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jBORSTLIJDERSi
VERGAUWEN
PRWi1 fr. ie
BISON SMIS
RATION DtS
ROUSSELAARSCH EN YPERSCH
L'esprit de M. Surmont.
Le concert du 12 Mars.
Société les Infatigables
Chronique judiciaire.
Dixmuidestraat, nr 55,
TE YPEII,
ACHETEZ LA VERITABLE
MONTRE
CHEiVlIN DE FER
INTERNATIONAL
[XX XXiSSKJ i XXXXXKXXXXi
XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXf
État-Givil d'Ypres,
a iiisliüil WL\I)ELIXCX, 122, rue Oallait, a Bruxelles. (FootJé
en 1860.)
a la dite Commission des Hospices l'au-
torisation d'accepter le legs qu'ils re-
présentèrent comme excessif, ou pour
que tout au moins il fut notablement
réduit a leur profit.
Le 25 Décembre 1892 parut au lloni-
teur Beige un arrêté royal pris le 21 du
même mois et portant
Article unique. La Commission
administrative des Hospices est auto-
risée a accepter aux conditions pres-
crites le legs prémentionné sous dé-
duction d'une valeur de deux mil-
lions sur l'acceptation de laquelle il
serastatué ultérieurement en même
temps que sur les reclamations sus-
visées, et sous réserve des droits ré-
sultant du dit legs pour les orphelins
et les enfants abandonnés de l'arron-
dissement d'Ypres et de la province
de la Flandre occidentale, droits sur
lesquels il sera également stafcué
3 dans la suite.
Lorsqu'il fallut mettre a exécution
eet arrêté on reconnut qu'il y avait
lacune en ce sens qu'il Ine donnait pas
les pouvoirs suffisants nécessaires aux
Hospices pour se faire mettre immé-
diatement en possession des valeurs
mobilières dépendant de la succession
de M. Godtschalck.
De la, nécessité de prendre un second
arrêté royal le 27 Janvier 1893, com-
plétant le premier et autorisant la dite
commission a accepter «aux conditions
prescrites par le testateur, M. Godfc-
schalck, toutes les valeurs quelcon-
ques tant en tifcres qu'en espèces, dé-
pendant de la succession dont s'agit
et déposés chez M. A. Crouan, agent
de change a Lille et chez M. Fernand
Sanglio, a Paris.
La Commission des Hospices fut au-
torisée a accepter aux mêmes condi-
tions le surplus des biens et valeurs
composant l'actif de la succession,
déduction faite d'une valeur de deux
millions de francs sur laquelle il sera
statué ultérieurement en même temps
que sur les reclamations introduites
par les héritiers légaux du Be cujus
et sous réserve des droits résultant
du testament prémentionné pour les
orphelins et enfants abandonnés de
l'arrondissement d'Ypres et de la
province de la Flandre occidentale,
droits sur lesquels il sera statué éga-
lement dans la suite.
En Février 1893, M. l'avocafc Colaert,
échevin de ia vilie d'Ypres, au nom de
quelques héritiers légaux de M. Godt
schalck, intenta contre les Hospices,
devant le tribunal de cette ville, une
action en nuliité du testament prérap-
peléet cela sous prétexte que l'un
des témoins instrumentaires n'était pas
beige. Les héritiers n'avaient aucune
chance de voir aboutir le procés a un
résultat favorable pour eux. Asuivre
Au Sénat.
Le Sénat discute en ce moment le
projet de loi revisant notre code de
struction pénale militaire.M.Surmont,
toujours désireux de faire de l'esprit
sur le dos de ses amis üamingants,
trouva trés spirituel, lorsqu'il fut
question dans une des dernières séan
ces, d'mstituer des interprêtes devant
les conseils de guerre, de s'écrier
Des interprêtes, mais vous en abusez.
