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T et 3C Samedis de chaque mois, de 10 a 12 heures
Lundi, 6 Mars, ont eu lienen notre
ville, les fanérailles de Monsieur Louis
Verhaeghe, huissier prés le Tribunal
de le instance. Une foule nombreuse et
recneillie y assistait, témoiguant ainsi
la sympathie dont jouissait le regretté
défunt.
Après le service célébré en l'église
Sl Nicolas, le corps, suivi par nn grand
nombre d'amis, a été conduit au cime-
tière, oü M. Alphonse Hof, rapporteur
de la Chambre syndicale des huissiers
de l'arrondissement d'Ypres, a pronon-
cé l'allocution suivante
Messieurs,
n Qu'il me soit permis de vous rete-
nir encore quelques moments prés de
cette tombe, pour dire, au nom des
haissiers, les dernières paroles de
l'adieu au regretté confrère que la
mort vient d'enlever, d'une si brusque
fagon, a sa familie éplorée et a ses
nombreux amis.
n Louis VERHAEGHE a été nommé
huissier par Arrêté Royal du 29 ücto-
bre 1868 il a done, durant une espace
de plus de trente ans, rempli les fonc-
tions de son ministère.
n Ces fonctions, je n'ai pas besoin de
le dire, sont dures et ingrates, bien
que, sans elles, la justice ne saurait ui
rendre, ni, surtout, faire exécuter ses
sentences. Eh bien malgré l'espèce
de défaveur qui s'y attache, le défunt
sut se conciiier la sincère estime de
tous ceux avec lesquels il fut en rela
tions, de tous ceux qui eurent l'occa-
sion de le connaitre.
n A preuve toute cette série de gra
des qu'il a occupes dans la Garde ci-
vique, depuis celui de sous-officier jus-
qu'a celui de capitaine, et qui lui
valurent successivement, avec la mé
daille civique de première classe pour
ses longs services ministériels, les croix
civiques de 2me et de lre classe.
n Doué d'un coeur aussi bon et aussi
bonnête que ferme et brave, VER
HAEGHE sut mettre, dans i'exercice
de ses rigides fonctions d'huissier, la
mesure et les adoucissements compati
bles avec les intéréts qu'il avait a ser-
vir et a sauvegarder.
Et cette même droiture qu'il met-
tait- dans ses procédés a l'égard des
justiciables, il l'apportait dans ses re
lations avec nous, ses confrères, qui
n'avons jamais eu qu'a nous louer de
son obbgeance et de sa parfaite ioyau-
té.
O'est pourquoi, Messieurs, nous le
tenions tous en grande aflection
l'avions nommé notre syndic en 1896
et sommes, aujourd'hui, profondément
désolés de sa mort aussi prématurée
que soudaine.
Adieu, cber Confrère Que vos
restes morteis et votre ame reposent
en paix
On a volé cette nuit a la maison de
campagne de M. le Président Bie-
buyek. Des tentatives de vol ont été
commises en ville, on annonce pour Ja
nuit procbaine une tentative au bureau
de police.
D" YPRES.
Béancepublique du il Mars 1899.
a 5 heures du soir.
1. Communications.
2. Ecoles gardienues compte 1898.
3. Ecole ménagère compte 1898
T. Ecole moyenne compte 1898.
5. Construction d'un mur de cloture
pour les installations de la distribu
tion d'eau.
6. Fabrique d'église Sl Martin bud
get 1899.
Soeiété Philliarmouique
(Ancienne musique des Sapeurs-Poropiers).
donné sous la direction
de M. Eug. VAN ELSLANDE,
avec le concours de
MUe Emma Du Prez, Cantatrice, Pro-
iesseur de chant, a Bruxelles.
M. Raes, Ténor, a Bruxelles.
M. De Kemper, Chanteur de genre, a
Bruxelles.
M. J.-E. Stranwen, Pianiste accom-
pagnateur, a Bruxelles,
LE DIMANCHE 12 MARS 1899,
a 6 heures du soir,
en la Salie des Concerts de la Soeiété.
Programme
Première Par tie.
1. Allegro militaire. (J. Bayer).
2. Grande Fantaisie sur Faust
de Cou nod. (C. Bender).
3. Cavatine d'Aïda,par M. Raes.
(C. Verdi).
4. Don Pasquale, morceau de
Concert pour Piston exécuté
par M. J. Delporte, membre
de la Societé. (J. Arban.)
5. Duo de Lakmé, par M"e Du
Prez et M. Raes. (Deslibes).
