MME M. MEIER
Alfred De Brouckere
de Cycles, Mof ©cycles, ¥©itarettes automobiles.
EN CONSTRUCTION pour 1899:
COURSES DYPRES
DIMANCHE 4 JUIN 1899.
2500 FRANCS DE PRIX.
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2me Avis.
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État-Civil d'Ypres,
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ROUSSELARE.
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pes d'équité et de justice pour aboutir
prés du gouvernement francais. L'a-t-
on fait
Telles sont les principales considéra-
tions que M. Destrée a fait valoir dans
l'interpellation qu'il a faite au gouver
nement dans la séance de notre Cham-
bre des représentauts du 9 de ce mois.
Ce député a vivement insisté pour que
le Ministre des affaires étrangères ainsi
que son collègue de l'industrie et du
travail agissent auprès du gouverne
ment francais atin que nos ouvriers
soient traités avec plus d'humanité.
M. le ministre des affaires étrangères
tout en reconnaissant que la situation
de nos compatriotes en France sera
déplorable, a répondu que tous les
arguments qui peuvent être invoqués
pour la réforme de la loi ont été pré-
sentés auprès du gouvernement fran
cais. La disposition mauvaise de l'art.
3 de la loi frangaise, a-t-il ajouté, est
un amendement qui a été déposé au
dernier moment et voté immédiate-
ment.
Le Sénat francais ému de l'opposi-
tion que rencontre partout la nouvelle
loi, a le 15 du mois courant, voté par
196 voix contre 55, une motion d'ajour-
nement de sa mise en vigueur, malgré
les efforts du ministre.
Si les dispositions néfastes pour les
ouvriers étrangers ne sont pas suppri-
mées ou modifiées, il importe que ceux-
ci prennent des précautious par des
contrats d'assurances a passer avec les
patrons et dont ils pourraient se préva-
loir au besoin.
Dans tous les cas il est bon qu'ils
soient prévenus dès a présent qu'ils ne
pourront bénéffcier de la nouvelle loi
que s'ils vont habiter en France avec
leur femme et leurs enfants.
II y a lieu de faire remarquer ici
que dans une question qui intéresse a
un si haut point les nombreux Yprois
qui doivent gagner leur vie en France,
nos fameux représentants Colaert et
Iweins sont restés muets comme des
carpes le sort de nos ouvriers les lais-
sent froids et indifférents.
Telle était la demande que posa M.
Colaert au Conseil communal le 28
Aoüt 1897 a propos de restaurations.
Al. Surmont répondit que le Collége
avait vivement engagé la Commission
des Hospices a hater la restauration de
eet immeuble trés délabré.
M. Fraeys, visiblement ennuyé de
cette interpellation, bredouilla que la
situation ffnancière des Hospices ne
permettait guère a ceux-ci de faire de
grosses dépenses pour la rmse en état
du mont de piété, rnais que cette admi
nistration serait a rnême de soumettre
en 1898 des propositions au Conseil
communal.
Eh bien AL Fraeys voila a peu
prés deux ans qui se sont écoulés de-
puis lors, peut-on vous demander oü
en est cette affaire La Commission
des Hospices, dont vous êtes un si zèlé
membre, a-t-eile enfin arrêté un projet
a soumettre a l'autorité communale
Non, n'est-ce pas
11 y a un an le bruit courait en ville
que les Hospices étaient en pourparlers
avec un couvent de Bruges pour la
vente de l'ancien mout de piété, mais
il parait que cela n'a pas abouti jus-
qu'ici.
Vers la même époque il a ét§ ques
tion aussi d'approprier le batiment a
l'usage d'une maternité. (J'était la un
service essentiellement hospitaller qui
incombe aux Hospices et qui manque a
Ypres, mais Fadministration charita
ble n'en a pas voulu.
Enfin il a été proposé encore de faire
de l'ancien mont de piété, des maisons
particulières avec écuries, mais comme
l'Ecole d'Equitation sera transférée a
Tervueren, on a trouvé qu'on les loue-
rait difficilement.
Quoi qu'il en soit, nous croyons
qu'aucun de ces projets ne sera mis a
exécution. Le motif en est que le bati
ment est occupé comme magasin de fer
par un cléncal militant et intéressé
qui n'entend pas vider les lieux et
contre lequel on n'ose pas agir de peur
de le froisser. C'est ainsi qu'on sacnfie
les intéréts des pauvres a ceux d'un
particulier.
II est done probable que pendant
nombre d'années encore on ne donnera
aucune autre destination a l'immeuble
en question.
