LA CONCORDE, TRÉSOR IVente publique i 3° D'une Maison Vlamertinghe sur la place, dernièrement occupée par feue la veuve Samyn. ADJUDICATION PUBLIQUE £41 il 3 4133 3, Ér.DÎ, DU wota.RE BOEDT, a u-DEs. GRANDE FERME A MOUTONS 1® D'une petite Ferme de la contenance de 1 hectare 71 eres 90 centiares, située en la commune de Woesten, près de la place, le long du chemin dit Steen-straele, tenant aux terres de la veuve De Haene, de Charles Wulleman, de Pierre Vandamme, de M. Lemaire, de Charles De Cock, de Pierre Tier- soone et du sieur Deman; exploitée par Pierre- Jacquet Vallaeys. SCHOONE HOFSTEDE, BOSCH EN HUIS, GEMEENTE CROMBEKE. Koop ià 20, Eene schoone Hofstede, groot 11 hectaren 73 aren 52 centiaren, of 26 gemeten 242 roeden, gelegen west tegen de dorpplaets, ge- bruikt door Eugenius Vandepitte en Ludovicus Deprez. Koop 21. Eenen Kapbosch, groot 5t aren 5i centiaren, of 1 geinet 53 roeden, palende noord aen de Reningdreve, niet verheurd. Koop 22. Een Huis met Grond enHovenierhof, in de dorpplaets, tharis onbewoond. 10 ANS, 1830-1840 4 PLUSIEURS CAPITAUX OPENBAER TE VERKOOPEN. histoire milanaise RESTAURATION, sxn aprtiinaires. Par une petite brise, catacois et mi-vapeur, le Napoléon dépassa 11 nœuds. toute vapeur, il atteignit immédiatement 11 nœutjs 1/2 et 13 nœuds. A la voile, l'hélice étant désembrayée et rendue folle sur ses tourillons et dans les mêmes circonstances de ventil filait J.0 nœuds 1/2 au plus près du vent. Ces expériences n'ont été faites que par des petite brises mais elles démontrent, d'une manière péremploire, les avantages des moteurs sous-marins sur tous les autres. Dans des cir constances données de chasse ou de missions pressée, il paraît évident que les vapeurs hélice atteindraient, par la combinaison de l'hélice et de la voilure, des vitesses inconnues jusqu'ici sur mer. Par une forte brise de travers, le Napoléon pourrait dépasser 14 nœuds ou près de cinq lieues. 4" Quatorze ares 5o centiares de Jardin et fond de Maison Vlamertinghe, occupée par Fran çois Barroo. 5* De 11 ares 10 centiares de Terre a labour Vlamertinghe, occupée par Louis Meurisse. La MISE-A-PRIX est fixée Samedi 26 Août i843, et L'ADJUDICATION DÉFINITIVE, Samedi 9 Septembre suivant, 2 heures de relevée, en l'auberge la Longue Allée, rue de Lille, Ypres. A YEVDRE pour un prix très-raisonnable, 9 Pianos, 1111 Clavecin, une Harpe, et une Guitare, artistement réparés par TAFFIN, rue de la Bouche, n° 11, Ypres, qui vend des Cordes pour piano3 et clavecins. A VEIDBE FAR UNE TRÈS-BELLE ET 2° D'une belle petite Ferme de la contenance de 4 hectares 86 ares 79 centiares, située en la com mune de Vlamertinghe, un peu sud-est de l'église, tenant au chemin conduisant Voormezeele, abou tissant aux terres des enfants de feu M. le chevalier Hynderick et des enfants de feu M. Merghelynck- De Langhe, aux terres de M. Louis d'Hondt-Capron, de M. Rycx-Priem, de M. le comte De Patin Langemarcq, de la veuve De Haene et autres. Exploitée par Charles-Albert Samyn. SITUÉE DANS LES COMMUNES DE S4 JEAN, LANGEMARCQ ET BOESINGHE arrondissement d'ypres. Contenant parmi Lieu manoir, Verger, Pâturages, Terres labourables, Prairies et Bois, ensemble 48 hectares 37 ares 72 centiares. Occupée par le Sr Jean-Baptiste Smagge, et éva luée