NOUVELLES DIVERSES. ASBSBQSBQa VERXOOPING 3 Madrid. Hier la course de taureaux le picador Gallardo a été blessé grièvementil doit être mort aujoui'd hui. Le taureau l'a pré cipité bas de son chevalil est resté sur la place. Le fameux Montés a donné de nouvelles preuves de la vigueur de son bras: il a saisi le taureau par la queue et l'a terrassé au bruit des applaudissements frénétiques des assistants. FRANCE. TE DICKEBUSCII, Digt by de herberg het IIaixebast. d'inviter ce journal prévenir les badauds qui avaient pris cette mauvaise plaisanterie au sé rieux, que ce n'était autre chose qu'un canard. Journal de Bruges.) La commission d'exploration déléguée par la compagnie belge de colonisation, avait pour chef \1. le colonel De Puydt. et pour membres sous ses ordres M \f. De Vercy, Guillaume De Puydt, frère du colonel:, Caretle. et De Binckum. MM. De Puydt et de Binckum ont seuls publié le résultat de leur expédition, et ils ont dépeint l'entreprise de colonisation comme une magnifique affaifé: Or, M. le colonel De Puydt, et M. De Binckum sofit tous deux actionnaires de la compagnieet se rattachent par consé quent ses intérêts. Ils ont dû nécessairement agir sous l'influence de la^compagnie laquelle ils appartiennent, leurs rapports ne peuvent donc en aucune manière être considérés comme officiels p&isay'ils^ont et ne peuvent avoir les conditions de désintéressement que le public est en droit d'exiger avant tout. La commission d'exploration déléguée par le gouvernement se composait comme suit: MM. Petit, lieutenant de vaisseau comman- -S i dant, De Change, docteujyct T'Kindt, employé au ministère de l'intérieur. Or, les rapports de MM. Petit et De Change, qui tous deux appartiennent la marine royale, sont loin de se prononcer en faveur de la colo nisation. M. Petit la rejette, comme une impossibilité absolue, comme un moyennon pas colo niser, mais de destruction peu près iinmédiate pour les malheureux qui se laisseraient prendre aux descriptions trompeuses des commissaires de la compagnie. M. le docteur De Change qui se recommande non-seulement par la noblesse et l'intégrité de son caractère, mais aussi par ses profondes connaissances dans toutes les branches de la science médicalepar un savoir qui lui a valu jeune encore les plus beaux succès et la pre mière place dans tous les concours auxquels il a pris part, M. le docteur De Change dit, lui, que la colonisation serait peut-être chose possi ble n'était l'effrayante insalubrité du pays, le manque de bras et l'engourdissement complet dans lequel tombent infailliblement les Euro péens qui s'avisent de séjourner tant soit peu dans l'Eldorado du Courrier et de la compagnie Belge. Le rapport de M. T'Kindt, est peu près mixte, il ne se prononce ni pour ni contre, on voit qu'il flotte entre la crainte de déplaire et la crainte d'assumer une terrible responsa bilité en trompant ses concitoyens on peut dire que M. T'Kindt a gardé une prudente neutralité. Ainsi donc, il n'y a en faveur de la colonisa tion de Santo-Thomas que les commissaires de la compagnie de colonisation. Ils sont la fois juges et parties. Tournai de Bruges.) Les consolidés ont subi, la Bourse de Londres du 11 une baisse de 1/4 pour cent, par suite de la nouvelle inattendue que l'état du revenu, pendant le dernier trimestre con state une diminution de 67,000 livres sterlings (1.675.000 fr.) sur le chiffre correspondant de l'année dernière. Cette diminution a causé une surprise d'autant plus pénible qu'on se croyait en droit d'espérer un résultat contraire par suite de l'établissement de la taxe du revenu, du droit l'exportation des grains et du nou veau tarif des douanes. L'opposition se fera de celte diminution une arme formidable contre le ministère dans la prochaine session du par lement. (Globe.) Les détails donnés par la Gazette de Police de Saint-Pétersbourg relativement l'affreux incendie de Kasan, confirment ceux que nous avons déjà donnés: 1,317 édifices ont été com plètement détruits, dont 9 églises et la plupart des établissements publics, en tout 451 édifices en pierre et 868 en bois, on n'a encore décou vert que 3 cadavres et 16 hommes de la police ont été blessés ou ont eu de fortes brûlures pendant l'incendie. La reine Christine, l'occasion de l'anni versaire de la naissance de sa fille Isabelle II est vernie aujourd'hui de la Malmùson son hôtel (le la rue de Courcelles, où elle a reçu les félicitations des EspagnoIs*de distinction qui se trouvent Paris. Le bruit qui avait couru, d'après une corres pondance du Journal de Francfort d'un prochain voyage de sa majesté en Italie, n'a pas le moindre fondement. Le château du Glandier, de sinistre mé moirevient d'être adjugé, avec toutes ses dépendances, par le tribunal civil de Tulle, M. Bonnel-Laborie notaire Yigeoispour la somme de 81.000 francs. Il est, dit-on. question d'établir un haras Alger. On parle d'y envoyer seize magnihques étalons qui viennent d'Egypte et qui sont maintenant Smyrne. Il y aura, pendant l'année 1843, trois 'éclipses, savoir: 1° le 24 juin, une éclipse an nulaire du soleil invisible Paris 2° les 5 et 7 décembre, éclipse partielle de la lune., visible- Paris. Elle aura son commencement le 6 1.1 heures 27 minutes