Dans l'intervalle, les Hospices ne se
soucient guère de l'entretien du Lom
bard. C'est une honte pour la ville de
tolérer qu'on ie laisse dans un tel état
de délabrementpresque toutes les vi-
tres sont brisées et les gamins s'atta-
quent maintenant aux persiennes et
aux croisillons des fenêtres qu'ils dé-
molissent peu a peu sans que jamais
notre police parvieune a mettre la
main sur les coupables. II en résulte
que la pluie qui pénètre de tous cötés,
détache les plafonds et fait pourrir les
planchers et les solives.
II est regrettable que Ia Commission
des Hospices laisse ainsi tomber en
ruines une intéressante construction
du 17" siècle, la seule que notre ville
possède dans ce genre, et qui mérite
d'etre restaurée et affectóe a un service
public.
Quand Al. Fraeys a déclaró en séance
du Conseil communal que la situation
ffnancière des Hospices ne permettait
guère a ceux-ci de faire de grosses dé
penses au Lombard, personae n'a pris
ce conseiller au sérieux. Comment,
s'est-on dit dans ie public, ose-t-il ainsi
se moquer du rnpnde La Commission
des Hospices construit un asile d'alié-
nés somptueux qui coütera de 6 a
700,000 fr., elle gaspille l'argent en
travaux inutiles et de fantaisie, et elle
prétend n'avoir pas de quoi entretenir
ses batiments!
Comme on le voit, la gestion du pa-
trimoine des pauvres est en bonnes
mains
haut soumissionnaire, se fera le 28 du
mois de Alai de cette année, a midi
précis, au Café du SultanGrand'Place
a Ypres, et ce, pour trois années consé-
cutives, avec faculté pour le locataire
de pouvoir renoncer tous les ans,
moyenuant d'en prévenir le Comité
par écrit, deux mois, au moins, avant
la course suivante.
avee le bienveiüant concours de
a 3 heures de relevée.
La Commission du Sport Hippique a
l'honneur de porter a Ja connaissance
du public, que i'Ecoie d'Equitation
commencera son intéressant travail a,
2 heures.
Les courses au trot monté et attelé
commenceront a 3 heures précises pour
se terminer a 4 1/2 heures.
L'Ecole d'Equitation terminera la
fête par un concours de sauts en hau
teur qui durera 30 minutes.
Enréuniou du 14 ALai 1899, le Comi
té du Sport hippique d'Ypres a décidé
que la location du buffet principal a
établir, le jour des courses, dans l'en-
ceinte du pesage, aux frais du plus
Les personnes qui désirent se faire
inscrire comme Alembres Protecteurs
(10 francs, carte de familie habitant
sous le même toit) sont priées de
s'adresser jusqu'au 28 Alai inclusive-
ment chez Alonsieur Auguste Brun-
faut, rue de Lille, ou chez Alonsieur
Louis Vandoorne, Place Van den Pee
reboom, a Ypres.
Après cette date les inscriptions ne
seront plus regues.
du 19 au 26 Mai 1899,
Naissances: Sexe masculin, 7, id. férainin, 3.
Manages.
Vanhoutte, Henri, ouvrier de fabri-
qne, et Room, Hélène, servante.
Bollengier, Georges, peintre, et Gry-
monprez, Christiue, dentellière.
Wolters, Georges, menuisier, et Du-
prez, Louise, journalière. Coutelle,
Emile, tailleur d'habits, et Gekiere,
Alix, servante. Vancampo, Pierre,
cordonnier, et Vercamer, Alarie, den
tellière. Bolleyn, Jéröme, magon, et
Sigier, Félicie, servante. "Wouts,
Arthur, menuisier, et Demey, Céline,
sans profession. Parein, Edouard,
ouvrier de fabrique, et Lacante, Alarie,
dentellière.
Décès
David, Cathérine, 71 ans, sans pro-
fession, veuve de Lombaert, Constant,
Brielen extra muros. Alarkey, Cé
line, 76 ans, religieuse, célibataire,
Place de Palais de Justice. Fertinel,
Arthur, 33 ans, tisserand, époux de
Percque, Hélène, rue Carton. Dame,
de Ghelcke, Jeanne, 26 ans, épouse de
Alessire, Théodore Chevalier van
Elewyck, rue au Beurre. Aman,
Alarie, 36 ans, ménagère, épouse de
Courtequisse, Pierre, S4 Jean extra-
muros. Desaiu, Michel60 ans, hui
lier, veuf de Dommecent, Alarie, rue
dn Lis bleu.
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vieilles dents ni les racines.
Les dents artilicielles de MrM. MEIER pennettent de broyer les aliments ies plus dürs, remission de la voix est plus sonore et plus
claire. Les dents sont plaeées sans plaques, sans crochets ni ressorts; on ne saurait pas les distinguer avec les dents naturelles ni par
ia forme, ni par la couleur. H
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