par la matrice cadastrale un revenu imposable de 2,617 francs 70 centimes. La Mise a prix se fera en la Salle des ventes de l'Hôtel de ville,Ypres, parle ministère du Notaire REj^TTIT, le Samedi, 19 Août i843,à 2 heures de relevée. Il sera accordé une prime de Mise prix'. A placer un intérêt modique, moyennant garantie. S'adresser au Notaire RE\A KM, Courtrai. Dingsdag, 29nAugustus i843, ten 2 urennamiddag in de herberg hclfVéthuys, tôt Crombeke zal door den Notaris FLOOIt, ter residentie van Loo, overgegaen worden tôt de DEFINITIEVE TOE- WYZING der naschreven Goederen. ri YÇft-BflT Nouvelle séringue au moyen de laquelle on peut lillIljU DliJLl. préparer et administrer soi-même, partout où on se trouvetoute espèce de lavement. Se vend Bruxelles, Mon tagne de la Cour, n° 5. Compagnie anonyme cCassurances mutuelles sur la Vieautorisée par Ordonnance royale. Président, M. de la Rochefoucauld, duc de Doudeauville, etc. Caisse générale de survieguise divise en séries de 5 10, 1520 et 25 ans. Caisse dotale pour les filles. Caisse d'établissement pour les jeunes gens des deux sexes. Caisse de prévision militaire. S'adresser pour renseignements et souscriptions M. IiEVASSEUR employé l'adminis tration communale, sou^-directeur de la compagnie pour l'arrondissement d'Ypres. On demande des Receveurs-comptables pour les villes et communes de l'arrondissement. Affranchir ri I CONDITIONS DE LA SOUSCRIPTION. Il parait un volume (papier satiné avec une jolie couverture imprimée,! par semaine. Chaque volume se compose de 16 feuillesin-8° ou 256 pages! -S'il arrivait que les volumes ne comportassent pas cette quantité de feuilles, et que le nombre manquant fut au moins de 12 feuilles (192 pages), il y sera suppléé par un volume, formant un ouvrage complet, délivré gratis aux souscripteurs. La souscription se fait pour tous les ouvrages composant la série. mb&anmm hdjei ilaïc^hisiifj^ jfuil&p RUE DU TEMPLE, 6, A YPRES. Chaque volume est distribué,, sans frais, au domicile du souscripteur, moyennant le payement de 1 frano 25 c. pour Bruxelles, et de 1 frauc 35 c. pour les villes des provinces. Celui qui souscrira après la publication du tome 9 de la présente série payera cinquante centimes de plus par volume. l.es abonnés des campagnes doivcut désigner un domicile dans une ville quelconque pour la remise des ouvrages. On souscrit l'Établissement, 8, rue d'Assaut, Bruxelles, et chex LAMBIN, Fils, rue du Temple, fi, Ypres. 1» LES DU XVIIe SIÈCLE, - par ALEX. MÀttZONi; 2 volumesr 2» Révolution française HISTOIRE DE par LOUIS BLANC Tomes 1, 2, 3, 4. OUVRAGES COMPOSANT LA 12e SÉRIE 3» CORRESPONDANCE de M. VICTOR ûffc 0a fanjtUt. et plusieurs de ses amis 2 volumes. HISTOIRE de la (1813-1830), par M. CAPEFIGUE 8 volumes ornés de 8 gravures. 5« SOCIALE, apolitique et Religieuse, par M. GUSTAVE DE BEAUMONT 2 volumes. OUVRAGES qui paraîtront dans les series suivantes Thierry (Augustin). Récils des temps mérovingiens, précédés de considérations sur l'histoire de France. Thierry (Amédée). Histoire de la Gaule sous la domination v romaine. Alignet. Éloges et notices histo riques. Sismondi. Histoire des Français, Oh! impossible, senor... j'ai au pied... certaine ènflure... En ce cas, j'irai me pourvoir ailleurs. A propos, dites-moi... le