EXTERIEUR.
SODTELLES D!
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Jiï -
éludes dans d'antres Villesnous devons citer
les paysages de M. Auguste Bôlim élève de
Goignet. Ce jeune artiste dont la manière est
facile, le coloris riche et chaud, a exposé plu
sieurs jolis tableaux dont le meilleur nous pa
rait être la vue d'un lac.
M. Roffiaeiï vient de nous prouver que la dis
tinction qu'il a obtenue Gand était, bien mé
ritée. Ses ouvrages sont pleins de vérité et d'ef
fet bous avons remarqué surtout le paysage
placé au fond de la salle. S'il faut en juger par
le grand nombre de curieux qui s'arrêtent de
vant ce tableau, le public est fort de notre avis.
M. Charles Carton, élève de Dyckmans, a
exposé, outre une élude d'après«OlUre, UU potit
tableau de genre et son portraft peint pOT lui-
même. Ce portrait qui est d'une *e«seiUb4aUce
parfaiteest peint avec une hardiesse «l «ne
vigueur de coloris qui fait le plus .grand hon
neur son auteur. Que M. Carton continue
l'étude d'un art où il obtient déjà de si beaux
succès qu'il étudié des maires tels que tlem-
brand, do Al d semblé affeeWônerèf particulière
ment la manière"et Oous êrOyotts pouvoir lui
prédire on avenir brillant.
Nous avons parlé déjà dans ùn de nos précé
dents tT* chî buste de M. J.-J. Lambin, "par M.
Fiers. Le même artiste a exposé son portrait fait
par lui-même et un petit groupe représentant
Mars et Vértus. Ce groupe plein de grâce est
vraiment charmant.
Parmi les bons ouvrages exposés par M. D.
Bôhm frère du peintre de portraits, la copie
d'un bas-relief nous aparu particulièrement re
marquable.
Les ouvrages de MM. Detbeke et Bouillet. élè
ves l'un et 1 autre de M. F. Bohtn annoncent
les dispositions les plus heureuses, et les succès
qu'ils viennent d'obtenir, si jeunes encore, sont
un sûr garant de ceux qui les attendent plus
tard. Nous engageons vivement les per.v, nés
qui n'ont pas visité encore le salon dèxpositibn,
profiter des derniers jours de son ouverture
Vnous espérons aussi que MM. les membres dif
conseil communal examineront avec soin les
ouvrages exposés. L'époquede la discussion du
budget approchebien des subsides seront de
mandés et cet examen les mettra même de
dofther chacun selon ses œuvres.
Ce qui s'est passé au concours général des
établissements d instruction moyenne est vrai
ment in oui. Comroent-conoevoir queles hommes
chargés de présider cette solennité de l'ensei
gnement laissent mettre entre les moins des
élèves d<"5 textes grecs, frauçais, flamands, qui
fourmillent de faufes grossières., v r
Nous avons vu avec peine que le collège
communal d'Ypres n'aitcpias été appelé pr-entir»?
part ce concours. C'était un*liujle ocow&tm
27 CoullenierJourdain négociant, Crombeke.
vens en présence d'un très grand nombre de ses
collègues i-éttttis dans le carré près du tribunal
de comRtert»^ leur déclam haute voix que
quelque lussent «es opinions politiques, dès
lors qu'il s'agissait d'instruction publique et de
venir au secours d'un établissement fréquenté
par une intéressante portion de la jeunesse il
n'était pas de sacrifice qui l'efirayâtet que si
le conseil provincial n'accordait pas le subside
de IOvODO francs, le caissier de l'Université
pouvait se présenter chez lui et qu'il lui remet
trait desuite5,000fr. et il ajouta que ion pour
rait prendre les autres 5,000 francs chez sou
collègue M. Verhaegen ainé qui l'avait auto
risé faire cette déclaration.
-» On écrit die Louvaiu
L'université Catholique a fait célébrer jeudi
dernierdans Féglwe de St-INerteun service
funèbre pour feu M. le professeur Ernst. Le
"O^psacadiéMHqileuns autorités communales
ainsi qu'un grand nombre d'étudiants et habi
tants Y ont assistéL'orchestre a exécuté la bette
messe de requiem de Gberabwii
Le beavn-père de M. fiewslqui avait assisté
au servicea été frappé d'apoplexie au sortir
de l'église.
