"TE PACHTEN
HOUT,
OFFICE UNIVERSEL BELGE,
A VENDRE DE GRÉ-A-GRÉ
AVIS.
ESSCHEN-BOOMEN EN SCHOLFEN,
if 3 it d 3 a,
OM AENSTONDS IN GEBRUIK TE TREDEN,
een §€h«on iio§ en erve,
150 KOOPEN
GEZAEGDE EIKEN STUKKEN
fflEMDE VOOR RIBBEN. BALKEN EN PLATEN
il Pi) résultera toujours un avertissement salu
taire pour l'administration dont le concours
actif, lorsqu il s'est agi de les rechercher et de
les constater, est une garantie de son zèle et de
sa vigilance en prévenir le retour.
Ecoutez les paroles prononcées dans un des
interrogatoires par le président de la Cour
d'assises.
M. le président, avec vivacité. Je vous dis que
c'était uii véritable pillage, un abominable désordre.
11 sera constaté que l'on déchirait les plans; qu'on
les éparpillait de coté et d'autre, qu'*WFeu élaiL
aucun iuventaire^Cbaeun travaillait son gré~*
faisait payer les travaux les plus iuudiles. Aqg
dépenses du bureai^ des pla^âsfr itoujours
augmentant. On a fini par vc
par an pour ce bureau.
Mohin. i 15,ooo fr.,
M. le président, con in
terrompez pas... Toutes ces
me^jf un total énorme qui dépaA"'1^
Vous-même nous avez révélé ces de
ne pouvons vous en savoir gré, put
profitiez. Mais malheureusement
trop réels. Le cœur saigne en songe;
dont on pillait l'argent de la villes
M. le ministre de l'intérieur soit aves1
pour lesquels la justice, qiiand elle en
saurait fermer les yeux.
Je saisis cette occasion pour dire icipu
ment, que M. le juge d'instruction a eu toutes
peines du monde obtenir de la préfecture les plans
et mémoires argués de faux dont il avait besoin. La
préfecture, bienveillante pour ses employés, a mis
la plus grande résistance les mettre sa disposition
je le dis hautement, et nous aurons interroger ur
témoin ce sujet il faudra bien qu'il s'explique,^
que nous sachions d'où vient celte hésitation satis
faire aux nécessités de la justice.
A chacune des audiences consacrées celte
affaire, les charges contre les accusés se sont
accrues, et principalement contre Hourdequin,
chef du bureau, en qui le conseil municipal de
Paris avait«la plus grande confiance, et quip
trouvé dans ses fonctions, le moyen cfe^e faire
donner pour plus de cent vingt mille ffàncsyJe
pots-de-vin, par divers propiiéLairff# de tnai-
sons*,~soît en leur faisant payer de [dus fortes
indemnités que celles qui leur étaient dues par
la ville, soit en leur suscitant toutes sortes de
difficultés et d'embarras quand ils vpulaient
être payés de ce qui leur était dû, soit en ne
faisant pas^exécuter contre eux les décisions du
conseil de préfecture qui les condamnait dé
molir, ou reculer leurs maisons. Hourdequin,
qui avait joui jusque-là d'une bonne réputation,
avait une fille sur le point de se marier, et qui
est devenue folle depuis le procès fait son
père, parce que ce procès a engagé son futur
rompre le mariage.
Nous ferons connaître l'arrêt qui interviendra.
Les longs débats de l'affaire Hourdequin
et consorts ont été clos aujourd hui l'ouver
ture de l'audience, les accusés interpellés ont
déclaré n'avoir rien ajouter leur défense.
Après un résumé clair et précis de M. le
président, le jury est entré deux heures et
demie en délibération il a prononcer sur 41
questions. A cinq heures le verdict du jury
n'était pas encore rendu.
L'affaire Hourdequin et des autres em
ployés de la préfecture de la Seine accusés de
concussion en voierievient de se terminer.
Morin est condamné trois ans de prison et
100 francs d'amende; Bontel trois ans de pri
son et HourdequinjjÇA années de la même peine.
-L Npus pyptj$ït>?s que le célèbre M. Castel-
nau Véj >uj' KjréMuitle faire, avec l'autorisation
du gfl^^aSiëmi^f^liançais, une expédition aux
régions^e^lÛÊS^ de l'Amérique du sud. Ce
grand voyage d'exploration s'étend travers le
continent depuis Rio-Janeiro jusqu'à Lima
ligne qui ne comprend pas moins de 1,000
lieues et qui qa jamais été visité par des Eu-
ropéens£f|pïo^V
M. CasletncRi doit prendre son retour la
rouleau voyageur la Condamine, par la rivière
des Amazones et par la Guyane.
Cet\ecentreprise avait été formée sous les
auspice! feu duc d'Orléans et elle est con
tinuée parte duc de Némours.
i° Deux Maisons cfbntigues avec fonds d'héritage,
situées Ypres,«sur la plaine jdite Zaelhof, y mar-
non louées^
Ypres rue d'Eylau
Eeûuti.
[r au bureau
Y près
quees n
E
Op Donderdag, cersten December 1842, wezende
St-Eloy-dag, ten een, ure namiddag juist, zal men
verkoopen by openbaere vend i lie, te welen
100 koopen schoone vierkaule gezaegde eiken
stukken Hout van *5 en 4 duini, eiken Balken en
Platen van aile slach van lengten
b koopen Esschen-Boomen
En 44 koopen eiken en iepen Scliolfen.
Dit Hout zal zicli al bevinden aen de Boesinglie-
brugge, by de herberg van S' Bonté, by dies zeer
gemakkelyk voor den transport.
