Angleterre.
\-ll-
nu gouvernement de présenter aux chambres. Une résolul
un ensemble des travaux sur les chemins de fer dans une autre
Nous
posi ti
lombier et Brazïê]
de leur peine er,
Cçtte nouvel# leur
ainsi qu a letiMPfamille:
doivent partir aujourd
pété annCnc
Les tjpo's cïT
fui même'dans une
ture cellulaire pour le Mont Saint-Michel
Le Mor/ung LTeratdqui assurfllque
seigneraens lui viennent d uf. ^*é»gle ïï°u-
que, dit qu il existe en .ce i
et les fortifications du rovaume.
®cr't de Doullens au Journal de la
Som'medu 28 décembre
La citadelle de celte vijje doit être rasée;
mais cause de l'existence de la prison politique'
le ministre de l'intérieur a obtenu de son con-
frerede la guerre que l'exécution de la décision
fut ajournée.
On écrit de Mostaganem. 12 décembre:
Mle général Bedeau la fête de sa colonne,
renforcée par 800 hommes de la légion étran
gère, et ayant un effectif de 4.000 hommes, est
sorti le 6; sans dire quelle direction il allait
prendre le la pointe du jouril a surpris
plusieurs douars de la grande tribu des Borgia,
f nui Pous a fait beaucoup dè mal et a fait une
l azzi? magnifique. Les cavaliers ont eu peine pour la détention sans/"*eVJaarce
'Je temps de se sauver avec leurs familles, aban- J'Angleterre Ma
donnant leurs tentes et leurs troupeaux. Le 10, ouvertement dai
avec Un im~ Vi,es P°Ur l^Ktafteux est arrivé sur le che
mense butin dont elle était einbarrassoe: elle a Un>rfefii^at-\Vl»lern Un convoi nor
ramene plus de 6,000 têtes de bétail, dont 1.800 min convoi po.
bœufs; plus, 150 chameaux, 200 chevaux et
muletset près de -500 ânes chargés de grains
et d effets; on va expédier une partie de ce
prises Alger et Oran. La colonne n'a
trois prisonniers, parmi lesquels est un
jou
les Etals-
du
vernement de la. Grande-Biv^,se a
Unis une méshftelligen^ep,iner saU'
refus fait par le pfesidei/ev1pent d'un de
qu'on frète
américains des na-
verlement da
c
Quelques imprudents* amis duX^1' tle,
Colombier, viennent d'être la caus^ 'a.0101"1
dœ^ipune homme, il étaitcomi>yeme"te1lra™"
procès, maison lui fy,v.e clu ?V.a,
'bfqHôt y être impliqué el-4e ,l en Pe,;dlt la
tête ét résolut lïnstu>~ "évlter le sort cie son
oncle en se donna^,ui"même la m0ltî son
"Tporp^a^.^fé rt>tj<Âivé près de 1 écluse du Pont
d'Ângptflérae dans le canal Saint-Martin.
M: 1<4 chancelier a interrogé le 27 chez
luiles condamnés Brazier et Boucheron. Bien
n'a encore transpiré de cet interrogatoire.
M. Sauzet a été proclamé président, a la
majorité de 193 suffrages dans la dernière
séance de la chambre 4es députés.
On assurait ce soir que le ministère turc
venait d être changé dans le sens de la politjque
française. jMt
Un des aides de câmp d'Espai '.ero^ ^molo-
nel Horain. Joit être en ce moment arrive a
Paris. On le'moit chargé dune ion impor
tante. h y? t|^L
On litdabs le Tt^ps: ^^9
11 paraît qï^une réunion a eu lieu ce soir
chez M. Barrot. tyi y h décidé qu'au premier
tour de scrutin on porterait M;* Barrot la pre-
'sidence, et qu'au s^gd tour on l'abandonne
rait pour porter M. Lamartine.
oyageur.vde Jri classe ouvrière qui al-
quelque cmtaHce -fêter la Pjoëla ren-
..titré près de BeadingViu ëboulemeïit recou
vrant les rails une hauteur de 2 ou 3 pieds.
Cette rencemtre fortuite occasionné, .fin choc
qui a lancé la I ocou)ptLvçd&»\sdes raitt. En un
instanttous les waggopSpe sopt heik^s avec
violence et le résultat dé celle afijeus^ secousse
a été la mort de huit voyaggurs tués sur le coup.