6. Chansonnette par M. De
Kemper.
7. Egmont, ouverture (rede-
mandée). (van Beethoven).
Deuxième Par tic.
1. Fantaisie sur Lucie de Lam-
mermoor. JDonizetti).
2. Chansonnette par M. De
Iiemper.
3. Air de Plulémon et Baucis,
par Mlle Du Prez. (C. Gounod).
4. Duo Concertant pour 2 Flu
tes, par MM. Huys Camille
et Oreel Arthur, membres
de la Soeiété. arr. (Van Elslande).
5. Mireille, Duo par Mile Du
Prez et M. Raes. (C. Gounod).
6. Chansonnette par M. De
Kemper.
7. Tout Paris, suite de Valses.
(Waldteufel).
A 9 1/2 h. dn soir, Grand BAL.
Voor allen die lijden
aan wonden bijzonder
voor deze voortkomende
van geberste aders aan
de beenen en meestal
voor ongeneesbaar ge
houden.
Twijfelt niet meer
want met de SOUVE-
REREINE ZALF be
komt men eene zachte en
volkomene genezing. De
kwade gevolgen die men
soms vreest worden ver
meden met ons speciaal
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Traitement par corre^pondance, visite ou séjour a Flnstitut. On répond a
I lout malade qui explique sa maladie; il suffit de joindre un timbre pour la
I réponse et demander le bulletin de consultation. 11 n'est done pas nécessaire,
I dans tons les cqs, de se déplacer on de venir en pension il l'Institut.
On peut se\renseigner chiz les personnes suivantes:
Mmc veuve Van Clrempütte, Quai au Bois, 11, a Gand,
guérie d'un cancer du sdin.
M. Courtin, 6, rue de la Vigae, a Auderghem lez-
Bruxelles, guéri d'une gl inde du cou
M. Beckaert, instituteur e i chef, chaussée de Boen-
dael, 178. a Bruxelles, guéri d'une glande du cou.
Révérende sceur Thérèse de Vlaminck. au couvent du
Méguinage, a Turnhout, guérie d'un cancer du sein
M"«G. Godfrinon, rue Marie-IIenriettc. 99, a Ixelles-
lez-Bruxelles, guérie d'un lupus de la face.
Mlle C. Depret, place Bara, o, Bruxelles, guérie d'un
lupus du nez.
MF. Bastiaens, instituteur communal, a flévillers-
Mont-Saint-Guibert, guéri d'un cancer a la lèvre
inférieure.
M. Pilaet, secrétaire communal, a Steendorp, guéri
de varices ulcérées aux jambes.
(Ajouter un timbre de jO centimes pour réponse)
Turnhout, le lr Septembre '1898
Monsieur le Directeur de l'Institut WindelincxBruxelles, i
Inspirée pur un sentiment.de profonde reconnaissance et me voyant définitivement guérie.
sans opération du cancer du sein, je vous autorise et vous prie niéme de publier ma guéri-'
son inespérée c''est votre excellente méthode qui m'a sauvée. Quand je me rappelle lel
traitement si naturel que j'ai suioi dans votre maison, je ne m'étonne plus des remarqua-\
bles guérisons que vous opérez Aussi soyez assuréque je conserverai toujours le meilleur\
souvenir de votre Institui oh tous, pauvres el riches, sont soignés avec une égale bienveil-
lance
Votre dévouée et reconnaissante
Veuve Pelchmans-Meeus,
Négociante, rue de la Victoire, a, Turnhout'5
Si 1 on considère que ce n'est pas la une guérison exceptionnelle mais que l'Institut Winde
lincxrecoit journellemeut des lettres semblables, on peut, a juste titre, dire que le trai,rt-
ment. naturel est encore celui qui est le plus eölcace et le plus recommandable. La Directie
de l lustltut Windelincx a cru intéressant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant
tantde médecins que de malades et de les exposer au public dans la salie d'autographes. ou-
verbe a tous de 9 a 4 heures, 122. rue Gallait. a Bruxelles. Ceux qui ne peuvenb se déplacer pour
prendre connaissance de ces lettres élogieuses devraienb tont au moins lire Fexposé de la
Methode Windelincx qui a produit un grand retentissement et qui a paru récemment sous le
eil face de la Gave lesPrincipes d'üne méthode curative naturelle applicables a tot ties les maladies etspécia-
lenient aux tumeurs, glandes, maladies de la peau, maladies secrètes, etc.
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