AYIS INTÉRESSANT. SOMEÉ1MEdefr.7S0,OO« VENTE PUBLIQUE D'UNE TRÈS-BELLE s IBI&ÎM ^uartiiiirs ssflgyiiL'És, Chcmfti 1 ÉTUDE DO NOTAIRE COUCKE, A COURTRAI. PATRIMONIALE. PROGRAMME VOCAL ET INSTRUMENTAL a(£>&îsî2&4i sa. aa asaaaa, LOTERIE EN UNE SELLE CLASSE. •Four du Tirage f© affût prochain. LA 13e LOTERIE POUR TOUTE LA. LOTERIE. t Le 29, dans l'après-midinux Champs-Elysées les prix du niât de cocagne on! été enlevés avec une rapidité qui témoigne des progrès de la gymnastique parmi nous. On eu a eu uneautre preuve la fin de ces exercices. Il ne restait plus que la couronne au liant du mât, lorsqu'un homme s'élance en une minute il est au sommet. La couronne est détachée et tombe, et notre homme pendant 1111 quart d'heure se livre aux exercices les plus périlleux. Il se place en équilibre la poitrine sur la pointe du mât, et agile la fois les bras et les jambes comme s'il nageait. 11 se suspend parles mains et par les pieds il descend le long du mât la tête eu bas puis il remonte dans la même positionet regagne enfin la terre par un saut d'une hauteur de vingt pieds au moins. longtemps une inGonduite notoire.INombredefoisle pauvre mari avait pardonné les fredaines les plus impardonnables, lorsqu'il y a quelques temps il surprit sa volage moitié eu flagrant délit d'adultère. Cette découverte fut suivie d'une sévère correction manuelleel d'unesolennelledéclaration qu'il 11e vou lait plus vivre avec elle. La mégère furieuse alla dé noncer son mari au chef de corps, et l'accusa de s'être approprié des fers cheval aux dépens du paysan chez lequel il était logé. Cette dénonciation parut d'abord incroyable, portée qu'elle était contre un militaire qui depuis vingt ans n'avait encouru aucun reproche. Une première perquisition eutlieu; elle fut sans résultat. Quelques heures après de nou velles recherches furent pratiquées, et cette fois on découvritdes fers dont l'inculpé ne put tout d'abord Les bravo* n'ont pas manquéà ces preuves de bar- enseigner l'origine d'une manière satisfaisante. Mal- iesse et d'agilité qui n'étaient pas annoncées; cette gré ses protestations d'innocence, malgré les décla- iois, le prognynme de juillet a tenu plus qu'il 11e promettait. de Commerce.) Une députalion des écoles de la Sarlhe est ve- nuecomplimentcr M. Ledru-Rollin sur son élection la députation. Dans l'adresse qui lui a été lue nous remarquons ce passage n Vous flétrirez cette politique machiavélique qui a pour devise compression l'intérieur abaisse ment devant l'étranger. n Vous direz d'où vient la corruption qui nous dévore vous direz comment elle disparaîtra. ous tiendrez le pays en éveil sur cette impor tante question des fortifications qui dans les mains des hommes du 7 aoûtpourraient devenir si me naçantes pour nos libertés publiques. Vous ne souffrirez pas que le gouvernement garde plus longlems le silence sur les lettres attri buées au roi l.ouis-Philippe il y va de la sécurité nationale. i\ ou celle rérolulion an Pérou. Nous appre- nonsqu'une nouvelle révolution vient d'éclater au Pérou, et que le général Santa-Cruz est aujourd'hui maître de Lima. Une personne qui a quitté Lima le 3 mai dernier, et qui se trouvait Payla le 1 1 et le ri nous a ap pris que ce jour-là (le 11) les troupes de Santa-Cruz s'étaient avancées vers cette dernière ville et s'en étaient emparées. Les officiers de fïamarra s'étaient embarqués bord d'un baleinier américain. Flores avait aidé Santa-Cruz la tête d'un régiment de cavalerie et