FRANCE. - paris. HOLLANDE. pfcur autant que les officiers inspecteurs le ju geront convenir. On écrit des environs de Charleroi, Y Ami de l'ordre, de Namur: Un curé avait invité l'instituteur communal qui 'est en même temps clerc-laïque de l'église avec ses élèves afin que M. le doyen qui en de vait faire h» visite, put les interroger. Voici ce que l'administration communale a écrit l'in stituteur Monsieur, nous avons hier été surpris d'en tendre publier au prône, l'invitation donnée instituteur primaire et autres en cette co?n- mune, de conduire demain 5 du présent mois, leurs élèves un examen que doivent venir Faire les membres du clergé. Mous ne connaissons pas ces messieurs aucun pouvoir de venir s immiscer daçs l'instruction primaire et com munale. dont la surveillance appartient seule l'autorité locale. Si c'est pour connaître la ca pacité dés eufants qui se préparent faire leur première communion point de doute que ces derniers peuvent y être envoyés: mais quant aux autres, rien rie les obligea répondre cette invitation, et nous vous l'interdisons sous peine de destitution pour votre classe entière, laquelle doit être tenue jusqu'aux heures ordinaires et accoutumées. EXTÉRIEUR. Deux des créanciers du jeune baron d'Est ont découvert sa retraite Bruxelles. Il s'est mis leur disposition en leur déclarant qu'il ne lui restait plus rien dont il pût disposer en leur faveur. Mous avions raison de dire hier (7) que le ÔuverhenrWÎt avait reçu par nouvelle télégra- f i. g™ I 'plïk|uelèsdélailssur Pampelune qu i! n a publiés qifê Vingt-quâtreMfeiiires apjès scjjus la forme de imuveflè/diverses: l^jourrfofix de Bordeaux qui parviennent ce malin donnent la dépêche télé graphique en ajoutant ceg-paroles remarquables: «Te général Ô'DonnëlLèi levé l'étendard contre Esparlero et il marche'hrr, Madrid avec l ifi lent ion de rétablir l'autorité de la Veine Marie- Christine, n Mous répétons de nouveau qu'iL y a un mois le général O'Donnell était ici avec Martinez de la llosa et Toreno. Les conseillers sont restés Paris, l'homme d'exécution est Pampelyne. Gazette de France.) Un lit dans le National If 'paraît çertain que le ministère a laissé parfir O'Donnell sachant pourquoi.il partait. ^rrivé BdFdeauxcet officier a oslen^ihle- inei^i embauché des recrues, qu'il a emmenées avec kp. A BayqpAe, il a encore enrôlé plusieurs officiers et soldats. Depuis son entrée en Espagne, les enrôlérhens ont continué en son nom dan^ces deux villes, Aujourd'hui encôre, un certain nottibre cî'horn- mes sont prêts partir, et le seul motif qui ait suspendu leur départ, c'est qu'ils veulent être payés toute de suite, et que les agens espagnols ne veulent rien donner que sur le territoire espagnol. A Perpignan on embauche avec activité comme Bordeaux et Bayonne. Dans un seul joursoixante futurs insurgés ont passé la frontière. Enfin un dépôt d'armes et de munitions est établi sur le territoire français dans la commune de St. Laurent de Cerdan. Le gouvernement français n'ignore aucune de ces manœuvres qui sont tenues très-peu se crètes il sait comment et par qui se font les eurôlemens par quels points de là frontière entrent les rebelles; où se trouvent les dépôts d'armeset il laisse faire. Voici les nouvelles arrivées aujourd'hui d'Espagne par le télégraphe Bayonne, 8 octobre. Le général commandant la 20e division mili taire M. le ministre de la guerre. Dans la journée du 5, O'Donnell ayant reçu un bataillon «le renfort, la ville a été sommée de se rendre. Ribeiro a refusé, et la citadelle a ouvert le feu. On entendait encore le bruit du