si si CHAMBRE DE COMMERCE UITGESTRERTE SCIH ËR viwsnrïi STOKERSGEREEDSCHÂPPEIV, VERKOOPING Variétés. ht ©g§ faibiriiquiis ÉTUDE DE Mtre VAN EECKE Digt by de herberg het Hallebast. VERIiOOPING EN GEBOUWEN YM ©E STOEI1Y DIB ABDV, Ingesleld 2,005 francs. Ingesleld 1,800 francs. K doit une foule d'établissements utiles, tels que le collège indien Calcutta, la société des livres classiques, l'école de médecine, l'hôpital des fiévreux, etc., etc. Dwarkanauth Tagore a fondé en outre diverses maisons de commerce dans 1 Inde, en Chine, Maurice et Londres. Cet homme généreux a été accueilli en Angle terre avec une grande distinction la ville d'E- dimbourg lui a offert le titre de citoyen la reine l'a honoré d'une audience particulière, enfin il est devenu pendant quelque temps le personnage la mode de la haute société. 11 retourne Calcutta par Suez, rapportant sans doute d'Europe pour son pays de nouveaux bienfaits. 3 excentricité dcn anglais pur sang. Le tribunal correctionnel de Paris vient de s'oc cuper d'une affaire quicertesn'a aucun précédent dans les annales de la justice criminelle. Le 2 septembre M. Fressart entra pour dîner chez un restaurateur du boulevarddu Temple. Tou tes les tables étaient occupées, une seule était tenue par une seule personne, quoique cette table fut pour quatre. M. Fressart s'approche, fort poliment du consommateur, et lui demande la permission de se placer sa table: Je voulais bien très-volontiers, répond le dîneur, qui n'était autre que sir Plakell. M. Fressart s'assied et dîne fort tranquillement en face de l'Anglais, qui en fait autant sans qu'un seul motsoil échangé entre ces messieurs. Sir Plakelt ayant fini le premier, se lève et se di rige vers le comptoir. Un instant après, un garçon arrive auprès de M. Fressart, lui demande le détail des plats qu'on lui a servis, et s'informe s'il veut autre chose. Mais, répond M. Fressart, je ne vous ai pasappelé; quandj'auraifini,je vous demanderai ma carte. C'est que reprend'le garçon ce my- lordqui a dîné près de vous, est pressé de s'en aller. Parbleu qu'il s'en aille. Qu'a de commun Vot'rê mylord avec mon dîner? - CYst qu'il veut payer votre dîner Payer mon dîner! est ce qu'il est fou; ce monsieur M. Fressart se lève de table et se dirige vers le igeante nospit que vous m'avez accordée votre table; mais c'en est assez, et je vous prie de me laisser payer mon ilîner. Monsieur répond sir Plakeltje ne le souffrirais pas. Je connais les lois de l'hospitalité, et je veux vous prouver qu'on les praLique mieux en Arigleterre qu'en France. Vous avez dîné ma table, je veux payer votre carte, et je la paierai aussi vrai que je m'aj»elle sir Plakett. Une discussion très-vive s'engage alors entre ces deux messieurs, L'Anglais se fâche, le Français rit, mais tient bon. Bref, exaspéré du refus et des plai santeries de sou adversaire, sir Plakett se pose en boxeur et lance M. Fressart un coup de poing dans l'estomac. Furieux de celle attaque et perdant tout sangfroid, M. Fressart saisit une bouteille et en assena un coup sur la tète de sir Plakett. 1 as sang jaillitle maître de la maison intervientsépare les combattans, et tout se calme. Mais sir Plakett avait été grièvement blesse, et il déposa une plainte qui amenait M. Fressart devant le tribunal. M. le président. C'est vous qui avez provoqué M. Fressart, en lui donnant un coup de poing sans aucun motif. Sir Plakett. Pourquoi qu'il refusait de nie laisser payer le dîner luiet qu'il riait mon vi sage M. le président. 11 ne voulait pas que vous payassiez sa carte, et il avait raison... C'est une susceptibilité qui se comprend. Sir PlakeltEn Angleterre, on est hospitalier.. A Londres, j'aurais bien voulu qu'il paie le dîner /W»i. ftÉTI^ViMentau prévenu. Vous avez eu le Ww *£Tus *»rt de vous laisser emporter par la ivez failli tuer le plaignant. Quand je me suis senti frappé, je fnaître de moi. fesident. L'entêtement de sir Plakett aurait dû vous faire rire, et voilà tout. M. Fressart. Aussi en ai-je riet de tout mon cœur jusqu'au moment ou il m'a porté un de ces coups de poing dont ou n'a le secret qu'en An gleterre. M. le président. Toujours est-il que votre vi vacité est des plus coupables. Quels regrets n'auriez- vous pas eus si vous aviez tué cet homme? M. Fressart. Je n'ai mis aucun calcul dans mon action j'étais hors d'état de réfléchir. M" Théodore Perrin présente la défense du pré venu- Le Tribunal, admettant la provocation comme circonstance atténuante condamme M. Fressart 15o fr. d'amende et aux dépens. des arrondissements D'Y PRES ET DE D1XMUDE. M. le Ministre de l'Intérieur recommande au choix des amateurs, la manufacture de glaces établie par une société anonyme, dans l'ancienne abbaye de Ste Marie D'Oignies, près de Charleroy. Celte belle manufacture, dit M. le Ministre, la première de ce genre qui s'élève en Belgique, n'a pas craint d'entrer en concurrence, dans des circonstances bien moins favorables d'ailleurs, avec