Si vous continuez, vous en exigerez
bientöt qui connaissent la langue des
sourds-muets. M. Surmont se fit ra-
masser par M. 'i'ournay, qui lui fit re-
marquer trés justement que les sourds-
muets en notre pays ne sont pas admis
comme miliciens. Tête de M. Surmont,
qui avait confondu i'armée avec notre
Lhambre de députés.
Au Oonseil t'Oïiiiisiiïiïïl.
Au Sénat,, M. Surmont parfe de mi
liciens sourds-muets. Au Conseif com
munal d'Ypres, il se montre plus fort
encore. 11 entretient ses coliègues d'm-
dividus qui out pris i'habitude d'aller
se suicider dans nos bassins de décan-
tation.
Et dire que le personnel chargé de
la surveillance ne parvient pas a les dé-
tourner de ce tnste amusement, qu'ils
se paient avec une régularité stupé-
fiante.
Le Journal ffFpres fait un éloge
pompeux du concert de charité du 12
Mars du a l'imtiative de la Gommission
administrative de i'Ecoie de musique.
11 félicite chaudement M. Jules Goe-
tinck, l'organisateur de la fête. Nous
nous associons de tout coeur et sans au
cune restriction aux éloges décernés a
M. Goetinck. Nous le connaissons de
longue date et maintes fois nous avons
rendu hommage a son grand talent.
Qu'il reqoive aujourd'hui encore nos
plus sincères félicitations.
Le concert, vu les proportions qu'on
lui a données, doit avoir coüté pas mal
d'argent. II est vrai, qu'outre les 35 ojo
reten us sur les souscriptions, il a été
perqu 1 franc d'entrée pour la répéti-
tion générale de la veille et 1 franc par
place numérotée pour le concert pro-
prement dit.
D'habitude les comptes des fête3 de
charité sont publiés. Nous espérons
que la Gommission de l'Ecole de musi- I
que ne fail lira pas a ce devoir.
Nous apprenons avec plaisir que la
Société les Infatigables donnera,
dans le courant du mois d'AvriL pro-
chain, une fête qui sera encore plus at-
trayante que ses devancières.
Si nos renseignements sont exacts,
cette soirée sera suivie d'un bal et
plusieurs artistes distingués y prête- i
ront leur concours.
Le procés Angillis contreM. Surmont
de Yolsberghe prend une tournure
vraiment inquiétante. Yoiei que M.
l'abbé Neuville est appelé a intervenir.
Allons, Journal ff 1 presoü reste-t-il
votre rédacteur des grands jours, qui
prenait un si vif plaisir a entretenir vos
lecteurs des procés intentés au Collége
moderne. Aujourd'hui que les écoles
cléricales sont en cause, vous vous tai-
sez. Comme vous devez méditer main-
tenant ie dicton Ne dites jamais,
fontaine, je ne boirai de ton eau.
Ypres, impr. LAMBIN-MATHÉE.
BIJ DE
HERBERGIERSTER
ZIJN TE BEKOMEN
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REDDENDE ENGEL
BORSTBAISEM
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Pourvue du
cadran
24 heures.
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Se méfier
des contrefaqons.
VAN
ii; IliPEUEN, bij AIM. A. Donclc, C. LiboUe. lt. Socqttet en A. Weckesser,
apothekers Apothekerij Becuwe, L. 'Aertssens, apotheker.
Te POPFR1NGHË, bij Ant. Monteyneapotheker, Groot,n Markt.
du 17 au 24 Mars 1899.
Naissances: Sexe mascuhn, 3, id. féminin, 3.
Mariages.
Morel, Edouard, menuisier, et Boutens,
Cathérine, dentellière. Dumortier, Hilaire,
cordonnier, et Six, Christine, servante.
