vente piracttoivs. GRAND TIR A LA PERCHE, A RENINGHE. t TIRAGE PUBLIC LE 19 SEPTEMBRE 1841 D'UN SUPERBE TILBURY NEUF, A LOUER ffiATTÉAUX k ¥Â[PHym 1 'ur Ostende.h. 30 m. D'OSTENDE 6 h. 30 m. du matin, pour Les nouvelles de Beyrouth venues par l'Allemagne vont jusqu'au 8 juillet. Les chefs du Liban disent ces correspondances, ne veu lent plus même payer les 3,500 bourses qu ils avaient offertes. Ils ont fait avancer leurs trou pes jusqu une faible distance de Jérusalem, dont ils paraissent vouloir s'emparer. Il fau drait 50,000 hommes aux Turcs pour dompter ce pays. Les montagnards.,fiu surplus, ne voient Sjère les Anglaisde meilleur œil que lesTurcs. n parlait Saint Jean-d'Acre de mettre une garnison anglaise au montCarmel, mais les An glais ont renoncé ce projet. VARIÉTÉS. RÉCEPTION D'UN DOCTEUR EN théologie. 1 e Journal des Petite» Affiche* de Louvain, fait un récit de la promotion de il/. K. au grade de docteur in droit canon. C'est un morceau admirable de style et de pensée, qui est destiné prendre place dans le Cours de littérature de No'él et Deluplace. Si nou^avions pu prévoir une description la foisaussi élégante, nous nous serions abstenu de traiter ce su jet. Nous voulons cependant faire jouir nos abon nés d'une analyse de ce morceau littéraire, tout en regrettant de ne pouvoir le transcrire en entier car tout y est beau et l'on peut dire avec justice que la péroraison est digne de l'exorde. Déjà dimanche soir le carillon et les cloche* de* église* se sont mise* en branle pas les églises elles mêmesles cloches seulement tous les cou vent* toutes les communautés ont fait de même. C'était un magnifique concert aérien, un hymne grave et sdnore de la veille du grand jour. - Oui; c'était un hymne grave que d'entendre les clochettes et les tou relles répondre aux sonneries des églises Oui, c é- tait un concert aérien de la veille du grand jour, qui avait lieu le lendemain. Le lendemain c'était un lundi, jour de marché comme aux jours de grandes réjouissances, les pay-» sannes portaient du fromage et'des œufs et les pay sans allaient vendre leurs veaux. Les rues de Namur et de St. Michel étaient ornées d'arbres verts, d'ar bres très-verts. Le collège du Saint-Esprit était pa voisé absolument comme un vaisseau de ligue d'inscriptions et chronogrammes et... d ornements de toutgenre ceci laisse penser Ver* dix heures, le corps des pompiers est entré dans la cour du.... Saint- Esprit avec ses tambours mais sans ses pompes. Les professeurs de l'université s'étaient réunis, et avaient pris leur costume solennel car ils en ont deux un qui est très-solennel, et l'autre qui ne l'est pas du tout. Ils étaient précédés d'un double rang de gen darmes (comme les rois constitutionnels ou les pau-. vres diables qui fonldesemprunts forcés). Le journal continue énumérer les grands per sonnages qui formaient la chaîne du cortège qui se *rendit entre une double haie de pompiers jusqu'au grand auditoiresalle immense disposée en amphi théâtre et en hém et, éclairée au gaz. A l'arri vée du cortège cette salle était déjà envahie par dt iiombrenm écclésiasliyues, mais aussi par tes persan—' nés les plus distinguées ds la. vill», parmi lesquelles on remarquait les rédacteurs, les éditeurs, les.impi'f- jg meurs, les correcteurs çt les porteurs dés Petites piffiches et beaucoup de dames et d'étrangers jçccçgi-' - p J - 14 r o *j Y 1 - - moyen d'émulationune honorable récompenseun usage consacré par les années, gui n'a rien perdu de son utilité ni de sa dignité Autrefois la dignité doc torale était requise pour occuper les postes les plus importants de l'administrationecclésiastique il ti'y a point de doute que nos premiers paf leurs ne ré-, tablissent cet usage, dès que les circonstances le per mettront. Tel fut peu près le thème de M. le recteur de l'université L'auditoire (du collège philosophique prenait le plus vif intérêt au discours. Les applaudissements furent unanimes LORSQUE M. LE RECTEUR QUITTA LA TRIBUNE ET PERMIT A L'ORCHESTRE D'EXÉCUTER UNE SYMPHONIE. Ici le rédacteur énumère très au long le cérémo nial de la promotion, dont nos abonnés ont lu le dé tail dans notre numéro précédent; puis il termine par quelques détails intéressants, dont nous avons pu leur faire part A deux heures il y eut dîner chez M. le recteur. A la fin du repas, M. le recteur porta un toast au nouveau docteur qui fut applaudi et aussitôt quelques convives entonnèrent une chflnson faite pour la cir constance sur un air fort connu qui excita l'hilarité de