NOUVELLES DIVERSES"
EXTjElllEIR.
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membre de la commission du musée de l'industrie,
ancien ministre des finances, etc.
Bi abant-Lemielle, membre de la commission du
musée de l'industrie, etc., Namur;
Cauchy, ingénieur des mines A Nam or, président
de la commission provinciale de l'exposition;
Claes, bourgmestre de Lembecq, membre du con
seil provincial et de la commission d'agriculture du
Brabant
De Ba.st de Hert, administrateur de la société du
Phteoix Garnimembre de la commission du mu
sée de l'industrie
Derole, chef de la division de l'industrie an minis
tère de l'intérieur
Doucet, échevin de la ville de Bruxelles, membre
de la commission directrice de l'exposition;
De Hempline, membre de la commission direc
trice de l'exposition;
DehoniR-Denet, Bruges, membre de la commis
sion provinciale de l'exposition;
Le baron Évairi, lieutenant—généralmembre de
la commission du musée de l'industrie, ancien mi
nistre de la guerre, etc.
Froid rnotid, ancien président de la commission du
musée des arts, Conseiller communal Bruxelles;
Frison, président de la chambre de commerce
Charleroi, membre delà commission de l'exposition
pour lu province du llainaut;
Gachard, archiviste-général du royaume, membre
secrétaire de la commission directrice de l'exposi
tion, rapporteur-général de l'exposition de ib35;
J. Geefs, statuaire, Bruxelles
Gilson, président de la chambre de commerce
Tournaimembre de la commission provinciale de
l'exposition
Grenier-Lefebvre, négociant Gand;
Guillerv, professeur de chimie et de physique
Bruxelles, membre ducomilé consultatif pour les
affaires industrielles;
Le comte J.-B. d'Hane de Potter, sénateur, prési-
dent de la commission d'enquête linière, membre de
la commission royale d'agriculture, etc.
Houtnrt-Cossé, fabricant, Haitie-S'-Pierre, di
recteur de la verrerie de Marimont;
Le baron d'Huavt, présidentde la commission pro
vinciale de l'exposition et de la commission d'agri
culture pour la province de Luxembourg;
Jobard, directeur du musée de l'industrie;
Jules Kiudt, inspecteur attachéau département de
l'intérieur pour les affaires industriellesmembre
de la commission du musée de l'industrie;
Kums, fabricant Anvers
Letoretmembre de la chambre de commerce
Mons, secrétaire île la commission provinciale de
l'exposition
Lesoînne, professeur de métallurgie l'Université
de Liège
Lousberg, père, fabricant Mali nés;
Orban père, président de la chambre de com
merce de Liège et de la commission provinciale de
l'exposition;
Le major baron de Pellaertmembre de la com
mission administrative du Conservatoire de musique
de Bruxelles;
Emile Raimbeaux, président de la commission,.^
l'exposition pour la province du Haifiaut,. membre
de la commission du musée de rimliîstVîe;
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Regnier-Poncelet, membre de la commission a4*
ministralive du musée de l'industrie et de ja cimi-
d'agricullnro el de-commercemembre de la cham
bre des représentants.
Art. 4. En exécution des art. 7 et 8 de notre ar
rêté du 28 lévrier 1840, le jury désignera notre
ministre de l'intérieur les art isles et industriels qui,
par des inventions ou des procédés qui ne sont point
de nature être exposés, auraient contribué au pro
grès del'industrieou de l'agriculture, et il proposera
les récompenses dont ils paraîtraient dignes. A cet
effet, les avis et les renseignements donnés par les
gouverneurs des provinces, en conformité de l'art. 8
seront communiqués au jury.
Art. 5. Le rapport d«i jury sera imprimé. Un ex
emplaire sera remis chacun «les fabricants, artistes
et arlisants qui y seront mentionnés avec distinc
tion.Des exemplaires seront adressées aux chambres
de commerce ainsi qu'aux légations et aux consuls
de Belgique et des états étrangers.
