EXTÉRIEUR.
FRANCE.
irafur
mai
irpuouce le
flamand. Outre votre épouse^ votre Miua, vous avei une sœut ou
iskens
LChaumon' Ai^
|tenu f1 cauSG
rcommurml de BruxellesINlst
_T^2 FI t a" adopté le budget des recettes
Teve en ^olal fr.'<43,191 .458-7/. pour
receltes orofînaireset 48,300 pour les
|elles extraordinaires.
Luctin autre objet important n'était Tordre
diTjour.
On lit dans l'Ami de l'Ordre:
Un personnage haut placé nous assure qu'il
est fortement question la chambre d'une pro
position par laquelle il serait défendu tout
officier supérieur ou subalterne et tout em
ployé du ministère de la guerre, d'être l'avenir
intéressé directement ou indirectement dans*
Y association pour le remplacement, sous peine,
pour les officiers de tout grade, de mise en dis
ponibilité et pour les employés, de destitution.
On nous assure qu on s'occupe au minis
tère de la guerre d'épurations dans larmée.
Des officiers de différents grades plus ou moins
compromis dans l'affaire du 29 octobrevont
recevoir leur démission. Deux d'entre eux qui
sdnt étrangers sortiront du. royaume.
Le Journal de Liège confirme en ces ter
mes la nouvelle que nous avons donné hier:
L Industrie annonce qu'elle cessera de pa
raître partir du 1er janvier prochainet se
réunira au LynxBruxelles.
L'Ami de l'Ordre annonce que le Fanal
seconde édition du Courrier Belge cessera de
paraître la fin de l'année.
La vitfirde Bruxelles vient de succomber
en cassation dans l'affaire des pillages. Elle devra
doue payer.
ffcet égard
iteurs Ardoye,
fort leur aise.
es domestiques
(aux vêpres sa
jrés sans doute
tes considéra-
aucune réâs-
f pauvre femme,
Pcle quatre sont en-
après avoir assassine la
Pfracluré deux coffres où ils
lut nd.Qvîron 70 f'".; une personne
Erimis a vu« de la ferme où le crime a
irespérer qu'(»ir les quatre brigands et il
mettre la jiisticeptiièjrra^ par ses indications,
cet assassinat, u traces des auteurs dte
M. Buzen père de i..
guerre vient de' moiyciyà Lo«ministre de la
T
loi sur le contingent de l'armée et le crédit
,.n -, provisoire pour le département de la guerre.
,P ,i- a ensuite entamé la discussion générale du bud
get de la justice.
M. le comte de Mérode a appelé l'attention
des ministres sur l'accroissement des crimes et
sur l'abus qu'on semble faire du droit de grâce.
Ces observations ont été appuyées par M. Ma-
lou M. le comte Vilain XUU et M. le comte
Duval de Bcaulieu.
M. le ministre a répondu que les observations
seraient prises en sérieuse considération.
La séance a été renvoyée demain une heure.
le Liège
On écrit de w-
Un vol audacieux a eu heu au domicile de M.
K.... négociant, rue Basse-Saùvenière. Un
homme s étant introduit dans le Yéstibule.de la
maison de ce négociant fut surpris par la Ser
vante, et il prit la fuite emportant un mafiteau
en drap noir appartenant au maîtrede la maison.
"Séance du 23 décembre.
A l'ouverture de la séance M le comte Des- 0" a prétendu, dit la Quotidienneque le ca-
a i ouverture ue la stance lu. le comie ues i rirnnns(i au rol UDe commutation de
présenté le rapport de la que Colombier et
manet-be Biesme a
commissipn sur Je budget des finances, et M
comte A ilain XJ1II a présenté celui sur le bud
get de la^dette publique et des dotations.
Ces rapports seront imprimés et distribués.
Le sénat s'est ensuite occupé de la discussion
du budget des voiès et moyens.
