VELOCIPEDES m Francois HOFLACK, constructeur breveté mmmmmmmmmmm O 'JtL m Mp MME M. MEIER LËTÖP! Smsow 1898 Saisox 1898 §j A la Chambre. Grande Soirée Tabagie CO URSES^DTPRES S Susox 1898 Pièces détachées. Accessoires. Locomobiles pour l'Agriculture, rindustrie et les Travaux publics. a air comprimé k pétrole et a 1'électricité. I 35, RUE CARTON, 35, Saiso.\ lotlo w së m e s. II i: 13 I» S3 MOUICB C O U II T II A I. chez M"16 veuve VAN KEMMEL, Grand'Place, 5, YPRES, État-Civil d'Ypres, VOORZIENIGHEID QerKLiMIH Cuba que de la rendre libre. La guerre devait sortir de cette situation. Au dernier moment, le Pape qui n'avait pas dit un mot pour empêcher le massacre de quatre cent mille Cu- bains et l'envoi a ia mort de cent mille Espagnols, pas plus qu'il n'avait levé ie doigt en faveur des Arméniens est intervenu, saus succes, pour empêcher la guerre 11 se rendait compte qu'un échec de l'Espagne sera le renverse- ment de son filleui Alphonse XIII. et la politique plus que l'humanité avaieut déterminé de sa part une démarche qui n'a pu arrêter les évènements. Les con- seils du concert européen n'ont pas eu plus de succès auprès du Congrès américaiu et du président Mac-Kiniey. On ne peut méconnaitre que l'Espa gne, quoique épuisée par trois ans de guerre a Cuba et a Manille, montre un rare héroïsme dans sa résistance aux immenses ressources des Etats-Unis. Mais eet héroïsme court peu de chan ces d'être récompensé d'ailleurs, ceux qui l'exaltent ne sont pas les mê- mes que ceux qui le pratiquent, et les moines de Castille qui prêchent pour que leurs confrères et leurs alliés con- tinuent a ruiner Cuba et Manille, seront certes les derniers a s'exposer aux bal les des insurgés cubains, aux boulets des cuirassés américains ou aux atta ques de la fièvre jaune. D'aufre part, les Américains, quoi que mettant en avant des mobiles hu- manitaires dont on ne pourrait, saus injustice, nier la sincérité, sont certai- nement guidés bien plus par leurs inté réts matériels. C'est d'ailleurs fatal que les causes les plus justes perdent de leur pureté au contact des gens d'af faires, et l'on^sait si les Yankees sont gens pratiques'avant tout En somme, dans la lutte qui est en- gagée, les belligérants ne sont guère plus désintéressés les uns que les au- tres. L'objet seul du litige est digne des sympathies de tous; et si les Etats- Unis ne laissent pas lèur égoïsme do mmer les sentiments qu'ils manifes- tent aujourd'hui, on peut espérer que Cuba sera enfin bientot rendne libre. La guerre ne peut manquer d'avoir un contrecoup pour la Belgique, com- me pour les autres pays d'Europe. Le commerce important que nous faisons avec les Etats-Unis sera entravé dans des proportions d'autant plus considérables qu'une plus grande par- tie s en fait par navires américains. Or, même si les belligérants respectent la marchandise ennemie sous pavilion étranger, les marckandises de première nécessité que nous envoie l'Amérique vont kausser de pnx ainsi, le blé et par suite ie pain ahaussé de piu- sieurs francs au quintal, et on ne peut prévoir que ia hausse soit a son maxi mum. Les pauvres gens, les travailleurs seront les premiers a patir do pareille situation, et cruellement peut être, pour peu que la guerre dure. C'est la une cousidération de ia plus haute importance, qui nous fait souhai- ter, contrairement aux stratégistes en Chambre, que la guerre qui commence soit aussi brève que possible, et qu'eile n'ait pas pour eff'et, par conséquent, de réduire les peuples d'Europe a une disette de pain. Certaines gens sont préoccupés d'in- térêts moins importants. C'est ainsi que le trés cathoiique Journal de Rou- baix entrevoit les suites du confiit, en fin d'article Les conséquences les plus graves qu'entrainera le conüit sont