PROPRIÉTÉ, MAISON DE CAMPAGNEETANG, JARDINS FERME A MOUTONS, Jardin fruitier en plein rapport, entouré de murailles. DISTILLERIE, MOULIN, OEUVRES DE BUFFON, BLE DU TEMPLE, 6, A TPRES. niSTOIRE CRIMINELLE T L'ENCYCLOPÉDIE MODERNE ou BIBLIOTHÈQUE^ D8 CONVERSATION. X *4 On écrit de Sarragosse du 7 que le 2e régi ment de la garde royale qui s'était prononcé contre le gouvernement a fait sa soumission. Beaucoup de soldats sont revenus et le reste a traité sans effusion de sang. Le général Espelata était allé chercher Faustele seul bataillon qui manquait. Le général dop Cayotano Borso di Carminali, qui s'était mis la'têle do'la révolte ,.a été arrêté par des gardes nationaux et conduit de Malien Borja. Le uhef politique de la province de Sarragosse a fait publier une proclamation annonçant aux habilaws que les autorités veillent leur sûreté et qu'un châtiment éclatant sera infligé la ■.'"rébellion. ÇCorr V Le gouvernement français publie la dépèche suivante, datée de Madrid 8 octobre et par venue dans la journée par le télégraphe Le chargé d'affaires de France M. le ministre des affaires étrangères. Une tentative de soulèvementqui se liait, dit-on, un projet d'enlèvement de la reine et de l'infante a eu lieu ici dans la nuit d'hier la destitution de 88 officiers de la garde et le projet attribué au gouvernement de désarmer cettegarde en ont été l'occasion. Le combat s'est engagé au palais entre la garde et les hallebar- soutenus de quelques bataillons de la garnison, diers L'avantage est resté au gouvernement. La reine et l'infante se portent bien. On lit dans le Courrier Français s Nous apprenons ce soir qu'un courrier extraordinaire qui vient d'Espagne et qui n'a fait que traverser Parisa rapporté que Sara gosse et Logrono s'étaient prononcées ouver tement pour Esparlero. La Sentinelle des Pyrénées du 9 contient ce qui suit A la date du 4 au soir, Burgos n'avait point fait de mouvement. La population était calme; "elle attendait seulement avec impatience des nouvelles de-Madrid; on- craignait que des troubles ne vinssent y'éclater. Nous recevons liife lettre dê,Saint Jean- Pied de Port en date 4U 7/f^IIe nous annonce que 59 coups dç canon ont été tirés sur Pampe- lune par les insurgés de ht^itadelle, mais que ce feu y a très-peu fait de irial, que plusieurs Forces de Ribero. 2 bataillons complets de Gironne. 2 idem de Saragosse. 1 idem d'Estramadure. Le régiment de cavalerie du prince l'ex ception de la compagnie de tirailleurs. -On écrit du Madrid du 8 octobre A 8 heures et demie du soir. Une agitation extraordinaire règne dans la ville de toutes parts on bat le rappel. Celte alarme imprévue met- tous les quartiers en émoi: bientôt le bruit se répand que la gajde royale, de service au palaisa fait une démonstration en faveur de la régente Marie-Christine. Tous les cafés sont fermés; le temps est affreux, quelques maisons voisines du palais se sont empressées d illuminer leurs fenêtres. Cet exemple se propage des coups de feu se font entendre dans la direction du palaisla fusil lade se prolongeAu bruit de la mousque- terie succède un profond silence. On n'entend plus que les pas des patrouilles qui sillonnent tous les quartiers de la ville. A 1 heure et demie du matin les généraux Diégo-Léon et Concha voyant que leurs haran gues la troupe qui arrivait de toute part demeuraient sans effetet comprenant que le parti était perdue pour euxsont partis la tête de M) cavaliers pour les provinces où ils avaient espéré emmener la jeune reine. Par suite de ces événemensde nombreuses arrestatidns ont été faites le seul personnage un peu important que l'on désigne parmi les prisonniers est le brigadier Norza-Queray. Il a été pris les armés la main. La police fai1 des recherches pour tâchei^de découvrir des géné raux compromis dans le mouvement et notam ment MM. Diégo-Léoii; Conche, Aspiroz. etc., s'il faut en croire def bruits généralement ré pandus la conspiratiçm a manqué par suite de l'excessive prudence d'un des généraux qui voulait toute force attendre des instructions du général O'Donnell. Du 8. Les troupes ont passé la nuit en tière sous les armes. Le duc de la Victoire a donné l'exemple de sa vigilance. Nous appre- nous les faits qui se sont passés dans la nuit un bataillon du régiment de la princesse et le de nos concitoyens sont sortis de la ville pour rentrer en France, et que la gaïnison de Saint détachement de la garde royale de service au Jeaft-Pied de Port va être augmentée de trôis f" palais ont obéi aux ordres des généraux Diego- çd'mhâpnies. Léon et Concha qui leur ont dit de ploclamer la J—Hfiaraît positif que le colonel Ibero an- régence de Marie-Chcistine. Les conjurés qui cien camarade de Fernandezs'est déclaré pour se proposaient d'enh ver la reine et l infante sa la cause de la reine. On ajoute qu'ayant réuni sœur ne comptaient j is sur sa résistance héroï- il «"«ci ôtatjf rtâtifi que qui leur A été oj josée par une poignée de une cinquantaine d hommes il s'est établi ddns les moptagnes entre Oyarzun et Azligatraga^ braves halle hardi ers. fous leurs efforts ont été Voici l état des forces respectives des deux vains pour pénétrevtfeps les appartemens dé la partis i reine, bravemgift défendue. Le combat a duré .47 Forces d'O'Donnel. plus d'une lîëure démêlée a été chaude: 2e et 3e bataillons d'Estramadvre, iiicomplçt^ chaqqe^paçli a laissé site les dalles du palais 105 chevaux. ,s.- plusieurs morts et un plus grand.nombre de - 2 compagnies de Saragosseprovenant d'Es- blessés tes hâllebardiers n'ayant pas t?-1" - tella. i.. recevoir ce^ renforts après le premier m tardé a moment de stupéfaction causée par cette attaque noc turne, les agresseurs ont été repoussés sur tous les points. Après cette nuit orageuseles troupes de la garnison et la garde nationale9 heures du matin ont défilé devant le balcon de la reine S. M. l'infante, le régent, les ministres, assis taient celte revue nationaleles troupes en défilant, ont fait éclater un vif enthousiasme. A 10 heures. Madrid avait repris sa physionomie ordinaire. Il y régnait une tranquillité parfaite. Un bataillon du régiment de Luchana est chargé du service au palais de Ruenavisla, occupé par le régent. La plupart des rédacteurs des jour naux dfe la capitale ayant passé la nuit sous les armes, dans lintérêt du service public, la Ga zette de Madrid est le seul journal publié ce matin. POUR SORTIR D'INDIVISION. mm, TOUR ENTRER EN SUITE EN JOUISSANCE D'UNE BELLE ET GRANDE CONSISTANT EN D'AGRÉMENT, BEAU JARDIN POTAGER, Diverses Maisons, Le tout situé Zonnebeke, six kilomètre* d'Ypres, Flandre Occidentale. 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Le Progrès (1841-1914) | 1841 | | pagina 4