Bécès
Payé, Charles, 40 ans, commissionnaire,
veuf de Staes, Eveline, rue de Menin. De-
smedt, Florence, 58 ans, sans profession,
célihataire, rue des Chiens. Dekerle, Gus-
tave, 18 ans, casquetier, célitiataire, rue de
Menin. Coutelle, Marie, 53 ans, dentellière,
céhbalaire, rue de Menin. Debal, Julie, 67
ans, dentellière, veuve de Devers, Joseph, rue
de la Bouche. Bertier, Léonie, 61 ans,
cantinière, épouse de Claeys, Polydore, rue de
l'Anguille. Goerainne, Pierre, 77 ans, sans
profession, époux de Cleenewerck, Pélagie,
S'-Pierre extra-muros.
Enfants au-dessous de 7 ans
Sexe mascuhn,! id. féminin, 1.
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lanten alsook de personen die begeeren hem
te raadplegen, ter kennis te brengen dat er
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Traite went par corre pondance, visite ou séjour a I'Institut. On répond a
I tout malade qui expüque sa maladie j il suflit de joindre un timbre pour la
I réponse et demander le bulletin de consultation. II n'est done pas nécessaire,
I dans tous Jes cas, Je se déplacer ou de veuir en pension a Tlustitut.
On peut se]renseigner chez les person nes suivantes:
Mme veuve Van Clrrmpdtte, Qnai au Bois, 11, a Gand
guérie d'un cancer du sein.
M. Courtin. 6. rue de la Vigne, a Auderghem lez-
Bruxelles, guéri d'une glande du eou.
M. Bbckaert, instituteur en chef, ehaussée de Boen-
diel, 178. a Bruxelles. guéri d'une g'ande du cou,
R 'véren le sceur Tiiérèsr de Vlaminck. au convent du
Bé^uinage, a Turnhout, guérie d'un cancer du sein
M"«C. Godfkfnon. rue Marie Henriett -. 99, a ïxelles-
lez-Bruxelles, guérie d'un lupus de la fice.
M"e (J# Drpret. place Bara, 5, Bruxelles, guérie d'un
lupus du nez.
M. F. Bastiarns, instituteur communal, a Hévillers-
Mont-Saint-Guibert, guéri d'un cancer a la lèvre
inférieure.
M. PiLAKT, secrétaire com ïiiinal. a Steendorp, guéri
de varices ulcérées aux jambes.
(Ajouter un timbre dé 19 centimes póur réponse).
Turnhout, le Septembre 1898.
Monsieur le Directeur de I'Institut WindelincxBruxelles,
oar un sentiment, de profonde reconnaissance et me voyant définitivement guérie 1
sans operation du cancer du sein, je vous autonse et vous prie même de publier ma auéri-É.
son ines pérée c'ést voire excellente méthode qui m'a sauvée. Quand je me rappelle le J
traitementsi naturel que j'aisuivi dans voirmaison, je ne m'étonne plus des remarqua-M
bles guérigons que vous opérez Aussi soyez assuréque je conserverai toujours le meilleur f
souvenir de votre Institut ou tous, paurns et richessont soignés avec une égale bienveil-\
LCIUCC
II,?.] T ponsidere crue ce u'esfc pas la une guérison exceptionnelle mais que I'Institut WindeA
kIVY recoit jpurneiiement des lettres semblables, on peut, a juste titre, dire que le traite-ï
ai PT,a Ui ei est encore celui qui est le plus efflcace et le plus recommandable. La Direction!
ae 1 institut Windelincx a cru intéressant de réunir une foule de lettres élogieuses émanantl
ps-q.u? de raalaiJes et de les exposer au public dans la salie d'autographes. ou-|
a !leures» 422, rue Gallait, a Bruxelles. Geux qui ne peuvenfc se denlacer pour^^
vr/ffh' i2 ^DDRissance de ces lettres elogieuses devraient tont au moins lire l'exposé de la |||r
Wmdelmcx qui a produit un grand retentisseoient et qui a paru récemment sous lef®
litrePrincipes d une méthode curative naturelle applicables d Un.tes les maladies et spécia-1
ïement aux tuineurs, glandes, maladies de la peau, maladies secrètes, etc. f
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