avait promis de lui livrer de nouvelles 'troupes. Pieira se trouvait en la possession d'un délachem' des forces de Santa-Cruz, commandé par lelieutenant colonel Angalo, ancien adjudant du général en chef. Des nouvelles de Naples du 19 juilletannon cent que le Vésuve lance continuellement des flam mes depuis quelques jours. "VARIÉTÉS. HierQq juillet)dans la salle de danse du Sauvage, Vè Belleville, une des habituées da lieu avait été in- jitée danser par Dauvoy, porteur la balle; mais ^àu moment où les quadrilles se formaient, 1111 •yiominé Colin, boutonnier en cuivre prétendit que - Jn danseuse de Dauvoy devait danser avechii celui ci ^Voulutdéfendre sesdroils, et bientôt m relui te s-'eny gagea dans laquelle Dâuvov reçut un coupdëcuu— teau. Ces événements sont si ordiuairesque personne - ne s'en émut. Dauvoy, quoique grièvement ble,ssé, -appliqua son mouchoir sur la plaie et çoifrut lui-, même chercher un agenUde la force publique. Pen- tt ce temps, la belle qui devenait la conquête ou <1 ueùr, se mit danser avec Colin connue si c'était la chose la plus simple du nuideet bien que le rations du paysan, affirmant qu'aucun vol 11'avait été commis chez lui, le pauvre diable se vitarrêléet écroué dans la maison d'arrêt de Cambrai. Quant la méchante femme, auteur d'une dénon ciation vraie ou fausse, elle-même a été arrêtée et emprisonnée sous la prévention d'adultère. Elle est sous le même toit que son malheureux mari. Ce scandaleux et. triste événement a été suivi d'une catastrophe déplofable. Un carabinier, qui avait été désiguécomme complice du vol de 1ers, n'a pu survivre cette imputation infamante ou l'ap préhension de passer en jugement; jeudi, quatre heures du matin, il s'est cassé la tête d'un coup de pistolet. Libéral du Aord.) sur'ses vêtements. Solidement bâtie, grande parmi cour, verger, prairies et terre labourable et en un seul bloc braude 8 hectares 84 ares 20 centiares, située en la commune d'Aelbeke, occupée par Pierre Cn*telein moyennant l'r. 653-o6 c. par an et les impositions, avec droit d'occupation jusqu'au dernier Octobre 1844» et sujet augmentation. Divisée en 8 lots, et tenant aux propriétés de Joseph Vandenhulcke Alex. DerumauxPierre Casleltin, le> héritiers M. Marcetlin De Braban- dere, la dame veuve Catulle-PlanckaertDemaître, les eufaus De Lembre Jean-Baptiste Desmet et M. le comte de Mouscrou. Mise-a-piiix le io Août 1841en l'auberge le Cerf, rue du Saint-Esprit, Courtrai; et I'Adjudi- cation définitive; le 24 du même mois'eu l'auberge l'Ours, rue de Lille, audit lieu, chaque fois deux 1 heures de relevee fixe. fïfflÇHÈBES A GAGER. sang de son adversaire eu^, Dauvoy parvint en sçTnunant avec peine trohî- },et Colin fut arrêiifayanl la lin dffc VENDRE 1 CHEVAL DEMI'SÀNG 4 |a ANS [Droit.) lifte .d'un carabinier JaisâritypfrarLié da taille l.ôo 11 il cantonné Mairn'ères', H|guqnel il est STRESSER RUE Èrs C raff^î d'ouvrier» mabécllalfnwefiàit depuis* l'n emploi de Directeur dans chaque capitale de province, et 1111 emploi d*Agent dans chaque chef lieu d'qrrondissement et de can ton, sont offerts pour y diriger les affaires de plu sieurs compagnies belges et étrangères. Ces emplois seront permanents et lucratifs. Il est nécessaire de fournir des cautionnements, et des renseignements sur sa position sociale. On est prié de s'adresser en personne, si l'on peut remplir les conditionsou par lettre, poste payée), a Mr RUSSEI.L, ruf. royale, n" 1« a bruxellks. A l'occasion tic la Fête cosnntunaic DU J^e cleuc/c S •Srfcu'è/ s <£tt la sali» bUue îtc ï>c Dillc VUprrs. PREMIERE PARTIE. Morceau d'harmonie. 