A l'article des douanes, M. 1§ ministre des af
faires étrangères répondait Interpellation de
deux sénateurs a déclare'comme il l'avait fait
la chambre dei réprésenlans, qu'en ce qui
concerne les négociations avec la Franceau
cun fait nouveau n était intervenu et qu'il y
avait encore "de l'espoir de les mener bonne
fin que le gouvernement n avait pas "non plus
négligé les relations avec l'Allemagne, mais
quelles n'avaient pas encore produit des avan
tages assez positifs pôur qu'il pût donner des
renseignements que quant un traité de com
merce avec la Hollande qu il n'était possible
de s en occuper que quand toutes les questions,
résultant du traité de paix, seraient entièrement
terminées.
Les autres articles xlu budget ont donné'lieu
quelques observations de détail et l'ensemble
du budget a été adopté l'unanimité.
.u •- ne croyons pas nous qe pouvons
pas croire ^.)ne parefi[e déterminatio(HK 1 le
est choquante v.-;nvi aisenriblance Les/^Rits
du piocès et les peù0j «yj qj^ frappé les^recu-
sés seront un avertissant, suffisant et une,
leçon assez sévère pour Ie&SOCiéj«£^crèfÇii. La.
clémence y ajoutera plus d'^ffat J'effû^m .du
sang ne pourrait qu'y nuife.
Dans la soirée d'avant-hier; dit la Gazette
des Tribunauxle bruit s'était répandu dans
Paris que l'exécution des 2 accusés contre les
quels la cour des pairs venait de prononceria
peine capitale aurait eu Ijeu hier malin, malgré
le recours éTi"gràce^^011; l'admission duquel
s'était, disait-on, piBg^yyUnaniinemenl le con-
seiL^es ministres ^^nill. m la journée. Dès
av^We lever iTaule assez considéf
rable#était ..*utuCf,ur i_
cutionl
préparatif
force, auc'
vers dix
ils enlièi
Si m
serait par
Le sénat a également adopté l'unanimité la budget, et celte sit
(Test le premier de tous où Ton ment davantage,
Nul autre ne fait voir tant de duplicité, etc.
Bien des gens se couchent le soir de la St. Silvestre, francs et sin
cères et se réveillent le lendemain eflroutés menteurs j que de Janus
le premier Janvier de chaque année.
L'héritier présomptif qui dit tout haut: oh mon oncle chéri!
puisse le ciel vous accorder encore de longs jours, est un Janus, car
il pense tout bas: vieux immortel, quand jpourrai-je prononcer ton
oraison funèbre.
Le lion qui dit tout haut sa compagne Lélia, Zoé, Emma, As-
pasie, (n importe le nom,) voilà deux mois que nous nous adorons,
puissent uosamours durer toujours! Ce lion est un Januscar il dit tout
bas Dieu de miséricorde, quand donc pourrai-je me débarrasser de
nia tigresse
L'employé qui dit son chef: Monsieur, je ne forme qu'un seul
vœu, celui de pouvoir longtemps encore servir sous vos ordres, est un
Januscar il pense ôte-toi de là, que je m'y mette.
Et vous aussi, sexe charmant, qui couvrez de fleurs les voies tor
tueuses de notre existence d'hommes..., vous surtout qui.... mais je
m'arrête..., je suis galant avant tout;.... et mou feuilleton ne me
permet pas d'aussi longs développements. D'ailleurs ne sacrifions
nous pas tous Janus le lr jour de l'an
A pèiue un domestique est-il venu nous réveiller eu prononçant
ces sacramentelles paroles Monsieur, je vous souhaite une heureuse
année suivie de plusieurs autres, qu'on se lève et revêtu de son plus
bel habit, muni d'un nombre incommensurable de billets de visite,
on s élance par la ville, courant de maison ou maison, sonnant do
porte en porte... Monsieur y est-il Madame reçoit-elle balbutie
le visiteur que la craiqte d'un oui fait trembler. si, comme il arrive
d'ordinaire^ oa répond non 3 la joie reparaît au plus vite, il pousse
une carte et disparaît en disant d'un ton hypocrite-, exprimez mçs
regrets Madame... ou bien j'espère être plus heurevix une autre fois,
Oh Janus! Janus!