plutót d'ordre financier l'Espagne se ruinera tout a fait,les Etats-Unis s'endetteront et li résuitera une depréciation consi- dérabie sur les valeurs de ces pays. Ce sont des sentiments de bon chré- tien qui ne touchent ni le sang répan- du, ni les ravages de la fièvre jaune, ni le pain cher en Europe pour ceux qui doivent le gagner. Mais ce sont des sentiments qui révoltent les hommes de coeur, ceux qui ont un autre baro- mètre moral des évènements que le cours de la rente. Ph. de C. Mercredi s'est engagé a la Chambre, sur la proposition de i'oppusition, un grand debat sur ia politique geueiaie du gouvernement. Pour ne pus en diviser le compte- rendu que nous désirons en faire, nous i'ajouruons eutièrement juequ'au nu mero prochain. Smoking Club «LI FRATLiiMLLE» sous la présidence d'lionneur de M. S. Dedeystere. Lundi, 2 Mai, a 8 1/2 h. précises du soir, organisée eu la salie de la Bourse, avec le bienveillant concours des INFATIGABLES et du RAPID-CLUB. 1" PARTIE. '1. Ouverture pour trompettes. 2. Romance par M. Bartier. 3. iMouvements d'ensemble a la canne par les pupilles. 4. Romance par M. Criem. 5. Assaut au fleuret. 8. Cbansonnette comique par M. X... 2me PARTIE. 1. Mouvements d'ensemble a mains libres par les pupilles. 2. Romance par M. Bartier. 3. Travail aux barres parallèles. 4. Romance par M. Maes. 5. Paitie de boxe entre les frères Rosseel. 6. Cbansonnette comique par M. X... 3me PARÏiE. Conférence par M. Valère Bouckenooghe. Suiet ^on sWour au Congo 1 Mijn verblijf in Congo avec projections a la lumière oxy-hydrique. Dimanche 13 Juin. Longueur de la piste 800 m. environ. 1° Course au trot monté pour che- vaux de 3e série. 350 francs dont 200 au premier, 100 au second et 50 au troisième. Entrée fr. 17-50 moitié for- 5 ühirurgiens-JJenlistes Specialistes, DIPLOMES PAR LA COMMISSION MEÜICALE BELGE, BREVETES PAR ARRETE ROYAL, HONORÉS DU CLERGE El DES MAISONS RELIGIEUSES, Mr M. MEIER est a consulter trois fois par semaine, le IjIIBUÜj «5C!B<li Cl de d h. du matin jusqu'a 4 heures de relevee pour tout ce qui concerne Tart dentaire. Nettoyage des dents. Guérison des dents les plus douloureuses. Emaillage et aurification des dents cariêes, redressement des dents deviées a tout age. Le placement des dents artificielles se fait sans douleur et saus extraire les vieilies dents ni les racines. Les dents artificielles de MrM. MEIER permettent de broyer les aliments les plus dürs, Témission de la voix est plus sonore et plus claire. Les dents sont placées sans plaques, sans crochets ni ressorts on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles, ni par la forme, ni par la couleur. Mr M. MEIER, entreprend aussi les reparations des pièces dentaires non réussies et les remet a neuf d'après son système notrveau pour lequel il a été brevêté. ftenls artificielles depuis fr. Dcuticrs complets (lcpuis 100 fr. et au-dessus, garanlis pour toutc la vie. Consultations trois fois par semaine chez Madame We ure I au Süemmei» rami'face 5 S'pi -es» les LUNDI, JËUDl et SAMEDI, de 9 h. du matm jusqu'a 4 h. de relevee. fait. Poids 70 kil. Distance 3000 m minimum. 2° Course au trot attelé pour che- vaux de 2C série. 400 fr. dont 250 au premier, 100 au second et 50. au trof. sième. Entrée fr. 20 moitié forfait Poids 100 kil. Distance 3000 m. mink mum. 3° Course hors série au trot monté ou attelé. 300 Ir. dont 150 au premier 100 au second et 50 au troisième. En trée fr. 15. Poids 70 et 100 kil. Distan ce 3000 m. minimum. 3° Course au trot attelé pour che- vaux de 1® série. 