DIS DICTIONNAIRES,
A il il o if d a
INSTEL.
H. LOUIS LORDEZ
GENEVER-BEZIEY
LES CROJUIGJVOLES.
BDREAll DIS POSTES D'YFRES.
NOUVELLE
4
Variétés.
A.. Van eeneschoone HOFSTEDE, groot 16 h.
21 a. 16 c. in Reninghelst, tusschen de plaetse en
het gehucht den Busbooim.
BERIGT.
ESTE ITAEIAEJtSCHE
95
EXTRAORDINAIRE
En yente au bureau de cette feujlle
DICTIONNAIRE
OPINION DE NAPOLÉON SUR LES COUVENTS.
Une feuille, qui combat avec énergie les empié
tements du parti ultra-montainlé Journal de la
JAbertè religieuse, cou tient dans son dernier numéro
un document très-curieux: c'est une note de Napo
léon sur les couvents d'hommes ou maisons de
retraite. On sait que, le 16 octobre 1810, le conseil
d'État discuta un projet de décret sur le rétablisse
ment ou la conservation d'un certain nombre de
couvents ou d'abbayes en France et dans les pays
réunis, surtout en Italie. Ce projet était précédé du
motif suivant qui fut retranché dans la discussion
Considérant qu'il convient de conserver dans les
diverses parties de l'empire un certain nombre de
couvents où des hommes, voulant se retirer de la
société, puissent se consacrer plus particulièrement
une vie solitaire et religieuse...
Le projet fut adopté par le conseil d'État avec
quelques changements de rédaction, et présenté
l'empereur; mais, loin que Napoléon y ait donné sa
sanction, comme M. Cormenin paraît le croire, il
dicta au duc de Rassano, le 19 octobre, une note que
le secrétaire d'État renvoya par son ordre formel
au ministre des cultes, et par sujte de laquelle le
projet ne fut jamais mis exécution.
Voici la note
Ce projet de décret ne signifie rien.
Les motifs d'une telle mesure, le but qu'on se
propose, les besoins auxquels on veut satisfaire, ne
ressorlent point de la rédaction.
Que veut-on? un refuge pour les anciens moi
nes: les musulmans, les Anglais, les États proles
tants n'ont pas de moines, et n'en sentent pas le
besoin.
«Veut-on des maisons comme celle de la Trappe,
où l'on ne recevait pas de moines, mais des hommes
qui, dégoûtés du monde, veuillent finir leurs jours
dans la vie contemplative? Celte idée serait simple
et le but évident. Mais ne voit-on pas Paris un
moine de la Trappe qui se mêle toutes les coteries
et qui fait de son état de moine un objet d'intrigue
et de spéculation? Les moines de laThebaide sont
les seuls qui aient mené une vie véritablement con
templative.
Les moiues de l'Europe, au contraire, avaient
qui ont conservé de très-faibles ressources et qui
n'ont plus de famille; mais cela n'a rien de commun
avec les couvents; on n'a pas encore vu un homme
de 5o ans prendre la fantaisie de se faire moine.
Si des vieillards ont de la fortune, il se font ser
vir chez eux, et n'ont pas besoin d'un couvent pour
vivre retirés du monde; s'ils n'en ont pas, et si on
leur offre une retraite où le peu de ressources qui
leur x-este suffit cependant pour qu'ils vieillissent
l'abri du besoin, ils y cherchent une vie douce et n'y
chercheront pas la vie contemplative. L'établisse
ment d'une maison comme S'°-Périne, bien établie,
bien administrée, bien dotée, serait une fort belle
chose; il en existe de semblables dans toute l'Eu
rope: ce serait un hospice de vieillards.
3° Offrir un refuge dans la vie contemplative
aux hommes qui veulent fuir la société, soit parce
qu'elle leur est importune, soit parce qu'elle leur
rappelle des fautes ou des pertes dont on ne se con
sole point. La Trappe est l'établissement le plus fa
vorable pour cet objet le nom, le lieu, les souvenirs
qui s'y rattachent, disent clairement ce qu'on veut
faire. Le premier article du projet de décret serait
donc celui-ci
La maison de la Trappe est rétablie.
Op Donderdag, 911 November 1843, ten twaelf
uren 's middags, ter herberg de Kroone, bewoont
door Catharina Baelde, 1er plaetse van Reninghelst.