2. Air varié pour le Cor, par Gallayexécuté par M. Barbier. 3. Air chanté par 4. Fantaisie pour Violon, composée et exécutée par V. DSSSIT3. deuxième partie. 1. Morceau d'harmonie. 2. Pastorale pour Violonêxécutée par M. DSSiilTS. 3. Romance. 4. Variations brillantes pour Violon .par Ernst. exécutées par DSSM1TS On commencera 6 heures précises, pour ûuir avant Je Bal donné en la même salle. Nota. O11 peut se procurer des cartes d'entrée clicz Ch. y imiter de rue de Dixmude, n° 18, raison de 2 francs chaque, jusqu'au Jeudi, 5 Août, 4 licures de relevée. Au bureau on payera fr. 2-5c par cachet. DE LA VILLE LIBRE ET ANSEAT1QUE DE LUBECK GARANTIE PAR L3 GOUVERNEMENT, OFFRE LA POSSIBILITÉ DE GAGNER LA TANDIS QU'UN BILLET NE COUTE QUE 25 FRANCS Pour 25 francs l'on obtient un billet entier, et pour 5 fr. l'on obtient un cinquième de billet. Les billets sont en entier ou divisés en cinquièmes. S'adresser pour les billets et pour le plan sans perdre du temps JEAN HUDOFFSKY Receveur principal Lubeck. P S. On est prié de remettre le prix d'achat îles billets désirés préférahlemeut eu billets de, banque ,ou, en cas de besoin en lettres île change sur une place de commerce quelconque de la Francede 1 Allemagne ou de la Belgique. 2 A LOUER L'un, composé de 2 chambres situées au rez—de- chaussée et l'autre de trois chambres, situées au Hemiër. ,!;dçpaius. période francs. ?- r yprl CHIENS, N° 9°; Et R tlt'jnsîiidr des Compositeurs- rupftes et un bon JPressier s adresser nû Ijureâti'dc cette feuille. h'sport, flf'R voj t.. nvcE* ^Ii'i .xKjtt luAI 7. li. du 1 1 matin, pour Gand, et 2 h. 30 ui. 'de relevéepour Ostende. a 4 fileur.es ;t Gand, pr Ostende, Bruxelles, An- h. 50 m. de relevée^ pour Gxind, Çourtrai, Brux- th: ,c, &jr„nd. mu A 10 11. 4.) m. du malin, Anvers, Tirlemont. ^,AC h. 43 m. du smi wàndBruxellesAnvers. A 4 1». 45 ni. de l.„ -, a q t.- »nj r r* j |i<our Gand. a o dt.10 m. du soir, pr Oslçndâ fv \d,\irJ^^d^BriixellesAnversTirlemont; 2 qur Onlende.A6 h30 m. D'OSTKNDE OJi. 30 m. du matin 1 nJan^fŒ^ende. i Garni, Bruxelles coïncidences Malines ArO|„ matin, pour Ostende. A' Tr""'Jcoïncidence àj Gand p' Courtrai;9 b- 30 m- P""r Courtrai. ®,A9h.4^ Anvers Lié je pour Gand, Bruxelles, Anvers, t t latin, pour Gondpour GandCourt'ai, Bruxelles ,J^ pv Hxûh&tfar£Ârii ers. A 11 I». dn mai. 1 mont, A 6 15 ru. du soii^ ikxzï eur§. Les lu-iiïis de passage n'é tant qu'approximatives, les tyageurs doivent se trouyer la station avant celles fixées pour le départ. Tes. ■of'rdi mes "«jvers. r m onde and. 2*J5 3,10 2,10 1,30 3#0| 1,70 4.4)0 j%2.^5 fi.50| 5.6,f 7,23 8,3») 4.10 5.35 4,70 Bruxcflds. Malines. Vilvorde Anve*. Termdnde Gaùdj*. Oslenne Courtrai "f i|j>uvain 'firlepQout Ans st-Trond. C ,80 .700 40 -5.2o 2o r.Jfû 0,20 5,75 0,00 3,75 3,60j 2i25 1.60 1,00 4,80 .3,00 10-40 6,60 11,00 ,7,25 re,20 0,50 13,30 8,.30 5 25 ÔÎ25 2,10 1 ,o0 fiÀiO 1,70 3.65 ,Ft.O 5,35 4*70 ruxelles. a ilvorde Jllahnts. j'Amjqnç. K 'I/rniunib' w t Gand. S-, Fr lises O.l Couriiai - j .ni t. in I I i'iflemdnl j*Àns St-tlolld D. g. 10,40 6,50 10.80 6,75 10,00 6,25 10,80 6,75 8.00 5,00 5,20 1,60 6,40 12,00 1*3.20 17,20 14,'jt) 3.25 1,00 4,00 7,50 8,25 10,75 9,30 w. 3,65 3,80 3,50 3 80 2.80 1,85 0.60 2,25 4.20 4,65 6,05 5,23 It. ÎE .'S, -* - - Imprimerie du Pl.GGiiA'Nlue du Temple 6.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4