Depuis quelques jours nous avons remarqué
la présence dans notre ville de plusieurs Domi
nicains. Le brait Court qu'ils viennent de faire
1 acquisition de la belle propriété de feu M. Mos-
selwran, comme sous le nom de -nouveau collège
penr y établir ua couvent de l'ordre de saint
Dominique.
1JSTE"DU TIRAGE DES JURÉS. - 3e TRIMESTRE i84l.
Deuxième série.
1 De Schietere IgnacenégociantKerkliove.
2 Kelelers Charles-Louis,cultivateur,Pervyse.
3 Kesleloot, Jean,membre du cons.prov.el, échev.
Tliouroul.
4 BourgeoisLéon, bourgmestreGulleghem.
5 Van Ovferschelde Pierre-Françoisnotaire,
Mouscron.
6 Vanden Peereboom-Bergman ,propriét.Ypres.
7 Colens,Albert, avoué licencié Bruges.
8 VanderHaegen Benoit, médecinAnseghem.
9 De Witle,Hubert,conseillercominunaljFurnes.
10 Goelhals, Charles avocat, Bruges.
11 Cou tleel, Charles-Leçons. com. Poperinghe.
12 De Bien François, avocat, Courlrai.
13 Bafcop,Florentin, brasseur, Vlamertinghe.
14 Stevens, Charles,conseiller communal,Thielt.
15 D'Hauw Désiréavocat, Bruges.
16 Goetbals Jean, marchand de toiles, Bruges.
17 ClialautLouis rentier-, Bruges.
18 Meergaerl, François, memb. du conseil comm.
Cortemark.
19 De Croeserchevalier vicomte, prop. Bruges.
20 CornilleCharles, rentier, Furnes.
21 Maurus, Joseph, secrél. de comm., Oostcamp.
22 Coucke Emmanuel, notaire Courtrai.
33 Descamps Constantchirurgien, Rumbeke.
2*4 PolletHenribourgin. et brasseur, Herseaux.
mières places, celles où l'on payait 5 et 10 fr.
ont été aussi victimes.
Cet accident a troublé la plus belle fêle que
l'on ait vue au Havre depuis iougtemps.
On lit dans le Mémorial Dieppois
Le Phare de\Dicppe a plusieurs fois raconté
que de malheureux étaiènt sortis de notre ville
pour aller se repaître de la chair des animaux
enfouis conformément aux régiemens de la voi
rie. Le même fait .selon lui, s'est reproduit ces
jours derniers. Une vache morte de maladie avait
été enterrée dans nos environs. Voici qu'une
troupe de femme s'achemine vers le charnier et
se met dépecer celle viande immonde. M. le
commissaire de police Rabast, informé temps,
est venu «opposer cette épouvantable ma
raude, comme il l'avait déjà fait dans les précé
dentes expéditions de cette espèce. L'acharné^
meut de ces malheureuses était tel que plu
sieurs «Tenlre elles avaient caché sous leur vê-
temeus des lambeaux de viande qu elles por
taient en ceinture. M. le commissaire de police
a été forcé de donner l'octroi une consigne
spéciale pour empêcher que cettehorriblefraude
ne pénétrât malgré lui.
La nouvelle expédition contre la Ghine est
enfin partie de ce port bien approvisionnée diar-
mes et de munitions. D'aprèsl opinion du Friand
af Iudia le plan qui a été adopté est île La na
ture la plus résolue et la plus audacieuse car
il ne s agit de rien moins que d attaquer Pékin
et de s'emparer* de cette ancienne et populeuse
capitale.