des établissemenWfinciens et coalisés, etelle mérite, autant par son importance que par l'excellence de ses produits, la protection du haut commerce et de tous ceux qui prennent cœur les progrès et la prospérité de l'industrie du pays. I.a manufacture D'Oignies a fait l'objet d'une notice spéciale dans le rapport du jury de l'exposi tion de l'industrie en i84i, et la médaille d'or a été décernée la société qui l'a fondée. Les produits de cet établissement, qui réunit la fabrication des verres vîtres celle des cristaux et gobleteries, ont été bientôlconnus et appréciés, dit le jury, principalement Bruxelles, où l'on s'est em pressé de les employer dans plusieurs grandes mai^ sons, et dans des magasins d'objets de luxe. Un exa- mehaltentif detoules ces glacesa fait reconnaître que le verre en est pur, d'une belle transparence et géné ralement exempt de bulles, de nœuds, de stries la cinquième est notamment d'une beauté remarquable, et la huitième d'une perfection rare. 1 La fabrique D'Oignies a un dépôt Bruxelles, rue de Jéricho, n° i,où les commandes peuvent être adressées. LE PRÉSIDENT DE LA CHAMBRE, (signé) J.-B. VAN DEN PEEREBOOM. van VAN v- 1 i 1 TE ZONNEBEKE in het dorp. OpDonderdag, 2o*'n October i842 ,te beginjjï met den middag,zal den Notaris CHRISTI AÉIjP op gewoone condilien en tyd van betaeling, le Zonnebeke in het dorp, terStokery der Abdy, by vendilie verkoopen al de gereedschappen der even- gemelde Stokeryals 2 Ketels2 Slangeu 2 Elms koperen Kitte, Kranen, GotenBuizen, 6 Beslag- kuipen, 2 Vlegkuipenveel Genever-Vatenwat delen Duigen, Liggers der beslagkuipen, Gantieren, eeuige groole Genever-stukken geschikt voor ael- karleelen en peerdestanden en verdere voorwerpen. De vergaedering tergemelde Stokery en terherberg beicfcond by sieur Louis Goudemée te Zonnebeke, in het dorp. notaire, a ypres. Par le ministère de Mtre VAUT Notaire, Ypres, on vendra publiquement: VENDREDI, 14 OCTOBRE 1842 pour la Mise a- Prix, et VENDREDI, 28 OCTOBRE i842 pour I'Aujudication, en l'Hôtel delaChâtelleniesitué sur la Grand'place Ypres, 3 heures de relevée: A. Une bel[e Ferme de la contenance de 22 hec tares 27 are s^63 centiares divisés en 20 lots, située dans les Communes de Moorslede, et une partie sur Passçhendaele et Becelaere, occupée par Dionisius fytègjftchelein, avec droit de bail jusqu'au 1" Octobre 1848 moyennant 1,200 francs par an outre les contributions. B. Une partie de Terre Moorslede, de 1 hectare 34 ares q4 centiares, occupée par sieur De Grave au prix de 70 francs par an, non compris les contri butions. C. Dans la commune de Becelaere 73 ares de Terre, occupée par Pierre Fondenbergheau prix de 21 francs par an plus les contributions. Pour plus amples informations, voir les affiches parcellaires, et s'adresser au bureau dudit Notaire VAN EECKE. TE DICKEBESCn Men maekt een ieder bekend dat op Maendag, 2i'° November i842, ten negen ueren 's morgens, zullen verkocht worden op de gewoone conditien en met een jaer tyd van betaeling, 354 koopen Iepen, Eiken, Esschen, Abeelen en Popelieren-Boomen, voornaemelyk dienstig voor waegenmaekers, lim- mer- en molenwerken, welke slaen in de weiden en op de landen der hofsleden wederzydelyk ge- bruikt door FrancisDassonneville en Maximilianus Bossaerlte Dickebusch district Ypre by de herberg het Hallebast en dus niet verre van den steenweg. Gezien de groole hoeveelheid der koopende verkooping zal juist op de geslelde uer aenvang nemen. der groote en om aftebreken, TE ZONNEBEKE, in het dorp. Den Notaris CHRISTIAEY, te Passçhen daele, zal van wege den eigenaer, met het houden van twee zittingen van 8 te 8 dagenopenbaerlyk te koop veilen oin afgebroken te worden, de volgende gebouwen ZONNEBEKE in het dorp. Eersten Koop. De groote eu uytgeslrekle SCHUER DER ABDY, gebouwen in sleen en ge- dekt met schalien, voorzien van menigvuldig yzer veel arduynstukken en een alderschoonste limmer werk in eiken bout, waeronder veel zwaere regt- staende ongeschonden balkenwaerop de kap rust- dienstig voor schrynvverkers. Tweeden Koop. Al de GEBOUWEN DER STOKERY, aenlioudende Slalling en Wagenhuis der Abdy, 00k gebouwen in steen gedekt met tigchels en pannen. Aen deze gebouwen is 00k veel yzer en veele goede arduyuslukkenhet lim- merwerk is al van eiken hout en in eenen alder- besten staet. Daer zal aen de koopers twee jaeren tyd van belaeliay verleend wordenmit s voldoende borg stel/ende. De zittingen voor de Verkooping zullen plaets hebben te Zonnebeke, in het dorp, te weten Den Instel Donderdag i3en October 1842, ter herberg het Schaek bewoond by sieur Antoine Gardein, en den Oveiislag den Donderdag 20e" der zelve maend, ter herberg Sint-Hubertbewoond by sieur Vyncke, te vooren Morael, t'elkens ten 4 ueren namiddag. De condilien beruslen by den vornoemden Notaris CHRISTIAÊN. 15 Ypres, imprimerie de LAMBIN, Fils, éditeur, rue du Temple, 6.

HISTORISCHE KRANTEN

Le Progrès (1841-1914) | 1842 | | pagina 4