alphonse XIII. et
la politique plus que l'humanité avaieut
déterminé de sa part une démarche qui
n'a pu arrêter les évènements. Les con-
seils du concert européen n'ont pas
eu plus de succès auprès du Congrès
américaiu et du président Mac-Kiniey.
On ne peut méconnaitre que l'Espa
gne, quoique épuisée par trois ans de
guerre a Cuba et a Manille, montre un
rare héroïsme dans sa résistance aux
immenses ressources des Etats-Unis.
Mais eet héroïsme court peu de chan
ces d'être récompensé d'ailleurs,
ceux qui l'exaltent ne sont pas les mê-
mes que ceux qui le pratiquent, et les
moines de Castille qui prêchent pour
que leurs confrères et leurs alliés con-
tinuent a ruiner Cuba et Manille, seront
certes les derniers a s'exposer aux bal
les des insurgés cubains, aux boulets
des cuirassés américains ou aux atta
ques de la fièvre jaune.
D'aufre part, les Américains, quoi
que mettant en avant des mobiles hu-
manitaires dont on ne pourrait, saus
injustice, nier la sincérité, sont certai-
nement guidés bien plus par leurs inté
réts matériels. C'est d'ailleurs fatal
que les causes les plus justes perdent
de leur pureté au contact des gens d'af
faires, et l'on^sait si les Yankees sont
gens pratiques'avant tout
En somme, dans la lutte qui est en-
gagée, les belligérants ne sont guère
plus désintéressés les uns que les au-
tres. L'objet seul du litige est digne
des sympathies de tous; et si les Etats-
Unis ne laissent pas lèur égoïsme do
mmer les sentiments qu'ils manifes-
tent aujourd'hui, on peut espérer que
Cuba sera enfin bientot rendne libre.
La guerre ne peut manquer d'avoir
un contrecoup pour la Belgique, com-
me pour les autres pays d'Europe.
Le commerce important que nous
faisons avec les Etats-Unis sera entravé
dans des proportions d'autant plus
considérables qu'une plus grande par-
tie s en fait par navires américains. Or,
même si les belligérants respectent la
marchandise ennemie sous pavilion
étranger, les marckandises de première
nécessité que nous envoie l'Amérique
vont kausser de pnx ainsi, le blé
et par suite ie pain ahaussé de piu-
sieurs francs au quintal, et on ne peut
prévoir que ia hausse soit a son maxi
mum.
Les pauvres gens, les travailleurs
seront les premiers a patir do pareille
situation, et cruellement peut être,
pour peu que la guerre dure.
C'est la une cousidération de ia plus
haute importance, qui nous fait souhai-
ter, contrairement aux stratégistes en
Chambre, que la guerre qui commence
soit aussi brève que possible, et qu'eile
n'ait pas pour eff'et, par conséquent,
de réduire les peuples d'Europe a une
disette de pain.
Certaines gens sont préoccupés d'in-
térêts moins importants. C'est ainsi
que le trés cathoiique Journal de Rou-
baix entrevoit les suites du confiit, en
fin d'article
Les conséquences les plus graves
qu'entrainera le conüit sont plutót
d'ordre financier l'Espagne se ruinera
tout a fait,les Etats-Unis s'endetteront
et li résuitera une depréciation consi-
dérabie sur les valeurs de ces pays.
Ce sont des sentiments de bon chré-
tien qui ne touchent ni le sang répan-
du, ni les ravages de la fièvre jaune,
ni le pain cher en Europe pour ceux
qui doivent le gagner. Mais ce sont des
sentiments qui révoltent les hommes
de coeur, ceux qui ont un autre baro-
mètre moral des évènements que le
cours de la rente. Ph. de C.
Mercredi s'est engagé a la Chambre,
sur la proposition de i'oppusition, un
grand debat sur ia politique geueiaie
du gouvernement.
Pour ne pus en diviser le compte-
rendu que nous désirons en faire, nous
i'ajouruons eutièrement juequ'au nu
mero prochain.