Art. 6. Une indemnité de voyage et de séjour ré
gler par notre ministre de l'intérieur sera allouée
ceux des membres du jury qui seront daus le cas de
se déplacer pour accomplir la mission.
Un fait assez curieux et qui mérite d'être rap
porté, s'est passé aujourd liui1-5 août, l'au
dience du conseil de guerre du Brabant, pré
sidé par le major Vander Burgh. Le nommé
Rotaert, milicien en congé illimité, comparais
sait sous la prévention d offenses par paroles et
gestes envers Jean-François Verheyden bourg
mestre de la commune de Londerzeel. Plusieurs
témoins ont été entendus et, de leur déposition,
il est résulté que le prévenu, dont la bonne con
duite était attestée par lescei tificàts les plus fa
vorables, loin d'insulter le bourgmestreavait
étéde la part de ce dernier, en bulle d'ex
trêmes violences, que le bourgmestre l'avait
saisi la gorge I avait garollé et l'avait fait in
carcérer dans la cave d'un cabaret où il est resté
pendant deux jours sans être entendu.
Les débats ont aussi établi et ceci est assez
piquant.) que le bourgmestre est entièrement
illettré et s était, par suitetrouvé dans l'im
possibilité de dresser procès-verbal qu il avait
du cet effet, recourir I intervention du se
crétaire d'une commune étrangère.
Cette dernière circonstance a excité une hi
larité générale él chacun s est demandé com
ment il pouvait se faire que pareil homme se
trouvât la tète de l'administration d'une com
mune de cinq mille âmes.
En présence de ces faits l'auditeur militaire
Bourdeau étrangement étonné de la tournure
qu'avaient prise les débals, a déclaré abandon
ner l'accusation.
Les avocats Defrenne et Scholaert ont dit quel
ques mots, non pas pour défendre I inculpé, mais
pour flétrir la conduite du bourgmestre de Lon
derzeel. Ils ont de plus, déclaré faire toutes
réserves du chef des poursuites exercer contre
le bourgmestre pour dénonciation calomnieuse.
Le conseil de guerre après une courte dç)li
bération a déclaré I inculpé entièrement inno-
ceqt et l a renvoyédésfinsde la plainte. Courr
mission provinciale de ^exposition, Liège;,
Schumacher, conseiller pro.yitid:ib,rfneiiibre rlîj
ellefrapéîwi- président «Au
uxe'lbêï; v f
conseil communal deBruxellegi-
tribunal de commerce Bi
Le baron deSlassart, membre du*sénat,,
du jury de l'exposition*ett*V> lr>
Vanderstraetenarcbiîeote", mg
provincial du Brâbaut etde la cor
de l'exposition
"Verrue-Lafranc, fabrî.car
sentant
Le colonel .Witlert,-dira
d'artnes Liège -. v
Le baron de Woelnipr
sion de l'exposition dans]
membre de I 1 coi -j
Zoude, pfêsidenL
le ^commis—
Fde Limbourg et
Fhlture;
Jnission d'industrie,
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FRANCE/- pvitis.
•X OtlfcS^it qu'en France I mslruction n'est pas
«libre encore' et que lés mai«s d'écoles et iiîsli-
tqt^urs doivent obtenir de 1 université des cer-
capacité ht de moralité avant dèpou-
nt de décider que si
■xamens
- whr „ieux v tf ne peut'
y joindre lU !ui Ue la le» Ae, de l'écriture de
la langue française, elci
L'arrêt se fonde sur ce que les dispositions
des articles-5, 6 de la loi du 211 juin 1833
SopFgénérales fil absolues et comprennent les
miHnstre's dt* culte comme les autres classes de
^citoyens
Sur cÊ que les épreuves spéciales qu'ils ont
subies aVaiilVl&ir admission 1 exercice de leurs
fonctions religieuses ne sauraient les dispenser
des épreuves d'une autre nature imposées aux
citoyens qui veulent se livrer l'enseignement
primaire.