Gebruykt door Sr Pieler de Côninck tôt bavo 1846,
tegen fr. 1,011-53 c. s'jaers, en van dien lydstip
toi bavo 1849, tegen 1 "*7 francs 00k's jaers .boven
de las ten. 1 fl
Ry affiche verdeelt in a3 koopen.
H. Van 5 aren Sôfèenliaren HUISGROND en
HOVEN1ERHOF by de Hofstede A gëbruiklt*dobr
une vie tellement active^ qu'ils dominaient les na— Joannes llakelhoom111 tts 5 francs s'jaers boven de
F ins chéz Iesquelles\ils avaient été établis, et que, laslen.
partout où ils n'ont pas cessé d'exister, ils les domi-
Een HUIS in tvvee woonsten met 12 a. 20 c.
lient encore.
«On reconnaît cependant qii'il peut être de quel
que utilité de rétablir le couvent de la Trappe, mais
011 11e croit pas qu'il soit besoin d'en avoir d'autres.
Le couvent de Sénart, par exemple, ne doit pas
être rétabli c'est un lieu assez singulièrement choisi
pour vivre dans l'oubli du monde, qu'une maison
située 4 ou 5 lieues de la capitale. Sa Majesté n'est
point allée Sénart, mais elle est persuadée que si
la chasse l'y conduisait, elle serait aussi désagréa-.
blemenl frappée qu'elle l'a été au Calvaire.
S'il faut faire un essai dans celle matière, on
peut le faire la Trappe; les bulles existent, et il
n'y a pas de difficultés. En formant cet établissement - by den Ka^teel-molen, gebruikt door S1
de manière ce qu'il puisse réunir 200 personnes, Onraetaenslag met de geldlelling,-.
il sera au maximum de ce que peuvent exiger les
4o millions d'hommes qui composent la population
de l'empire. Si l'expérience trompe ce calcul, on
fera une seconde maison.
En résumé, les seuls besoinq réels de la France,
sous le rapport des maisons de retraité, sont ceux ci:.
i° Donner des moines vieillis dans la vie com
mune, le moyen de vivre eiçcommun. Mais beaucoup
"\ERVE in Dickebuschgebruikt door Joannes
Chaerle en Livinus Pétuwelsmits'fr. 72—56 c.
s'jaers boven de laslenl
jD. Van 2 h. o5 66 c. BOSCH in vier par-
lien, binnen Reninghelst en Wesloulre, onverpaclit;
aenslag met de geldlelling.
E.Van 2 h. 38 a. 90 c. ZAEILAND in drie par-
tien le Reninghelst, by den Kasleel-molen, gebruikt
door Sr François ÏStarkeylot bavo 1846 126 fr.,
en van dien lydstip tut bavo 1854 a i5o francs s'jaers
boven de laslen.
F. Van g5 a. 87.c. VETGRAS in Reninghelst
Melchior
de moines se sont;établis en coninimi, sans que le
gouvernemennè- sache, et pour ceux de l'Italie fran
çaise, ôn leur a conservé quatre majsous en les sup-
Danti
maisons d,e 'retraite de l'espèce de
l,où puissent vivre des vieillards
6. Van 45 a. 15o c. MEERSCH, paëlt aen 't gras
letler F, 00k gebruikt door Sr Onraet aenslag met
de geldlelling.
En H. Van een HUIS in 2 woonsten met 10 a.
5 c. grond en hovenierhof by'l gras letter F, ge
bruikt door Joannes Huuwen en François Rousselle,
tegen fr. 58-o4 c. s'jaers.
Deze Verkooping geschied ten overstaen van
d'heeren vrederegler en greffier van het kanton
Poperiughedoor het ambt van den Notaris
liiCIEV, te Reninghelst, toe dies in réglé be-
noemd.
instel-penningen te winnen.
as a ©sa s>e
PÉPINIÉRISTES, A HOOYMILLE
près bergues, nord),
Ont l'honneur d'informer le public, que cette
année il ne sera pas tenu de Vente publique Ypres.
des productions de leurs pépinières. MM. les ama
teurs qui désirent 3e procurer des Arbres fruitiers
dé toutes especésdes Rosiers de Bengale et autres,
tant en pots, que greffés sur églantiers hautes tiges
ou tous autres Arbres d'agrément propres pour orner
les jardins, sont priés de leur adresser les demandes
par lettres affranchies, il y sera satisfait avec promp
titude et exactitude.
Cet établissement peut aussi fournir des arbres
Poiriers et Pommiers sauvageons pour vergers.
Le cglalogUe de l'établissement sera envoyé aux
amateurs qui en feront la.demande.