650 fr. dont 350 au premier, 150 au second, 100 au troi sième et 50 au quatrième. Entrée fr. 30 moitié forfait. Poids 100 kil. Distance 4000 m. minimum. Cloture des engagements le Lundi 6 Juin, a 8 h. du soir, au Secrétariat du Trotting Club, Hotel du Damier, Cour- trai. Les Commissaires A. Brunfaut, J. Onraet-Pareet, Nyssens, sous-lieut4 instructeur. du 22 au 29 Avril 1898. Naissances: Sexe masculin, 3, id. féminin, 8. Mariages. Depuydt, Aloïs, boucher, et Declercq, Herminie, femme de chambre. Dècès Engelaere, Marie, 84 ans, sans profes sion, veuve de Baelde, Jean, rue de Lille. Top Adelaide, 60 ans, boutiquière, épouse de Geloen, Jean, rue de Lille. Bryxis, Adolphe, 75 ans, cordonnier, époux de Parein, Marie, rue de Menin. Van- denabeele, Henri, 27 ans, journalier, céli- bataire, rue de Menin. Ghemar, Benoit, 81 ans, sans profession, celibataire, rue de Thourout. Duflou, Louis, 74 ans, sans profession, veuf de Vanhecke, Colette, rue de Lille. Hoorelbeke, Amélie, 83 ans, sans profession, celibataire, rue Chevalier Jean. Lapiere, Leopold, 65 ans, indus- triel, époux de Froidure, Marie, rue d'El- verdinghe. Delbecque, Leopold, 61 ans, peintre, celibataire, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculm. 4; id. féminin. 1. Om alle misslag te vermijden, de chirur gijn tandmeester MAURICE MEIER, TE KORTRIJK heeft de eer zijne talrijke ka lanten alsook de personen die begeeren hem te raadplegen, ter kennis te brengen dat er een nieuwen tandmeester die dezelfde naam draagt en met wien hij geenszins in han delsbetrekking is, naar Yper komt, twee huizen van zijne woonst. Hij verzoekt hun zich wel te verzekeren indien zij bij den ouden tandmeester zijn MAURICE MEIER TE KORTRIJK die te Yperen te raadplegen is sedert 14.jaaï* bij de weduwe VAN KEMMEL GROOTE MARKT, N° 5, (gesloten huis) Maandag. Donderdag en Zaterdag van 9 tot 4 ure. Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE. j Rr=a Wrï iHliiiüli: Het is inderdaad wonderbaar te bestatigen hoe de kinderen in vleesch en krachten toene men met Scott's Emulsie, wanneer geen enkele andere behandeling hen ten goede komt. Iloevele kinderen ziet men, die zwak blijven ondanks de verkleefde zorgen der moeder of der voedster! Altijd moet de oorzaak dezer verzwakking gezocht worden in eene onvolmaakte verwerking in het bloed der spijzen, en, in dit geval, is de beste remedie Scott's Emulsie, bevattende de zoo voedzame traan, in eenen weismaken den vorm, gemak kelijk te verteren, verbonden met de hypophosphieten die de beenderen versterken, den eetlust opwekken de hersenen ophou den en het zenuw stelsel nieuwe krachten geven. f x- :sScott's Emulsie '"'ffjli 'V%. heeft eene zoo gesui- \|j f kerde smaak, dat de kinderen haar als lekkernij inne men, wat zeer gemakkelijk is. Scott's Emulsie overwint aïle neiging tot eene verzwakte gezondheid, en schenkt den kinderen kracht, vleesch- en leefbaarheid. Beschouwt het hier nevenstaande portret en leest den volgenden brief. Gourdon (Lot), Frankrijk, 3 April 1897. Mijnheer, mijn kind van 17 maanden was bleek en zwak, weigerde alle voedsel en was in eenen staat van zwakte die ons zeer bekommerde. Op het aanraden van den geneesheer deed ik het kind uwe Scott's Em ulsie nemen en deze bereiding had eenen wondervollen uitslag. Dank zij deze remedie geniet mijn kind thans eene bloeiende gezondheid die iedereen verwondert. Het heeft vroegtijdig kunnen loopen en de tandjes kwamen spoedig uit; het is krachtig en flink, en dat alles zijn wij verschuldigd aan uwe weldoende Scott's Emulsie, die het kind zóó gaarne nam, dat het er nog eiken dag om vraagt. Het is een werk van menschlievendheid uwe berei ding te doen kennen, gij zijt, Mijnheer, de Voor zienigheid der Kleinen. Aanvaardt mijnen vurigsten dank. (Geteekend), J. Aurieoste, onderwijzer. Scott's Emulsie is te vinden in alle goede apotheken. Algemeen dépot: Ch. Delacre enC'* Apothekers, Brussel. Koger AS ttiCOSTK

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1898 | | pagina 2