Smoking Club «LI FRATLiiMLLE»
sous la présidence d'lionneur de
M. S. Dedeystere.
Lundi, 2 Mai, a 8 1/2 h. précises du soir,
organisée eu la salie de la Bourse,
avec le bienveillant concours
des INFATIGABLES et du RAPID-CLUB.
1" PARTIE.
'1. Ouverture pour trompettes.
2. Romance par M. Bartier.
3. iMouvements d'ensemble a la canne par les
pupilles.
4. Romance par M. Criem.
5. Assaut au fleuret.
8. Cbansonnette comique par M. X...
2me PARTIE.
1. Mouvements d'ensemble a mains libres par
les pupilles.
2. Romance par M. Bartier.
3. Travail aux barres parallèles.
4. Romance par M. Maes.
5. Paitie de boxe entre les frères Rosseel.
6. Cbansonnette comique par M. X...
3me PARÏiE.
Conférence par M. Valère Bouckenooghe.
Suiet ^on sWour au Congo
1 Mijn verblijf in Congo
avec projections a la lumière oxy-hydrique.
Dimanche 13 Juin.
Longueur de la piste 800 m. environ.
1° Course au trot monté pour che-
vaux de 3e série. 350 francs dont 200
au premier, 100 au second et 50 au
troisième. Entrée fr. 17-50 moitié for-
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ühirurgiens-JJenlistes Specialistes,
DIPLOMES PAR LA COMMISSION MEÜICALE BELGE,
BREVETES PAR ARRETE ROYAL,
HONORÉS DU CLERGE El DES MAISONS RELIGIEUSES,
Mr M. MEIER est a consulter trois fois par semaine, le IjIIBUÜj «5C!B<li Cl de d h. du matin jusqu'a 4
heures de relevee
pour tout ce qui concerne Tart dentaire. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douloureuses. Emaillage et aurification des
dents cariêes, redressement des dents deviées a tout age. Le placement des dents artificielles se fait sans douleur et saus extraire les
vieilies dents ni les racines.
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claire. Les dents sont placées sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles, ni par
la forme, ni par la couleur.
Mr M. MEIER, entreprend aussi les reparations des pièces dentaires non réussies et les remet a neuf d'après son système notrveau
pour lequel il a été brevêté.
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S'pi -es» les LUNDI, JËUDl et SAMEDI, de 9 h. du matm jusqu'a 4 h. de relevee.
fait. Poids 70 kil. Distance 3000 m
minimum.
2° Course au trot attelé pour che-
vaux de 2C série. 400 fr. dont 250 au
premier, 100 au second et 50. au trof.
sième. Entrée fr. 20 moitié forfait
Poids 100 kil. Distance 3000 m. mink
mum.
3° Course hors série au trot monté
ou attelé. 300 Ir. dont 150 au premier
100 au second et 50 au troisième. En
trée fr. 15. Poids 70 et 100 kil. Distan
ce 3000 m. minimum.
3° Course au trot attelé pour che-
vaux de 1® série. 650 fr. dont 350 au
premier, 150 au second, 100 au troi
sième et 50 au quatrième. Entrée fr. 30
moitié forfait. Poids 100 kil. Distance
4000 m. minimum.
Cloture des engagements le Lundi 6
Juin, a 8 h. du soir, au Secrétariat du
Trotting Club, Hotel du Damier, Cour-
trai.
Les Commissaires
A. Brunfaut, J. Onraet-Pareet,
Nyssens, sous-lieut4 instructeur.
du 22 au 29 Avril 1898.
Naissances: Sexe masculin, 3, id. féminin, 8.
Mariages.
Depuydt, Aloïs, boucher, et Declercq,
Herminie, femme de chambre.
Dècès
Engelaere, Marie, 84 ans, sans profes
sion, veuve de Baelde, Jean, rue de Lille.
Top Adelaide, 60 ans, boutiquière,
épouse de Geloen, Jean, rue de Lille.