Deze Verkooping zal gebeuren met lyd van be-
taeling, mits stelleride solvabele medekoopers eu
op de condilien alsdan voor te lezen door den Gref
fier PECMEL, te Boesinghe, die met deze
Verkooping en ontvangst belasl is.
De pei-soonen die zich tôt alsnu nog uiet bekend
hebben gemaekt, en die gelooven recht te liebben,
als erfgenamen 1er ervenisse van wylen Mynheer
Jacobus-Martinus NUITTEN, den zoon van
Martinus en Marie-Catiiarin a Veriienne, over-
leden te Ypre den 4e" Juny 179b, vvorden verzoclit
zich ten kanloore van M1" VANT EECHLE^
Notaris te Ypre, Kloosterpoort, N° 1 binnen de
maend November en December 1842, te begeven
dragers van de noodige stuks, himne rechtcn bewy-
zende, alwaer dezelve zullen onderzocht worden.
Elk zegije het voorts.
Dienstig voor aile slach van koophandel
Staende aeu de west-zyde van de Ryssel-straet
n° 167, laelst gebrnikt geweest door d'heer God-
deris-Colpaert.
Zich te adresseren by Mynheer Cornette-
Victoor, Nedermarkt, n° 7, te Ypre.
TP^i/t het voortzeggen.
AIAVIGATIOIN
établie par le gouvernement.
En chargea Ostende pour la Ve'ra-Crux.
Le navire galiole Hollandaise nommé ANJIEN,
doublé et chevillé en cuivre, capitaine P. Willems,
our partir positivement le'1 ^décembre i84ï.
S'adresser pour cet objet Ostende, chez Mme "Veuve B.-L*
HOFLAND, cosignataire du navire, ou M. JOSEPH VAN
CUYL, courtier. A Bruges, chez M. H. JONCKHEERE, cour
tier. A Gand, chez M. VAN ENGELEN, courtier. A Anvers^
au bureau des navires, CHANGES GRISAR, i\l. J. MARSILY.
Et Bruxelles, chez M. P.-A. C REM MENS.
BUREAU DES POSTES D'YPRES.
Le Conseil d'administration du susdit régiment
adjugera publiquement le Jeudi, 24 Novembre i842,
midi précis, au bureau du Colonel Commandant,
rue de Dixmu^^à Ypres, la Fourniture de la
Viande de première qualité, nécessaire au susdit
régiment pour une année, partir du Vendredi 25
Novembre 1842 au Jeudi 24 Novembre i843 inclus.
VDltKOOPING
van
alsmede
te BOESINGHEaen de brugge.
DÉpiïtTS ET ARRIVÉES DES COURRIERS
pendant la période d'iiiver.
DÉPARTS. - 6 1 >2 heures du matin, pour Bruges. 8 heures
du inalînypour Poperinghe et Warnêton. 9 1^4 heures du malin
pour Anvers, Bruxelles, Courtrai, Gand, Meniu la France et la
relevée pour Poperinghe.
ARRIVÉES. 8 heurcs^ niatin, la correspondance de l'inté
rieur et de l'étranger. 10 heures du malin, Dixmude Furnes et
Poperinghe. 3 lj4 heures de relevée, Anvers, Bruxelles, Courtrai,
Gand, Mons, Mtnin, Tournay, Ostende, Poperinghe, Warnêton et
la correspondance française. 8 heures du soir, Bruges.
Service rural. Départ 8 1^2 heures du matin. Rentrée 6
heures du soir.
NB. Les lettres 5 affranchir et chargerpour ne point éprouver
de retard, doivent être transmises au bureau un quart d'heure au
moins avant la clôture des dépêches, l'affranchissement est obliga
toire pour 1 Angleterre, l'Autriche, l'Espagne, le Portugal l'Italie
la Turquie et les pays doutre-mer.
Les lettres sujettesà l'affranchissement obligatoire, pour lesquelles
on ne remplit point cette formalité, ne sont point expédiées.
11 est défendu de renfermer des espèces ou des bijoux dans les
lettres, celles présumées en contenir, trouvées la boite, sont mises
au rébut. Les dépêches administratives, contresignées par les fonc
tionnaires publics, doivent être remises la main au guichet, celles
trouvées la boîte sont sujettes la taxe.
Le bureau est ouvert de 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2
G heures du soir.
Hue î>t la icHontafine, 15, UrurelUs.
L'OFFICE SE CHARGE f.ntr'autres AFFAIRES
et pour compte de particuliers
i° De vendre ou d'acquérir toutes grandes et peti
tes propriétés, telles que maisons de ville, de cam
pagne et biens ruraux;
2" De vendreoud'acquérirtousfondsdecommerce,
d'industrie, fabriques,manufactures et marchandises
de toutes espèces;
3° De procurer aux capitalistes des propriétés sur
lesquelles ils peuvent par hypothèque placer sûre
ment leurs fopds
4° De faire prêter aux propriétaires sur leurs im
meubles les fonds qu'ils pourraient avoir besoin
5° D'établir toute société commerciale et indus
trielle
6° D'obtenir pour tous nouveaux procédés des
brevelsd'invenlion ou d'importation, soit en Belgi
que, soit l'Étranger;
7" De gérer et administrer toutes affaires et pro
priétés
8° D'établir toute liquidation de société et de maison
de commerce;
y" De prendre et de donner tous renseignements
sur les maisons de commerce et les manufactures de
la Belgique et de l'Étranger;
io° De faire connaître par la voie de la publicité
tout ce qui a rapport au commerce et l'industrie,
et de faire insérer aux journaux toutes annonces.
On ne reçoit que les lettres affranchies.
Ypres, imprimerie de LAMBIN, Fits, éditeur, rue du Temple,6.