canonla nuit. La brigade Concha Trafalla s'est pro noncée pour Espartero. Le nombre des individus qui ont été en rôlés dans la journée d'hier pour la Reine Ma rie-Christine dans les communes de Chaillot et de Passv st'élavait -400. On lit daris le Mémorial bordelais du 8 Le courrier de'Mâdrid du n'est point arrivé Bayopne, il a du s'arrêter en Castille en-'ap prenant la défection pàr'telle du général Piquero qui commandait ViUofia dont nous avons déjà parlé hier. Un courrier de l'ambassade anglaise parti le 3 de Madrid est arrivé en France sans difficultés, ayant laissé celte capitale dans la plus parfaite tranquillité, dit-on. Les généraux Rivero et Alcala sont toujours la tête de leurs troupes, l'un en Navarre, l'au tre enGuipuzcoa, tenant en échec les populations les plus rebelles, en attendant les ordres du régént. Saint-Sébastien est gardé par la milice natio nale, qui reste fidèle au gouvernement établi et il paraît que partout la bourgeoisie refuse de se compromettre. On lit dans l'Indicateur, journal de Bor deaux. 4 On éeéit de' Ba^okne le 5 au matin Bilbao s'est déclaré.eiifavçur de la Reine Christine. La populaliqp, la garde natiopale et la garnison forte «le i;fiOà ho m riVes, se sont unanimement prononcés. Le commandant "de la province Sanla-Cruz seul a refusé.?. On écrit de La Ilaye 9 octobre Avant-hier au soir, sept heures, la seconde chambre a repris la discussion des projets de lois du budget; l'appel nominal sur le projet de loi qui constitue le premier chapitre du budget, la Maison du Roia amené l'adoption de ce projet la majorité de 38 voix contre 14. Ce matinon a continué la discussion des différens chapitres. Le 2e chapitre, les hauts collèges de l'état et le cabinet du roi. a été adopté la majorité de 22 voix contre 21. Le 3e chapitre le département des affaires étrangèresa été rejeté par 30 voix contre 24. Le 4e chapitrele département de la justice, a été adopté la majorité de 37 voix contre 17. Dans la séance du soir, du 8 octobre, le 6e chapitre, le département des affaires du culte réformé, etc., a été adopté l'unanimité moins une voix. Le 7e chapitre le département du culte catho lique a été également adopté l'unanimité moins une voix. Dans la séance du 9 octobrele 8e chapitre, le départmnent de la mavine et des coloniesa été adopté la majorité de 44 voix contre 3 plusieurs membres n'étant pas encore présens. Le 9e chapitre le département des finances a été adopté par 34 voix contre 18. Au moment de mettre sous presse, on discu tait le 10e chapitre, le département delà guerre. ANGLETERRE. On écrit de Londres7 Octobre Le parlement a été prorogé aujourd'hui par une commission en conséquenceil y avait absence de cérémonial. Les commissaires ont pris place sur les sièges au pied du trône dans la chambre des lords la présence de la cham bre des communes a été requise comme toujours, par l'huissier de la verge noire. Plusieurs mem bres précédés du speaber (président), se sont rendus cette invitation. Le lord chancelier a alors donné lecture du discours suivant Milords et Messieurs, nous avons ordre de la reine de vous informer qu'il paraît convena ble S. M. de clore la présente session du par lement. Conformément l'avis de son parlement et en conséquence de l'intention manifestée de S. M., la reine a pris les mesures voulues pour la formation d'une nouvelle administration et les dispositions dans ce but ont été complétées par S. M. Messieurs de la chambre des communes, S. M. nous ordonne de vous remercier des subsides que vous lui avez accordés pour les branches du service publicauxquelles