Le docteur Lorry a fort bieu peint le jour de l'î n par ce distique
Hœc est illa dics quâ plebs vesana furonsque
Se fugiendo petit seque petendo fugit. JfL
C'est en ce jour que la foule insensée paiait furieuse; chacun se
cherche et tout le monde se fuit, (Traduction très-libtp.)
Du reste dans les grandes villésj^ji a cousidéi ablemeht perfection
né déjà le système des visites du nouvel au. L'un envoie
le carrosse vide, se promène par la ydle, tandis que le laquais!
chasseur distribue les cartes de porte" teu porte; l'autre ne voulal
pas même fatiguer ses chevaux,.se contente.do remettre ses cartes al
un domestique; le domestique loin de couSr là ville, va droit un
cabaret désigné d'avance là i\ trouve un grand nombrcfde ses collè
gues et les cartes sont échangées au milieu des petits verres d'ani-
sette ou de parfait-amour.
Sur cent personnes, qui reçoivent des cartes autour dp 1 an, il en est
une tout au plus qui se donne la peine de "les lire..* JÊes domestiques
se servent généralement de. ces caries pour fixer des bougies dans les
I,.-
chandeliers, lustres, candelabi-çs, -etc.
Toutefois si le jour de la nouvel an est hérissé d'épines pour bien
des genspour d autres il est couvert de roses (système de compen
sation) et d'abord, vous êtes marié, vous avez une petite fille qui
appelle Mina. Mina est un vrai prodige, au dire de votre épouse;
elle marmotte, cause et bavarde foute la journée, (je parle de votre
fille elle n'a que quatre ans; on lui a appris simultanément^laian-
gue nationale de sa bonne et la langue française, ce qui est cause
que Mina ne peut encore se faire comprendre ni en français ni en
naire de l'exe-
Mais là aucun
voyait aucurfe
blique. Ayssi,
urieux étaient-
versM. Humann
'équilibre dans le
on.'norraale permettrait
bien là corbeille l
un frère, un cousin ou une un ami ou une amie. Ce person-
nage, quel que soit sa qualité b.i sou sexe, est propriétaire d'un petit
ouvrage intitulé..; le panha^féiu sentiment ou bi
de fleurs votre cousiue akïSsé dans sa corbeille
nom de baptême, ceHjûi faij
mesure, en même
semaines, la cousjj
dans l^bêmoji
lùsé dans sa corbeille, l'article au
plus tendre des pères, l'o^^ion de la nouvelle annee, uu petit
couplet d'une bêtise adiiqrà«LlIe l'a corrigé, elle y a intercalé votre
Le le dit couplet outrage la rime et la
Li aison. Mais u importe... pendant six
quatre heures, par jour, pour graver
L le joli coitiplinient cfe nouveLan.
tj'u^es,- c-dk votre Mi nappe lit prodige,
jvd'èTordisç» dominicaleaussi chaque
on pèrey se hàje-t-elle d'ajouter qui
i cicux..-j enfin le jour de la nouvel au, vous dormez d'un
Ammeil, tout-à-co»p la porte de votre chambré s'ouvre,
relevez le bounet de ccion qui est descendu sur vosypnx, votre
fille, votre Mina, est près dt vous, of derrière elle v-otre cousine des
tinée jouer le rple de soufleur. Mina* rouge comme une cerise,
cSShienoe ai BOT d'une voix Ira înante
Au plus jen... dril-e des Pèrrres,*
0 mon.., Pè'.-fre qu'àdtiti
ne... soufile.votre cousinç, Bina reprend -
0 mon père qu'aucu..qu'Uucu... qu'aucu... ne...
O mon père qu'aucune pe^ie
durt.l ont tan qui.r va,., cém... com...
Votre cousine -. soufile ifimicer.
Mina durant Van qui df tnencer,..
Votre cousine eh non, gui va commencer...
Miua impatientée hiJ*i! hi! je peui pas dirç.
Votre cousine M^eudbisplle soyez sage...
A ce mot, Mina se met àpleurer chaudes larmes.