l'assemblée. Ensuite Aon Éminence porta un toast sa sainteté Grégoire XVIM. Iévêque de Namur M. F évêque de LiègeM. le recteur au bourgmes tre le bourgmestre l'université plusieurs convi ves portèrent ensuite des toasts le recteurla faculté de théologie, M. le pléban, la mère et la famille du nouveau docteur, M. le vice-recteur, Mgr. Corselis M. Vanderlindenetc., etc., etc. On ne saurait décrire l'effet que celte solennité a pro duit sur tous les assistants. Soyez tranquille, M. le rédacteur des Petites Affi ches, tous vos lecteurs, et tous ceux qui auront lu la présente analyse, se rendront parfaitement compte de l'effet produit sur les assistants par cette solennité pocula ebriant, dit Hippocrate), et ils vous sauront gré, comme moi, de votre intéressante communica tion. {Journal de Louvain.) LE SUFFRAGE UNIVERSEL MIS EN PRATIQUE. Un électeur de Salford partisan du suffrage uni versel, vient d'employer un moyen aussi ingénieux que nohveau pour appliquer ses principes politiques. Considérantqueson voledevaitreprésenter l'opinion générale du district, il afficha, sur la devanture de sa boutique, l'avis suivant: Tous les habilans de ce district exclus par la loi du droit de voter, sont engagés vouloir bien me faire connaître quel est celui des deux candidats, Garnett ou Brotherton, auquel je dois donifer ma voix. Cet avis ayant at tiré dans son magasin un grand nombre d'individus, il leur présenta un régistre sur lequel il devait ins crire leur nomleur adresse, et le nom du candi-* dat de leur choix. Ce poil resta ouvert jusqu'à ltf veille des élections, et son résultat a été publié dans les termes suivants par ce digne citoyen M'ont engagé voter pour Brotherton. ibq pour Garnett 123 Majorité pour Brotherton34 En conséquence je volerai demain pour Brotherton. {Manchester Guardian.) de 5, lO, 20, 2.1, 3o, 35 lieues, etiuême«éjpuins AT. T.. loin. Pendant que N&s Seignéurs le* éi corps académique prertfneut place an fond e t une cacei/Ue réseloeê une très-belle t^usiqiie Une personne connaissant parfaitement le fran- le symphonie ftfretiudait ah d o»ui:sde çaig et le flamarjd, ayant été attachée une maison aucurie'aTialysg ne peut reàôfhrfer le J> cteur remarqua-(Pctboiàt que lesiivsi- loclbrat ne sont .jBKRTB LA FOURRAGENT LE CROI RENDES VAINS iO SANS ORJ(.;tS. ET SA}.'* 4 îmerce --"P" m3à U- .'g i.vty PERÏ* T3|OUVEB US?E inistfation civile ou dans une de commerce. 11 donnerait sur sa conduite les meilleurs renseignements. S'adresser pour informations au bureau de cette feuille, sous les initiales C. B. EN L'HOTEL DU PARNASSE, A YPRES. A DEUX CAISSES ET A SOUFFLETS, provenant de la meilleure manufacture de gand Cette magnifique voiture de la valeur de 1000 fr. a été remportée le 3 août dr au carrousel d'Ypres. 11 y aux-a 120 actions prix d'une action, 10 fr. Le gagnant devra reproduire son billet d'action. S adresser chez M. 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Les faveurs ruraux se mettent (rrivég wu ediùrler du matin. a$eurs. j; 7.'h. du matin, pour Gand, efà'2 it. 30 m. de i levée, pour Ostende. |;d, pr Ostortde, Btuxelle^ h. 50 m. de relevée, pour Gond, Courtrai, Brux- m.^.du matin, elles, AnversTirlirnont. A 6 h. 45 m. du soir Am rs. A 1 h. i m, de pQur Qand, A 8 h. 10 m. dusoir, pr T. BruxellesAn ve rsTirlemt n t; 1 G and, Bruxelles coïncidences Malines, pour rv, Anvers, LièueA1 Trond coïncidence G and ^our OstendeJ 6 uei h I Garni p' Courtrai 9 30 Cor t,-A. A 9 b. 45 m. du m. P pour Anvers Liège 8S ip°ur Gand, Bruxelles Anvers. A 4 h. de rel. |f»« fr/15 m. du màtitt pour Gondpour Gand, Courts ai', BruxellesAnvers Tirle- Ostende* fcAïJt.du maljn, pou Bruxelles. Vilvorde Malines1 Anvers. Termoude Gand. Bruges OslWtlë louvain Tirlemont I Ans St-Trorid Arrivées. le matin. Entre 8 et 9 heures de Bruxelles, de Bruges, de Meuin et de toutes les villes de la Bel gique et de l'Étranger. l'après-midi. De 2 3 heures: de Bruges, de Courtrai et du Hainaut. en route, une demi-heure après Les heures de passage n'é- taut qu'approximatives, les voyageurs doivent se trouver la station avant celles ûxées gpur le départ. •■Brusellê». J iiibrrfe .AlaÙÀce. i iVnv.rs 1 'ferSioude a» ûand.;î_iB t Brugc, .Co'n trai Louvain •Tulemoiil Ans ST-Trond. D. C. 10.40 10 80 10,00 10,80 8.00 -5,20 S 1,60 0,40 12,00 13,20 17,20 14,00 6,50 6,75 6,25 6,75 5,00 3,25 1,00 4,00 7,50 8,25 10,75 0,30 W. 3,65 3,80 3,50 5 80 2.8o 1,85 0,6o 2.25 4,2o 4,65 6,05 5,23 OGRÈS, hie du Ttmjile, 5. .1 >4*

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4