Un messager part toutes Iqs semaines pour celle
ville il se charge de toutes les commissions.
en ANYS-ZAED, eerste kwaliteit,
Te bekomen by Mr ÉDOUARD DE LESCLUZE,
Koopman, Verbrand-Nieuwland-slraef, n° 14, le
Brugge.
7 fr. par an pour la ville. 8 fr. pour la province (franc de port).
75 c. chaque numéro.
on s'abonde au bureau de cette feuille.
départs et arrivées des courriers
pendant la période d'iiiver.
DÉPARTS. C heures du malin, pour Anvers, Bruxelles,
Court raiGand, Menin, Tournai ,ct la France. C 1/2 heures du
matin, pour Bruges. 8 heures du matin, pour Poperitighe et
Warnéton. 2 1/2 heures de relevée pour Dixmurle, F unies,
Dunk»rque, Calais et Boulogne-sur-mer. 3 1/4 heures de relevée
toute la correspondance pour l'intérieur et l'étranger. 4 heures
de relevée pour Poperiughe.
ARRIVÉES. 8 heures du matin, I9 correspondance de l'inté
rieur et de l'étranger. 10 heures du matiu Dixmudc Fûmes et
Poperiughe. 3 1/2 heures de relevée, Poperiughe et Warnêtou.
8 heures du soir Anvers, Bi uges, Bruxelles, Cou rirai, Gand, Mons,
Menin, Tournay, Ostende, et la correspondance française.
Service rural. Départ: 8 1/2 heures du matin. Rentrée: 6
heures du soir.
•- »NB. Les lettres affranchir et chargerpour ne point éprouver
de retard, doivent être transmises au bureau un quart d'heure au
moins avant la clôture des dépêches; l'affranchissement est obliga
toire pour l'Angleterre, l'Autriche, l'Espagne, le Portugal l'Italie,
la Turquie et les pays d'outre-mer.
Leslcltres sujettes I affranchissement obligatoire, pour lesquelles
on ne remplit point cette formalité, 11e sont point expédiées.
Il est défendu de renfermer des esjpèces ou des bijoux dans les
lettres; celles présumées eu contenir, trouvées la boîte, sont mises
au rébnt. Les dépêches administrativescontresignées par les fonc
tionnaires publics, doivent êtrç remises la main au guichet, celtes
trouvées la boite sont sujettes la taxe.
Le bureau est ouvert de 8 heures du matin jusqu'à midi, et de 2
6 heures du soir.
(SUR LES PRIX DE PARIS.
ï=4
papier
<£l]aqut ouorage oc oenb séparément 40 cent, le oolurne, renfermant
la matière b'un ool. in-8° bc ffario, qui eoute 7 fr. 50.
Certes, jamais titre n'aura été aussi vrai que celui que nous avons donné
notre entreprise. En effet, jamais, en Belgique, où la concurrence semblait avoir
porté le bon marché ses dernières limites on n'avait encore oITert au public
le moyen de se tenir au courant des chefs-d'œuvre de la littérature moderne
pour une somme aussi modique que celle laquelle nous cotons notre
publication.
Nous nous garderons Lien de faire entrer dans notre collection des ouvrages
médiocres ou que la morale réprouve. Notre but ne serait point atteint car
tout le secret du bon marché auquel nous sommes parvenus, consiste dans les
chances d'un placement considérable tant en Belgique qu'à l'étranger, et nous
ne pouriious espérer ce grand placement si nous u étions pas t»3es-rigoureux
dans notre choix. j. i
Leî^avrage que nous avons publié est le spirituel écr^hi çomlewle La Garde
inKtulé fêtes et souvenirs anecdotiques do congrès de hftmme*.
Il paraît un volume par semaine, depuis le 5 août 1843.
On s'abonne au bureau de cette feuillepour trois moiàç six mois ou un an.
ou Uocnbulairt uiuorrecl et complet bc
la langue française, etc.
L'ouvrage est t -miné par une grammaire française
un traité de ponctuation un dictionnaire des
difficultés grammaticalesun traité des tropes,
un. vocabulaire de géographie, etc., etc.
2gros vjoI., grand in-8°, (contenant 2,400pages)
.imprimés en .caractères neufs.
prix fr. 17-50.
(Le prix decet ouvrage, cri 1837,était de 52francs.)
Vpr^Jp-iinjF'iaierie l'A.MRlJY j Fils, éditeur, rue du Temple, o.