E.DELEU&C
V oulez-vous 1 bonne montre P
Bier op flesschen.
ft?«
WEDUWE H. HOFLACK,
U1E CUSE REÏARQUABLE
Collége Moderne.
Conseil communal
La grace.
In de Nieuwe Post
Rijsselstraal, nr 61,
ROUSSELAARSCH EN YPERSCH
Le candidal du Volkshuis
État-Givil d'Ypres,
socialistes c'est dans le couloir de-
vaat la sallede la vice-présidence que
le tait a eu lieu. [Le Soir).
Je vous disais Samedi que, M.
Smeets ayant proposé le but des
socialistes étant de faire trainer en lon
gueur, par tous les moyens, la discus
sion de la loi électorale de fixer la
durée des séances de 2 a 5 heures, sa
motion avait été adoptée, grace a i'ap-
point donné a l'extrême gauche par
l'extrême droite, dont M. Colaert.
Et le coup fait, M. Colaert, sou-
riant, avait traversé l'hémicycle, était
allé s'entretenir avec M. Gilliard, pais
s'était dirigé vers M. Smeets et, trés
empressé, lui avait serré la main.
L'incident n'aurait eu aucune impor
tance, s'il n'avait paru être le remer-
ciment ou la sanction du coup dirigé
manifestement contre le ministère, et
c'est a ce titre qu'il fut noté dans des
journaux d'opinions diverses.
Depuis lors, M. Colaert, qui fut
houspillé dans une partie de la pres-
se catholique, s'est défendu du re-
proche de s'être allié, pour la réus
site d'une manoeuvre, avec les socia
listes et, en réponse a une semonce as-
sez verte du Bien publica adressé a ce
journal une longue lettre dans laquel-
le il affirme n'avoir manigancé quoi
que ce soit avec M. Smeets. C'est en-
tendu mais il nie aussi, et de fagon
catégorique, avoir serré la main au dé-
puté de Liége.
Et ce démenti vient d'être adressé
au Soir.
M. Colaert pourra l'adresser aussi
a la öhroniquequi n'ira pas par quatre
chemins pour lui faire savoir ou bien
qu'il ne sail pas ce qu'il fait, ou qu'il ne
sail pas ce qu'il dit. (1) {La Chronique.)
Notre correspondant de Bruxelles
nous adresse la lettre suivante en ré
ponse a la lettre de M. Colaert qui l'a
personnellement pris a partie
Bruxelles, 15 Septembre 1899.
Mon cher confrère,
Je n'ai pas l'habitude, vous le sa-
vez, de vous renseigner a la légere.
Je ne puis, cela vasans dire, établir
la preuve matérielle des négociations
de M. Colaert avec l'extrême gauche.
Mais je sais, et d'autres confrères
savent comme moi, que M. Colaert a
été en rapport avec des membres de
la gauche socialiste avant la motion
(1) M. Colaert sail trés bien ce qu'il fait il
sait encore mieux ce qu'il dit, mais il n'aime
pas qu'on le sache.
■IWIlirTTTT'l Hi I.
0
ALLE BElN'OODIGHEDEN
RIJWIELEN s AUTOMOBIELEN
32, Bogaardenslraal, Brussel
EAD1E, 3 fusils (B. S A
en andere stukken.
Machienen ELYRIA Anierikaar.sclie
Garnituren ELYRIA nieuwigheid
sterk, schoon, licht, goëdkoop.
Eenig depot van de caoutclioucbanden
met liet
gedeponeerd merk.
N. B. Het huis levert uitsluitend aan
handelaars.
Smeets. Et je maintiens que le coup
Smeets ayant abouti a la mise en
minorité du gouvernement, M. Co
laert est allé a gauche, vers 6 heures,
serrer chaleureusement les mains dö
l'auteur de la motion. Je l'affirme en
m'appuyant sur le témoignage de trois
journalistes, appartenant a des opi
nions différentes, qui tous trois ont vu
et certifient le fait.
Personne, au surplus, ne doute a la
Chambre que des manoeuvres aient été
concertées entre un fatble groupe de la
droite et l'extrême gauche contre l'a-
boutissement du projet de la R. P.
Seulement, ceux qui ont accusé le
gouvernement d'avoir négocié avec M.
Loraud ce qui est parfaitement
faux ne peuvent souffrir qu'on les
dénonce lorsqu'ils négocient avec la
gauche socialiste.
J'ai pensé qu'il fallait faire la lu-
mière sur ces agissements ténébreux
afin de rendre plus circonspects ceux
qui auraient encore l'intention de s'y
livrer. Et je compte bien persister dans
ce système.
C'est tout ce que je crois devoir ré-
pondre a la longue lettre que vous a-
dresse M. Colaert.