vieux commandeur Juan de. Valdesillas habite-t-il toujours cette ville? V t notre voisin, senor suivez l'avenue qui fait face... sa mai- ut au bout, c'est la seule qui soit fermée d'une grille. nnû remonta sur sa jument et se- arquer que bien des regards suivaient tournaient vers lui portaient tous moins visite de la terreur ou de l'étonnement. i àson père, du pîgs loin qu'elle le vit. [soupira André plus mort que vjf. Et où va-t-il maintenant? Chez le commandeur Valdesillas, dont je lui ai indiqué la de meuré.' Buv^senoijr^v' f Ftu? il m'a demandé son adresse, et je n'aurais jamais t.. fc'est une vilain# visite que vous lui envoyez-là. lame! Important était de nous en débarrasser. Juan y^uxUptfpde mer, qui, par état, ne doit s'ef frayer de rien, et puis, après tout, ça ne nous regarde plus..,, il s'en tirera... comme il pourra. Pendant ce temps, le cavalier mystérieux avait trouvé sans peine la maison de Juan de Valdesillas, et mettait pied terre pour la deuxième fois. Mais au moment où il franchissait le seuil de la porte et où il adressait un mot d'amitié la gouvernante du vieux com mandeur, celle-ci, prompte comme l'éclair, quitta vivement le banc de pierre sur lequel elle était assise et s'esquiva en poussant un grand cri. L'étranger, étourdi par cette singulière réception, fronça le sour cil et se demanda s'il retournerait sur ses pas ou s'il pousserait plus loiu l'aventure. Il se décida pource dernier parti et entra résolument dans la maison. Le premier visage qu'il y rencontra fut celui de Juan de \aldesillas. C'était un homme de cinquante-cinq ans envi ron, d'une haute stature et d'une fermeté de maintien qui révélait tout d'abord en lui l'homme de vigueur et de résolution. Cependant, la vue de notre voyageur, une pâleur soudaine se répandit sur son front, ses lèvres se contractèrent légèrement, et il fut aisé de voir, qu'en dépit de ses efTorts, un tremblement nerveux parcourait tous ses membres. Eh quoi Juan de Valdesillas, dit l'inconnu impatient de savoiHe mot de cette énigme, est-ce ainsi que vous me recevez, après une sé paration Monsieur!... interrompit Juan qui sembla se faire violence pour n'en pas dire davantage. Avez-vous donc perdu tout souvenir de don Ruiz de Soria? Non, senor, car don Ruiz de Soria était mon ami le plus cher. Eh bien si don Ruiz de Soria était votre ami, pourquoi refuser de prendre sa main Parce qu'il est impossible que cette main soit la sienne, répon dit Juan de Valdesillas en fixant sur l'inconnu un regard scrutateur j parce que voilà plus d'un an que don Ruiz de Soria est mort, parce qu'il y a six mois environ que tous ceux qui l'aimaient ici, frères, amis et parents, sont allés prier pour le repos de son âme dans l'église Nolre-Dame-d'Atocha. L'apostrophe était aussi violente qu'imprévue et aurait pu démon ter un jouteur moins aguerri. Mais celui qui prenait le nom de don Ruiz se redressa vivement et 6xa sur Valdesillas un regard si clair et si hardi, que ce dernier perdit contenance et jpassa sa main sur ses yeux pour s'assurer sans doute s'il était bien éveillé. (La suite au prochain Ar#.) Ypres, imprimerie de LAMBINFils, éditeur, roc du Tepplc, 6.

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Le Progrès (1841-1914) | 1843 | | pagina 4