Nos 4,000 hommes detroupes anglaises, avec
wn parc suffisant d artillerie s avanceront sans
obstacle de S "embouchure du Pei-Iio jusque sous
les murs de Pékin nous n'en frisons aucun
doute mais comme Pékin est située sur une île
dont ni nos bâtiments de guerreni même nos
bâteaux vapeur ne pourront s'approcher le
bombardement doit en être fait d après un sys
tème qui n a jamais été mis en pratique contre
les villes chinoises et qui ne peut manquer de
nous coûter du monde pour peu que la popu
lation se montre hostile contre nous, ce qui (Mi
rait devoir être malgré tout ce qui a été dit au
sujet de [impopularité d'u gouvernement tar-
tare. Ce n'est pas que le peuple chinois aime ses
gouvernantstartares c'est qu'il nous hait encore
"plus qu'il ne les détestesi donc quand nos
troupes auront ouvert leur feu contre Pékin et
auront commencé renverser leurs pagodes de
porcelaines aux yeux des habitants la popula
tion se levait en fureur et se portait sur les der
rières de nos soldats, les communications pour
raient être interceptées entre nos vaisseaux àPé-
chelles et l'armée assiégeante et si le chef tar-
lare dans sa colère se décidait sacrifier Pékin
comme un second Moscou nos troupes pour
raient se trouver dans une très-fâcheuse position.
[Bombay- Titnes
Jue l'année prochaine
îhapper.
on ne*Ja1ai66dryi pas
Des personnes
remarqué
selles ont
|s de;'l ip-
^"grandour
3 Malines.^
de.
buste
arohérlèq
afemagnifique -du j>rj
.On nouXiécrit de Boesinghe:
-ifens nuit du 4 au 5 c1, un vol des plus
laeieux jx Commis en celle commune:
Aoleur<Wj^*Ai]i introduits dans la cave'du
?ur Pierre-Jean Bonté, cultivateur ep ladite
brimune, en pratiquant un trou dans le mur,
v ont enlevé une cuve contenant 250 livres
le beurre. Cette cuve était destinée I hô-
jital vil d'Y près. Jusqu'à présent, on n'a pu
|décou ,r les traces des voleurs.
Le Lynx rapporte ce qui suit
vaut que l'on ctonnûtle parti que prendrait
conseil provincial du Brabant au sujet de l'al-
fation du subside de ta somme de 10.000 fr.
'corder l'Université libre, M. l'avocat Sle-
FRANCE. - paris.
L'arrestation de M. Lenormand a été immé
diatement annoncée Toulouse par le télégra-
,jjfhe. léEmah$ijti&fon en donne lanouvelle dam»
f 1 Bourguion, François fabricant, Bruges. f son iMjœéfctxdu 30.
2 ClaerhoudtHenrinotaire id. Oif"
,28 Lel'evreCharles,-cultivateur., Bavichoye.
29 Vauden Itulcke, François, receveur communal,
Ingelmunsler.
k3o Matou-Verganvren propriétaire, Ypres.
JURÉS SUPPLÉMENTAIRES.
3 Norrv Jpanaubergiste
4 ""Pieters Lievin chirurgien
t dans,le Journal du Loiret
sur le rond-point qui est
l'entrïe aie notre po^t, deux petites fiUes, âgées
frucfe.de onze anç etitfemi „l'autre de dix ans
u r'a "u
le 1er août, a étéTRarquee par
aurait pu avoir les suites funes
Au moment de la distribution des prix et
quand le nom de Mazerat, pilote du Havre, était puélexte de tenir ïe "cheval
applaudi, un des gardiens que administration terait sur la route. Cette
1 si 1 .s t G-, l 41 /\*r VI 1 <*I s H-rt lZI O/l
etàient'occ
avait, a létir
accostées |Kr «n i
revenait du n^ri
petites ftîles de
des enfants qu'on
N lorsqu'elle^ fuient
de la campagne qui
«individu jjroiposa ces
dans sa Mpilurcsous
t qu'il s'arrê-
on était ac-
is qui, avec
.ri
des bainsFrascati avait fait élever, j'es^afi&wsë^ conij^gnée d'une offi%de
avec fracas et confusion, et plus de s'x 'a perspective d'une pro|ns«il®'en voiture, «é-
personnes.sont totnbées d'une hauteur plus ou dUjsil probablement les'deux pauvres petites
moins considérable la plupart blessas griève- -car elles Stem pressèrent de conduire les enfants
ment une jeune dame a eu iajafabe cassée àjeurs parents et de revepif trouver cet homme,
ptusieurs familles anglaises qui avaient les pre- qi^partit en effet avec elles.
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