il n'avait pas été pourvu complètement, par l'ancien parlement. Milords et messieurs, les mesures qu'il conviendra d'adopter, dans le but d'amener inspiraieitt le respect ils étaient plates pçhjtiVne fontajpe. A côté d'un bassin en marbre rouge »Vlevait àd(iiik<ny-iUu>n>b3é'^iMi^s{i#» de uO> élagéife (feux igér :ts froids. Né de la forme de lis rempli M «XiAfefmfc» t égard Y1'1 bôrttaà -■ te tew |E nia r- propéen^çout l'un attaché au La2aieth eu qualité d'iu- iaut italien établi depuis quarante aus ut ichi par le commeice d'esclaves l épo- ela piraterie. 5 se tenaient les jambes croisées suivant l'usage ni constamment l'Aràet. iNous primes place e'négresse nous présenta une pipe, car l'on fume tô'u- Ftbaqu e repas. Nous mangeâmes bientôt des pâtisseries, Fis délicieux, et de ces gâteaux de miel dont mon compagnon iç'av^lj ,|rfé^précédemment. la cuisit; ^k|le des Arabes est excel lente; Bon trônye dans peu de paysautamjP bons fruits qu'à Alger et les imli. jènes savent les préparer de manière réhausser ençote I leur savckr naturelle. L'on nous offrit pour boisson de l'hydromel r mêlé de 1 eau de foutaiue, ce breuvage avait un très-bop-goût gens habi- ;iuen,t. eu le îrah^pèré dé fa fïanct^: ret se di^inguai^de FflKBeâliÉÉâÉÉ^HeiÉi trt ^nqtis beaucoup plus qu'on ne une'tVp**»- tiielh uietil vibres. iVn.h.n* le n plu-S jfe'de gbûfjft dë foi*fe.sqilaT, ér que UH.I1 une tles habitation* VcS plus spacien celleVqui rénlourenl par ÀouVxléil&pr' d^fégance et de propreté» f< I«es murs du vestibule ci de la e o ui 11 lé ri c u r è*1 e l aTen I recot i V e^ts de porcelaines peintes et présentaient un aspect des plus agréftblçs. Loj^ alléeâ étaient couvertes de tapis; les murailles décorées de fleurs et d'oliviers, en honneur de la fêle que Ton célébrait. Wt~' 1 Plusieurs vases d'argent remplis d'essences précieuses se trQo?"*,a sur la table du festin, et répandaient un doux parfum de tempêt ait la mauvaise odeur occasionnée par la fumée de t( pes de tabac car l'on fumait après avoir goûté du contcn que plat. La musique sauvage dont lés sous bruyants avait pendant tout le repas, cessa de se faire entendre lorsque l café. Une danseuse maure; sans Voilese présenta devant la noce, ef confa une histoire tirée d'un roman d'amour ar.» entremêlait son récit de différentes pantomimes. Un maure jd la cilare, et chantait un air dont la mélodie bizarre sert ord ment d'accompagnement aux danses des femmes. Les invités pensèrent la danseuse eu lui donnant des petites pièces de m, d'argent qu'ils attachèrent sur son visage avec leur salive. Qu 0 «uaW.uicui sur son visage avec içur salive. Ouï dun»rlu51t-'uls I"*™-, cu'ivifes nuugaieat trc»4eu- r fut entièrement couvert, la danseuse secoua la tête dans il blier, et re/nit la monnaie qui en tomba au père de la fiancéecom me cadeau de noce des invités. Cet usage est généralement suivi dans tout l'orient. - Les maures semblaient prendre grand plaisir aux gestes voluptueux "qui a^^Étoagnaienfla dauàe; cette pantomime aurait inspiré unique- meu^y ulgd aux européens; uYt .it uu tableau fidèle d'amours oîscèjies .sajas^busie, s»ué .JJ*dcur, sans ces poses gracieuses où une .iloi.'c et aipourcuse prêtent un charme si puissant au fau- uer qu. oes danseuses d'Algerne nent une classé ties-méprisée et «rentes emanda mou a-t-il en iWiidi- ar un rideau rouge, d auseut'auseql et dans cette toile. i même avan- cette inaÙHin prnure charmant ir visageétait d5->' ut sur leurs épaules. L'une

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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 2