Veuillez agréer, mon cher confrère,
l'expression de mes sentiments aflec-
tueux et dévoués.
F. Hecq.
[Le Bien Public)
Monsieur Remi Bouquet a été pro-
clamé candidat du Volkshuis en rem
placement de son père M. Pierre Bou
quet, décédó. Cette proclamation s'est
faite par les soins du Comité, qui a
trouvé plus prudent de remplacer le
poll par une tombola. C'est une fagon
comme une autre de donner satisfac
tion aux ouvriers, ou plutöt de se fi-
cher d'eux. Quoi d'étonnant, dès lors,
de trouver des récalcitrants. Tout le
monde n'est pas fait pour courber
l'échine.
Un nouveau succès pour l'établisse-
ment
Messieurs Ar. Yan Daele et J. de
Posch, élèves du Collége Moderne, ont
réussi l'épreuve littéraire de l'examen
d'entrée a l'Ecole militaire
Nous les félicitons de tout cceur.
Rappelons que la rentrée au Collége
aura lieu le 3 Octobre, a 9 heures. La
veille, a la même heure, auront lieu
les examens d'entrée et de passage.
B Y PRES.
Séance publique
du Samedi, 25 Septembre i899
ii 5 heures du soir.
1. Communications.
2. Eglise S' Martin budget pour
1900.
3. Demands d'achat de terrains a)
boulevard Malou b) idem rue
Edouard Fiers.
4. Procés-verbal de vente de noix.
5. Location de biens ruraux.
6. Travaux communaux procés-
verbal d'adjudication de travaux
a la maison dite «Het Paradijs.
Elle était prévue, mais la nouvelle
ne nous a pa3 moins produit une im
pression de soulagement que tous nos
iecteurs auront partagée. On craignait
toujours que ce droit de grace ne
s'exergat que sur un cadavre, les pro-
nostics médicaux donnant sur la santé
de Dreyfus les détails les plus alar-
mants.
La grace de Dreyfus II y a dans ces
termes une antinomie qui révolte. On
ne gracie que les criminels, et l'inno-
cence du martyr de l'lle du Diable a
été reconnue et proclamée,même avant
Tissue du procés de Rennes, par la
presse des deux Mondes. Eüt-il été
condamné a une nouvelle déportation,
eüt-il été a nouveau dégradé, que le
verdict de la conscience universelle lui
restait acquis et que i'Etat-major et
son tribunal servile resteraient voués
au mépris et a Texécration des honnê-
tes gens.
Ce n'est done pas une grace c'est un
commencement de reparation qui a été
accordé a Dreyfus c'est, en quelque
sorte, un acte de sauvetage hativement
entrepris la Camarde a l'aflüt sem-
blait déja escompter les hésitations du
gouvernement quelques jours encore
d'inutiles retards et l'oeuvre de mort
était peut-être accomplie. Cela eut fait
verser au bon Déroulède un nouveau
torrent de larmes de joie.
La liberation de l'innocent n'est done
pas la terminaisou de Tafiaire Drey
fus. Celui c.i va poursuivre, entouré
des soins réparateurs d'une épouse
ACHETEZ LA VERITABLE
MONTRE
Pourvue du
cadran
24 heures.
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CHEMIN DE FER
INTERNATIONAL
Se méfier
des contrefagons.
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héroïque, soutenu par le dévou6ment
de tous les siens, réconforté par les
caresses dont il fut si longtemps
privé, hélas de ses enfants, l'ceuvre
de rehabilitation.
Réhabilité, il Test, auxyeux de tou-
tos les consciences droitesmais cela ne
suüit pas. A une condanmation judi~
ciaire mique, il faut opposer une sen
tence judiciaire qui répare. Et la repa
ration restera fatalement incomplète
Thonneur de son nom lui sera rendu
ses enfants pourront parcourir la vie'
la tête haute, et c'est bien tout, ce qu'il
demande. Mais qui lui rendra la santé
qui redressera cette ame a jamais cour-
bée sous le poids de souvenirs qui
comportent tout ce que le coeur de
l'homme peut souffrir ici-bas Cela est
au-dessus des réparations humaines.
Pour éviter toute erreur, le
dentiste Maurice MEIER,
de Courtrai, a l'honneur d'in-
former sa nombreuse clientèle
ainsi que les persounes qui au
raient l'intention de venir le con
sulter qu'il y a un nouveau den
tiste portant le mêrne nom et avec
lequel il n'a aucune relation
cominerciale, qui vient a pres a
deux maisons de sa derneure.