Les députés de la droite et de la gauche
viennent de prendre une résolution qui les ho
nore. lis ont décidé qu'ils se réuniront pour pro
tester en commun contre le poursuites qui sont
exercées envers M. Ledru-Rollin.
Cette persécution inouie ne pouvait passer
comme une de ces brutalités vulgaires auxquel-
le pouvoir s'abandonne si facilement.
La cause de M. Ledru-Rollin ne lui est point
personnelle elle intéresse la dignité du candidat,
I indépendance du député la liberté des collè
ges, la souveraineté du corps électoral tout en
tier.
Le procès intenté par la cour royale d'Angers
s'attaque ce qu'il y a de plusessentieLdeplus
vital dans nos institutions. C'est line des plus
audacieuses atteintes portées ce principe élec
tif qu'on a trouvé bon pour faire un roi qu'on
veut réduire aux proportions les plus faibles au
jourd'hui qu'il s'agit de l'élection d un homme
de cœur et de talent.
ANGLETERRE.
On écrit de Londres, 16 août
Un grand nombre de membres des deux cham
bres du parlement sont arrivés Londres..
On lit dans le Globe
Comme dans la situation actuelle de S. M. tout
ce qui donne de l'anxiété ou de la fatigue peut
devenir nuisible, nous apprenons que M. le doc
teur Lecocka interposé son veto, et que le nou
veau parlement sera ouvert par commission au
lieu de par S. M. en personne.
Le Mornîrig Chronicle publie une lettre
de Macao 27 avril, donnant des nouvelles pos
térieures d'un mois celles reçues en dernier
lieu de la Chine.
Le gouvernement chinois a violé l'arrange
ment conclu avec le capitaine Elliot pour réta
blir le commerce avec les Anglais. Le 17, un
édil delempereur, conçu dans les termes les,plus
virulents, a ordonné toutes les autorités ci
viles et militaires de la province de Canton de
détruire tous les thés, rhubarbes et antres arti
cles nécessaires aux Anglais. On s'y conforme
rigoureusement la moitié de la récolte du thé
est déjà détruite, et la destruction continue. On
promet dans cet édit des indemnités ceux au
préjudice desquels celte destruction a lieu et
des récompences ceux qui découvrent les re-
céJeurs. Toute relation politique avec las Anglais
est interdite et les commissaires nommés en
dernier lieu ont l'ordre de se retirer.
Un grand nombre de brûlots et de radeaux
ont-été envoyés au bas de la rivière parmi les
.vaisseaux étrangers. Plusieurs bâtimensel leurs
Cargaisons ont été maltraité», mais aucun n'a été
fond.
Wre commandant délibère sur l'opporluniu
djpivfànnér que les y aisseaux se retirent en deçà
du second'barrage.
bi uit-'cqûrait A Londres qu'une flotte
de irvaissèatij. vie guerre allait être 1
!ese.i)tas dftiiËtafe-Uiii.s. Le M or nin
annonçait çefle nouvelle* ajoute
Le but de celte,expédition est.
recevoir M Fox/ en ctfs ijji; refus de M
tju'il É^tifc'chaf^é de réclamer uni
fois. Le représentât ît de. I*À n jj^le te m
obligé de quiîltjr "Washington, cîfl
adopterait ensuite les mesures qu c"
indispensables l'honneur de la couroaiïël
gleleri e,si indignement oulçagée en la perso?
d Alexandre Mac-Lêod.
Il est certain que l'état de nos relatior.1
avec l'Amérique est loin d être satisfaisant,
que l'on peut, d'un moment l'autre, s'atten
dre voir la guerre éclater. L'Angleterre par
de nombreux actes de condescendance, a prouvé
déjà qu'elle ne voulait pas rompre avec les El.
-, .A-.
«11 lui reste d^^rer quelle q a»
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