annôncEST"
ADJUDICATION.
HUYS
US FURETS
LOUIS 10RDEZ
Le Dilettante.
EXTÉRIEUR. FRANCE.
GENEVER-BEZIEN
BUREAU DES POSTES D'YPRES.
4
pépiniéristes, a hooymlle,
berigt7~
RECUEIL DE *11051ANCES, CHANSONNETTES
ET AIRS D'OPÉRAS, des meilleurs auteurs.
du corps consulaire et surtout de M. Lesseps,
quipar ses antécédents et par les immenses
services qu'il a rendus la population a su
inspirer un grand respect, Dieu seul sait ce que
nous deviendrions.
Les insurgés ont audacieusement donné
l'assaut la citadélle, déjà même 400 Catalans
déterminés avaient pu poser les échelles contre
les murailles et escaladé le premier mur ils
ont alors donné lesignal aux soldats de la junte
qui devaient les protéger de leur feu; mais ce
signal était prématuré et a donné l'éveil la
garnison j^ui a immédiatement repoussé lesassail-
lantset lésa empêché de s'emparer du deuxième
mur.
Voici un fait qui rappelle indirectement
une aventure de la jeunesse de Napoléon;
Une ascension aérostatique qui a eu lieu mardi
dernier au Mans, a été signalée par un exemple
d'excentricité assez singulier. Après des retards
occasionnés par le mauvais temps, l'ascension
du nouveau ballon de M. Kirsch, la Ville du
Mans, a eu lieu dans la cour delà manutention.
Tout était disposé, et le ballon gigantesque se
trouvait prêt quitter le sol, lorsqu'un spec
tateur, abandonnant sa place, écarte M. Kirsch,
s'élance légèrement dans la nacelle aérienne,
salue le public ébahi et s'élève dans les airs.
Tout le monde reconnaît le commandant Ver
dun du régiment des cuirassiers en garnison
dans la ville. Comme on le pense bien, le public
a suivi des yeux l'aventureux voyageur avec
une vive anxiété.
Le Mans tout entier était dans les rues et aux
Venêlres. Au bout d'environ une heure, le com
mandant était de retour et racontait ses amis
ses impressions de voyage. Il est descendu dans
un clos de vignes, près la bulle d'Yvré-l'Évêque.
L'aventure de M. Verdun avait tellement
excité l'intérêt des habitants, qu'à son retour
la foule se pressait autour du café de l'Europe,
en criant Vive le commandant des cuiras
siers
Paris, 15 octobre.
On lit dans le journal de Paris, la Pairie:
M. le comle de Ratti-Menton, consul de
France Macao, qui dans son débat avec M. le
colonel Duliois de Jancigny, vient de se montrer
si peu soucieux de l'honneur du nom français
et des intérêts qu'il représente, est le même qui
remplissait les fonctions de consul de France
Damas lors de la déplorable affaire qui eut, il
v a quelques années, un si triste retentissement.
On sait que par suite de la disparition d'un re
ligieux français (te çère Thomas), la populace
fanatique de Damas- accusa la population juive
de cette ville d'avoir assassiné ce prêtre pour
faire servirso?i sang aux cérémonies delà Pâque,
atroce et odieuse calomnie, renouvelée des plus
mauvais jours du moven-âge.
Loin de prendre en cette circonstance l'alti
tude digne d'un représentant du peuple le plus
éclairé du monde, M. le comte de Ratti-Menton
dirigea lui-même vers le quartier juif les inves
tigations-; dè la police turque, et encouragea,
îoiu de les répriraevylas actes du plus aveugle
fanatisme umsifclfyAsuBè.ureuses familles juives
fues dans lès cachots, dépouillées,
.uûe barbarie sans exemple des
infants, périrent dans les horri-
le Ja, question une population
*ll menacée d'extermination,
universelle que souleva cette
[ite dé M. de Ratti-Menton a
été probablement un titre la'faveur de M.
hiïotr^Slisqùe ce fonctionnaire a reçu de l'a-
s'est vu appeler au poste si im-
4n voit aujourd'hui comment
jr est justifiée; on voit que
Ion compromet Macaoda di-
ûs comme U^nas joLmit
fcjore soi
Le traité conclu avec la Sardaigne est enfin
ratifié et publié aujourd'hui par le Moniteur.