11 les prie de bien s'inl'orrner
s'ils soul chez l'ancien dentiste
Maurice M l d FR de Couitrai, qui
est a consulter a Ypres depuis
14 ans chez M'"c Yeuve VaX
KEM ViEL, Grand'Plaee, 5 (mai
son fermée) les Lundi, Jeudi et
Samedi, de 9 a 4 h.
lln'ani frère, ni fils, ni parent
chargé de représenter sa maison.
du lo au 22 Septembre 1899.
Naissances Sexe mascuhn, 3 id. féminin, 7.
Décès
Lenoir, Sophie, 56 ans, tailleuse,
célibataire, rue de Stuers. Carton,
Romanic, 34 ans, ménagère, épouse de
Sesier, Henri, St Jacques extra muros.
Enfants au-dessqus de 7 ans
Sexe mascuhn, 2 id féminin, 4.
l-Vfff -'S' 'AT.
BIJ DE
HERBERG1E RSTER
Ti- YI»KK,
ZIJN TE BEKOMEN
ftÈ'uis» en Meek
Ypres, impr. LAMB IN-MAT HÉ E
rue de Dixmude. 54
On prétend le cancer incurablepresque toutes les
autorités médicales sont d'accord sur ce point. Cepen-
dant l'histoire de la
médecine rapporte des
cas de guérisons spon-
tanées, el les médecins
les expliquent par ce
fait que, dans certaines
Constitutions, la force
curative ou la resis
tance a la maladie est parfois telleinent puissantè, qu'elle
parvient a vaincre l'affection, grace a une elimination
lente mais continue du poison caucéreux.
Aider la nature, aider celte force curative, provoquer
cette elimination, tel est done encore le plus sur moyen
de triompher du cancer; telle est aussi l'énigme de la
guérison d'une dame de Houtliern, dont nous venous de
recevoir la déclaration suivante avec prière d'inserlion
A Monsieur le Directeur de l'Institut Windelinckx,
122, rue Gallait, Bruxelles.
Quel bonheur de pouvoir vous confirmer que je suis guérie,
bien guérie de ma tumeur du sein et que je me porte beaucoup
mieux sous tous les rapports.
C'est grace a vous que je dois cette guérison inespérée et
déclarée impossible. Pendant que j'étais en traitement dans votre
Institut, tout le monde déelarait mon mal incurable et prédisait
que je ne saurais plus revenir en bonne santé au milieu des
miens; que j'étais irrémédiablement perdue. Et cependant,
aujourd'hui, me voiia sauvée par votre traitement si simple sans
avoir dü subir aucune operation.
Je ne pourrai jamais vous être trop reconnaissante, pnisque je
vous dois le reste de ma vie. Aussi vous pouvez faire de ina
lettre de remerciement tel usage que bon vous sembWa, sachant
que je ne vous ronds ainsi qu'une infime partie de la reconnais
sance que je dois a vous et aux médecins de voire Inslitut. Mon
séjour chez vous a été un pen long, c'est vrai, mais qu'est ce
que quelques jours de separation, si on a pu reconquérir une
vie déclarée perdüe Aussi ni moi, ni mon mari, ni mes enfants
sonnnes loin de regret ter les sacrifices de la separation que nous
avons dü nous imposer et taut que je vivrai, je ferai vos louanges
que vous avez tous si bien méritées.
Votre dévouée et reconnaissante
épouse Patfoort, Fr., a Houthem-lez-Funies.
Si Ton considère que ce n'est pas lè une guérison
exceptionnelle, mais que l'Institut Windelinckx regoit
trés souvent des lettres semblables, on peut, juste titre,
dire que le traitement naturel est encore celui qui est le
plus humain, le plus efficace et le plus recommandable.
La direction de l'Institut Windelinckx a cru intéres
sant de réunir une foule de lettres élogieuses émanant
tant de médecins que de malades et de les exposer au
public, dans la salie d'aulographes, ouverte h tous, de
9 h. a 4 h., 122, rue Gallait, Bruxelles. Ceux qui ne
peuvent se déplacer pour prendre connaissance de ces
lettres élogieuses devraient tout au moius lire l'exposé
de la méthode Windelinckx, qui a produit un grand
retentissement el qui a paru récemment sous le titre
Principes d'une methode curative naturelle appli-
cables a toutes les maladies el spéciatement aux tumeurs,
glandes, maladies de la peau, maladies secrèlesetc.
Ln vente chez lous les iibraiies ou ii 1'Inslitut, contre
un franc en timbres-poste.
Les consultal ions ont lieu lous les jours de 10 h
I heure, 122, rue Gallait, et les mardis de 9 a 5 heures.
Un médecin de l'Ins.ittit donne des consultations a CoiU'ti'fti, llólel Royal, en face de la gare, le Ir el 3" Samedi du mois, de a 12 hre
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ORDRE DU JOUR:
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