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HL lij J ILL Let w0j 0p Jiet nummer Indien operatie aangeraden wordt Een afgevaardigde van het Gesticht' Windelincx zal te raadplegen zijn te KORTRIJK, I HOTEL ROYAL 4C s. J - Ifcot 12 ure. Genezen in buitelanden na verblijf in het Genezen in Belgie door consulten tegenover de statie, den ln en 3° Zaterdag* der maand, van 10 i/^iT-deVOS'teBouchou^ by Antwerp0. Kanker aan de borst Gesticht cide avec uno unité politique récente, mais durable. Remarquons en outre que les A 11e- mands font parfaitement bon ménage avec les Italiens, race latine, contre les Francais, autre race latine de ces faits et de cent, autres analogues, force nous sera de conclure que parler de lutte de race, e'est s'attacher plus a la simplicité des hypothèies qu'a la réa- lité des faits. Quand l'on veut rester dans le domaine positif, on ne peut parler que de luttes de peuples, de luttes politiques. Si la questjon flamande, telle qu'elle a été entendue jusqu'aujourd'hui et telle que l'entendent encore la grande majorité des flamingants, n'en déplaise a M.' Pol de Mont - ne constitue nul- lement un danger pour notre nationa- lité, on ne peut en dire autant de l'orientation nouvelle que M. P. de Mont voudrait lui donner. Habituons-nous a nous considérer comme les avaut-postes de la race ger- manique contre la race latine, et le jour du prochain contiit, nous risquons de nous voir éci asés entre le penple fran- Qais et 1 e, peuple allemand le plus lort des deux ramassera, après la bataille, ce qui restera de nous. Les Flamands ne désirent pas plus, et n'ont pas plus a désirer, une an nexion a l'Allemagne qu'une annexion a la France. Cette dernière s'étudie- rait a extirper le üamand de son terri- toire, mais les Allemands n'en feraient pas moms qu'on aille le demander aux Francais de la Lorraine, aux Polo- nais de la Posmanie, on encore aux Tchèques de la Bohème aux prises avec les Allemands d'Autriche. (Lafin au,prochain n°). Ph de C. Anvers, 14 Septembre. Séance du Mereredi matin. A la première section, la discussion s'en- gage sur la question Quelle doit être la base de la législation douanière M. Fieury se declare un adversaire résolu de ioute législation douanière. S'il faut un système douanier, on peut tout au plus l'ad- mettre com me mode de perception ainsi que le font les Anglais. M. Rau démontre que dans la confection des traités de commerce, il n'est pas tenu compte des intéréts des contribuables et des cons. mmateurs. On ne s'occupe que des producteurs. M. Soetbeer La legislation douanière est une matière dans laquelle on doit être opportuniste. Rencontrant l'ob ervation de M. Rau, l'orateur est d'avis que les consommateurs sont consultés, étantdonnéqueleproducteur d'un article est consommateur de l'autre. La suppression des droits pourrait dans certains pays tuer des industries, notam- ment l'agriculture. M. Fieury répond que les droits permet- tent, a certaines industries-, de végéier, a BREVET WOLFF te Mm S. SUPRÈME ÉLaÉGT^lNeE! ÉClaTST FÉÉR1QÜE! B,\ 1.. <>Antl>pf<)Pnn A«cune Tulipe n'est Writable, si elle ne porie nolrê marque BREVETS ET SPECIMENS DÊPOSÉS DANS TOUS PAYS. PRIX de la Tulipe Wolff: FR. 2-50. Manchettes de la 3 FR. NOUVEAUTÉ ÉCLATANTE Conserve admirablement les M1SCHOIS Plus Y Explosion possible, plus d'Empoisonnement par le Gaz, grande Economie. Ailumcur électriqoc pour lo gnz Dernière nouve.anlé. (irand succès. aucune de se développer largement, ration- nellement. M. Nyst (avocat a Ruremonde) abonde dans le sens des observations de M. Fieury. En Hollande ori est péuétré de Faction néfaste de toute protection. Mêrne dans la fiiature aucuu fabricant hollandais ne de- mande d'etre protégé. M. Strauss constate que l'industrie de la filature en Hollande est en ce moment dans una situation beaucoup plus florissante que celle de cette industrie en Belgique oü l'on s'est évertué a la protéger. Les autres questions sont renvoyées a demain et la séance est levée a midi Séance de Mercredi