Bryxis, Adolphe, 75 ans, cordonnier, époux
de Parein, Marie, rue de Menin. Van-
denabeele, Henri, 27 ans, journalier, céli-
bataire, rue de Menin. Ghemar, Benoit,
81 ans, sans profession, celibataire, rue de
Thourout. Duflou, Louis, 74 ans, sans
profession, veuf de Vanhecke, Colette, rue
de Lille. Hoorelbeke, Amélie, 83 ans,
sans profession, celibataire, rue Chevalier
Jean. Lapiere, Leopold, 65 ans, indus-
triel, époux de Froidure, Marie, rue d'El-
verdinghe. Delbecque, Leopold, 61 ans,
peintre, celibataire, rue de Menin.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe masculm. 4; id. féminin. 1.
Om alle misslag te vermijden, de chirur
gijn tandmeester MAURICE MEIER, TE
KORTRIJK heeft de eer zijne talrijke ka
lanten alsook de personen die begeeren hem
te raadplegen, ter kennis te brengen dat er
een nieuwen tandmeester die dezelfde naam
draagt en met wien hij geenszins in han
delsbetrekking is, naar Yper komt, twee
huizen van zijne woonst.
Hij verzoekt hun zich wel te verzekeren
indien zij bij den ouden tandmeester zijn
MAURICE MEIER TE KORTRIJK die te
Yperen te raadplegen is sedert 14.jaaï*
bij de weduwe VAN KEMMEL GROOTE
MARKT, N° 5, (gesloten huis) Maandag.
Donderdag en Zaterdag van 9 tot 4 ure.
Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE.
j
Rr=a Wrï
iHliiiüli:
Het is inderdaad wonderbaar te bestatigen
hoe de kinderen in vleesch en krachten toene
men met Scott's Emulsie, wanneer geen enkele
andere behandeling hen ten goede komt. Iloevele
kinderen ziet men, die zwak blijven ondanks de
verkleefde zorgen der moeder of der voedster!
Altijd moet de oorzaak dezer verzwakking
gezocht worden in eene onvolmaakte verwerking
in het bloed der spijzen, en, in dit geval, is de
beste remedie Scott's Emulsie, bevattende de zoo
voedzame traan, in
eenen weismaken
den vorm, gemak
kelijk te verteren,
verbonden met de
hypophosphieten
die de beenderen
versterken, den
eetlust opwekken
de hersenen ophou
den en het zenuw
stelsel nieuwe
krachten geven.
f x- :sScott's Emulsie
'"'ffjli 'V%. heeft eene zoo gesui-
\|j f kerde smaak, dat
de kinderen haar
als lekkernij inne
men, wat zeer
gemakkelijk is.
Scott's Emulsie overwint aïle neiging tot eene
verzwakte gezondheid, en schenkt den kinderen
kracht, vleesch- en leefbaarheid.
Beschouwt het hier nevenstaande portret en
leest den volgenden brief.
Gourdon (Lot), Frankrijk, 3 April 1897.
Mijnheer, mijn kind van 17 maanden was bleek
en zwak, weigerde alle voedsel en was in eenen
staat van zwakte die ons zeer bekommerde. Op het
aanraden van den geneesheer deed ik het kind uwe
Scott's Em ulsie nemen en deze bereiding had eenen
wondervollen uitslag. Dank zij deze remedie geniet
mijn kind thans eene bloeiende gezondheid die
iedereen verwondert. Het heeft vroegtijdig kunnen
loopen en de tandjes kwamen spoedig uit; het is
krachtig en flink, en dat alles zijn wij verschuldigd
aan uwe weldoende Scott's Emulsie, die het kind
zóó gaarne nam, dat het er nog eiken dag om vraagt.
Het is een werk van menschlievendheid uwe berei
ding te doen kennen, gij zijt, Mijnheer, de Voor
zienigheid der Kleinen.
Aanvaardt mijnen vurigsten dank.
(Geteekend), J. Aurieoste, onderwijzer.
Scott's Emulsie is te vinden in alle goede
apotheken. Algemeen dépot: Ch. Delacre enC'*
Apothekers, Brussel.
Koger AS ttiCOSTK