On dit qu'il sera déclaré un dividende de
7 1/2 p. c. la prochaine assemblée générale
des actionnaires du chemin de fer de Rouen.
Un fruitier de la rue des Vieux-Augustins
a fait l'acquisition au ministère de la marine
d'une masse de papiers pour envelopper ses
denrées. Il paraît que messieurs du ministère
ne se sont pas donné la peine d'examiner ces
papiers avant de les vendre, car dans le nombre
il se trouve des documents importants. Entre
autres, nous citerons un rapport au ministre
de la marine, du 14 février 1761concernant
l'armement de vaisseaux en corsaires, qui est
tombé entre les mains d'un homme de lettres,
et qu'on ne céderait pas pour 25 louis, car c'est
un véritable monument historique.
Il est des économistes qui prennent pour
mesure ou pour indice du degré de civilisation
dans chaque contrée l'état de la consommation
de certaines denrées et notamment du sucre. Or,
il est en France nombre de villages où le sucre
ne se vend encore que chez le pharmacien com
me au temps de Henri IV. Le département de
l'Indre compte bien des villages qui sont dans
ce cas. Devons-nous conclure que la France est
un pays bien civilisé?
Vendredi, 27 Octobre 1843, 4 heures de relevée,
au cabaret Le Damier, occupé par M. Camerlynck,
Warnêton, le Notaire ROjTOIEjlfà audit lieu,
de l'intervention de Monsieur GODTSCHALCK,
juge-de-paix du canton de Messirjes, procédera
L'ADJUDICATION DÉFINITIVE d'une très-
belle maison à;deux<é(ages5 avec
Boulangerie et Saline et son fonds
d'héritagesituéè en la ville de Warnêton»
rue d'Ypres.
Occupée par la veave et enfants Delievendeurs,
pour par l'acquéreur y entrer un mois après l'adju
dication définitive.-
Seulement mis prix 4,000 francs.
TE KOOPEN BINNEN YPRE
EEÎÏ PATRI9IOIV1EEL
Staende binnen dezelve stadaen de zuid-zyde van
de Boterstraet, N° 37, paelende van ooste'n aen het
huis van d'heer Bossaert en van westen aen het geene
van joef'-rouw de weduwe Berghman; bewoonddoor
Louis Rubrecht. Den kooper zal daervan in gebruik.
komen 3 maenden na den overslag.
Deze Verkooping toegestaen by octrooi, zal
gebeuren ten overstaen van den bevoegden heer
Vrederechlerin de gewoone verkoopzael van het
Sladhuis, waer toe den Instel zal plaels hebben
op Maendag, 9° October 1843 en den Overslag,
Maendag 2Î" der zelve maendt'elkens ten 4 uren
namiddag, onder de voorwaerden rustende ten kan-
tore van den Notaris IIEj^TIT, Lente-Mark t,
N° 26te Ypre.
par le franc.
(2r semestre.) h° 12.
septembre 1843.
'23 (3© sas?"
pres bergues, nordy
Ont l'honneur d'informer le public, que cette
année il ne sera pas tenu de Vente publique Ypres,
des productions de leurs pépinières,. MM. les ama
teurs .qui désirent 3« procurer des Arbres fruitiers
de toutes espèces, des Rosiers de Bengale et autres,
tant en pots que greffés sur églantiers hautes tiges,
du tousautres Arbres d'agrément propres pour orner
les jardins, sont priés de leur adx-esser les demandes
par lettres affranchies, il y sera satisfait avec promp
titude et exactitude.
Cet établissement peut aussi fournir des arbres
Poiriers et Pommiers sauvageons pour vergers.
Le catalogue de l'établissement sera envoyé aux
amateurs qui en feront la demande.
Un messager part toutes les semaines pour celte
ville il se charge de toutes les commissions.