de la nuit, et sa fin aura lieu le 7 1 heure 13 minutes après minuit. Sa grandeur sera d'un cinquième de disque 3° et le 21 décembre, éclipse totale de soleil, invisible en France. ,On a parlé de l'arrestation Courtrai d'une femme qui avait pris le nom de sœur Réqina et qui était revêtue des habits de reli gieuse. Celte femme est accusée d'avoir em poisonné son mari. Voici ce sujet quelques lignes extraites de la Chronique de Courtrai: De nouveaux renseignements nous sont parve nus sur sœur Réqina. dont nous avons annoncé l'arrestation. Il y a sept ans qu'à Dunkerque elle a épousé un homme veuf. Mariés l'état- civilson mari lui avoua que depuis 20 ans il n'avait été confesse et refusa de se marier l'église. Son insistance lui attira de mauvais trailemenls et ses nœuds non bénis par un pré- tredépeints comme un péché continuel, la portèrent fuir le domicile conjugal. Pendant 6 ans elle a habité le couvent de Moorsledeoù elle porta l'habit de religieuse. Il y a un an ayant appris la mort de sa mère, elle se rendit Dunkerque pour recueillir sa succession, mais son mari s'en étaitemparé, en sa qualité de chef de la communauté. Setant rendu auprès de son époux et n'y éprouvant que de nouveaux mauvais traitements, elle l'a quitté au mois de juillet dernier, en n'empor tant qu'une pelife somme d'argent pour venir Courtrai. Ce sont là de ses confidences faites une amie, et naturellement l'épisode l'empoisonne ment de son mari n'y a pas trouvé place. Elle sera, ce que l'on pense, transférée en France, le gouvernement français ayant réclamé son ex tradition. M. Franconidirecteur du cirque qui se trouve actuellement Lille, a fait dimanche dernier une perte qu'il ne pourra réparer de longtemps. Son beau cheval blanc appelé le Cheval chérilancé au galopainsi que plusieurs autres chevaux qui le suivaient continuant de courir, un d'entre eux lui enfonça les pieds de devant dans le poitrail et le tua sur le coup. Un autre eut une jambe cassée. M. Francohi évalue cette double perte plus de neuf mille francs. La banque de Manchester est forcée de liquider par suite de la déloyauté de son direc teur, M. Burdeken qui a disparu laissant un découvert de 13,000 liv. st. M. le marquis de Padoue,„fils du lieute nant-général Arrighi, duc de Padoue, vient d'épouser M"8 Honoréfille de Mme Honoré veuve en secondes noces de l'amiral de Rigny. Chacune des demoiselles Honoré, dont le père était belge, apporte en mariage 160,000 fr. de rente, et a encore autant attendre de la for tune qui est restée sa mère. G1TEBIEIB. L'administration des travaux publics vient d'annoncer que les adjudications pour les che mins de fer du nord dans la traversée du dé partement de Seine-et-Oise étaient ajournées jusqu'à nouvel ordre. Il paraît que le petit nombre d'entrepreneurs qui se montraient disposés se porter adjudi cataires, ont écrit depuis plusieurs jours qu'il leur était impossible d'offrir un rabais quelcon que sur les chiffres de l'administration et qu'ils ne pourraient au contraire se charger des tra vaux qu'à des prix plus élevés. En conséquence on assure que M. Teste est décidé annoncer très-prochainement d'une manière officielle que la construction du chemin de fer dé Belgique va être mise en régie. Le ministre croit sans doute obtenir de cette manière une économie, eji ne cédant pas aux réclamations des entrepreneurs, mais comme les travaux entrepris par les ponts et chaussées ont de tout temps été plus onéreux que ceux qui étaient entrepris par l'industrie privée, il est probable que les devis qui auraient peut-être été dépassés d'un quart ou d'un tiers si l'on avait eu recours aux compagnies,seront plus que doublés entre les mains de messieurs les ingénieurs des ponts et chaussées. On y perdra en outre la cé lérité d'exécution qui distingue l'industrie par ticulière. j Un diplo/nate allemand qui se trouve en ce moment Paris disait, il y a quelques jours, que la Suisse et la Belgique seraient'probablement admises avant un an dans l'union des douanes allemandes. Des négociations très-actives ont été entamées depuis quelque temps par plusieurs cantons suisses auprès du Lollverein. On.écrit de Paris, 2 octobre, la Gazette d'Augsbourq Il paraît qu'on a reçu de Londres des nou velles du comte S'-Aulaire qui ne font pas espérer un résultat favorable des nouvelles négociations relatives au traité du droit de visite, le ministère anglais ayant accueilli avec une froideur visible les ouvertures de l'ambas sadeur et paraissant décidé ne consentir aucune modification. van Men niaekt een ieder bekend dat op Maendag, 2ion November i841, ten negen ueren 's morgens, zullen verkocht worden opde gewoone condilien eu met een jaer tyd van betaeling, SS4 koopen Iepen, Eiken, Esschen, Abeelen en Popelieren-Boomen, voornaemelyk dienstig voor waegenmaekerstim- mer- eu molenwerkenwelke staen in de weiden en op de landen der hofsteden wederzydelyk ge- bruikt door FrancisDassonneville en Maximilianus Bossaerlte Dickebuschdistrict Ypre by de herberg het Hullebast en dus niet verre van deu steenweg. Gezien de groote hoeveelheid der koopen, de verkooping zal juist op de gestelde uer aenvang netnen.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1842 | | pagina 3