après-midi. A la deuxième section on discute La législation proteetrice des enfants, doit-elle s'occuper de leur instruction M. Soetbeer. Eu Allemagne, la majo- rite des citoyens n'est pas enchautée de ia contrainte scolaire en principe, mais tout le monde est d'accord pour dire que ('obliga tion scolaire a dunne d'excelients résultats en ce qui concerue l'instruction générale. M. Robert Centner, de Verviers, explique un essai qu'ii a fait a Verviers. II a invite, au hasard, 300 enfants a venir voir des pro jections lumirieuses la seule condition etait que les petits invités signent sur un registre leurs nom et prénoms. Tous les enfants ont su signer. Cela fait honneur a l'enseigne- ment a Verviers. L'orateur fait néanmoins des vceux pour l'établissement de l'instruction obligatoire. M. Georges Brabant, secrétaire du comité central du travail a Bruxelles, signale l'ac- croissement effrayant des délits commis par les enfants. Un remèdeserait le reeul d'un an au moins de la date de la premiere com munion. 11 est, en efFet, dans les moeurs po pulates qu'a parlir de la première commu nion l'enseignement cesse. A l'age de douze 'ans ils sont trop j uues pour travailler et fis ne' vont plus a i'eoole M. Paul Strauss Puisque la loi inter- vient poor fixer l'age du travail des eufanis elledevrait aussi s'occuper des enfants avant qu'ils ne commencent a travailler. du 9 au 16 Septembre 1898. Naissances: Sexe mascuhn, 6, id. féminin, 5. Mariages. Mulle, Arthur, jourualier,et Degren- dele Léonie, dentellière. Joveneau, Alexandre, industriel et Van Iseghem, Adrienne, sans profession. Décès Rondelle, Désiré, 55 ans, institnteur, époux de Ducorney, Hortense, rue d'Elveïdinghe. Vanhoutte, Marie, 58 ans, sans profession, veuve de De Brouwer, Henri, rue Weninck. Bail- ieul, Achille, 10 ans, écolier, Sl Pierre extra-muros. Verminck, Edouard, 77 ans, cordonnier, veuf de Denoif, Hortense, rue de Menin. Muiier, Ro salie, 78 ans, sans profession, veuve de Barbier, Martin, rue des Roses. Obyn, Marie, 68 ans, sans profession, veuve de Vandamme, Désiré. rue de la Boule. Waterbley, Sidonie, 51 ans, tailleuse, rue de Menin. Dingel, Sophie, 77 ans, sans profession, épouse de Capelier, Xavier, rue de Menin. Enfants au-dessous de 7 ans Sexe masculm, 2 id. féminin, 3. Réglage garanti par le fabricantprix modique, voila ses qualités 10764. 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Eenige wonderbare genezingen onder duizend, waarvan de schriftelijke bewijsstukken ter inzagel hangen in de wachtzaal van het GES FICHF WINDELINCX, cn gepubliceerd met toestemming der patiënten GENEZEN Therese de Vlaminck, Beggynhof, Turnhout, Kanker aan de borst M. H. Denekens, 81, Kerkstraat, Brusselwin het aangezicht B. Grégoire, Ch. de Fleurus, 31, Gosselies, Zweerende beenen Mevr. m. Pillen, landbouwster, Da- dizeele, Kanker aan de tong De Plancke, schipper, te Tourcoing, M. Denies, rue des Génisses, Schaer- beek, w Nihoul, te Ramel-Ivoz bij Luik, Klieren in den hals Eerw. Moeder Ida, overste van het klooster te Lier, Kanker aan de borst Th" Moerenhout, Ridderstraat, •v. .uu uuituwuwu HiiiMLtiuLAV £,ai ic raaupiegeu zijn itr je^uoiXO/Iüil, voorden, Beenziekte 7 1 j Cremers, rue du Pavilion, Schaer- beek, Beenziekte aan den voet H. Smorenburg, Wolstraat, 15, Haar lem, Van der Horst, te Cothen bij Utrecht, K. de Vries, te Sloterdijk, bij Ami sterdam, S. Tjallewal, Kanaalkade, te Alk maar, H. Schoehuys, te Starnmeer, by Am sterdam, C. Broers, teBenningsbrug, bij Am sterdam, C. Over, te Koedyk, bij Amsterdam, R. Rikkers, teEreneloo, by Arnhem, J. Post, te Zwartsluis, bij Zwolle, H. A. Jansen, te Haarlem, J. Schouten, te Nibbikswoud bij Amsterdam, genezen Kanker aan de borst j lip borstl het kaaksbeen] den arm de lip de borst de kaak de klieren de tong Z'. h3" Eh Marque de fabrique déposée. JLlYllClI I«« IJ 11 n Uefabriqae tie nom du fabricant SCHOTT et GEN, Ieiia. il. uTVSKSBf*» POUR pi 2 2 cö H —I O Cl, cm P3

HISTORISCHE KRANTEN

De Strijd – La Lutte (1894-1899) | 1898 | | pagina 2