Dix sept autres ont été plus ou moins blessés.
On espère sauver tous ces derniers. C'était un
horrible spectachuguecelui de ces huit malheu
reuses victimes mutilées gisant pèle-mèle parmi
les waggons brfc*éAj..-7
C'est le mardi 23 janvier qu'aura lieu le
baptême du jeune prince de Galles. On peut re
garder cette nouvelle comme officielle.
Les symptômes de guérison. que présen
tait la situation de la reine douairière étaient
trompeurs car ceux.qui rapprochent de plus
près assurent qu'on craint de plus en plus de
ne pouvoir sauver 1 illustre malade. Le séjour de
Subdury-Hall ne lui est pas favorable, maiselle
est hors d'état de quitter cette résidence.
On lit dans le Courrier
Nous espérons que quand viendra le moment
au parlement de voter [allocation annuelle
pour'le roi de Hanovre,, en sa qualité de duc
de\Cumberland, la cbarftbre des communes
refusera son assentiment ce bill. Il est vrai
ment monstrueux que, dans un moment où les
classas inférieures et moyennes de la société
longtl
dres, s'esj^HH^^^H^^iour la Fra?
paquebot
Un major de l'armée*anglaise se trofive réduit
la misère par celte affaire des fauc hons de
l'échiquier, il en avait pour pfès d^ 40.000 liv.
(un million de fr.)
Nous sommes heureux d'apprendre que
les recettes se sont considérablement amélio
rées pendant le trimestre courant, nonobstant
la détresse qui règne en ce moment dans plu
sieurs de nos districts manufacturiers.Si ce qy(on
nous communique est vrai les rapports offi
ciels qui paraîtront dans le courant du mois de
janvier promettent d'être on ne peut plus favo
rables.
"VAltiÉTÉS»
TRIBUNAUX. - LA BIENVENUE DU CAPORAL.
Charles Goinerot est le lypede l'homme ratujé.
Frac noir rapécravate blanche, gilet montant, so
cles articulés et parapluieeu taffetas rose tel est son
accoutrement. 11 s'avance d'un air .pileux vers le
conseil, et attend la barre qu'on l'interroge.'
Le président. M. Gomerot, quelle est votre
profession
Gomerot. J'adore Dieu, je vénère le roi, les lois
et la Charte constitutionnelle du royaume.
Le président. Ce n'est pas là un état. a
Gomerot. Ah bon, que je suis bête, je croyais
que vous me demandiez ma profession de foi. Vous
me demandez mon état, mon Dieu, monsieur, j'étais
huissier avant iBHo, mais j'ai vendu. Aujourd'hui je
suis... votre serviteur de tout mon cœur.
Le président. Pourquoi ne voulez-vous plus
monter la garde?
Gomerot. Je vais vous dire, ça coûte trop cher,
et puis on m'a fait la farce.
Le président. Laquelle?
Gomerot. On m'a nommé caporal. (Rire géné
ral.) Depuis ce lems je ne vis plus, je suis poursuivi
toujours et partout pour une crainte affreuse.
Vous prenez votre fille sur voirait, vous la serrez contre votre Capitale, produit de ces présents était employé acheter dessta-
eoeur de père, vous tarissez la source de ses larmes, et, au grand 'tues de quelque divinité, l'empereur ne voulant pas profiter des libé-
s partagez vos carqT ïg
>.e encore les yeux.,.
l'an n'est-il pas un (j
le lr
jour
de Tan;
scandale de votre jeune cousine,
votre Mina et votre épouse, qui se fil
trois fois prospère, dites-moi, le joui
bonheur.
Autre chose encore rend cher bit
Los vœux les plus ardents jdaisciS Snoius eu 'général que fe
mince àlrenne...: Le jour de l'an estjijouriWdames surtout ce
la S1 Martin est pour les enfants.
L'usage des étrennes et 1'étyfniftoj^le fccynot Vt-nv
ter l'époque la plus reculée de 1? hi ,4^Rvrnm aincT^c a Lias J
Sabins qui avaient euVvec les ^omaliWne affaire
désagréable (l'enlèvement des Sabint s,) Tatius, dis-j
paix avec Romulus, lr roi de Rome. Ces deux'potcntu^s régnaient
coujointeuiefit. Au lrjourdel'au de je ne sais quelle année, quelque:
alités de ses .^ijets.