ESTE ITALIAE1I§CHE
f,
en ANYS-ZAED, eerste kwaliteit,
Te bekomen by Mr EDOUARD DE LESCLUZE,
Koopman, Verbrand-Nieuwland-straet, n° 14, te
Ù^ugge
Les Furets paraissent régulière
ment le2 de chaque mois, depuis le
10 septembre 1842.
Pour chaque volume pris séparé
ment, 75 centimes.
En s abonnant on reçoit les volu
mes domïfcile. Prix pour 6 mois
fr.£3-50, pour 3 .mois fr. 1-80.
On peut s'abonner cette publication satyrique mensuelle pour
les provinces
A Gasd, chez Van Goethemlibraire, Marché aux grains; Ve
Bivort-Crowieplace de la Calandre A AwvfiRS^hez Rutinkx,[librai
re Grand'Place; A Lodvain chez Ceulens libraire, A* Mons
chez Leroux A Liège, chez Redouté.éditeur de la Tribuneei chez
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Nota. Les Furets paraîtront en plus grand formattous les Di
manches, dater du 12 uovkrnbre prochain. L'abonnement est fixé
fr. 3-50 par trimestre ou 12 fr. par an.
publiant un morceau par semaine accompagné
dfc jqlies lithographies.
trix: douze francs par an.
Le goûtde la musique fait des progrès si remarquables dans toutes
les classes de la société, que tous les efforts ayant pour but de la
populariser davantage, peuvent espérer d'être couronnés de succès.
Au point où eu est arrivée la concurrence, i ijfi est plus guère possible
de promettre des souscripteurs un grand rabais dans le prix de la
musique; aussi, tout en donnant nos feuilles meilleur marché fljje
"ce.quia été publié jusqu'icin'est-ce pas sous ce rapport que nfnis
chercherons mériter la préférence des amateurs de musique. C'est
surtout par le choix et par l'exécution des morceaux que nous tache
rons d'y parvenir. Le format du Dilettante est grand in-4°. Uh
N° paraît régulièrement chaque semaine.
On souscrit a Ypres,
chez LAMBIN Fils, imprimeur-libraihe-lituographe,
rue du temple 6.
departs et arrivées des courriers
PENDANT LA PÉRIODE D'ÉTÉ.
DÉPARTS. 6 heures du malin, pour Anvers, Bruxelles,
CourtraiGaudMénin, Tournai êt la France. 6 1/2 heures du
matin, pour Bruges. 8 heures du matin, pour Poperinghe et
Warnêton. -- 3. 1/4 heures rte relevée toute la correspondance pour
l'intérieur et ^étranger. 3 1/2 heures de relevée pour Dixmude,
Furnes, Dunkerc^ue Calais et Boulogne-sur-mer. -h 4 heures de
relevée pour Poperinghe.
ARRIVÉES.8 hcnres du matin, la correspondance de Pinte»
rieuuet de l'étranger*-— 10 heures dcl matin, Dixmude, Furnes et
Poperinghe. 3 1/2 heuros/le relevée, Poperinghe et Warnêton.
5 1/2 heures du soir Anvers, Bruxelles CourtraiGand, Mons,
Menin, Tournay, Ostende, et la correspondance française. 8 heu
res du soir, Bruges."
Service ruralDépart: 8 1/2 heures du matin. Rentrée: 6
heures du soir.
NB. Les lettres affranchir et charger, pour ne point éprouver
de retard, doivent être transmises au bureau un quart d'heure au
moins avant la clôture des dépêches; l'affranchissement est obliga
toire pour 1 Angleterre, lrAutriche,-l'Espagne, le Portugal l'Italie,
la Turquie et les pays d'outre-mer.
Les lettres sujettes l'affranchissement obligatoire, pour lesquelles
on ne remplit point cette formalité, iie sont'point expédiées.
Il est défendu de renfermer des espèces ou des bijoux dans les
lettres; celles présumées en contenir, trouvées la boîte, sont iùises
au rebut. Les dépêches administratives /contresignées par les fonc-
tionnaires publics, doivent être remises La main au guichet, celles
trouvées la boite sont sujettes la taxe.
Leburcàu est ouvert de 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2
6 heures du soir;
Ypre^. imprimerie de LA31B1IN FiLi éditeurrue du Temple, 6.