Les premieife chrétiens désapprouvèrent les étrennes comme ayant
it aux céré/nonies du^pagauisme mais l'église cessa bientôt de
ondamnep.
[)us le règme d'Henri IV, la mode des étrennes était fort suivie.
fs lisons^dans la vie de Sully^un jour que Sully venait, comme
endaot'des fioancçs, présemer des étrennes au roi, il le trouva
icorè'au lit avec la rcme. r,e foi voulut qu'il entrât et qu'il lui mou
les étrennes. C'«lait'Utiffes1 jetons d'or et d'argent pour leurs
Majestés^ pour les,darnes dlionuetir et les filles de la reine, Rosni
v.jdît Henri IV Sully, j^iir «donnez-vous ainsi leurs étrennes sans les
venir baise/ Viaiméiitdepuis que vous leur commandez,
je n'ai' eu que faire de les en prier, —.laquelle embrassez-vous de
meilleur courage, et trouvez-vous la mus belle? ma foi, sire, je ne
particuliers dorft l'histoire n'a pas conservé les noms, vinrent offrir vous le saurais dire, je les baise comure des reliques en leur préseu-
Tatius des branches coupées dans nu petit bois cousagyé^ tant mon étrtape^'— Qh i^are houtine ministre vertueux
y*-'.
Sttehua, déesse de la f^rce. Le monarque regarda ces présente confine
uû fcn argiire, il k-s/ntorisa pou r l'avenir et lent donna le nom-de
strenœ j les vieux auteurs" français eu fait e&trcnncs d'où est
venu le mot étrennes.
Depuis çette/époque l'usage de»#étrennes paraît ne plus avoir été
abandonné^ Les'Romains sous la république sé faisaient réciproque
ment des .présents de figues, de datled^ de palmier et de miel, pour
témoigner lêuis amis qu'ils leur swuliaiteut une année douce et
agréable. Le<* clieus portaient ces sprtwvd'étrennes leurs patrons j
par la suite, ils y joignirent une petite p^èhe d'argent.
Le cardiual Dubois qui était bien loiu sans 'doute de ressembler
au chaste Sully^ avait coutume aùssi de donne^ des étuennes aux
gens de sa maison. Il avait un intendant dont les friponneries lui
étaient connues. Au jour de l'an, cet intendant venait, comme les au
tres, rendre ses devoirs son Eminence. Le Cardinal au lieu de lui
donner des étrennes, lui disait chaque année Monsieur, je vous
dorine ce que vous m'avez volé. L'intendant faisait une profonde ré
vérence et se retirait. Journal de Paris, 1786.
A l'époque où le madrigal et le sonnet étaient fort en honneur, les
i amants offraient souvent pour étrennes leur maîtresse des pièces de
Dont je porte la chaîne,
Que la sagesse et deux beaux yeux
Ont fait ma souveraine,
Des soupirs, des respects, des vœux
C'est mon ètrenne.
Mais n'aurai-je pas de retour
Pour le prix de ma peine
Amour se paye par amour,
La maxime est certaine,
On veut une étrenne son tour
Quand on ètrenne
Dans le siècle positif où nous vivons, l'amant qui se contenterait
d'offrir lé jour de l'an sa dulcinée
Des soupirs, des respects, des vœux,
risquerait fort
De ne pas avoir son tour
Une ètrenne
et peut être même s'exposerait-il voir un jour gravé sur sa
tombe fépithaphe suivante composée pour un habitant de la ville de
Renne3 qui mourut le jour de la S1 Silvestrev
Ci-gît dessous ce marbre blanc,
Le plus avare homme de Rennes
Qui trépassa le dernier jour de l'an,
De peur de donner des étrennes.
En terminant, il conviendrait sans doute d'adresser des souhaits
et des vœux Mais hélas' qui me croirait en ce jour de mensonge et
de fausseté... Je remet donc au 1er avril mes souhaits de nouvel an.
l'empire d'Auguste, le sénat, Mes chèvaliers et le peuple ljii/ vers et des chansons, telles que celle-ci
késeutaient des étrennes, et en sonjlbsericc ils les déposaient au
Objet aimable et v^yieux
N